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Citations de Bruno Combes (777)


Aujourd’hui est le plus beau jour de notre vie, car hier n’existe plus et demain ne se lèvera peut-être jamais.
Le passé nous étouffe dans les regrets et les remords, le futur nous berce d’illusions. Apprécions le soleil qui se lève, réjouissons-nous de le voir se coucher. Arrêtons de dire « il est trop tôt » ou « il est trop tard » ; le bonheur est là : il est l’instant présent.
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On devrait vider nos cœurs comme on vide une vieille malle. Se débarrasser des tristesses qui débordent, des regrets trop poussiéreux qui embrument nos lendemains.
On devrait décorer nos cœurs de couleurs vives et chaudes, oublier le gris des années de pluie et accrocher un soleil au-dessus de nos portes.
Chaque matin, poser notre main sur notre poitrine et sentir notre cœur battre, signe de vie et d’espoir. 
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Elle rêve d’un homme qui cicatriserait ses blessures. D’une présence, d’un espoir qui lui redonnerait le goût du lendemain. Un homme qui devinerait sa vie derrière son sourire fatigué, qui calmerait ses tourments, ses nuits trop longues et ses journées de brouillard. 
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A celles qui partagent nos vies
A celles qui errent dans nos esprits

Que l'on aime avec passion
Qui nous guident avec raison

A celles que l'on ne rencontrera jamais
A celles que l'on a tant désirées et aimées

Qui nous tendent la main
Qui nous accompagnent vers demain

A celles qui dévoilent nos hier
A celles qui éclairent nos hivers

A vous!

Que l'on croise du regard... sur le chemin du hasard
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Le hasard n’existe pas.
Nous sommes programmés pour rencontrer les êtres qui nous ressemblent et nous complètent.
Cela prend parfois toute une vie, mais à force d’espérer, nous finissons toujours par nous donner rendez-vous sur le chemin de la liberté.
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Il y a deux façons de considérer les épreuves que la vie place sur notre chemin: comme un malheur ou comme une expérience.
Le malheur nous enferme dans la tristesse et le déclin, nous devenons notre propre esclave et plongeons dans le renoncement.
Nous pouvons aussi entrevoir une petite lumière qui scintille au milieu des pleurs et des doutes. Entretenons cette flamme qui un jour, à force d'espoir et de patience, deviendra un magnifique lever de soleil.
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Le passé nous étouffe dans les regrets et les remords, le futur nous berce d’illusions. Apprécions le soleil qui se lève, réjouissons-nous de le voir se coucher.
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La vie, faut l’absorber goulûment, à s’en rendre malade, à s’en défoncer les tripes et les émotions. 
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Notre société veut nous faire croire que la femme est l’égale de l’homme : constat discutable !

La femme ne sera jamais l’égale de l’homme, elle lui est, en bien des points, supérieure.
A-t-on déjà vu une femme déclarer une guerre ?
A-t-on déjà vu une femme provoquer un génocide ?

Certains esprits chagrins diront qu’il existe des exceptions. Bien sûr, des exceptions qui confirment la régler ! (p229)
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Le hasard n'existe pas.
Nous sommes programmés pour rencontrer les êtres qui nous ressemblent et nous complètent.
Cela prend parfois toute une vie, mais à force d'espérer, nous finissons toujours par nous donner rendez-vous sue le chemin de la liberté.
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Mes lumière,
Aujourd'hui, d’un pas serein, je reprends mon chemin, je vais rejoindre André.
Ne vous en faite pas, tout va bien se passer. Je pars confiante et rassurée.
Désormais, je veille sur vous. Quand vous aurez besoin, je serai à vos côté. Lorsque les difficultés se feront plus présentes, lorsque les hésitations et le doute vous envahiront ou que la tristesse s’invitera dans vos pensées, alors vous sentirez ce souffle d’un air chaud venu du sud de l’Espagne, venu de ce village au nom imprononçable que vous m’avez aidée à rejoindre avant que je décide de vous quitter : Valdehijos.
Ce souffle d’air chaud, c’est celui des grand-mères qui chantent le soir sur la place du village au milieu des rires des enfants.
Alors la peur et l’angoisse disparaîtront, la tristesse s’envolera. Ce souffle d’air chaud, vous saurez que c’est moi qui vous l’envoie, car il chantera un air doux qui vous rappellera le plus précieux des conseils :
Cours après tes rêves ma petites, cours après tes rêves … (p 392)
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La beauté de la vie ne se limite pas à une longue et rassurante certitude. Certes, l’idée est séduisante,mais elle conduit inexorablement à la monotonie des jours qui passent, sans relief et sans âme.
C’est tout le contraire : il faut accepter de se tromper, d’échouer, et d’inlassablement recommencer.
A chaque carrefour de l’existence, il faut délaisser les autoroutes rectilignes et sécurisantes pour emprunter les chemins caillouteux où, derrière chaque virage, se cache une épreuve pour nous aider à grimper, plus haut, toujours plus haut. (p301)
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Ce qu’il nous reste ...
La nostalgie, c’est ce qu’il nous reste lorsque les souvenirs s’estompent.
Comme un baluchon de regrets que l'on accumule au cours d’une vie et qui, peu à peu, nous fait courber le dos.
La nostalgie du temps qui passe, d’un visage qui s’efface. La nostalgie d’un « j’aurai dû » ou d’un ‘j’aurai pu ».
Une petite mort en somme... Oui une petite mort ! Celle qui nous rend plus faibles ou plus forts.
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«  Puisque ma vie n’a plus beaucoup de sens
Je réapprendrai à marcher
Puisque je ne peux plus serrer ta main
Je réapprendrai à marcher.
Puisque mes yeux se ferment pour t’apercevoir
Je réapprendrai à marcher.
Tu seras là, tu guideras mes pas
Je réapprendrai à marcher » .
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S'enfuir, larguer les amarres, ne pas se retourner.
Courir, courir à en perdre haleine, à s'en brûler les poumons.
Pousser la vie droit devant soi sans se poser de question, ne rien attendre et n'avoir aucun regret.
Allumer des feux d'artifice pour que l'espoir renaisse et voir le ciel s'embraser de milliers d'étoiles.
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Nous sommes condamnés au bonheur obligatoire, l'expression de tout autre sentiment serait un aveu de faiblesse. Nous n'osons pas affronter qui nous sommes réellement. Notre existence suit alors un chemin d'épanouissement simplement acceptable jusqu'au jour où le chemin se sépare en deux : et là, le choix devient inévitable !
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Des envies d’enfance, de rire aux éclats
De courir sous la pluie et de désobéissance
Se dire que rien n’a vraiment d’importance
Sortir des clous, embêter les passants
S’enfuir et s’amuser à les entendre crier
Balancer ses godasses, se faire mal aux pieds
Se déchirer les genoux dans la cour de l’école
Chaparder des regards et des sourires
Laisser s’enfuir l’ennui, et vivre, vivre. (page 221)
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Nous avançons dans la vie comme des funambules, persuadés que le temps nous aidera à mieux maîtriser notre équilibre sur la corde tremblante de l'existence.
Il nous semble que rien ne peut dérégler l'horloge que nous remontons avec délicatesse chaque matin, chaque mois, chaque année.
Un jour pourtant, en un instant, tout bascule; nous ne le savons pas encore, mais plus rien ne sera comme avant: le funambule tombe et l'horloge s'affole.
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A la grande loterie de l'existence, il n'y a ni gagnant ni perdant, nous sommes tous des spectateurs, de simples observateurs d'un destin que rien ne peut contrôler. Ca tient à quoi une vie ?Á rien et à tout à la fois! A un au revoir manqué, à un départ trop précipité, à une main qu'on lâche, à une voix qui s'éteint.
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Son voyage jusqu'à l'abbaye Notre-Dame de Commengères allait être long. Six heures de train pour rejoindre Clermont-Ferrand, puis deux heures jusqu'à la Bourboule. L'abbaye étant situé à une trentaine de kilomètres du village, mère Émilie viendrait la chercher à la descente du car.
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