Une histoire assez drôle. On porte une veste qui nous appartient, on se fait une identité qui à la fin on se rend compte est difficile à porter, on hausse les épaules comme un vrai étranger.
L'écriture est influencé par l'état un peu confus du narrateur où la divergence d'esprit s'exprime à volonté. A côté du personnage de Camara, un peu farfelu comme un vrai zé=héros,
Williams Sassine nous plonge dans l'atmosphère qui a envahit la guinée et les pays environnants lors de la mort du grand PDG qui n'est autre que
Sékou Touré. Cette mort est apparu comme un vrai soulagement pour la sous-région.
D'ailleurs c'est en apprenant la mort du grand PDG que Camara, en exil, décide de son retour au pays natal qui est la guinée.