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3,95

sur 1647 notes

Tris de Divergent - Juliette d'Insaisissable - Cassia de Promise et évidemment Katniss d'Hunger Games......
Autant d'échos résonnant en moi à la lecture de Delirium, autant de doubles, de soeurs et de reflets de Lena......

Un sentiment pesant et lassant de "déjà-lu", de "déjà-vu" planait sur mes yeux et mon esprit , et la sensation copié-collé de ces innombrables distopies commençait de m'ennuyer.....
Un monde dirigé, contrôlé.... une héroïne brimée, mais qui va se rebeller contre un système rigide..... deux mondes coupés, un réglementé, l'autre banni parce que non maîtrisé.... des mensonges....
oui,bon, d'accord......

Et puis, le miracle de la prose de Lauren Olivier a gommé ma déception du début et m'a prise au coeur.... L'intensité et la puissance de l'intrigue m'a frappée de plein fouet, comme des braises qu'on ravive, comme un feu qui s'enflamme.....
Tout est vibrant, puissant, fébrile.... le style percutant et débordant d'émotion..... impossible de ne pas tomber malade de la déliria en lisant le bel amour qui naît entre Alex et Léna.... impossible de ne pas trembler devant la recherche de la vérité, le combat de l'amour des personnages, l'envie de vivre ivres de liberté avec le coeur gonflé de passion et de tourment, ce que le Protocole promet d'éradiquer.....

Une ode magnifique à l'amour avec une fin qui m'a nouée le ventre et fait monter les larmes aux yeux......
Je suis malade... J'ai la deliria nervosa...
et tant mieux...
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Au début de ma lecture, je dois dire que j'avais un peu peur, je trouvais l'ensemble assez lent, et l'idée d'une opération au cerveau subie à un certain âge me faisait penser à « Uglies » de Scott Westerfeld. Mais heureusement, la comparaison s'est arrêtée là, et au bout de 200 pages, l'intrigue a commencé à décoller, j'ai été peu à peu prise dans l'histoire, pour finir haletante au moment de tourner la dernière page.

De plus, j'ai apprécié l'univers dystopique mis en place par Lauren Oliver. On sent bien l'aspect autoritaire du régime dans lequel vivent les personnages, avec les Régulateurs qui surveillent les citoyens et les vigiles qui gardent les frontières. L'aspect « propagande » est également très présent avec le fameux « livre des trois S », qui est à la fois un manuel de conduite et un guide spirituel. J'ai beaucoup aimé la manière dont la religion a été adaptée, avec l'histoire d'Adam et Eve détournée à la convenance du régime. C'est donc un univers intéressant et cohérent, le lecteur se sent oppressé et en danger. J'ai maintenant hâte d'en savoir plus sur la Nature, le territoire qui se trouve au-delà des frontières.

L'amour est au centre du roman, alors qu'il est interdit et que les autorités s'efforcent de l'éradiquer. Finalement, l'auteur nous amène à nous poser certaines questions : Vaut-il mieux se passer d'amour pour éviter les souffrances qui lui sont liées ? Est-ce que le fait de ne plus ressentir de douleur vaut la peine de ne plus ressentir la moindre émotion ? Lauren Oliver nous rappelle ainsi que oui, l'amour est souffrance, doutes, angoisses, mais qu'il est impossible de s'en passer. de même, la romance qu'elle nous propose est assez jolie, même si j'aurais aimé qu'elle soit un peu plus développée.

Le personnage de Lena est plutôt attachant. C'est une jeune fille à qui l'on a appris à penser d'une certaine manière, mais la personnalité à part de sa mère lui a tout de même donné un regard différent. Il faut seulement qu'elle cesse d'avoir peur, ce qu'elle apprend à faire au fil de ce roman. Ainsi, sous la surface lisse se cache une jeune fille passionnée et audacieuse, pleine d'émotions qui couvent en elle. Elle se découvre courageuse, et sa révolte fait plaisir à voir. Elle nous montre ainsi que, quelles que soient nos conditions de vie, nous avons toujours le choix, nous pouvons décider de notre destin.

Les autres personnages sont beaucoup moins développés, et c'est dommage. J'aurais aimé connaître davantage Alex, qui se livre peu, Hana, ou la petite Grace. Ils ont du potentiel, mais j'aurais aimé qu'ils soient un peu plus creusés.

L'écriture de Lauren Oliver est agréable et efficace. Elle est douée pour planter des décors et décrire des paysages, mais aussi pour transmettre les émotions. Je n'ai pas eu l'impression que le langage soit trop pauvre ou familier, c'est agréable dans un roman jeunesse.

Ainsi, après des débuts un peu poussifs, ce roman révèle un univers très intéressant et une intrigue qui devient peu à peu haletante, avec une réflexion sur l'amour et les souffrances qui lui sont liées. Il manque un peu de profondeur, notamment au niveau des personnages secondaires, mais j'ai désormais très envie de lire la suite.
Lien : http://romans-entre-deux-mon..
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Alors peut-être que j'en attendais trop de ce livre, ou bien peut être l'ai-je lu au mauvais moment, quoi qu'il en soit, la magie n'a pas beaucoup fonctionné sur moi.

Le récit nous est raconté par Lena, qui compte impatiemment les jours qui la sépare de sa délivrance, du fameux protocole qui guérit de l'amour, et rend les gens insensibles à tout, et surtout incapables d'aimer. J'ai trouvé ce truc franchement terrifiant, surtout quand lena nous explique que les parents ne ressentent rien pour leurs enfants, qu'ils ne les prennent pas dans leur bras, qu'ils ne les consolent pas, ils n'ont pas l'instinct de protection, clairement, il n'en ont rien à faire. Cette indifférence fait peur. Pourtant, tout le monde est persuadé que c'est la bonne chose à faire, que ce protocole les guérit de cette maladie mortelle qu'est l'amour. Et Lena en est elle aussi persuadée, mais petit à petit, ses convictions vont être mises à l'épreuve, en premier par les réflexions de sa meilleure amie Hana, puis par sa rencontre avec Alex, qui va lui prouver que l'amour n'est pas la chose horrible que le gouvernement leur fait croire.

Les personnages :
Lena est une jeune fille simple, qui n'aspire à rien dans sa vie si ce n'est ce protocole, qui, elle en est sûre, la sauvera. Lena est persuadée de porter ce mal en elle, à cause de sa mère. Cette dernière s'est suicidée avant son 4 ème protocole, préférant mourir plutôt qu'on lui retire l'amour qu'elle éprouvait pour son mari décédé. Sa mère n'était pas comme les autres mamans, le protocole n'ayant jamais fonctionné, Lena a connu une enfance différente, avec une mère aimante, profitant des petites choses de la vie qui rendent heureux comme danser, chanter, rire aux éclats... avec le recul, elle comprend que toutes ces choses étaient interdites et que de ce fait, elles étaient dans l'illégalité. J'ai aimé être témoin de sa prise de conscience, de son réalisme. C'est une fille forte, qui saura se battre pour ses convictions.

Alex est le jeune homme qui fera chavirer le coeur de Lena, et surtout, qui l'aimera et sera capable de faire n'importe quoi pour elle. J'ai été touchée par son histoire, mais plus encore, j'ai été émue par la force de son amour. C'est un jeune homme exceptionnel, et qu'on suivrait les yeux fermés, à ses côtés, rien ne peut nous arriver.

Même si on ne la voit pas directement, le personnage qui m'a le plus émue est la mère de Lena. Je suis maman, donc forcément, je me suis retrouvée en elle, et je n'ose imaginer par quoi elle a dû passer. Aimer son enfant est quelque chose de merveilleux et de me dire que cet amour, si puissant, lui était interdit, qu'elle devait se contrôler, c'est pour moi inimaginable. le protocole n'a jamais fonctionné sur elle, au point qu'ils ont décidé au bout d'un moment, de lui faire subir l'opération sans anesthésie. Quoi de plus horrible que de se dire qu'on va subir une opération du cerveau qui retirera l'amour qu'on a pour nos enfants ? qu'après ça, on ne ressentira plus rien pour eux, qu'on les laissera pleurer, qu'on ne leur dira plus ces mots si magnifiques... tout simplement inconcevable.

Le style de l'auteure :
C'est fluide, ça se lit vraiment bien. J'ai souvent trouvé un côté poétique au récit. Au début de chaque chapitre, il y a un petit texte, des extraits de comptines, ou du Livre des trois S, sorte de bible imposée par le Gouvernement. C'était très intéressant de lire ces petits passages, et je me suis souvent dit que l'auteure avait raison, que c'était intelligent. La maladie l'amor deliria nervosa, finalement, c'est tout à fait ça. Tous ces symptômes sont bien réels, mais le gouvernement en a fait quelque chose de négatif.
Pour finir :

Malgré tout, comme je le disais plus haut, ça n'a pas vraiment fonctionné sur moi. Même si la dernière partie relève un peu mon ressenti, et m'a vraiment donné envie de lire la suite, je suis loin du coup de coeur auquel je m'attendais. le manque d'action ou d'agissement, le début un peu long, mon non attachement à Lena... mais un bon moment de lecture tout de même ! Je lirai sans l'ombre d'une hésitation la suite, qui, à en croire le résumé, m'attire bien plus que ce premier tome... à suivre donc !
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Je n'ai vraiment pas accroché à ce livre. Je ne l'ai d'ailleurs pas lu en entier. Il est long, mou, monotone et les actions sont très très lentes à arriver. Je suis vraiment déçue. Peut être que je n'ai pas été assez loin dans le roman pour accrocher, je ne sais pas. En tout cas l'auteur met du temps à imposer le thème du livre et à placer ses personnages.
Pourtant, le titre m'avait tapé dans l'oeil, ainsi que son sujet. Je m'attendais à un livre extraordinaire, que je ne pourrai lâcher. Beaucoup d'avis sont positifs, quelques personnes me l'ont conseillé donc je me suis lancée, certaine de ne pas me tromper, dommage. Une chose est sûre, il a tellement plu chez d'autres lecteurs que je le relirais(,ou je le lirais tout court) une prochaine fois.
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Encore un livre pour midinette me direz-vous ? Et la réponse un grand OUI. Mais attention, un bon, un très bon même ! Sincèrement, l'auteur a réussi ici à me faire lire ces deux tomes en une après-midi à peine (la chaleur extérieure y était certes pour quelque chose mais vraiment pas seulement !).

Lauren Oliver a réussi ici à recréer un monde, très proche de notre monde réel mais pas tant que cela. Un monde où l'amour est une maladie, où les parents s'occupent de leurs enfants parce que c'est nécessaire, sans l'ombre d'un attachement, un monde de science fiction, peuplé de résistants, désirant ardemment pouvoir continuer à aimer… Franchement, le monde est bien décrit, bien vivant… Avec les travers d'un tel monde pas forcément dit, mais très facilement imaginable. L'auteur réussit également à nous rendre les personnages bien vivants. Evidemment, il s'agit ici d'une histoire d'amour mais aussi d'une poursuite de la liberté et du droit de faire ce que l'on souhaite…

En somme, un bon roman. A lire si on est d'humeur fleur bleue…

Lien : https://moietmoi.wordpress.c..
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"Delirium" est une saga que je suis vraiment contente d'avoir découverte. J'ai rapidement été prise dans cette histoire où l'amour est interdit. La première partie est essentiellement composée de descriptions, de la mise en place de l'intrigue mais sans en faire trop. Souvent, les premiers tomes de séries manquent d'action, et là, sans que ça court dans tous les sens, je trouve qu'on est bien servi. Même si l'intrigue n'est pas fofolle, que l'on se doute de ce qu'il va se passer, l'auteure a su rajouter des petites sous-intrigues pour rythmer son tome de mise en place. Et, je ne vous parle pas de cette fin qui vous donne envie de courir vous acheter la suite!

Je me suis également vite attachée au personnage principal, soit Léna. D'une jeune fille aveuglée par son environnement on va suivre sa prise de conscience progressive. Et, finalement, c'est agréable de découvrir, dans une dystopie, un personnage qui n'est pas d'emblée révolté et prêt à se lancer dans une révolution. J'ai apprécié aussi la façon dont la romance est développée. Cette lutte que Léna a contre elle-même, contre ses idées. L'ensemble des personnages est d'ailleurs très bien construit. Ils sont tous très bien nuancés et non caricaturaux.

le petit hic de ce livre, et qui m'a empêché d'avoir un coup de coeur, c'est la narration. Même si j'ai énormément apprécié la plume de l'auteure, que j'ai eu du mal a décrocher de ce livre, je ne me suis pas sentie impliquée dans cette histoire. Les personnages m'ont touchée, mais il m'a manqué un petit quelque chose pendant une grande partie du livre. Je ne sais pas vraiment comment m'expliquer...

En conclusion, "Delirum" est un très bon roman dystopique. Quelques petits détails le fait ressortir des dystopies classiques ce qui est, plutôt agréable. C'est certain que je me procurerais la suite, et je ne peux que vous le conseiller si vous êtes adeptes des dystopies!
Lien : http://un--monde--livresque...
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Tout commence par une dystopie jeunesse des plus traditionnelle. Un monde où règne l'ordre et où tout le monde est content, une jeune fille qui se retrouve à se poser des questions sur l'ordre établi alors que jusqu'à présent elle était comme tout le monde, un garçon dont elle tombe amoureuse, bref ça commence comme des tas de dystopies ces dernières années. Malgré ce fait, j'ai réussi à me laisser entrainée par l'histoire et les différents rebondissements.
Dans cet univers, aux États-Unis, l'amour est interdit et forcément, dans un pays où l'amour est une maladie, c'est forcément le grain de sel qui va tout faire basculer avec notre héroïne.

J'ai beaucoup aimé ce livre, l'histoire d'amour m'a fait ressentir beaucoup d'émotions. le seul reproche que je pourrais faire c'est peut-être parfois des descriptions trop longues ou trop poétique à mon goût.
En tout cas, j'ai hâte de lire la suite.
Lien : http://unlivrepeutencacherun..
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Ce roman nous transporte vers un autre monde, un monde où l'amour est une maladie grave. Amour, amitié se mêlent à cette histoire bouleversante.

Ce roman fantastique a pour thème l'amitié, l'amour et l'adolescence.

Dans Délirium, l'amour est une maladie très grave, qui peut se soigner avec un médicament, le «protocole», qui permet l'arrêt de tous sentiments. L'héroïne se nomme Magdalena Haloway et l'histoire se déroule dans la ville de Portland au États-Unis. Les trois personnages principaux sont: Magdalena ( appelée Léna ), Hanna ( sa meilleure amie ) et Alex ( L'homme rencontré à l'évaluation de Léna )

J'ai bien aimé les personnages parce qu'ils sont attachants et que les événements font que nous les aimons bien. J'ai trouvé qu'il y avait trop d'argumentation et que l'histoire était trop longue à démarrer. Certains passages sont très répétitifs et il n'y a pas assez d'action. La fin est trop prévisible, il n'y aucun suspense.

Je n'ai pas réussi à rentrer dans ce roman, trop de répétitions, trop long et surtout pas assez de suspense ce qui est pourtant vital dans un roman je pense.
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Delirium est une dystopie racontant l'histoire de Lena qui vit dans un monde où l'amour, aussi appelé Deliria, est considéré comme la pire des maladies. Les gens se font opérer à l'âge de 18 ans et à l'issue de cette opération, ils n'éprouvent plus aucun sentiment.
Lena approche de son 18ème anniversaire et de son opération, mais elle rencontre un garçon qui chamboule sa façon de penser et ses convictions à propos du Deliria...
J'ai trouvé cette histoire intéressante et originale, autant la Société dictatoriale que la relation entre Alex et Lena.
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Delirium est loin d'être ma première dystopie, je suis déjà passée par là avant, pourtant celle-ci m'a légèrement traumatisé. Disons que le sujet, soigner l'amour des gens, m'a foutu froid dans le dos. L'amour c'est le sentiment qui nous rend vivant, qui fait qu'on a des amis, qu'on aime nos gosses, ou qu'on tombe amoureux. C'est ce qui fait que l'on désire des choses. Ou tout simplement qu'on aime des plats, des couleurs, la vie… Retirer ce sentiment c'est nous transformer en zombie, en robot, et je trouve que Carol et William (les oncles et tantes de Lena) représentent exactement la vie sans amour. Ils sont plats et sont assez indifférent à la détresse. Celle qui m'a le plus rendu triste c'est Rachel, la soeur de Lena, on voit à quel point elle a changé… Est ce que ça rend vraiment heureux? Je n'en suis pas sûr, à mon avis ça en donne juste l'impression. Pour moi la sécurité ne fait pas le bonheur, surtout quand elle prive à ce point de liberté (ne pas pouvoir lire ou écouter ce que l'on veut doit vraiment être chiant). Lena est un personnage que j'ai beaucoup aimé, même si parfois ses réactions m'énervaient, je la comprenais assez. Vis à vis de son vécu, de sa situation, de tout ce qu'on lui fait ingurgiter comme ânerie depuis qu'elle est petite, ses réactions peuvent être comprise. Sa peur également. Mais c'est un personnage qui évolue et en bien. Elle grandit petit à petit, analyse les choses par elle-même, se pose des questions. A l'aide de sa meilleure amie Hana (que j'ai beaucoup aimé, elle se rebelle un peu) et surtout grâce à sa rencontre avec Alex, Lena va beaucoup changer. Je suis hyper folle d'Alex, il m'a immédiatement plu, je le trouve trop adorable. L'histoire d'amour m'a foutu des frissons et des picotements dans le ventre, et ça faisait quelques temps qu'un livre ne l'avait pas fait (je trouve, hélas, les histoires d'amour de plus en plus plates et en général moins intéressante que le reste de l'histoire) là pour le coup j'étais à fond dans l'histoire et également dans l'histoire d'amour. Les deux étaient biens. Et heureusement puisque le sujet principal est « l'amour ». le Déliria est – selon moi – une belle maladie (et en plus j'adore le nom qu'on lui donne, je trouve que ça sonne bien). S'en guérir est mauvais pour la santé ! La fin m'a vraiment fait pleurer, elle est très belle mais je l'ai trouvé assez triste. Je me demande ce qu'il va se passer dans le tome deux et du coup j'ai plutôt hâte de l'avoir pour revoir Lena et en savoir plus. En bref, un très bon livre (je l'aurais lu plus vite mais j'ai aussi profité de ma petite soeur), qui se lit bien (malgré quelques phrases bizarres par moment), une histoire d'amour vraiment belle, une bonne dystopie (que je trouve assez horrible dans le sens où enlever l'amour c'est pire que tout je trouve), des bons personnages et une super fin qui donne envie d'avoir la suite. Je ne suis pas du tout déçue.
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