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EAN : 9782073047489
Gallimard (02/05/2024)
5/5   1 notes
Résumé :
Perché corriamo? Perché tutto questo affannarsi e faticare? Cosa racconta di noi questa continua ricerca di muscoli e sudore? Ancora una volta dobbiamo risalire il tempo e tornare ai Greci, i primi che si chiesero perché mettiamo alla prova noi stessi misurandoci contro gli altri. Il famoso motto mens sana in corpore sano dice del valore che gli Antichi attribuivano a tali prove, tanto che le Olimpiadi erano l’unico periodo in cui le armi dovevano necessariamente ta... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Petite précision, n'ayant eu la patience d'attendre sa sortie en France, j'ai décidé de lire cet ouvrage en italien. A sa sortie française - prévue le 2 mai prochain - ce sera avec plaisir, que je me mettrai, à nouveau, dans les foulées de cette auteure.

Je dis foulées, car Andrea Marcolongo s'est lancée un défi de taille : un marathon et pas n'importe lequel, LE Marathon, d'Athènes, elle a choisi de mettre ses foulées dans celles des Anciens, et au premier chef dans celles de Phidippidès le messager qui après avoir couru 41.8km et prononcé la seule phrase : " Nous avons gagné ! " s'est écroulé, terrassé par son effort.

41.8km car en réalité, la distance géographique qui sépare la ville d'Athènes, du village de Marathon ne correspond pas à celle des marathons modernes. "Les 42,195 km actuellement convoités n'ont en effet fait leur première apparition que lors des Jeux olympiques de 1908 à Londres où, au gré du prince de Galles, le départ de l'épreuve a commencé dans les jardins du château de Windsor et pour s'assurer que les nobles puissent regarder la course confortablement, à l'aise et à l'ombre, donc depuis, les coureurs sont obligés d'enchaîner près de 400 mètres supplémentaires ».

Revenons au livre avec Andrea Marcolongo la préparation d'un marathon devient tant une épreuve physique, qu'un réflexion philosophique.
On y retrouve ce qui le charme de son écriture, c'est stimulant, poétique, lyrique, et toujours érudit.

La preuve, quand elle évoque Dante :
" « Maître, quel est le poids qui les fait se plaindre si fort ? » demande Dante à Virgile (Enfer, III, 43-44), horrifié par les gémissements qu'il entend venant de l'antichambre de l'enfer. Ce sont des gens qui courent, leur guide répond promptement : ce sont les sans méfiance, ceux qui dans la vie ne savaient pas prendre position et prendre le parti du bien ou du mal et qui maintenant, dans l'anti-enfer, sont condamnés à jamais à courir en vain derrière un drap blanc, symbole de leur lâche indécision.
La course est la première punition que le lecteur de la Divine Comédie rencontre en enfer : les « coureurs de l'au-delà » apparaissent à Dante si désespérés qu'on les appelle des gens « qui sont ces gens si défaits de souffrance » (ibid., 33). Ceux qui, dans la vie, étaient « sans infamie et sans louange » (ibid., 36) sont obligés de courir sans fin, nus, sans but, tandis que les guêpes et les mouches les piquent dans la chair et que d'horribles vers se nourrissent de leur sang et de leurs larmes. Ces esprits neutres et lâches, sont si insupportables dans leur course que même Satan ne veut pas qu'ils soient en enfer (« Les cieux les chassent, pour n'être pas moins beaux, et le profond enfer ne veut pas d'eux,car les damnés en auraient plus de gloire.» (ibid., n. 40) , et même Virgile avertit Dante : «ne parlons pas d'eux, mais regarde et passe. » (ibid., n. 51).
Filet des insectes haineux et avec l'ajout de quelques centimètres de tissu, cette scène de la Comédie n'est pas si différente du spectacle glaçant offert par un marathon contemporain. Pour ceux qui ne pratiquent pas la course à pied, assister à un marathon en dehors du contexte olympique rappelle directement le suicide collectif – une apocalypse de l'humanité dans laquelle paradoxalement les participants, épuisés et dépassés, poursuivent volontairement leur propre souffrance."

A l'époque de la sortie de son premier livre le Monde des Livres écrivait : "La jeune et talentueuse helléniste italienne a inventé un genre littéraire inédit : le journal intime érudit."
Et ce livre n'y déroge pas.

Ce marathon est pour elle une prise de conscience d'avoir "vécu" dans la « tête » des Grecs, s'efforçant de comprendre leur langue, leur poésie, leur philosophie et tout le catalogue des merveilles créées par leurs neurones porteurs. Mais elle avait oublié qu'eux aussi avaient un corps, fait de chair, de sang, d'impulsions, de désir et de besoin de bouger. le cerveau doit être bien entraîné, les muscles ne peuvent pas l'être moins – et peut-être que pour écrire un poème épique, l'inspiration de la Muse ne suffit pas, les Grecs avait également besoin de jambes rapides et de chevilles robustes.

Au passage, sont égratignés le marketing qui fait de la course à pied une activité "tendance", les applications mobiles et autres gadgets ces "outils" qui "aident" à améliorer les performances et qui font que les coureurs contemporains, équipés de tous les gadgets technologiques possibles, semblent maintenant plus semblables aux protagonistes d'un film dystopique qu'aux athlètes de la Grèce antique, qui s'entraînaient nus et équipés de rien d'autre que de la force de leurs muscles. Dans la Grèce antique, la seule donnée mesurable et contrôlable était celle, très évidente, de souffle, court ou long : « La limite de la force de l'exercice est le changement de respiration ; il s'ensuit que les mouvements qui ne provoquent pas de variations dans la respiration ne méritent pas le nom d'exercices », a écrit le médecin Galien en ignorant toujours la différence entre l'exercice aérobique et anaérobie.

Elle convoque également Platon qui dans Timée écrivait : "ne mouvoir ni l'âme sans le corps, ni le corps sans l'âme, pour que, se défendant l'une contre l'autre, ces deux parties préservent leur équilibre et restent en santé. Il faut donc que le mathématicien ou quiconque applique intensément son esprit à quelque étude donne aussi en compensation du mouvement à son corps, en pratiquant la gymnastique, et que, inversement, celui qui accorde le plus clair de ses soins à façonner son corps fournisse à son âme des mouvements compensatoires, en s'adonnant à la musique et à tout ce qui touche à la philosophie, s'il veut que, à juste titre, on dise qu'il est à la fois bon et beau"

Mais aussi sur des réflexions qu'il pourrait avoir face à la folie au fait que nous essayons aujourd'hui de mettre dans nos plats, et donc en circulation dans notre corps, des aliments biologiques, c'est-à-dire des produits sans l'utilisation de produits chimiques tels que des pesticides et d'autres poisons.
La folie est plutôt d'avoir longtemps pensé le contraire, c'est-à-dire que la façon dont les champs, les mers, les montagnes, les rivières nous offrent naturellement leurs cadeaux était contournable, modifiable (comme si elle n'était pas déjà plus que parfaite comme ça) grâce à la technologie et à une arrogance sans bornes.

L'auteure de nous rappeler qu'en grec ancien, le mot "régime" ne signifiait pas restriction alimentaire ou sacrifice pour perdre du poids : le terme díaita, en fait, indiquait un mode de vie visant à préserver la santé dans tous ses composants, de la nourriture au sommeil, de l'exercice physique au bien-être mental.

Et de penser, de manière évidente, que courir est l'acte le plus contemplatif qui soit – et autrefois considéré comme quelque chose de mystique sous forme de pèlerinage. Enfin soustrait – libéré – des mille distractions quotidiennes, il n'y a que deux panoramas possibles à contempler : l'intérieur, fait d'émotions et de sensations physiques, et l'extérieur, fait de routes, d'arbres, de rivières, et pour les chanceux des montagnes et de la mer.
Il ne s'agit pas seulement d'arbres et de paysages à admirer, mais aussi de sens à éveiller et à entraîner : de plus en plus prisonniers du confort des murs de la maison et des écrans bleus des smartphones, il arrive que nous ne sachions plus quoi faire de notre audition coincée dans des écouteurs avec filtre antibruit, de notre sens de l'odorat asphyxié par des déodorants artificiels, de notre toucher anesthésié par des crèmes et des protections.

Depuis le Banquet de Platon, l'homme est l'être désirant par définition – tant qu'il est mortel, aucun bonheur ne sera assez grand pour le convaincre de ne pas en vouloir encore plus.
"Avec l'effondrement des grands idéaux collectifs, des partis à la religion en passant par toutes les structures intermédiaires de l'engagement civique, aujourd'hui ce bonheur est devenu si privé – et vendu déjà privatisé à un prix élevé – que nous pourrions aussi bien essayer de le fabriquer nous-mêmes, en devenant nos propres juges et nos propres tyrans. D'où l'obligation de performer en permanence, de se défier les uns les autres chaque matin saint pour pouvoir dire le soir que nous avons gagné – que ce soit contre nous-mêmes, l'agenda, le regard des autres ou le chronomètre au poignet, peu importe – ressentir au moins ce peu de satisfaction qui nous rappelle d'être en vie, qui nous permet de nous dire par nous-mêmes « Bravo ! »"

Et bien je dis à Andrea Marcolongo : BRAVO et MERCI pour ce nouveau livre c'est toujours un plaisir de la retrouver.
Et résumons en une phrase son nouvel ouvrage, qu'elle prononce elle-même : "Je sors courir pour pouvoir écrire, et j'écris pour pouvoir courir"
Et bien le 2 mai, je courrai chez mon libraire pour que sa version française rejoigne son homologue italienne sur l'étagère de ma bibliothèque... Et tout cas je suis déjà dans les starting-blocks (même si dans le cas d'un marathon ils ne servent à rien...)
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Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
Νενικήκαμεν (Nenikékamen). “ Nous avons gagné ! ”.
Selon la légende, c’est la seule phrase que le messager Philippidès aurait réussi à prononcer après avoir couru le premier marathon de l’histoire en 490 av. J.-C. Puis il s’effondra sur le sol, mort, terrassé de fatigue.
Avant de nous laisser aller aux conjectures qui graviteraient donc autour de ces premiers 41,8 km parcourus à un rythme effréné, il convient de revenir un peu sur l'histoire. Qui ne s’est peut-être pas tout à fait passé comme cela
Tout d’abord, Philippidès s’appelait peut-être Phidippidès, du moins selon l’historien Hérodote, le premier à raconter l’exploit de cet hémérodrome légendaire ; dans la Grèce antique, ils étaient désignés par ce nom – littéralement « celui qui court pendant toute une journée », de ἡμέρα (heméra), “jour”, et δρόμος (drómos), declinaison de δραμεῖν (drameīn), “courir” – des messagers capables de parcourir de longues distances à pied afin de livrer des dépêches d'une ville à l'autre.
Quel que soit son nom, Philippidès devait être sacrément entraîné si, selon les Histoires d'Hérodote (VI, 105-106), il a parcouru 225 km aller-retour depuis l'Attique en une seule journée, pour demander à la cité de Sparte d'intervenir en faveur d'Athènes dans la guerre acharnée contre les Perses qui se déroulait alors - et il semble qu'au cours de ce long périple, le messager ait également eu le temps d'écouter les plaintes du dieu Pan, découragé parce que les Athéniens négligeaient son culte.
La version la plus tardive, celle qui ferait de Philippidès le premier marathonien de l'histoire, n'est relatée pour la première fois que par Plutarque, un écrivain qui a vécu au Ier siècle après J.-C., donc longtemps après les événements relatés.
Dans son ouvrage La gloire des Athéniens, l'historien raconte comment, immédiatement après la colossale bataille de Marathon qui scella la défaite du roi perse Darius, un soldat encore vêtu des armes de guerre courut à Athènes pour annoncer la victoire historique. Mais le malheureux soldat n'eut que le temps de dire "Nous avons gagné !", ce νενικήκαμεν (nenikékamen) mentionné au début et devenu presque proverbial, avant de s'effondrer sur le sol, épuisé de fatigue.

(INCIPIT)

Νενικήκαμεν (Nenikékamen). “Abbiamo vinto!”.
Secondo la leggenda fu questa la sola frase che il messaggero Filippide riuscì a pronunciare dopo aver corso la prima maratona della storia nel 490 a.C. Poi stramazzò al suolo, morto per troppa fatica.
Prima di lasciarsi andare agli infausti presagi che graviterebbero dunque intorno a quei primi, fatidici 41,8 km percorsi a ritmo di corsa, vale la pena di ricapitolare un poco la vicenda. Che forse non è andata proprio così.
Innanzitutto, Filippide forse si chiamava Fidippide, almeno stando allo storico Erodoto, il primo a narrare l’impresa di questo leggendario emerodromo; nell’antica Grecia, erano designati con questo nome – letteralmente “colui che corre per un giorno intero”, da ἡμέρα (heméra), “giorno”, e δρόμος (drómos), dal tema di δραμεῖν (drameīn), “correre” – i messaggeri capaci di coprire a piedi lunghe distanze al fine di consegnare i dispacci inviati da una città all’altra.
In ogni caso, comunque si chiamasse, Filippide doveva essere mostruosamente allenato se, stando alle Storie di Erodoto (VI, 105-106), percorse in un solo giorno ben 225 km, andata e ritorno dall’Attica, per chiedere alla città di Sparta di intervenire a favore di Atene nell’infuocata guerra contro i Persiani che era allora in corso – non solo, pare che durante la lunga sgambata il messaggero ebbe anche il tempo di ascoltare le lamentele del dio Pan, avvilito perché gli Ateniesi ne trascuravano il culto.
La versione successiva, quella che farà di Filippide il primo maratoneta della storia, è raccontata per la prima volta soltanto da Plutarco, scrittore vissuto nel I secolo d.C., dunque molto tempo dopo i fatti narrati.
Nell’opera La gloria degli Ateniesi lo storico narra come, subito dopo la colossale battaglia di Maratona che decretò la sconfitta del re persiano Dario, un soldato ancora vestito delle armi di guerra corse fino ad Atene per annunciare la storica vittoria. Lo sfortunato fece però solo in tempo a dire “Abbiamo vinto!”, quel νενικήκαμεν (nenikékamen) citato all’inizio e divenuto quasi proverbiale, prima di accasciarsi al suolo stremato dalla fatica.
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En grec, « bio » ne signifiait ni bon ni précieux, ni un adjectif : Bíos était « vie ».
La langue grecque possédait, en effet, au moins trois mots pour exprimer le miracle d’être vivant :
Zoé était l’essence de la vie qui appartient indistinctement à l’universalité de tous les êtres vivants, le prodige qui sépare ce qui est vivant des pierres et de la plastique. 
Psyché représentait le « souffle vital », le sentiment d’être pleinement vivant - exactement comme je le ressens lorsque je cours -  ce qui coupe mon souffle et met le feu à mon cœur.
Enfin, Bios indiquait les conditions, les façons dont la vie se déroulait au milieu de son chemin, pour paraphraser Dante – ce que nous choisissons d’en faire, ou comment nous nous limitons à le gaspiller.
Et, si la biologie est bien la science qui étudie les êtres vivants, comment en est-on venu en quelques années à considérer commercialement « bon » ce qui est « naturellement vivant » par définition ?

In greco “bio” non significava né buono né pregiato, neppure era un aggettivo: βίος (bíos) era la “vita”.
La lingua greca possedeva, infatti, almeno tre parole per esprimere il miracolo di essere vivi: ζωή (zoé) era l’essenza della vita che appartiene indistintamente all’universalità di tutti gli esseri viventi, il prodigio che separa ciò che è vivo dai sassi e dalla plastica. Ψυχή (psyché) rappresentava invece il “soffio vitale”, il sentirsi pienamente vivi – esattamente come mi sento quando la corsa mi taglia il fiato e m’incendia il cuore.
Infine, βίος indicava le condizioni, i modi in cui si svolge la vita nel mezzo del suo cammin, parafrasando Dante – cosa scegliamo di farne, o come ci limitiamo sprecarla.
E, se effettivamente la biologia è la scienza che studia gli esseri viventi, come si è passati nel giro di qualche anno a considerare commercialmente “buono” ciò che è “naturalmente vivo” per definizione?
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Kairos, flux, moment présent.
Maîtriser le temps

Une minute, une petite chose, presque rien.
Pourtant, si je devais maintenant compter les minutes de ma vie que j'ai simplement laissées passer - sans les sentir s'écouler parce que j'étais occupé à faire (et surtout à penser) à autre chose qu'à leur existence et à leur fin -, alors elles représenteraient des années.

Kairós, flow, momento presente.
Dominare il tempo

Un minuto, poca cosa, quasi niente.
Eppure, se ora dovessi mettermi a contare i minuti che nella vita ho semplicemente lasciato andare – non sentendoli scorrere perché impegnata a fare (e soprattutto a pensare) qualcos’altro oltre al loro esistere e finire –, allora sarebbero anni.
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Quant à cette habileté commerciale qui a fait de la course à pied un fétichisme esthétique plus que rentable, chapeau - c'est un paradoxe si diabolique qu'il mériterait de figurer dans l'Enfer de Dante qui, pour des raisons historiques, n'a pas eu le temps de créer un cercle ad-hoc pour les pirates du marketing, peut-être éternellement condamnés à désirer quelque chose qui en réalité n'existe pas.

Per quanto riguarda la destrezza commerciale che ha fatto del running un più che redditizio feticcio estetico, chapeau* – si tratta di un paradosso tanto diabolico da meritare un posto nell’Inferno di Dante, che per ragioni storiche non ha avuto il tempo di creare un girone ad hoc per i pirati del marketing, magari condannati in eterno a desiderare qualcosa che in realtà non esiste.
(en français dans le texte)
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L’idéal grec de perfection physique et morale se résumait en un seul mot : kalokagathía, une crase de la paire d’adjectifs kalós kài agathós, qui signifie très succinctement : « beau et bon ».

L’ideale greco di perfezione fisica e morale si riassumeva in una parola soltanto: καλοκαγαθία (kalokagathía), una crasi della coppia di aggettivi καλός καὶ ἀγαθός (kalós kài agathós), che molto sinteticamente significa: “bello e buono”.
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Silvio Berlusconi, homme d'affaires italien, entrepreneur des médias, politicien et ancien propriétaire du club de football Milan AC Silvio Berlusconi est mort ce lundi 12 juin à l'âge de 86 ans.
Surnommé "Il Cavaliere", Silvio Berlusconi a été au coeur de nombreux scandales sexuels et de nombreux déboires judiciaires. Son empreinte est et sera durable tant il incarne les succès et les outrances de l'Italie paillettes.
Pour en parler Guillaume Erner reçoit : Marc Lazar, professeur émérite à Science Po. Andréa Marcolongo, journaliste et écrivaine italienne. Enrico Letta, président de l'Institut Jacques Delors et ancien Président du Conseil des ministres italiens.
#berlusconi #italie #politique ____________ Découvrez tous les invités des Matins de Guillaume Erner ici https://www.youtube.com/playlist?list=PLKpTasoeXDroMCMte_GTmH-UaRvUg6aXj ou sur le site https://www.franceculture.fr/emissions/linvite-des-matins
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