Onitsha

Ce livre est comme un long poème ou l'auteur raconte l'histoire d'une femme qui part au Nigéria avec son fils Fintan rejoindre son époux. Dans ce livre nous remarquons que l'auteur est profondément marqué et fasciné par ce continent qui cache beaucoup de mystère.

De mon point de vue, j'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l'univers et le voyage de le Clézio .

Le Clezio serait il un marabout ?

Le livre à peine ouvert, j'ai été emportée à voguer sur le bateau avec Fintan et Maou, sa mère. Les sons, les sensations tout est si vivant sous la plume de cet auteur.

Et puis enfin l'Afrique. Animale, ancestrale, rouge, sauvage, la terre mère, berceau de nos origines, de toutes nos peurs et de tous nos rêves, nous enchaîne.

Les états d'âme de chacun se suivent avec plaisir. Les délires oniriques de Allan, le père, sont un peu trop torturés. Mais les découvertes de Fintan, les révoltes de Maou sont touchants.

C'est envoûtant.

Fintan et sa mère Maou quittent la France pour aller rejoindre leur père et mari qui vit dans une petite ville africaine sur les bords du fleuve NIger. C'est là que vit Geoffrey, partageant son temps entre la United Africa et sa recherche du peuple descendant de la dernière reine Egyptienne, Meroe.

L'écriture de ce livre est envoutante. Je me suis laissée entraînée dans la langueur africaine avec ses odeurs, ses bruits et ses couleurs particulières. Ce livre est aussi plein de mélancolie.

sur l'Afrique,
comme tous les LeClézio, c'est poétique et les descriptions font voyager

J'ai eu un peu de mal à rentrer dans Ce roman de le Clézio qui se révèle d'une réelle complexité avec l'enchevêtrement des légendes, des amours, des aspirations, des histoires dans le temps, des amitiés éphémères, des hommes et de la Nature si puissante, si fragile. le tout, pour nous présenter un continent, l'Afrique, avec une force, une passion, sans limites. de l'Europe à l'Afrique, c'est la trajectoire de trois destins qui se nouent à Onitsha. En 1948, mère et fils, s'embarquent pour le Nigéria retrouver le père bien-aimé et inconnu. Mais dans la moiteur du fleuve, au son des tambours, c'est un rêve qui s'effondre et c'est un continent de fièvre et de violence qui surgit devant les yeux effarés des deux nouveaux arrivants. Le Clézio raconte l'itinéraire chaotique d'une famille éclatée que seule la révolte pourra ressouder dans un pays qui n'en peut plus du colonialisme.
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Extraordinaire cette immersion dans la ville nigérienne d'Onitsha dans la période coloniale. Les trois personnages héros du roman sont tous attachants, avec chacun son approche particulière de cette contrée inconnue. le plus attachant de tous est le petit Fintan qui découvre le vie et l'amitié.
la période de confinement que nous venons de vivre m'a permis une relecture de certains romans dont celui-ci .
Sa relecture a suscité chez moi une grande émotion, et je me crois capable de lire cet ouvrage une autre fois encore. C'est un roman qui nous évade dans un pays d'Afrique et dans le passé, et sa lecture nous ravit

Le Clezio n'a pas son pareil pour nous conter l'afrique, la magie, le voyage, le rêve mais également le retour à la réalité. Un beau livre dans lequel on doit s'immiscer

Un voyage en Afrique dans lequel l'auteur part retrouver l'Afrique de son enfance à travers ses personnages

Très poétique. J'ai adoré ce voyage (comme d'autres de le Clézio d'ailleurs !)

L'histoire de la passion d'un anglais pour l'Afrique. La destinée du peuple Meroë ayant fui l'Egypte pour l'Afrique noire. Une civilisation ayant un lien avec la nature, le sens du sacré.