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sur 1647 notes
Lena vit dans un monde où l'amour est considéré comme la pire des maladies. Un monde où tous les jeunes subissent à leur majorité une opération du cerveau pour être immunisés. À quelques mois de ses dix-huit ans, Lena aspire presque à subir à son tour le Protocole car depuis toujours amour rime pour elle avec souffrance et danger. Jusqu'à ce qu'une rencontre inattendue fasse tout basculer. Avant, tout était simple, tout était organisé. Mais est-ce vraiment vivre que de laisser la société tout prévoir pour vous ? Vos amis, vos amours et votre avenir ? Imaginez qu'on vous prive de tout sentiment. Que la liberté ne soit plus qu'un vieux souvenir dénué de sens. Jusqu'où iriez-vous pour garder le droit d'aimer ?

Lauren Oliver développe une dystopie hors du commun, nous introduisant Lena qui se retrouve seulement à quelques mois de son opération. Durant ces dernières semaines, la principale protagoniste de cette lecture pense beaucoup à ce que deviendra sa vie après le Protocole, mais également aux différentes propagandes gouvernementales et aux diverses règles établies. Cette jeune fille est très perspicace et j'ai admiré la façon dont elle se battait intérieurement pour pouvoir penser sans contrainte et ressentir librement ses émotions, quel que soit le crève-coeur véridique ou les sacrifices pour y arriver.

Alex est une personne qu'on ne peut détester, avec ses innombrables contestations et son charisme indéniable. La relation qui les unit m'a énormément fait penser à celle de Roméo et Juliette : interdite, mais émotionnellement prenante ! Toutefois, la personne qui est rentrée directement dans mon coeur est celle incarnée par Hana. Avec ses idées bien trempées, elle est la rebelle incontestable de ce premier tome, mais elle est aussi excessivement loyale envers Lena. Quant aux autres personnages, ils sont tous identiques, n'ayant aucune personnalité propre et endoctrinés jusqu'à la racine.

La plume de Lauren Oliver est magnifique, mais surtout très crédible et pragmatique ! Au début, il est vrai qu'il ne se passe presque rien, mais la magie des mots choisis par l'auteure rend cette lecture fascinante et envoutante. D'un côté, cela est plus que normal car il faut bien poser l'univers de Delirium, qui est, au passage, riche en détails et en poésie. de plus, ce premier tome est passé comme une lettre à la poste grâce à sa simplicité et à sa fluidité. Enfin, les petits extraits de la littérature approuvée par le gouvernement au début de chaque chapitre donnent un ton bien particulier à ce qu'on apprit Lena et Hana depuis leur naissance. Bref, Lauren Oliver est vraiment une écrivaine de talent et je pense qu'elle était bien la seule et l'unique à pouvoir écrire une histoire inimaginable comme celle-ci, mais en la rendant plus que réaliste.

Conclusion, Delirium est plus qu'un énorme coup de coeur ! Si vous n'avez pas encore commencé ce premier opus, vous devriez vous hâter rapidement car ce magnifique univers n'attend que vous pour être découvert et, pourquoi pas, en subir ses ravissants effets. Naturellement, j'ai déjà lu la nouvelle intermédiaire, exclusivement concentrée sur le point de vue d'Hana, qui est une véritable petite merveille également, et j'ai déjà jeté mon dévolu sur le second tome.
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Dans un futur plus ou moins proche, l'amour est considéré comme la plus dangereuse des maladies. C'est dans ce monde qu'est née Lena. Âgée de dix-sept ans, la jeune fille attend avec ...
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Très agréablement surprise par cette dystopie. J'ai beaucoup aimé les personnages et l'intrigue
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J'ai adoré ce premier tome de la série Delirium. J'ai trouvée cette lecture entraînante, addictive a tel point que je l'ai lu en une journée seulement !

Il s'agit d'une dystopie où l'amour est considéré comme une maladie, et tout ce qui pour nous sont des signes d'amour sont ici les symptômes de la maladie la plus grave qui puisse exister.

L'héroïne de cette histoire, Léna, commence à se poser des questions juste après sa rencontre avec Alex et va découvrir que le monde dans lequel elle vit n'est peut-être pas la seule alternative et qu'il y a d'autres personnes qui vivent au delà des frontières de son monde.

J'ai bien apprécié les personnages que j'ai trouvé bien écrit et avec ce qui faut d'approfondissement. On se sent proche Lena, d'Alex et de Hana...

L'auteur à réussi à nous communiquer leurs sentiments les plus enfouis : on ressent leurs craintes, leurs envies, leurs passions, leurs ressentiments.

J'ai trouvé que la plume de de l'auteur était fluide,à la limite parfois de la poésie(avec son hylne à l'amour crié avec conviction par Alex). le rythme est un peu lent au début, mais les nombreux rebondissements et révélations nous entraîne dans un rythme de lecture effréné.
Aussi, un des point d=fort de ce livre est que dès le début on est embarqué dans le monde décris par l'auteur.

Le petit bémol pour moi est la fin. Je ne sait pas trop quoi en penser. D'un côté elle finit sur un rebondissement inattendu et perturbant et de l'autre je m'attendais un peu à cette possibilité.

Je conseillerais ce premier tome à tout ceux qui veulent commencer par une dystopie très bien écrite qui vous emporte dans son monde sans vous embarquer dans l'absurde !
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Si Delirium surfe sur la vague des séries pour ados et jeunes adultes comme Twilight ou Divergente, il a son style et son univers propres!

L'histoire nous transporte aux USA, dans un futur où les êtres humains n'ont pas le droit d'aimer. A dix-huit ans, les ados passent un examen médical puis subissent une intervention proche de la lobotomie... Léna, lycéenne, est à deux doigt de passer cette visite tant redoutée et attendue à la fois... Sa vie est programmée et elle semble résignée, presque heureuse de son sort... C'est sans compter sur le hasard qui lui fera rencontrer un beau jeune homme qui va bouleverser le cours des événements.

Premier tome de la série, Délirium est un roman bien construit qui aborde des thèmes universels comme l'amour ou l'amitié mais pousse aussi les lecteurs à réfléchir au quotidien d'adolescents vivant sous un régime totalitaire où seules les activités contrôlées par l'Etat sont autorisées...

Franchement, une réussite!
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Delirium est une trilogie de science-fiction. L'histoire se déroule dans le futur, dans un monde où l'amour est considéré comme la pire des maladies, et où les personnes sont restreintes à beaucoup de règles après le protocole (qui est une opération qui permet de libérer chaque personne de cette maladie avant qu'elle ne se développe), et qui interdit tout contact physique avec une personne du sexe opposé hormis la famille avant l'opération.
Le personnage principal s'appelle Lena, elle a bientôt 18 ans. C'est une adolescente orpheline banale. Elle a hâte de subir le protocole, mais lorsqu'elle passe son Evaluation qui est un test qui déterminera ce qu'elle devra faire après le lycée, elle fait une rencontre qui changera toute sa vie.

Dans les premières pages, ce livre ne me plaisait pas vraiment car le cadre futuriste ne m'intéresse pas tellement et que les personnages n'étaient pas très accrocheurs. Puis, au fil des pages, l'histoire devenait prenante, j'avais envie de connaître la suite et Lena est une personne à qui on peut s'identifier par sa simplicité.

ZP

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Ce roman parle d'une adolescente qui vit dans un monde ou "l'amour est interdit", tomber amoureux est considéré comme une maladie très grave qu'il faut soigner par une opération dès le jour de ses dix-huit ans. Ce livre va se concentrer sur la vie d'une jeune adolescente dont la vie va être bouleversée par une rencontre. Ce roman est du genre de la science-fiction.
Le personnage principal est une fille, Léna, âgée de dix-sept ans. La maladie de l'amour lui fait peur et il ne lui tarde qu'une seule chose : le jour de ses dix-huit ans pour se faire opérer de cette "terrible" maladie. C'est une adolescente entêtée et courageuse qui va vivre de dures péripéties au long de ce roman. C'est une belle fille aux cheveux châtains avec un fort caractère.
Je conseille de lire ce livre, surtout pour ceux qui défendent la liberté d'aimer car tout d'abord ce livre nous montre le combat d'une adolescente tombée amoureuse d'un jeune homme qui va se battre face à la justice et au reste de son monde pour préserver son histoire d'amour avec le jeune garçon, on peut retenir de ce livre que l'amour est plus fort que tout. Je conseille bien évidemment ce livre aux romantiques.
Puis, je le conseille aussi car mis à part le fait que c'est un roman qui parle d'un combat lié à une histoire d'amour, c'est aussi un roman qui dénonce le non-respect de la liberté d'expression et d'agir comme chacun le souhaite mais aussi l'injustice de cette jeune fille qui doit cacher sa relation amoureuse avec un garçon pour ne pas être considérée comme "atteinte d'une maladie grave : être tomber amoureux". LC


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Léna vit dans un monde où l'amour est considéré comme la pire des maladies. Une maladie qui peut affecter n'importe qui, n'importe quand. Une opération du cerveau permet au gens de ne plus ressentir de sentiments.
Léna va avoir 18 ans, âge où l'on subit « la Procédure ». Elle attend ce moment avec impatience car elle ne veut pas finir comme sa mère. Malgré trois opérations, cette dernière ressentait encore de l'amour et a fini par se suicider. C'est en tout cas ce que lui a raconté sa tante, qui l'a élevée.
Le jour de son opération, un incident survient et le début de sa nouvelle vie est repoussé. Ce contretemps laisse à Léna le temps de rencontrer un garçon étrange et de découvrir les sentiments dont l'opération la privera. Elle découvre également que certaines personnes refusent la « Procédure » et vivent comme des fugitifs.

Un roman dystopique très bien écrit. J'ai eu un peu de mal à m'attacher à Léna, l'héroïne. Je la trouvais trop « gentille » et soumise à sa tante. Malgré tout, sa copine un peu plus rebelle la pousse à réfléchir. Elle met quand même beaucoup de temps avant de comprendre qu'elle a des sentiments pour ce garçon étrange qu'elle rencontre et qui lui fait découvrir des sensations inconnues.

Il y a quelques longueurs dans le roman mais il est agréable à lire. Comme souvent dans les premiers tomes de série, l'action, la vraie, se passe à la toute fin pour nous donner envie de lire la suite. C'est le cas ici, Léna prend une décision qui a de graves conséquences et on se demande, en refermant le roman, si elle pourra les assumer.

A suivre donc…
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Dans ce premier tome nous rencontrons trois jeunes plutôt attachant alors que les autres protagonistes paraissent ne faire que passer là ceux qui on subi le protocole paraissent froid.
Tout d'abord nous voyons Lena une jeune fille timide et peu sure d'elle que sa rencontre avec Alex et ses aventures vont complètement métamorphoser.
Elle est aussi passionné par la course une passion quelle partage avec sa meilleur amie Hanna.
Hanna est une fille enjoue et plutôt sure d'elle issue d'une famille aisée, elle est pourtant très consciente de la réalité du monde dans lequel elle vie. Elle a tendance à mettre en doute la raison d'être du protocole.
Les deux jeunes filles vont faire la connaissance d'Alex un garçon majeur dont l'apparence et les convictions vont ébranler le monde des jeunes filles.

Lauren Oliver créait un univers plutôt psychologique plaçant ce monde dans une ville préexistante. Dans un premier temps elle nous présente un monde qui parait tout a fait normal puis prend un aspect déshumanisé et angoissant. L'univers est très bien défini dans les premiers chapitres. Ensuite viens le moment ou l'action démarre et ou l'on voit le cote dystopique encore plus accentue par la présence en début de chapitre de texte fondateur de la société ou vie Lena.
Certains passages de la vie de tous les jours créés des temps mort assez rare qui peuvent un peu ralentir la lecture. A contrario certain chapitre et la petite taille ceux ci créé un effet plus rythmé. de plus le vocabulaire assez simple rend la lecture très accessible.
La fin de l'histoire et certain fait sont assez inattendu et pousse le lecteur a poursuivre la lecture.


En bref un premier tome avec des personnages qui m'ont parfois un peu énervé surtout Lena mais avec un univers très bien défini et simple à appréhender. le récit manque un petit peu de rythme mais les rebondissements sont savamment dosés. Un premier tome que je conseille vivement pour un bon moment de détente.
Lien : http://demone-allouqua.blogs..
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En un mot ( ou plutôt en un onomatopée ) : Ouah.

Lauren Olivier est vraiment forte. Elle a trouvé un sujet original; Et j'aime certaines de ces citations, vraiment poétique. L'histoire est conjuguée au présent ( je n'étais pas trop habituée ).

Au début, je trouvais que ça manquais un peu d'action. Je n'étais pas "à fond dedans". Mais arriver à une centaine de pages, c'est devenu...fascinant. Quant à la fin, elle est tout simplement belle. Triste, mais belle au point de me donner envie de pleurer.
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Sans être mauvais, ce roman ressemble à beaucoup d'autres dystopies du même genre. L'idée de départ fait d'ailleurs penser à la série Uglies qui est pourtant beaucoup plus originale. Cela dit, les amateurs de dystonpie qui trouvent le résumé accrocheur passeront un bon moment, car ce roman est un excellent divertissement et il se lit très bien et très rapidement.
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