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Critiques de Amita Parikh (59)
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La Fille de l'illusionniste

La magie a opéré avec ce très beau roman La fille de l’illusionniste.



Nous suivons le destin de trois personnages centraux. Léna, petite fille infirme suite à la polio, Theo son père protecteur et Alexandre, une rencontre charnière.

Début des années trente, Théo se voit seul à élever son bébé Léna après le décès en couches de son épouse. Remarqué pour ses talents en tant qu’illusionniste, il est repéré par Horace le directeur d’un train gigantesque « Le monde des merveilles ». Théo sera la star des représentations menées par le cirque. Et n’aura de cesse de protéger sa fille à tous prix.

Léna grandira dans ce cirque et sera frappée par le rejet des autres enfants vu son infirmité. La solitude sera lourde à porter pour la petite fille. Même si elle se nourrit de livres et de l’amour de son père.



A l’arrivée du petit Alexandre aux portes de la seconde guerre mondiale, le monde de Léna et de son père va s’en retrouver bouleversé. Sans compter ce secret qui hante Theo… et pourrait mettre à mal sa relation avec Léna.



J’ai beaucoup aimé cette histoire. Les personnages sont bien campés et prennent vie devant nos yeux. Les descriptions du monde des merveilles sont souvent à couper le souffle : les costumes décrits avec une beauté féminine rare, le labyrinthe des miroirs, et ce train qui avance, traversant pays, drames de l’Histoire et espoir. La magie a aussi grandement sa place dans ce roman nous offrant des images spectaculaires ou d’une jolie poésie.



Je vous recommande ce roman historique teinté de magie et d’amour de grande beauté.
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La Fille de l'illusionniste

La fille de l'illusionniste de Amita Parikh, un premier roman qui ne laisse pas insensible, il se passe toujours un évènement qui nous maintient dans une tension narrative, jusqu'au dénouement. Une belle plume, qui se lit facilement.



Lena, va naitre à Thessalonique cinq semaines avant terme, en même temps que sa mère Gia, décède de la typhoïde. Un bébé fragile, que son père Theo, protègera toute sa vie, de tout et de tous.



Horace, directeur du cirque, le Monde des Merveilles, proposera à Theo, de l'engager comme illusionniste, après avoir apprécié certains de ces numéros, et de subvenir aux besoins de la famille.



Un an après, petite fille au système immunitaire faible, Léna attrape la polio et se retrouvera sur un fauteuil roulant. Elle ne se mêle pas aux autres, se sentant différente, elle passera son temps à étudier avec une préceptrice qui la soutiendra dans tous ses combats. Lena aspire à la magie du monde réel de la science et de la médecine, malgré les limites de son handicap.



Un jour, elle découvre un jeune garçon inanimé dans un wagon, Alexandre, un orphelin juif, elle s'attache à lui et fera tout pour le sauver. C'est la deuxième guerre mondiale et les Allemands sont sur les dents. Il sera apprenti illusionniste avec le père de Lena.



La guerre s'intensifie, tout comme les sentiments entre Lena et Alexandre. le destin, n'est pas toujours comme on le souhaiterait, il peut être brutal et détruire des vies. Quand un matin, Theo et Alexandre sont arrêtés par les nazis et transférés dans un camp «modèle» pour juifs, chargés de les divertir.



La séparation est extrêmement brutale, Lena devra avancer seule, croire en elle, ne pas laisser les doutes l'envahir et être forte comme elle l'a toujours été.



Une très belle histoire au coeur d'un cirque itinérant, sa vie, à travers les saltimbanques de tous pays, les voyages à travers l'Europe et autres pays. La guerre, l'histoire. Theo profitera de chaque voyage, pour continuer à instruire Lena, en lui faisant visiter les musées et monuments de chaque ville.



Theo, Lena et Alexandre, des personnages, forts, et attachants qu'on suivra durant vingt ans. Un récit magnifique à partir de certains faits réels, je vous le conseille.



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La Fille de l'illusionniste

Je débute mon statut de Flamboyante pour l’année 2024 d’une manière fabuleuse ! En effet, ce roman m'a totalement enchantée et transportée.



Il se déroule principalement durant la Seconde Guerre mondiale, dans le cirque itinérant "Le monde des merveilles" et on y fait la rencontre de Theo et de Lena, sa fille. On découvre ainsi que c'est après la perte de sa compagne que Theo est allé frapper à la porte d'Horace. Horace qui était attiré par le monde de l'illusion et du spectacle et qui très tôt, se concentra sur ce qui intéressait le public : « Du divertissement, une échappatoire où s’émerveiller et oublier la pénibilité du quotidien ».

Il misa sur des artistes aux portes de la gloire et qui se battraient pour se hisser au sommet. Et c’est ainsi qu’il repéra Théo Papadopoulos qui va devenir un grand illusionniste.



Lena en grandissant va à son tour s'intéresser au monde du spectacle mais de son fauteuil roulant, elle ne peut que s'émerveiller de ce que réalisent tous les membres du cirque. Elle va aussi rencontrer Alexandre, un jeune apprenti illusionniste, un garçon qui cache des secrets, avec qui elle va partager une belle amitié.



Mais la guerre avec l'Allemagne va être déclarée et même si le cirque continue à se produire, leur quotidien va se trouver bousculé et certains vont être brutalement séparés, notamment par le camp de Therensiestadt dont personnellement je n'avais jamais entendu parler.



C'est une histoire magnifique et touchante, dans laquelle on voyage aux côtés de personnages attachants, avec lesquels on vit et on tremble pour eux, J'ai adoré partager ces moments et grandir à leurs côtés. Des personnages passionnants. Lena est une jeune fille courageuse et déterminée que l'on ne peut qu'admirer. Theo est un papa protecteur que l'on comprend et qui va se révéler être aussi un battant. Quant à Alexandre, il est aussi



Quant à la plume, je l'ai trouvée fluide et passionnante, très visuelle. On ne croirait pas qu'il s'agit d'un premier roman.



Si vous aimez les histoires empreintes de mystères, les récits de fiction documentés et qui vous font voyager, avec des personnages forts et inspirants, et qui délivrent des messages d'espoir et d'amitié, alors vous ne pourrez vous aussi que l'aimer.
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La Fille de l'illusionniste

Ce roman s’ouvre sur un prologue très mystérieux dans lequel nous assistons à la mort de Gia, qui vient de mettre au monde Lena, notre petite protagoniste. Il est question de secrets et de promesses énoncées comme les dernières volontés d’une vie.



Les premiers chapitres nous propulsent quelques années plus tard. Lena est une jeune fille qui se déplace en fauteuil roulant dans ce train du « Monde des merveilles ». Ce cirque dans lequel son père Théo exerce en tant que grand et talentueux illusionniste.



Ce train traverse l’Europe pour se produire dans différents pays pour le plus grand plaisir des amateurs de grands spectacles.



Ce monde de paillettes et de magie Lena le connaît par cœur mais elle a du mal à trouver sa place auprès des autres enfants. La différence fait peur et elle isole également, même une petite fille aussi intelligente et bienveillante que Léna. Jusqu’au jour où elle va croiser le chemin d’Alexandre, qui va lui apporter énormément et changer le cours de sa vie en devenant un véritable ami.



Ce roman je l’ai adoré. C’est rythmé par différents événements (parfois historiques) qui donnent une dimension passionnante au récit. Nous suivons Léna et les personnes qui l’entourent sur presque 15 années d’existence, quand elle passe de l’enfance à l’âge adulte.



Les personnages rencontrés au cours de ma lecture m’ont beaucoup touchés que ce soit Théo, Alexandre ou encore Clara, sa professeure. Chaque parcours de vie à su me laisser admirative.



Léna se dévoile tel un papillon sous nos yeux de lecteurs, gagnant en maturité et en détermination à chaque nouvelle épreuve que la vie lui impose. Je l’ai trouvé tout simplement incroyable, brillante et forte.



Tout était parfait dans ce premier roman de cette autrice très talentueuse. De la couverture aux notes finales c’était tout simplement GÉNIAL.



Un roman que je vous conseille de foncer découvrir.



Merci Laury-Anne pour cette pépite qui tu nous as déniché

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La Fille de l'illusionniste

Malgré mes privilèges de lectrice Faubourg-Marigny, je viens seulement de terminer la lecture de "La fille de l'illusionniste" d'Amita Parikh, paru en janvier dernier dans la maison d'édition que j'aime tant. Lorsque l'on reçoit un livre en avant-première, on a l'opportunité de le lire avant le déferlement des avis positifs et négatifs. Mon retard dans mes services presse m'a permis de m'en rendre compte. Ce roman a fait l'unanimité ou presque auprès des Flamboyantes. Pourtant, j'ai lu quelques avis mitigés, voire clairement négatifs le concernant. J'ai beau essayer de suivre mon instinct et toujours donner sa chance à un livre quelques soient les avis, j'avoue qu'en démarrant ma lecture, j'étais un tout petit peu inquiète. Et tu sais quoi ? J'ai passé un très bon moment en compagnie de Lena: la fille de l'illusionniste. Alors certes, l'histoire est fortement romancée. Néanmoins, elle ne manque aucunement d'intérêt. Je dirais même que les événements qui ponctuent la vie de Lena sont le moteur du personnage et de l'histoire. Normal, me diras-tu? Alors oui, il y a quelques clichés, peut-être aussi quelques invraisemblances. Et encore, qui sommes-nous pour en juger ? "La fille de l'illusionniste" est une fiction historique très documentée. L'autrice a réalisé un travail de recherche gigantesque entre la vie au sein d'un cirque dans la première partie du 20e siècle, la poliomyélite et ses conséquences sur la santé des enfants, le nazisme et les camps de concentration. Amita Parikh n'a pas écrit un livre historique, elle a construit un destin, un personnage féminin et a écrit son chemin de vie pendant une vingtaine d'années au coeur d'événements tragiques qui ont marqué l'histoire du monde. Ce roman est un voyage dans le milieu du cirque et avant tout au cœur des désillusions de la vie pour Lena, cette toute jeune femme. Entre les épreuves, les trahisons, l'espoir, l'absence, l'échec, l'autrice propose au lecteur.trice de garder la foi en la détermination et en la vie. Lena te montrera son chemin si tu montes dans le train. Alors, as-tu déjà pris ton ticket ? Tenté par le voyage ? Discutons-en en commentaire. Je serai d'avis, je serai ravi d'avoir ton avis.
Lien : https://lire1x.com
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La Fille de l'illusionniste

Une déception totale...



Je me suis faite avoir par une illusion : une couverture magnifique et de belles promesses sur une histoire me racontant :

- les merveilles d'un cirque ambulant,

- la vie d'une jeune fille handicapée,

- les horreurs de la seconde guerre mondiale,



Un écran de fumée, des couleuvres à avaler tant le scénario est irréaliste, une écriture laborieuse...



Le train est tellement luxueux que mon esprit n'est jamais parvenu à croire sa conception possible. Beaucoup de marbre et d'objets précieux (et très fragiles) Des chambres d'une belle grandeur placées de chaque côté d'un couloir central. On pouvait passer sans aucun problème d'un wagon à l'autre. Et une parfaite accessibilité pour une enfant se déplaçant en fauteuil roulant. (Grâce à du caoutchouc...)



Heureusement qu'il y avait de nombreuses piqûres de rappel de l'auteure pour me dire que les spectacles du cirque étaient magnifiques car sinon j'aurais pu l'oublier. J'aurais tellement voulu le voir !



La jeune héroïne, à force de "persévérance", parvient à effacer son handicap. L'élément déclencheur ? Un des personnages lui fait remarquer qu'elle sait peut-être marcher sans le savoir. Forcément ! Puisqu'elle n'a jamais essayé ! Fini le fauteuil roulant.



En ce qui concerne les horreurs de la guerre, aucun problème lorsque l'on voyage dans le train. Les costumes sont aussi fabuleux, la nourriture toujours présente. Et on peut voyager en train en Angleterre, en Europe, en Asie (c'est très joli et la guerre n'est pas présente selon l'auteure).



Et heureusement que le petit garçon juif a des traits aryens. (Yeux bleus et des cheveux blonds) mais c'est un voleur et un menteur.



Les horreurs des camps de concentration sont à peine esquissées, voire complètement aseptisées.



Tout ça pour l'histoire d'amour : l'amour des deux personnages (ça avait commencé en amitié mais il y a eu des papillons dans le ventre pour l'héroïne) qui va triompher envers et contre tout !



Un obstacle en vue ? Neutralisé !



Les personnages et les évènements défient la réalité pour que l'auteure parvienne à boucler son histoire.



Et le style ? Tout est dit, rien n'est montré. L'auteure explique tout : les pensées des personnages, leurs actions, les raisons de ces actions. On ne peut pas essayer de deviner leurs motivations.



Rien ne vaut pour moi "le magicien d'Auschwitz"

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La Fille de l'illusionniste

Je rejoins tous les avis dithyrambiques, ce roman est bouleversant !



Ce premier roman est brillant et prometteur pour les prochaines oeuvres de l'auteure que je suivrais assidûment.



J'ai été profondément touchée par les personnages et par leur destin. Lena a fait preuve d'un immense courage et a su relever de nombreux défis qui forcent le respect. J'ai adoré ce personnage moderne, qui veut coûte que coûte étudier dans.une socoété et une époque où peu de femmes accédaient à l'enseignement supérieur. J'ai particulièrement aimé voir son évolution, passant d'une petite fille peu sûre d'elle, se sentant rejetée par les autres à une jeune femme pleine d'assurance et qui mord la vie a belles dents.

J'ai aussi bien sûr adoré Alexandre, ce jeune garçon énigmatique, cachant de nombreux secrets mais appréciant Lena pour ce qu'elle est, passant outre son handicap (il ne cesse d'ailleurs de lui dire qu'elle se restreint de faire des choses pour de mauvaises raisons). Alexandre est particulièrement attachant, notamment dans son désir de ne pas répéter l'histoire familiale.

Et que dire de Théo et de Clara ? Ils sont capables de sacrifier beaucoup pour le bien-être et le bonheur de Lena, la plaçant toujours en première place. Ils font preuve d'énormément d'altruisme et de bienveillance, ne cessant d'encourager la petite-fille.



J'ai également adoré le monde de la magie et du cirque, nous offrant de la douceur, des illusions, une fenêtre vers un autre monde, plus beau, où la plupart des gens s'entraident. Et cela faisait beaucoup de bien dans cette époque tourmentée.



Mon seul petit bémol réside dans le fait que l'auteure esquisse certains sujets passionnants sans entrer dans les détails, j'ai notamment eu cette sensation quand Théo et Alexandre étaient dans le camp de concentration. Il y avait ici énormément de matière, mais le sujet n'a été finalement qu'effleuré.



Cette première parution de 2024 de Faubourg Marigny présage d'une superbe année littéraire !
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La Fille de l'illusionniste

À travers les pages de « La Fille de l’illusionniste », Amita Parikh dévoile un monde riche en mystère et en magie.

Chaque année, le rideau s’ouvre sur une nouvelle saison du Monde des Merveilles avec un dîner d’inauguration, annonçant le thème de la tournée à travers un festin enchanteur.

Un rituel qui met en lumière l’art de l’illusion orchestré par Théo Papadopoulos, le célèbre illusionniste. Lui et sa fille, Léna sont les personnages principaux de ce récit.



Léna, est née avec la polio, elle ne croit pas en la magie, mais en la science, à ce qui est tangible.

Une enfant qui rêve de faire de grandes études et qui n’est jamais rassasiée.

Elle a un esprit vif et curieux.

Théo, quand il a rejoint le prestigieux Cirque de luxe d’Horace, a imposé la condition que sa fille reçoive toujours la meilleure éducation.



Lena atteinte de la polio et se déplaçant en fauteuil roulant nourrit le rêve de remarcher un jour.

Elle se sent à part des autres membres de la compagnie même si son père fait absolument tout ce qui est son pouvoir pour qu’elle ne sente pas différente.



Les trajets habituels du cirque sont perturbés par l’ombre grandissante de la guerre, qui devient un élément central dans l’intrigue étalée sur 20 ans.



Une partie du récit se déroule pendant la Seconde Guerre mondiale, l’autrice va explorer non seulement la vie sous le chapiteau, mais aussi les pays en guerre. Les grands faits de l’Histoire.



L’itinéraire comprend des arrêts en Norvège, Hongrie, France, Italie, Espagne, Tchécoslovaquie, Allemagne, Angleterre, Monaco. Chaque escale offre à Théo l’opportunité d’enrichir l’éducation de Lena, ils explorent les musées et monuments des villes, cela ajoute une dimension culturelle au récit.



Amita Parikh excelle dans la création de descriptions magiques des spectacles, elle démontre un sens du détail qui m’a enchanté. Son écriture fluide, visuelle et cinématographique te transporte dès le départ, elle te plonge dans l’univers du cirque avec le dîner d’inauguration révélateur du thème annuel.



Tu as envie de voir les numéros de tes yeux, tu as envie de voir les pays visités et leurs musées, tu es tout le temps sollicité. Tu ne saurais vraiment pas t’ennuyer avec ce livre.



La guerre devient le catalyseur qui remet tout en perspective, je dirais que l’autrice divise l’histoire en deux parties distinctes.

Les descriptions des spectacles continuent d’enchanter, ils offrent des moments de répit bienvenus dans un contexte de conflit mondial.



Décès, deuil, et cruels coups du sort deviennent les fils conducteurs d’une histoire où mensonges, secrets et demi-vérités entrelacent constamment les pistes.

L’autrice brouille constamment les pistes, elle t’entraîne sans cesse sur de fausses pistes avec des rebondissements nombreux et inattendus.



Léna, Théo et Alexandre Robichaud, découvert dans le train du cirque, sont des personnages complexes et attachants. Leur évolution est magnifiquement orchestrée.

Chacun gère son passé de manière unique, ils illustrent à merveille la complexité des relations humaines.



La plume fluide et visuelle d’Amita Parikh crée une atmosphère cinématographique, elle te transporte au cœur du monde du cirque. Chaque spectacle, chaque tour de magie, est dépeint avec un sens du détail saisissant.



L’écriture, fluide tant pour les actions que pour les émotions, crée une immersion totale, je n’avais pas envie de voir le voyage se conclure.

Amita Parikh livre un récit solide qui marie habilement l’histoire et le divertissement.



Les notes de l’autrice à la fin, sur les personnes et les lieux réels de l’histoire, ajoutent une dimension supplémentaire à l’authenticité du récit.

Quand je lis un roman historique, j’aime apprendre et surtout savoir ce qui est fictif ou non.



L’histoire, s’étendant sur 20 ans, offre une réflexion poignante sur la vie et la résilience à travers le prisme du cirque ambulant.

L’autrice apporte un regard original sur l’occupation nazie, mêlant le contexte historique et le monde magique du cirque.

Une œuvre fascinante et émouvante qui te transporte dans un monde d’émerveillement et d’émotions.



Si tu es en quête d’une lecture captivante, riche en émotions et en mystères, si tu aimes la Seconde Guerre mondiale et ses conséquences, je te conseille ce livre absolument. Encore plus si comme moi tu aimes le cirque.

Prochainement, je prépare un réel avec des titres qui se passe dans cet univers. Celui-ci est totalement novateur de ce que j’ai pu lire jusqu’à présent.



Un premier roman qui se déroule durant la Seconde Guerre mondiale, au sein d’un cirque itinérant absolument magnifique, et qui traite du passage à l’âge adulte d’une fillette durant les heures les plus sombres de notre histoire.

À travers un cirque enchanteur et les épreuves de la Seconde Guerre mondiale, “La Fille de l’illusionniste” tisse une saga de 20 ans, dévoilant la magie, la résilience, et les mystères d’une famille d’illusionnistes, le livre offre une immersion cinématographique dans un monde d’émerveillement et d’émotions.
Lien : https://unesourisetdeslivres..
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La Fille de l'illusionniste

Résumé : Lena, 9 ans vit avec son père Théo, illusionniste, dans un cirque itinérant à travers l'Europe. Ayant contracté la polio à sa naissance, elle est désormais en fauteuil et a du mal à sociabiliser avec les autres enfants de la troupe jusqu'à l'arrivée inopinée d'Alexandre qui va bouleversé sa vie.



Avis :  Ce livre m'a tout de suite plu. La couverture magnifique a attiré mon attention et les nombreux avis positifs m'ont décidée à me procurer ce joli pavé. Lu dans le cadre d'une lecture commune, j'ai été happée dès les premières pages. Je me suis tout de suite revue au cirque d'hiver dont le roman s'inspire en partie.

La relation fusionnelle Léna / Théo est magnifique et respire l'amour. Léna est une force de la nature, courageuse fillette, courageuse femme ensuite, elle est déterminée à tracer sa route. Ses rencontres vont lui permettre d'avancer vers ses objectifs.

Alexandre est également épatant. Courageux, téméraire, c'est un jeune garçon attachant. Et Théo, ce papa poule qui pèche par excès d'amour.

Le récit se déroule sur plusieurs décennies nous permettant de suivre l'évolution des personnages notamment durant la seconde guerre mondiale qui bouleversera les trajectoires de nos héros.

La plume est agréable et fluide, le récit est certe une fiction mais très bien documentée.

C'est un premier roman réussit brillamment qui permet de passer de belles heures de lecture en compagnie de Léna, Théo, Alexandre, Clara... Une belle découverte
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La Fille de l'illusionniste

Sans être un coup de cœur, j’ai passé un très joli moment de lecture avec ce roman. J’aime énormément l’univers du cirque, la magie, les spectacles d’illusion et les personnages créés par l’autrice sont vraiment hyper attachants.



Lena vit avec son papa Théo au sein du « Monde des Merveilles », un cirque itinérant où Théo est la star des illusionnistes. Lena a une relation très forte avec son papa mais elle se sent souvent très seule. Les autres enfants du cirque ne la côtoient pas beaucoup, elle se sent mise à part du fait qu’elle soit en chaise roulante et considérée comme une infirme. Sa vie va changer le jour où elle va faire la rencontre d’Alexandre, un orphelin juif au passé assez trouble.



J’ai beaucoup aimé le personnage de Lena, elle va devoir faire preuve d’énormément de courage et de volonté. Elle va devoir affronter des moments très difficiles mais elle ne va jamais baisser les bras. Dès le début du roman, on sait que la naissance de Lena est entourée d’un halo de mystères et l’autrice nous tient en haleine jusqu’à la fin du récit où les pièces du puzzle se mettront finalement en place. J’ai trouvé la plume de l’autrice très belle et très immersive. J’ai à de nombreuses reprises tremblé pour les personnages et j’ai trouvé le récit très bien documenté.



L’autrice nous plonge dans ce monde magique du cirque pendant la seconde guerre mondiale et si vous aimez les romans historiques où les secrets foisonnent, ce roman devrait vous plaire. Un premier roman que j’ai trouvé très abouti et vraiment très agréable à découvrir.

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La Fille de l'illusionniste

Pour sortir des mes thrillers habituels, j’ai choisi ce roman dans ma PAL perso et quelle magnifique découverte. J’ai dévoré cette briquette de 526 pages en 2 soirées et que dire de cette splendide couverture 😍



C’est l’histoire de Lena, infirme suite à la polio qui vit dans un cirque itinérant en fauteuil roulant, son père Théo illusionniste va la surprotéger à l’aube de la seconde guerre mondiale. Alexandre, jeune juif, va rejoindre l’équipe et se lier d’amitié avec Lena, jusqu’au jour où la guerre éclate et où les quotidiens vont devenir monstrueux. Que vont-ils tous devenir?



J’ai été directement happée par la plume de l’autrice qui est poétique, addictive et recherchée car malgré que l’histoire soit une fiction, il y a de nombreuses recherches sur la seconde guerre mondiale dans cette région et également sur la poliomyélite et ses traitements .



Les chapitres sont relativement courts et apportent du rythme. On se retrouve avec un mélange d’émotions, la joie, le bonheur mais également la peur, la tristesse, la colère. L’autrice manie avec excellence la construction du récit.



Les personnages sont particulièrement bien construits, on prend plaisir à suivre ceux-ci face à l’adversité. Gros coup de cœur pour le personnage de Lena, qui est forte et déterminée, rien ne l’arrête.



J’ai également trouvé le sujet du cirque itinérant original, malgré la période où cela se passe, on en prend plein les yeux face à cette magie.



Si vous aimez l’historique et en plus écrit par une plume captivante et passionnante, je vous recommande ce magnifique livre qui se dévore littéralement.
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La Fille de l'illusionniste

J’ai adoré cette histoire.

J’ai adoré cette plume !

Et ce n’est que le premier roman de l’autrice !



Un beau roman historique avec pour décors le cirque, présent sans être omniprésent.

Des personnages très attachants, j’ai adoré Léna et Alexandre.

J’ai trouvé le personnage d’Alexandre très mature, malgré que ce ne soit qu’un enfant.

Son histoire est forte et touchante.



Quant à Léna, c’est une battante, que la vie et la maladie n’ont pas épargné.

Malgré tout, elle réussit à surmonter les difficultés et tout en rêvant au plus profond d’elle de devenir médecin, à une époque où malheureusement c’était très dur pour une femme de s’y faire une place.



Un roman addictif !

Dès les premiers chapitres, on veut en découvrir plus et connaître l’avenir des personnages !



J’ai énormément aimé, une autrice à suivre !
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La Fille de l'illusionniste

Lena Papadopoulos a neuf ans et ne trouve pas sa place dans le cirque le Monde des Merveilles . Même en tant que fille du plus grand illusionniste elle rêve du monde réel . Limité avec son fauteuil roulant elle passe ces journées à lire . Elle va sauver Alexandre, un orphelin juif, retrouver inanimé dans le garde manger . Il sera embauché dans le cirque et naîtra une amitié forte entre Léna et Alexandre.



J’ai adoré ce premier roman qui se déroule durant la seconde guerre mondiale, au sein d’un cirque itinérant magnifique. J’en ai pris plein les yeux, je me suis projeté avec les personnages. Que se soit les costumes ou les numéros joués tout est décrit pour une immersion totale . Les trois personnages principaux que nous suivons dans le livre , Lena, Théo ( le papa de Lena) et Alexandre sont attachants. J’ai eu un coup de cœur pour Lena , cette petite fille fragile qui va s’émanciper pour devenir une femme courageuse et déterminée. Son papa Théo est sur protecteur, ayant perdu sa femme à la naissance de sa fille il est prêt à tout pour elle . Alexandre quand à lui est un jeune homme observateur avec un caractère fort et un passé compliqué. J’ai dévoré ce livre, la plume de l’autrice est fluide, les chapitres défilent à grande vitesse. C’est un roman brillant, où la magie se mêle à l’Histoire.
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La Fille de l'illusionniste

Cette histoire qui est divisée en trois parties bien distinctes est très touchante... J'ai adoré découvrir la vie de Lena et son père Théo à l'intérieur du Monde des Merveilles, un cirque itinérant. Les passages sur les coulisses bien que très peu nombreux, sont intéressants.



Lena est attachante et sa différence la fait se sentir à l'écart des autres enfants. Jusqu'à l'arrivée d'Alexandre et à l'amitié très forte qu'ils vont créer.



La guerre est bien présente à l'extérieur du cirque mais n'est pas mise en avant dans l'histoire.



J'ai trouvé la construction de l'histoire assez irrégulière avec des passages assez longs et d'autres trop courts et qui auraient mérité d'être plus développés.



Il est question de secrets et même si j'avais deviné le plus important, ça n'a pas gâché ma lecture.

J'ai passé un bon moment avec ce roman.
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La Fille de l'illusionniste

On commence par un prologue poignant ou on découvre la naissance de Lena et où on comprend très vite qu'il y a un souci. Des années plus tard, on retrouve Lena et son père Théo, un talentueux illusionniste dans le cirque, le monde des merveilles.

Lena est une enfant curieuse qui rêve de faire des études mais cette dernière est en fauteuil roulant et n'ose pas passer le cap à cause de son père surprotecteur et des enfants qui n'aiment pas trop la différence... Tout va changer le jour où elle va découvrir dans le train Alexandre, un jeu garçon qui essaye d'échapper à son passé.



Premier coup de coeur de l'année ❤️.

Cette histoire est incroyable, poignante, terriblement humaine et captivante !!

J'ai adoré voyager en train avec ce cirque et découvrir sa vie et les ambitions de chacun. On va passer par plusieurs étapes et évènements comme la seconde guerre mondiale. Il n'y a aucun temps mort et on tourne les pages avec frénésie pour découvrir ce que l'autrice a prévu pour Clara, Théo, Alexandre et Léna. C'est une histoire pleine de résilience, d'amour, d'entraide et le début d'une magnifique histoire d'amour 😍.

Dès les premières pages on comprend qu'il y a un secret de famille également et l'autrice distille savamment des petits indices mais la révélation finale sera dans les dernières pages!

Aucune fausse note, ce roman est tout simplement parfait et magnifique !



Tu aimes les héroïnes fortes, L Histoire et les secrets de famille? Ce livre est définitivement pour toi!!



Tu as déjà lu un livre avec le thème du cirque?



Produit offert pour collaboration commerciale non rémunérée.
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La Fille de l'illusionniste

J'avais si hâte de le lire après tant d'avis positifs mais pour moi ça ne sera malheureusement pas un coup de cœur. Je ne sais pas me l'expliquer mais j'ai eu beaucoup de mal à être émue par cette lecture comme si je n'étais pas vraiment plongé dans l'histoire. Était-ce le style d'écriture ? J'ai pourtant apprécié l'histoire mais certains moments m'ont semblé un peu trop...



On fait la connaissance de Léna qui atteinte de la polio ne sait pas marcher et est dans un fauteuil roulant. Elle vit avec son père Horace, illusionniste dans le train du cirque "Le monde des merveilles" et un jour Alexandre qui est juif, débarque dans ce train au début de la seconde guerre mondiale.



Pas mal de secrets que l'on découvre et l'histoire se déroule et est agréable à lire. Mais la partie sur les camps de concentration m'a déplu, l'horreur et les drames qui s'y passaient sont complètement mis de côté et je trouve que l'histoire perd en crédibilité même si je sais qu'il s'agit d'une fiction. J'étais en retrait et n'arrivait pas à m'attacher aux personnages malgré tout. C'est peut-être bête aussi mais malgré toutes les descriptions il m'était impossible d'imaginer ce foutu train/cirque lol. J'avais tout de même hâte de connaître leur destin et ce qu'ils étaient devenus. C'est donc pour moi une jolie histoire mais pour laquelle je suis passée à côté. Dommage mais ça arrive aussi...
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La Fille de l'illusionniste

Dubitative…

Je suis partagée entre deux sentiments : d’une part, j’ai aimé ce roman pour son plaisir de lecture, rapide, fluide ; d’autre part, je n’ai pas aimé la distorsion exagérée des éléments historiques de l’époque durant laquelle se déroule cette histoire qui aboutit à mon sens a une perte de crédibilité.

Le cirque est trop idéalisé, riche, beau, voyage de pays en pays dans un contexte de seconde guerre mondiale sans difficulté.

L’handicap de Léa sert de prétexte pour justifier la persévérance de l’héroïne à réaliser son ambition.

L’évasion des héros masculins d’un camp de concentration allemand semble trop simple et mal ficelée.

Les amateurs de roman de lucinda riley trouveront dans cette histoire une certaine similitude d’écriture, mais ça reste pour ma part une première rencontre mitigée.
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La Fille de l'illusionniste

Venez prendre place à bord de ce train, installez-vous et laissez vous transporter !



C'est avec un peu d'appréhension et une joie immense que je vous écris cette première chronique en tant que Flamboyante et que dire si ce n'est merci. Merci à aux éditions Faubourg Marigny pour ce premier roman bouleversant et touchant qui fut un coup de foudre instantané.

Dès les premières pages j'ai su que de 1. je ne sortirai pas indemne de ma lecture de 2. je n'allais pas pouvoir le lâcher des mains.

Au-delà de l'aspect esthétique du livre avec son incroyable couverture, le roman en lui-même est une pépite avec tout ce que j'aime : roman historique avec des secrets, des trahisons et de l'amour.



A l'aube de la seconde guerre mondiale, nous rencontrons Lena, 9 ans, fille du célèbre illusionniste tête d'affiche du cirque dans lequel elle vit. Sa vie est rythmée selon les arrêts du train, son univers se résume au cirque. Malgré son fauteuil roulant, Lena rêve de science, de liberté. L'arrivée d'un jeune orphelin juif Alexandre va tout remettre en question. Entre secrets, amitié, amour et complot nous suivons Lena et ce cirque itinérant.



Que dire si ce n'est que le personnage de Lena force le respect. C'est une petite fille qui voit grand, qui possède une soif d'apprentissage insatiable. J'ai adoré suivre son évolution tout au long du roman, la découvrir et se battre pour ses idées. Je me suis tout de suite sentie proche d'elle, de ses idées vivant à ses côtés ce voyage tourmenté entre amour, pleurs, amitiés et trahisons. Malgré tout ce qu'elle vit, elle reste, forte et ne se laisse pas abattre. Tous les personnages ont leur place dans l'histoire :certains sont attachants, d'autres pas du tout.



Une lecture puissante, captivante et envoûtante grâce à la magie de la plume de l'autrice provoquant ainsi un véritable torrent émotionnel où tous mes sentiments ont été mis à rude épreuve. Je remercie alors chaleureusement @amita_parikh pour ce roman. L'intrigue est parfaitement maîtrisée avec ces secrets et ce mystère ambiant.

J'ai été en complète immersion tout le long, imaginant parfaitement les décors, les paysages. Tout ce que je lisais se passait vraiment sous mes yeux comme si je le regardais.



L'univers du cirque est très bien exploité et j'ai adoré ce voyage à travers les différents pays d'Europe en ces temps sombres de l'Histoire.

Ce sublime roman porteur d'espoir véhicule des messages puissants, nécessaires : c'était beau et triste à la fois mais cela redonne espoir en l'humanité.



Puis vient la fin, la dernière page se tourne et on se dit wow. Alors, si vous aimez les romans historiques n'attendez-pas !


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La Fille de l'illusionniste

Au début des années 30, Lena Papadopoulos est une jeune fille de 9 ans qui mène une vie peu commune. En effet, elle vit avec son père, Theo, à bord d’un cirque itinérant qui sillonne l’Europe. Son père est l’illusionniste de la troupe. Léna quant à elle est atteinte de la polio. Cela ne l’empêche pas pour autant de rêver de sciences, de médecines et d’un avenir différent. Un jour, après que la guerre a éclatée, la vie de Léna va être bouleversée lorsque, Alexandre, va trouver refuge au bord du train. Cette rencontre va également bouleverser l’équilibre de la troupe du cirque.  

Après avoir eu des critiques dithyrambiques sur ce livre, je ne voulais qu’une seule chose le lire. J’avoue avoir eu du mal lors de la première partie. Je n’arrivais pas à me projeter et je le lisais pour lire sans réellement accrocher. J’ai trouvé cette première partie un peu longue. Mais une fois celle-ci passée, je n’ai absolument plus pu le lâcher ! L’histoire explore les thèmes de la différence, des rêves, de la tolérance, d’amour et d’amitié inattendue dans un contexte historique mouvementé. C’est un récit captivant qui dès les premières pages nous plonge dans une ambiance pleine de secrets. Le roman mêle habilement le contexte historique de la seconde guerre mondiale avec la transition vers l’âge adulte de Léna. La relation entre Léna et Alexandre va s’épanouir de manière sublime et cela va rajouter une profondeur émotionnelle à cette histoire. J’ai d’ailleurs eu un très beau coup de cœur pour le personnage de Léna qui malgré son âge à une maturité incroyable, une intelligence brillante et une force intérieure juste exceptionnelle. J’ai vraiment adoré cette lecture et je vous la recommande+++++. Elle nous réserve tous un tas de surprises qui font que nous sommes captivés du début à la fin. En tout cas, plus je découvre les romans Faubourg Marigny, plus je me dis qu’ils sont tous exceptionnels et les derniers que j’ai lus en tout cas, il était plus que nécessaire d’avoir des mouchoirs à portée de main.
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La Fille de l'illusionniste

Première parution Faubourg Marigny de l’année et c’est une très belle découverte : surprenante et touchante. C’est vrai que le thème du cirque du XXème siècle est assez exploité en littérature mais je vous assure que ce roman n’est pas celui auquel on s’attend. Surtout lorsqu’on ne relit pas le résumé, comme moi. Parce que non, ce roman n’est pas l’histoire d’un cirque.



C’est l’histoire d’une fillette en fauteuil roulant qui souffre de sa différence et de l’isolement qui en découle. C’est l’histoire d’une fillette avide de savoir et de connaissance mais surtout de reconnaissance et de liberté. C’est l’histoire de Léna, la fille de l’illusionniste Théo. Le début du roman est très contemplatif, atmosphérique et intimiste pour nous permettre de cerner pleinement le personnage, ses ambitions et ses limites. De la profonde solitude naît un farouche besoin de compagnie et un farouche besoin de faire ses preuves. Elle trouve du réconfort et du courage auprès d’Alexandre, un orphelin en fuite. Leur amitié est aussi pure et sincère que l’innocence de l’enfance, mais aussi solide et indéfectible qu’un roc. Rien ne peut la détruire, ni les trahisons, ni le temps qui passe. Le destin de ces deux enfants ne laisse clairement pas indifférent, les émotions nous serrent le cœur au point d’en avoir le souffle coupé.



L’histoire est simple mais absolument captivante et surprenante. Le contexte historique au départ occulté par la vie itinérante du cirque, nous rattrape de plein fouet. Le roman prend alors une autre dimension, plus terrifiante et enrichissante mais tellement plus poignante. J’aime les fictions historiques et j’ai trouvé celle ci particulièrement bien menée notamment parce que l’autrice entretient le mystère autour de ses personnages. Les secrets de famille sont les meilleurs moteurs d’une fiction, ce sont eux qui nous font tourner les pages et ici on en a pour notre argent notamment grâce au secret de Théo. Dès le prologue, l’autrice nous appâte avec mais c’est pourtant dans la toute fin qu’il nous sera dévoilé. Je l’avais pour ma part découvert mais les sentiments qui vont de pairs m’ont tout de même touchée. Après cette ultime révélation on se surprend même à rêver d’un happy end mais notre voeu sera il exaucé ? Pour le savoir, il faudra lire ce roman !



Une très belle fiction historique.
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