Citations de Bruno Combes (783)
Les choses les plus anodines peuvent parfois changer une vie.
Un message, un appel et tout peut basculer.
Nous devenons les spectateurs de notre destin qui s’évade.
La valeur d’un instant devient alors d’une infinie richesse.
Rien ne remplacera un clair de lune dans tes bras. Rien ne remplacera l'odeur de tes cheveux quand ta tête se pose sur mon épaule.
Assieds-toi, écoute, ta petite voix, laisse-la venir, colle-la à ton coeur, prends ton temps. Alors jaillira ton vrai chemin, celui qui te guidera, confiant, vers l'éclat doré des champs de blé.
Si l’on veut distribuer du bonheur, il faut d’abord s’occuper du sien. Parce que si l’on n’est pas heureux soi-même, on n’a rien à offrir à personne !
je n'avais pas encore lu cet auteur, j'ai aimé les textes d'introductions des chapitres. Quant au livre par lui même il se lit vite, l'écriture en est fluide. Mais dès le début on sait que tout se terminera bien.
Pour résumer un livre reposant que je conseille aux grands romantiques.
« Ce pourrait-être… »
Ce pourrait être contempler une pluie d’étoiles avec toi, une nuit sans fin dan tes bras ou l’odeur du pain grillé le matin.
Ce pourrait être deviner le bruit de tes pas, la douceur de ton parfum qui effleure ma peau ou tes montagnes de baisers qui glissent dans mon cou.
Ce pourrait être la caresse d’un fruit d’été, l’élégance de ta robe qui s’envole au vent ou un immense panier rempli de tes sourires. Ce pourrait être tant de choses simples et faciles à la fois…
Ce pourrait être…ce que je veux vivre avec toi.
- Mais ta grand-mère ?
- Il faut qu'elle assume, maman. Les fantômes du passé reviennent toujours, un jour ou l'autre...
Elle savait désormais que la vie était une magnifique mais cruelle amie, qui peut nous lâcher la main sans prévenir, lorsqu'elle le décide, avec une violence parfois insupportable.
Avec Stephen, elle vivait une forme de parenthèse interdite par les conventions. Elle savait qu’un jour la vie se chargerait de la remettre sur le chemin qu’elle n’aurait jamais dû quitter, celui de la femme d’affaires efficace, de la mère de famille irréprochable et de l’épouse faussement épanouie.
Le passé nous étouffe dans les regrets et les remords, le futur nous berce d'illusions. Apprécions le soleil qui se lève, réjouissons-nous de le voir se coucher. Arrêtons de dire "il est trop tot"ou "il est trop tard"; le bonheur est là, il est l'instant présent.
p. 209
« Le seul remède à l’amour, c’est d’aimer encore davantage. »
Emerson
Ah non, pas toi ! Tu ne vas pas me
sortir le chapitre sur « la crise de la quarantaine ». Maintenant,
les psys ont inventé une autre expression tout aussi débile : « la
crise du milieu de vie ! »
Se pardonner ce n'est pas oublier, c'est décider de se tourner vers la vie.
Certains se gavent de nourriture ou d'alcool, avait-il dit à Lou, ta mère, elle, se gave de babioles. (p.91)
Alors qu’il suffirait, avec force et modestie, de trouver sa place, sa juste place, l’endroit précis où, fidèles à nous-mêmes, nous évoluerions sans effort et sans heurt.
À cet instant précis, le monde nous appartiendra, l’amour nous guidera et le bonheur s’invitera.
Comme un cerisier en fleur; le bonheur passe par mille couleurs.
Si l'on veut distribuer du bonheur, il faut d'abord s'occuper du sien. Parce que si l'on n'est pas heureux soi- même, on n'a rien à offrir à personne.
Combien de temps passons-nous à focaliser nos pensées sur le superflu et l'abondance, persuadés que l'accumulation de choses matérielles nous guidera sur le chemin d'un bonheur préfabriqué, mais acceptable? Cela dure parfois toute une vie ! Alors que l'essentiel réside dans la simplicité, l'échange, l'amitié, l'amour et la découverte des autres. Cessons d'accumuler I'inutile et tournons- nous vers la légèreté.
Emma, mon Emma, que vais-je faire sans toi ? pensa- t-elle en longeant le quai n°2, où était annoncé le train pour Toulouse. Elle s'assit sur un banc pour se protéger du froid vif du hall de la gare, qui était ouvert des deux côtés et laissait s'engouffrer une tramontane glaciale.
Nous avançons dans la vie comme des funambules, persuadés que le temps nous aidera à mieux maîtriser notre équilibre sur la corde tremblante de l'existence.
Il nous semble que rien ne peux dérégler l'horloge que nous remontons avec délicatesse chaque matin, chaque mois, chaque année.
Un jour pourtant, en un instant, tout bascule ; nous ne le savons pas encore, mais plus rien ne sera comme avant : le funambule tombe et l'horloge s'affole.