Les affaires de Ryû l'accaparent de plus en plus dans ce deuxième tome de Kiss Hug. Malgré tout, il trouve toujours le moyen de passer du temps avec Yukino, qui le repousse car elle n'est pas prête à franchir le « cap ». Quand elle comprend que le jeune homme risque de rentrer dans son pays d'origine, elle se promet de faire des efforts et s'ouvre sur ses sentiments.
Un second volume qui se place dans la lignée du premier, c'est-à-dire qu'il est tout aussi mauvais, voire davantage. Il n'y a pas de réelle intrigue, on pourrait résumer cette histoire par « Je t'aime et je veux que tu restes avec moi » (et en contrepartie, je te promets d'essayer d'arrêter de te donner des coups de poing et de pied chaque fois que tu tenteras de m'embrasser, mais juste essayer, hein, m'en demande pas trop non plus…)
Voilà ce que nous offre ce shojo. Une héroïne qui pleurniche parce qu'elle ne tient pas à voir son petit copain dont elle ne sait rien repartir pour l'Occident, et ce dernier qui aimerait bien la peloter de temps en temps sans se faire tabasser. Et bien sûr, la mère en arrière-plan qui apprécierait tout autant de les voir conclure.
Je vais répéter ce que j'écrivais déjà dans ma précédente chronique, mais il n'y a vraiment RIEN qui va dans ce manga. Il a beau ne compter que trois tomes, c'en est trois de trop au regard de la pertinence et de la qualité de son contenu.
Tiens, d'ailleurs, j'allais oublier, un nouveau personnage fait son apparition. Pour le comique, je suppose. Dommage qu'il soit à l'image du reste, un reste qui tend plus à arracher de petits rires nerveux en raison de sa médiocrité qu'à inspirer une franche hilarité.
Allez, plus qu'un !
Lien :
https://leslecturesdecyrligh..