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4,37

sur 5312 notes
Grosse déception ! En fait, je suis surtout déçue de ne pas adorer ce roman alors que j'étais sûre qu'il me plairait (j'ai vu l'adaptation de la première saison à la télévision et tout me semblait réuni pour passer un excellent moment, si bien que je n'ai pas regardé les saisons suivantes, me réservant pour les livres).

C'est long, très long, trop long… au point que j'ai fini par jeter l'éponge un peu après la moitié du premier tome.

Je n'ai pas vraiment de reproches à faire sur le fond, si ce n'est que la multiplicité des personnages et des intrigues donnent l'impression qu'on se disperse et qu'on piétine, mais c'est juste parce qu'on aimerait rester avec le personnage qu'on suivait, savoir tout de suite ce qui lui arrive. Or à chaque chapitre, on adopte le point de vue d'un personnage différent et à chaque fois le lecteur doit se réajuster à ce changement de perspective, de lieu, d'enjeux, etc. Et c'est un vrai exercice à chaque fois car l'auteur a réalisé un énorme travail de création avec le Trône de Fer : les personnages sont nombreux et travaillés et ils évoluent dans un univers très riche, avec une histoire, une géographie, des croyances, etc. Et tout cela est introduit peu à peu : à aucun moment on a l'impression qu'on nous assène des leçons d'Histoire ou de géographie. Chaque élément apparaît au fil du récit, parfois avec une courte explication (brève généalogie d'un personnage, description rapide d'un bâtiment, etc) ou le plus souvent en laissant de lecteur établir lui-même les liens avec ce qu'il connaît déjà de cet univers qui se révèle de plus en plus complexe à chaque page.

Il y avait longtemps que je n'avais pas lu de la fantasy aussi bien ciselée mais cela ne suffit pas : l'histoire est intéressante, mais pas captivante non plus.

Non, le gros problème, c'est la traduction de Jean Sola qui est une vraie calamité. J'avais déjà été gênée dans ma lecture de la série le Royaume de Tobin de Lynn Flewelling il y a quelques années : le style était si maladroit... Ici, c'est la même chose, le traducteur ressort du vocabulaire désuet, opte pour des tournures de phrases "originales", etc. Je suppose que tout ça, c'est pour faire plus "couleur locale" afin d'immerger le lecteur dans l'atmosphère du roman… Sauf que cela ne fonctionne pas, mais alors pas du tout : difficile de rentrer dans le texte lorsqu'on est obligé de relire certaines phrases deux ou trois fois pour les remettre dans l'ordre et comprendre ce que le traducteur veut dire ; j'ai aussi recherché la définition de plus de mots que cela ne m'était arrivé depuis une éternité (même lorsque je lis en anglais). le pire, c'est que ces tournures ne sont pas à proprement parlé incorrectes et que tous ces mots inconnus existent bien (mais ils sont passés d'usage ou ils appartiennent à un jargon tellement spécialisés que je ne les recroiserai sans doute plus jamais dans mes lectures sauf peut-être dans les prochains tomes…). C'est l'accumulation qui rend le texte indigeste.

Le style exécrable du traducteur, plus l'intrigue qui se disperse ont réussi à me démotiver. Vu le peu de plaisir que je tirais de cette lecture, cela aurait été bête de m'entêter, mais je regrette quand même : j'étais si sûre que j'allais aimer...
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Le livre qui a donné naissance à la serie mondialement connue: une reference du genre les quatres volumes etant indisociables car creant un ensemble coherent et une histoire dont on ne se lasse pas. le volume total de lecture peut un peu effrayer au debut mais une fois lancé difficile de s'arreter tant on est pris dans l'histoire :Un best seller !
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J'ai deux aveux à faire. Tout d'abord, je n'ai pas regardé la série télé Game of Thrones, pas même un épisode. Je me réjouissais donc d'aborder la lecture de George R.R. Martin dégagée de toute référence. Deuxième aveu, plus délicat : je me suis ennuyée ferme. Pour la première fois depuis la lecture des Frères Karamazov, il m'a fallu prendre des notes sur les personnages. Mais Martin n'est pas Dostoïevski (à moins que ce ne soit le traducteur qui soit fautif). le style poussif rappelle Balzac à l'époque où il était payé à la ligne. Bref, un rendez-vous raté pour moi. Je retourne à David Gemmell...
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On ne présente plus
Le Trône de fer de George R. R. Martin ! plus connu sous le nom de Game of thrones !
Cet intégrale regroupe les volumes 1 et 2 de la saga

L'histoire se déroule au sein d'une société féodal et où la magie et des créatures légendaires.

Trois intrigues s'y entremêlent :

- dans le royaume, plusieurs maisons nobles rivalisent pour l'obtention du trône des Sept Couronnes détenu par les descendants des familles Baratheon et Lannister,

- dans les contrées glacées situées au nord du royaume, des créatures que l'on ne connaît que dans les légendes se manifestent

- sur le continent oriental, la dernière héritière des Targaryen cherche à reconquérir le trône des Sept Couronnes autrefois dans sa famille.
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Critique valable pour les "intégrales" 1 à 4 :
On ne peut que constater la performance lorsqu'on s'affronte à ces pavés : un monde d'une richesse infinie, des intrigues très bien pensées, des personnages suscitant tour-à-tour l'empathie (Tyrion, Ned Stark, Jon Snow...) et la révolte (Joffrey, Cersei, Littlefinger...), des destins inattendus et des fins tragiques devenus des scènes cultes (comme les noces pourpres), mais aussi - et même surtout, en ce qui me concerne - des dialogues dont certains sont vraiment des morceaux d'anthologie (celui qui me vient à l'esprit là, c'est la première rencontre avec le vieillard seigneur du pont, promis malgré son âge canonique à une grande carrière de salopard, et dont le nom de famille m'échappe).
Un petit mot aussi sur le procès en sorcellerie fait au traducteur, Jean Sola, qui pour moi a fait un excellent travail... dans un langage châtié, certes, et c'est peut-être ce que certains lui reprochent, mais en ce qui me concerne c'est un point fort de ces livres, d'autant que les spécialistes de la VO s'accordent à peu près tous à dire que Martin n'est pas réputé pour la beauté de son style. Le seul reproche que j'aurai à faire à M. Sola est l'erreur grossière du choix de "loup-garou", là où "loup géant" s'imposait, mais franchement, en-dehors de ça, rien d'autre ne m'a heurté, et je m'incline devant son travail de spartiate.
Il y a un "mais" à tout cela, vous le voyez venir.
Ce "mais", c'est que mon intérêt pour l'ensemble de l'oeuvre s'effiloche malheureusement au fil des tomes. Non pas que ce soit de moins en moins bon en valeur absolue, mais une bonne saga est une saga que l'auteur sait finir avant d'épuiser le client, et c'est un reproche que l'on peut reproduire à l'envi pour bon nombre de sagas romanesques, de BD et de séries télévisées. Trop, c'est trop.
L'autre chose qui émousse fortement mon intérêt, c'est la multiplication exponentielle des personnages secondaires, tertiaires, quaternaires (ça se dit ?) On voit venir, puis revenir untel deux cents pages plus loin, et on n'a plus la moindre idée de qui est ce type, pour qui il roule, et de ce qu'il fout là.
On sait que les personnages nombreux sont inévitables dans les sagas, mais là encore, il faudrait savoir raison garder, et se contenter des personnages secondaires qui ont une réelle utilité sur l'histoire. Lorsqu'on flirte (péniblement) avec le 5ème tome comme moi, on finit par se dire que l'arbre généalogique des personnages de Martin commence à ressembler fortement à celui des personnages nains et elfes de Tolkien... à l'exception près que Tolkien s'est contenté d'en faire des arbres généalogiques sans les faire intervenir en masse dans ses récits (sauf dans le très abscons Silmarillion).
Alors finalement, même si ça semblera peut-être une hérésie à certains, je préfère la série. Parce que les showrunners ont eu la bienséance de faire d'immenses coupes franches dans tous les persos inutiles... et combien on y voit plus clair !
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Difficile d'apporter des éléments nouveaux à ce monument de la littérature fantasy. L'auteur réussit la prouesse de créer un monde unique avec de multiples personnages et intrigues. Ce n'est pas un roman que l'on survole tant les événements et les personnages sot complexes. On reste accroché très rapidement et vu l'ampleur de l'oeuvre le plaisir de la lecture va durer un certain temps.
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Comme beaucoup je suis venu aux livres par la série télévisée…

Pourtant j'avais été vivement intéressé par les critiques parues dans Le Nouvel Observateur ou dans Télérama. Pensez donc : un roman d'Heroic Fantasy, ce genre méprisé par les beaux-penseurs, était encensé ! La critique le comparait certes à la référence obligée dans le domaine : le Seigneur des Anneaux mais citait également Les Rois Maudits, Shakespeare et ses souverains qui s'entredéchirent, Howard et son Conan le Barbare… Rien de moins qu'alléchant. Me dissuadait le souvenir de la lourdeur du Seigneur des Anneaux, justement, et d'autres lectures immatures ou bâclées du type « le Pèlerinage enchanté » de Clifford d'Simak ou « Les Croisés du Cosmos », de Poul Anderson

Quand même ! Les références à la Guerre des Deux roses m'attiraient bigrement. Jusqu'ici je n'avais trouvé aucun roman, aucune saga ayant su rendre compte des passions de cette époque. Tout ce que j'avais pu lire sur le sujet m'était apparu plat, plus morne que les biographies consacrées aux Edouard, Henry et Richard de l'époque. Alors ? Les York et les Lancastre allaient-ils enfin revivre par Stark et Lannister interposés ? Je n'osais pas sauter le pas. Que le livre caracole en tête des ventes et se maintienne dans le haut du tableau n'était pas forcément gage de qualité. J'en connaissais d'autres, tel les Tatiana de Rosnay, qui bien que vendus par centaines de milliers s'avéraient aussi passionnants qu'une liste de courses…

Je découvris la série sur le tard. Dans les campagnes publicitaires, HBO avait mis le paquet : les décors grandioses, les costumes des personnages, leurs trognes, tout interpellait le spectateur. Bien avant d'avoir vu un épisode, Daenerys, Khal Drogo et Tyrion Lannister s'étaient invités par le biais d'encarts, de spots ou d'articles et leurs visages, leurs silhouettes étaient bien vite devenues connus voire familiers.

Et me voilà à présent plongé dans cet océan de pages, 5.000 pour l'instant, probablement 7.000 si George RR Martin respecte ses engagements et que la maladie ne l'en empêche pas… Quelqu'un a dit qu'un chef d'oeuvre est une somme et le roman de George RR Martin l'illustre parfaitement. Car il s'agit bien d'un chef d'oeuvre dans lequel l'auteur a bâti un monde âpre, un monde riche de contrastes, un monde cohérent, avec ses croyances, ses rites, ses superstitions, ses dictons, ses prières et histoire. La force de Martin est de nous transporter dans ce monde détaillé avec précision, de nous y immerger et de nous persuader qu'il a existé, qu'il fut peut-être notre monde. Martin réécrit ainsi notre passé. Un passé crédible puisque le fantastique reste marginal, contesté même par les esprits rationnels de l'époque, ces mestres fiers de leurs pouvoirs scientifiques, ces grands seigneurs, pragmatiques avant tout. Un fantastique rare et qui de fait en devient plus fort. Et dans ce monde médiéval phantasmé, cette Angleterre, cette Ecosse bodybuildés pour Westeros - lieu principal de l'action -, ce monde antique, babylonien pour les Cités Libres, les êtres se déchirent, luttent, s'aiment, au fil des multiples intrigues, sans lien forcément les unes aux autres : la succession du Roi Robert Barathéon et la guerre des prétendants, l'épopée de Daenerys, les ambitions de Lord Baelish, les magouilles de Varis, la quête de Bran, celle d'Arya et surtout, derrière le Mur, la lente mais inexorable progression des Marcheurs Blancs, l'arrivée de l'Hiver, ce redoutable hiver qui peut durer plusieurs années et charrie matière à légendes.

L'histoire du Trône de Fer est vue par le truchement de plusieurs personnages, dont l'auteur nous livre les pensées : Ned Stark, Daenerys, Jon Snow, Arya Stark , Catelyn, Sansa Stark, Tyrion Lannister, Bran, etc. La liste se renouvelle au gré des tomes et des disparitions. Tout comme l'ordre de l'intervention de ces personnages n'est pas automatique, le cheminement de leurs points de vue évolue de manière parfois complexe, leur psychologie change. Rares sont les personnages blancs ou noirs. Pas de manichéisme au Royaume des Sept-Couronnes. La plupart peuvent avoir des moments de bontés, de faiblesses, d'égarements, des failles dans leur raisonnement. Ils commettent des actes de bravoure, des erreurs, taisent certains de leurs gestes, en justifient d'autres, changent d'avis. Ils amusent, surprennent, déçoivent. Meurent même parfois. Avec Martin, il vaut mieux ne pas s'attacher aux personnages. En ces temps troublés, la mortalité est élevée et guette tout le monde, même ceux perçus comme des héros potentiels de ce livre. Malgré sa panoplie taillée pour lui permettre de jouer les redresseurs de tort sur plusieurs tomes, son beau costume de héros épris de justice, Ned Stark est le premier à en faire les frais.

Un chef d'oeuvre, ai-je écrit plus haut, est une somme. Et ce roman en est une. George RR Martin connaît ses classiques dans lesquels il puise sans vergogne et qu'il transpose dans son univers fantastique. La référence à la guerre des Deux-roses saute aux yeux. Les Stark, qui vivent au nord, correspondent aux York, les Lannister aux Lancastre et naturellement ils se haïssent, s'affrontent et se marient entre eux. Mais il y a d'autres exemples, d'autres sources. Ainsi, la mort du roi Joffrey, rare personnage unanimement détesté, renvoie à celle du Prince Eustache, fils d'Etienne de Blois et concurrent d'Henri II Plantagenêt. Ainsi, la bataille de de la Nera, dans laquelle Tyrion Lannister ordonne la fabrication en masse de feu grégeois et l'édification d'une immense chaine flottante pour barrer l'estuaire lors du siège de Port-Réal par la flotte de Stannis Barathéon, est inspirée par les tactiques adoptées avec succès par les byzantins pour repousser les forces arabes devant Constantinople. Ainsi, L'épisode des « Noces Pourpres » dans lequel Robb et Catelyn Stark sont assassinés par les sbires de leur hôte lors d'un mariage est la réplique du « Diner noir », survenu en Ecosse au milieu du XVéme siècle. Les exemples abondent. La Garde de Nuit possède une organisation, des rites calqués sur ceux de l'Ordre des Templiers. le Mur qui protège Westeros des Sauvageons et d'un monde glacé nourri d'inconnu est bâti sur le modèle du Mur d'Hadrien…

Pour le féru d'Histoire, Game of Throne est un régal. Il l'est également pour l'amateur de littérature, Je ne parle pas du style de l'auteur, au vocabulaire riche mais à la syntaxe déroutante, parfois ampoulée comme une chanson de gestes – un problème de traduction, semble-t-il, corrigé par la suite. Je parle de références à la littérature. George RR Martin revendique ses maîtres : Shakespeare est là pour sa dramaturgie – d'ailleurs la plupart de ses pièces n'ont- elles pas pour théâtre la Guerre des Deux roses ? -, sa violence, Druon et ses « Rois Maudits » pour le découpage du roman, la multiplicité des intrigues, leur engrenage inexorable, la variété des personnages et l'absence de morale, Tolkien, à un degré moindre, pour le fantastique, ses mages et ses dragons, Howard, pour l'ambiance rougeoyante des mondes barbares… On peut déceler des clins d'oeil à Thomas Harris, l'auteur du Silence des Agneaux. Certains citent Vance, Tad Williams - que je ne connais pas -. Des avis autorisés parlent de Faulkner et de son pessimisme sur la nature humaine. Personne n'évoque Proust. Et pourtant, il m'apparaît que l'auteur d' « A la recherche du temps perdu » a influencé George RR Martin. Est-ce un hasard si l'un des personnages – certes secondaire – s'appelle Swann : Balon Swann. Comme dans le roman de Proust, les personnages évoluent à mesure que le temps s'écoule. Certains s'affirment, d'autres s'étiolent. Certains même, bouleversés par l'apprentissage de la vie au cours de leurs pérégrinations, vont jusqu'à changer d'objectif. le temps les façonne, fait son oeuvre. Dans Game of Throne le temps est un élément à part entière.

D'ailleurs, l'hiver vient…
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Depuis que la série TV a médiatisé cette saga, je ne suis pas très tentée d'en faire la critique. Mais en y repensant, j'avoue que j'ai découvert cette oeuvre il y a à peu près six ans, à l'époque l'édition italienne était constituée de 9 volumes, que j'ai dévoré assez rapidement, et je suis restée sur ma faim pendant pas mal d'années. Depuis j'ai repris la saga, et elle continue à me fasciner par ce qu'elle apporte de merveilleux au fur et à mesure.
En effet, si au début, on trouve les luttes de pouvoir, les différents territoires très intéressants dans le développement d'une intrigue ou se mêle la trahison, le sexe, la violence, peu à peu quelque chose d'indéfinissable s'approche, c'est la magie qui peu à peu s'introduit dans le récit, avec les dons, les mystérieux êtres venus du grand nord, le réveil des dragons...
Un jour ou l'autre je regarderai également la série mais en attendant la magie des livres semblent encore m'appeler....
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Quelle aventure ! Je commence par le premier gros point positif, le livre est très bien découpé.L'univers est extrêmement riche en personnages, lieux, il se passent toujours une action. Au moins là c'est clair, on ne se perd pas.
Passons au reste. Plus de 700 pages de plaisir, les personnages complets. Difficile de ne pas raconter l'histoire sans gâcher quelques surprises. C'est avec joie que j'entame la suite.

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Je reposte ma critique faites sur la version française en rajoutant quelques précisions que voici:
Effectivement, le langage utilisé n'est pas le même, dans cette version anglaise, l'auteur utilise des mots plus contemporain. Ce qui me plaît beaucoup plus, ça rends l'histoire plus accessible, et surtout si je lis très peu de livres façon jeu de rôle c'est surtout à cause de ce décalage.
Ensuite sur mon édition anglaise, les pages sont plus épaisses que sur mon format poche français, je ne vois plus le verso à travers. Très bon point !
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Le moment est venu de faire ma critique du Trône de Fer et je ne sais par ou commencer..

Tout d'abord je ne fais pas parti des gens qui ont vu la série, mais quelques personnes m'ont conseillé de découvrir l'oeuvre de Georges R R Martin me répétant " Tu verra c'est super, on s'ennuie pas, t'attache pas aux personnages par contre ... ". Effectivement plusieurs des personnages que j'apprécié sont déjà dans la tombe .. ou au bout d'une pique si vous préféré.

Dans cet univers plusieurs familles s'oppose pour le Trône de Fer, ont comprend que depuis tout temps les mariages se font en fonction des alliances utile pour le Trône et que certaines familles sont prête à tout pour pouvoir gouverner. ( oui oui, vous verrais bien des choses, meurtres, inceste, mensonges, ... )

J'ai adoré découvrir l'histoire selon le point de vu de plusieurs personnages, cela nous fait vraiment vivre les événements de chaque famille sous différent angles et l'on apprend également par le même biais l'histoire des familles, les ancêtres etc ...

Plus je tourne les pages plus je veux m'approcher du mur avec Jon Snow et Fantôme, j'ai vraiment adoré ses deux la. La famille Stark en général je l'ai beaucoup apprécié, une famille forte et loyal. La petit Sansa, elle, m'as quelque peu énervé par moment pour son adoration de Joffrey mais finalement plus le livre arrive a son terme et plus elle me fais de la peine et j'espère qu'elle pourra se sortir de la situation dans laquelle elle s'est fourré.
Les Lannister, ... bon c'est les Lannister quoi .. Je les aimes pas comme surement beaucoup d'entre vous, sauf bien sur le nain Tyrion. Il n'a pas sa langue dans sa poche mais, rejeté a cause de sa petite taille et de son corps difforme, n'en ai pas pour autant un personnages remplis de haine mais au contraire quelqu'un d'assez intelligent et de très intéressant.
L'histoire des Targaryen est intéressante aussi j'espère qu'il y aura plus de chapitre concentré sur cette famille dans les prochain tome.

Un coup de coeur pour moi.
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