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EAN : 9782957581801
318 pages
Auto édition (30/11/-1)
4.09/5   16 notes
Résumé :
« Je ne pensais pas que quelqu’un puisse m’aimer autant, moi l’arbre planté au milieu des vignes. Pourtant, une fillette me contemplait chaque été. Par un beau matin ensoleillé, devenue une jolie jeune femme, elle est apparue avec son fiancé. Elle lui parlait de moi avec une tendresse infinie. Je les ai aperçus souvent, faisant mille projets. Puis un jour, elle est revenue seule, dévastée, ne m’accordant plus franchement d’intérêt. Elle ne cessait de pleurer. Les pr... >Voir plus
Que lire après Il faut toujours se dire au revoirVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (17) Voir plus Ajouter une critique
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Je viens de terminer ce livre dans le cadre du Prix des Auteurs Inconnus 2022 – catégorie littérature blanche.
Une histoire triste
C'est un très beau témoignage que nous livre l'auteure. Très jeunes, Emma et Thomas se rencontrent et c'est le coup de foudre, il s'aiment et vivent leur amour intensément. au niveau des études et de la vie tout leur réussit. Malheureusement, Thomas, passionné de moto, se tue alors qu'ils commençaient les préparatifs de leur mariage.
Emma se retrouve seule, elle est effondrée et nous fait vivre le calvaire qui est le sien, elle nous livre ses pensées, son désespoir, ses problèmes administratifs, sa solitude. Thomas reste présent dans ses pensées à chaque moment de son existence, elle se confie à son petit cahier bordeaux.
C'est un gros travail de résilience qu'elle va avoir à faire, épaulée par sa famille et ses amis. Comment va-t-elle remonter la pente ? elle est descendue bien bas.
Je vous invite à lire ce livre.
C'est un beau récit, il est autoédité ce qui explique les petites maladresses de style que l'on peut rencontrer, mais le contenu est tellement profond qu'on les oublie.
Ce texte m'a profondément émue, il est difficile d'admettre le décès d'un jeune homme de 25 ans, mais malheureusement ça arrive, personne n'est à l'abri d'un accident, laissant derrière lui famille, conjoint, amis dans le chagrin.
C'est un calvaire qu'a vécu Emmanuelle mais son récit est une belle ode à l'amour et à la résilience.
Livre lu pour le Prix des auteurs inconnus 2022 :
https://www.prixdesauteursinconnus.com/
https://www.facebook.com/prixdesauteursinconnus/
https://twitter.com/prixdesai
https://www.instagram.com/prixdesauteursinconnus/
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#Prixdesauteursinconnus2022
#PAI
#PAI2022
OUVRAGE SÉLECTIONNÉ DANS LE CADRE DU PRIX DES AUTEURS INCONNUS 2022 – Catégorie LITTÉRATURE BLANCHE dont je suis l'un des jurés.

En préambule, je précise que l'extrait de ce livre soumis à notre sagacité au début du processus de sélection n'avait pas vraiment retenu mon attention. Cet extrait ne figurait donc pas dans mes sélections. Pourquoi ? La faute sans doute à un titre trop long, à une couverture trop fade qui ne m'a pas émue, à une 4e de couverture un peu scolaire et mal mise en page, donnant la parole à un arbre (ce que je n'avais pas compris d'emblée) mais qui, pourtant, avait le mérite d'informer sur le thème : il s'agit d'un récit de vie d'une jeune femme, Emma, qui a perdu un être cher. Et puis, ouvrir le livre par l'évocation « en live » de ce que vit et ressent l'intéressée le jour des obsèques de l'être aimé (son concubin Thomas âgé de vingt-cinq ans) m'a attristée et m'a quelque peu rebutée : cela ne m'a pas tellement donné envie d'en savoir plus…

Et puis, le hasard a voulu que ce titre soit « repêché » car l'un des finalistes présélectionnés n'avait finalement pas respecté les règles, ce qui m'a permis de découvrir ce livre dans son intégralité. Et grand bien m'en a fait, car parmi mes réflexions j'avais initialement noté : « c'est correctement écrit mais cela reste sans âme ». le reste de l'ouvrage m'a clairement démontré le contraire : Emmanuelle, personnage principal de ce « roman autobiographique » et auteure de l'ouvrage a, au contraire, tenté (et réussi) de mettre son âme à nu pour nous faire partager, à nous lecteurs, son histoire et son ressenti face à l'inéluctable, à savoir comment elle est parvenue à survivre, puis à vivre, face à la perte incommensurable qui l'a affectée, à seulement vingt-trois ans.

MES COMMENTAIRES SUR LE FOND
Personnellement et professionnellement, j'ai toujours été convaincue du rôle thérapeutique de l'écriture de soi. J'ai, à plusieurs reprises, pu le vérifier soit dans ma pratique en accompagnant des auteurs, soit dans mes lectures car, en matière littéraire, mon genre de prédilection est le témoignage ou le récit de vie. Aussi, je ne peux ici que saluer l'exercice difficile et délicat auquel Emmanuelle Schaedele-Giroire, avec l'aide de son amie Caroline Gaynes, s'est astreinte pendant de longs mois afin de parvenir à ce résultat : mettre à la disposition des lecteurs un livre clair, vivant et particulièrement émouvant, à la fois descriptif et narratif, évoquant certes sa propre histoire, son vécu, son ressenti (et par-là même l'aidant à clore un chapitre de sa vie) mais ayant valeur universelle, par la force et la teneur des messages qu'il renferme.
Rares sont, en effet, des témoignages de cette nature car, dans la vraie vie, il est rare que la mort touche des personnes si jeunes et encore plus, de façon si violente. Comment, en effet, comprendre l'injustice d'une mort absurde qui s'est jouée à quelques minutes près ? Comment intégrer l'idée même de mort lorsqu'on a vingt-trois ans ? Comment accepter la perte de son alter-ego lorsqu'on est un couple fusionnel qui s'est construit dès l'adolescence ? Comment envisager l'avenir dès lors qu'il s'est obscurci de façon indélébile ? Comment faire face aux obligations, à la dépression, à la solitude, et même à la sollicitude et à la pesante présence de ses proches et de ses amis ? Comment comprendre et accepter l'absurdité des tracas administratifs qui va la priver du peu qu'elle a construit avec son conjoint ? Au travers des propos d'Emmanuelle, le lecteur comprend, vraiment, de l'intérieur qu'il s'agit pour l'auteure, ni plus ni moins, de faire RESET de son ancienne vie pour envisager d'écrire la nouvelle matrice de sa vie à venir. Mais, on le verra, c'est plus facile à dire qu'à faire ! L'auteure évoque donc, dans un style très vivant, avec de nombreuses descriptions sur son environnement, sur les contextes traversés, les personnes rencontrées, les difficultés qu'elle doit assumer son cheminement au travers les différentes étapes de son deuil. Mais aussi, son cheminement vers un âge adulte clairement assumé dès lors que la vie l'a contrainte à se libérer du cocon par trop protecteur de son « bébé couple ».

C'est donc un livre triste car il nous plonge, nous lecteurs, dans l'intimité d'un deuil qui n'est pas le nôtre mais dans lequel tout un chacun peut se reconnaître et s'identifier. Ainsi, si au départ, je lisais les premiers chapitres avec le détachement de l'adulte d'une soixantaine d'années qui a vécu et qui en a vu d'autres, assez rapidement les larmes ont coulé – plus fortes que je ne l'aurais souhaité – tant je me suis identifiée à Emmanuelle, petite fille perdue dans un monde qui l'a privée de son amour.

Mais c'est aussi un livre joyeux, car la dernière partie du livre montre, qu'avec le temps, il est possible non pas d'oublier, mais de se reconstruire tout en donnant et en recevant beaucoup d'amour. Et par-là même, riche de cette expérience unique et douloureuse, d'être une adulte attentive à une vraie qualité de vie et à des relations interpersonnelles authentiques.

MES COMMENTAIRES SUR LA FORME
Le livre, paru en autoédition, se compose de 318 pages. Il se découpe en différentes parties écrites au temps présent et narrée par le pronom personnel « je ». Une première partie intitulée « Notre vie, avant » débute par un prologue qui annonce la couleur : il s'agit d'entrer de plain-pied dans la journée des obsèques (le 20 novembre 2007). Puis, elle se décline en chapitres alternant à la fois l'évocation des événements passés et celle des événements présents. On y découvre la rencontre d'Emma (seize ans) et de Thomas (dix-huit ans) à l'occasion de leur premier job d'été (juillet 2000), les premiers émois, le premier rendez-vous, leurs premières amours, les premiers voyages, leur décision de vivre ensemble, de se fiancer, puis de se marier (mariage programmé le 9 mai 2009). À ces chapitres idylliques, vivants et souriants (particulièrement bien décrits et dialogués) s'oppose la brutale réalité du temps présent, avec l'annonce du décès de Thomas (survenu le 13 novembre 2007), l'organisation des obsèques, le déroulement de la cérémonie, l'impossibilité pour Emma de faire face et sa descente aux enfers. Une première partie qui souffle donc le chaud et le froid pour le lecteur, à l'image de ce que l'auteure a eu à vivre. Comme elle le dit, elle n'a pas eu le temps de se marier qu'elle est déjà veuve !

Le seconde partie intitulée « Ma vie, après » est organisée de façon différente : il s'agit d'une succession de courts chapitres introduits, chaque fois, par une citation inspirante. Citations dont on comprend qu'elles ont pu accompagner l'auteure dans son cheminement progressif vers la lumière et vers son nouveau destin. À moins qu'elles n'aient été choisies a posteriori pour éclairer le propos des chapitres. le texte est au présent. Elle revient sur l'après-annonce et sur les démarches entreprises (ici, je me suis étonnée du non-respect de la chronologie) mais cela ne gêne pas la fluidité de la lecture. Comme elle, on y fait la découverte des circonstances de la mort de son concubin et on découvre, ébahis, toute l'absurdité de l'administration française quand il s'agit de procéder à la « succession ». Comme dirait l'autre : « Nul n'est censé ignorer la loi » et l'auteure, en évoquant ce contexte difficile, tient à faire oeuvre utile vis-à-vis de son lectorat car, on n'est jamais suffisamment préparé. Dans cette partie, Emma trouve refuge dans l'écriture et tente, à trois reprises, de se faire accompagner (on verra comment) par des professionnels pour l'aider à se sortir de son marasme. Elle sera plus dans l'action : voyages, changement de travail, nouvel appartement. C'est toujours aussi vivant (émotions, contextes et décors particulièrement bien décrits), même si dans cette partie, on trouve moins de dialogues. Emma fait l'expérience d'un chemin de vie solitaire mais qui témoigne de toute sa force de résilience : « J'ai côtoyé la grande faucheuse. Elle m'a broyée littéralement, mais elle ne m'a pas achevée ».

Sur le plan formel, je soulignerai également l'apport, en différents endroits, de textes en italiques qui sont soit des textes écrits par Emma à Thomas, avant et après sa mort, soit les textes lus durant les obsèques, soit des textes de chansons appréciées (et envisagées à l'occasion du mariage programmé). Cela nous rend les protagonistes encore plus proches de la réalité de nos vies. Je soulignerai également la qualité de l'écriture, de la syntaxe et de la correction orthographique (très peu de coquilles constatées).

L'épilogue nous permet de retrouver l'auteure treize années plus tard. Elle évoque très succinctement sa nouvelle vie et souligne la nécessité de « toujours se dire au revoir ». Elle conclue par ces phrases : « Il faut toujours croire… Croire en ses rêves, croire en la vie, croire en les autres, croire en soi, croire en l'amour… Croire en ces mots : simplicité, humilité, sincérité, confiance. […] La vie est belle, elle mérite de se relever. »

Démarche intéressante : en fin de livre, Véronique sa maman, Philippe son papa, Sylvie sa fidèle amie, Fabien son fidèle ami et frère de coeur témoignent, chacun à leur tour, sur la façon dont ils ont perçu les événements et ce qu'ils ont tenté de mettre en oeuvre pour aider Emma, mais aussi leurs regrets de n'avoir pu faire plus, faire mieux. Un angle de vue différent et utile sur le ressenti des proches qui, bien qu'également concernés et impliqués, n'ont pas souvent voix au chapitre. C'est suffisamment rare pour être souligné ici.

En guise de conclusion, je vous recommanderai de lire ce livre si vous aimez lire des histoires vécues, des histoires de résilience, mais de l'éviter si vous êtes dans une phase de fragilité car ce qu'a vécu l'auteure reste douloureusement triste et terriblement injuste. Pour peu que vous soyez sensible et émotive comme je le suis, il vous laissera une vraie empreinte dans le coeur.

Pour commander ce livre :
Il faut toujours se dire au revoir - broché - Emmanuelle Schaedele-Giroire, Caroline Gaynes, Valérie Assirvaden - Achat Livre | fnac
Liens :
Site PAI 2022 : https://www.prixdesauteursinconnus.com/
Page Facebook : https://www.facebook.com/prixdesauteursinconnus/
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Lecture dans le cadre du @prixdesauteursinconnus sélectionné 2022
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J'ai lu ce livre dans le cadre des sélections du PAI, et dés le titre on comprend que le sujet sera triste. L'histoire est celle de Emma et Thomas, deux jeunes adultes, une belle histoire d'amour. Ils se sont connus adolescents et arrivés à 25 ans vont voir tous leurs projets balayés d'un revers de main par la mort accidentelle de Thomas.
Je salue le travail de l' auteure dans sa volonté de nous livrer son histoire, et de l'utiliser comme expérience pour aider ceux qui vivent un deuil. Cela nécessite beaucoup de courage, mais aussi beaucoup d'amour dans le partage de ce terrible évènement. le roman autobiographique qui s'articule en deux parties, la première évoquant leur vie avant le drame, l'autre lié à la reconstruction d'Emma. Dés le début les chapitres s'alternent entre passé et moment de l'accident, on suit parfaitement l'histoire, mais plus on avance et plus on est gêné par deux formes très différentes d'écriture. Un récit très candide et jeune, celui de leur rencontre dans un style assez maladroit, et un style plus travaillé presque poétique pour exprimer le ressenti d'Emma le jour des funérailles. Les personnages même les plus importants n'ont pas beaucoup de volume. La seconde partie est plus uniforme au niveau du style, moins poétique, plus maladroite.
Les thèmes abordés sont le deuil et la capacité à reconstruire sa vie après cette épreuve. Une belle histoire qui pourrait être reprise et améliorée au niveau de l'écriture.

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Emma et Thomas sont de jeunes adultes. Ils se sont rencontrés alors qu'ils étaient adolescents, se sont aimés, vont se marier; ils ont la tête pleine de projets qui seront anéantis par le décès accidentel de Thomas, à l'âge de 25 ans.
Dans ce livre, Emma narre la rencontre, les belles années de bonheur, le deuil et la façon dont elle s'est relevée de cette épreuve.
La démarche est courageuse, ce témoignage émouvant est certainement très utile à l'autrice, mais aussi à son entourage, ainsi peut-être qu'à d'autres personnes qui seraient confrontées à un veuvage précoce.
Toutefois, il faut admettre qu'un bon nombre de choses perturbent la lecture: outre le style qui est quasi scolaire, maladroit, certaines phrases ont une syntaxe étrange, il subsiste quelques fautes d'orthographe et la mise en page de l'ebook est très approximative.

En résumé, cette autobiographie, lue dans le cadre du Prix des Auteurs Inconnus 2022, est touchante, mais devrait être sérieusement remaniée afin de montrer son potentiel.

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Livre reçu dans le cadre du "Prix des auteurs inconnus" dont j'ai l'honneur d'être membre du jury dans 2 catégories.
Plus d'infos :
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Je découvre cette autrice et ce titre autobiographique, qui est tout à la fois poignant, une leçon de vie et une ode à la vie .

Comment vous donner envie de le lire sans divulgâcher l'histoire ?
Car l'autrice est restée très elliptique et même élusive dans son 4ème de couverture.

C'est l'histoire d'un "bébé-couple", fusionnel, composé d'Emma et Thomas, qui voit son idylle et son destin se fracasser brutalement, par la mort accidentelle de Thomas.

Oui c'est une histoire triste.
Ce témoignage vous fait passer par les différentes étapes du deuil, avec pudeur et sans exhibitionnisme.

Les personnages et leurs caractères sont attachants.
Leurs psychologies très bien décrites.

Au niveau du style, la 1ère partie nommée "Notre vie, avant" est rythmée par des chapitres en deux temps.
Un flashback du passé (pour nous décrire la naissance et la progression de leur amour et de leur bonheur) suivi d'un retour au présent (pour décrire la souffrance du malheur présent).
Cette alternance bonheur/malheur permet d'adoucir la tristesse du récit
La 2nde partie nommée "Ma vie, après" est tournée vers le présent et le futur, les étapes reconstructives du deuil.

Croyez-moi, vous sortirez grandi de cette lecture.
Dois-je préciser que je vous en conseille la lecture ?

Livresquement votre
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Citations et extraits (4) Ajouter une citation
Un énième réveil, douloureux.
Première pensée matinale, replay automatique qui me détruit à petit feu, tu n'es plus là.
Tous les soirs, je laisse ta place vide dans le lit, dans l'espoir de la retrouver occupée le lendemain. Hélas, la solitude a pris l'espace en otage. Au contact de ma main posée sur l'oreiller délaissé, c'est toujours le même constat, il est froid. Je donnerais tant pour sentir une nouvelle fois ton odeur, te serrer dans mes bras. Je dois me faire à l'idée, personne ne te ramènera.
Certains jours, la douleur est tellement vive qu'elle m'empêche de me lever. Dormir est devenu mon refuge, le seul moyen pour ne pas sombrer dans la folie. Le monde ne trouve plus grâce à mes yeux. Impossible de modifier ce présent que je n'ai pas choisi, celui que le destin m'a imposé. Ce nouveau chapitre ne m'inspire rien.
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La vie de ceux que l'on aime est impossible à contrôler, on ne peut pas toujours rester à leurs côtés.. Il faut savoir laisser de la liberté, ne pas s'imposer. Aimer c'est donner, ce n'est pas emprisonner.
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Jamais je n'aurais pensé, et pourtant c'est arrivé...

Tous les jours à essayer,
A construire, réussir et projeter,
Imaginer un bel avenir,
Mais la mort l'a refusé.
Et pourtant je n'aurais jamais pensé.
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Si vous êtes assez courageux pour dire au revoir, la vie vous récompensera par un nouveau bonjour.
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