Le vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire

Encore un 5 étoiles !... Apres « le journal d'un corps », Fichetoux nous fait-il un trip gérontophile ?

Que nenni, pas de gérontophilie mais par contre, oui, un trip extraordinaire !

Comme déjà expliqué, un livre doit me faire vibrer (dans le sens positif –même si j'y inclus les larmes qui peuvent parfois être salvatrices- …sinon, les lectures qui m'emm… ca fout mes chakras en désordre et me met de mauvaise humeur, dernière expérience en date, « Gotico »)

Et dans la palette des vibrations « positives », bien sur il y a l'humour, le rire et oh cosmos ultime, le fou rire…donc si un livre me file un fou rire, bingo… alors quand j'en ai 4 sur unr même lecture, c'est l'euro million !!!

Je vous le donne en mille. Ce fut le cas !!

Humour à la Pratchett, personnages à la Pennac ( série Malaussene), ambiance à la Irving, une touche de Forrest Gump en moins sérieux et vous voila embarqué pour cent ans de délire et situations rocambolesques, décalées, bien barrées et tout et tout.
Et c'est tellement « gros », que paradoxalement, ca passe sans problèmes (épisode Vladivostok fabuleux)
De plus, quand vous visualisez l'expression du protagoniste, le regard vide, les sourcils en accent circonflexe et les rouages de son raisonnement qui se mettent en branle alors que l'auteur vous fait 2 phrases dont une de dialogue, chapeau bas !!!

Ma seule crainte…l'adaptation ciné envisagée…mais qui sait ?

Fred-Fichetoux-Beg mode zygomatiques remusclés et endorphines activé

on achète ce livre un peu par hasard.....on a vu la couverture à plusieurs reprises dans des vitrines ou des journaux, le titre intrigue.....
On ouvre le livre, on lit les premières pages et on se dit "j'espère que les 400 pages suivantes vont être meilleures...."
et puis , j'ose écrire : c'est "l'explosion!" et j' entre alors dans un récit complètement loufoque et déjanté qui comporte 2 parties: la vie mouvementée au cours du XX eme siècle d'Allan Karlsson et l'histoire de sa fugue d'une maison de retraite le jour de ses 100 ans et sa rencontre avec une bande de "pieds nickelés"
il y a. longtemps que je n'ai pas éclaté de rire en lisant un livre : mais je n'ai pas pu résister en lisant certaines pages et plus particulièrement celles concernant l'entretien entre le procureur et les héros de cette histoire.
ce livre est un vrai bonheur !

Ce qui est certain c'est que ce roman est allègre et que c'est une lecture agréable et rafraîchissante, que celle de ce livre, que je conseille très fortement. Evidemment, ce n'est pas de la grande littérature, mais… Ca fait du bien ! Oui, ça fait du bien, de lire un roman avec une intrigue qui rebondit toujours, sans un temps mort, plein d'originalité, d'imagination, de fantaisie, d'idées… Oui, ce n'est pas de la grande littérature. Mais ça n'ambitionne pas à l'être. Ca nous fait juste passer un bon moment. Et c'est déjà pas mal.

Je possède ce livre depuis un an et demi environ, et voilà que c'est seulement maintenant que je me décide à le lire, il faut dire que j'avais vu le film au cinéma et que l'histoire était encore bien présente dans ma mémoire et que je préférais attendre pour le lire.
J'ai adoré ce livre qui m'a fait énormément rire, l'imagination de l'auteur est plus que débordante, j'ai adoré son personnage Allan, plein de naïveté, sans aucune bonne ou mauvaise pensée, qui se contente juste de vivre sa vie au jour le jour sans même se soucier de ce qu'il sera dans un jour ou même dans une heure, et qui va avec cet état d'esprit, révolutionner le monde, puisqu'au cours de sa vie, il va rencontrer les plus grands de ce monde et influer sur eux, sans jamais vouloir parler politique ou religion. J'ai adoré les rencontres que Allan va faire tout au long de sa vie, et tous les personnages de ce roman sont superbes, vous l'aurez compris ce livre a été une pépite pour moi et si vous n'êtes pas trop terre à terre et que vous acceptez que tout ce que l'on vous a raconté à l'école en cours d'histoire est faux, alors foncez sur ce livre vous ne le regretterez pas. Je vais de ce pas mettre tous les autres livres de cet auteur dans mon pense-bête, j'attends juste de faire un peu baisser ma PAL.

Plus de 600 critiques sur ce roman, je ne vois pas ce que je pourrais ajouter de plus à ce qui a été écrit depuis sa parution. Je vais donc simplement donner mon avis sur ce vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire et qui s'est fait la malle le jour de ses 100 ans.

Heureusement qu'on m'a donné ce livre ! Je le voyais régulièrement en librairie, mais n'aurais jamais pensé à l'acheter. Et puis, à force de voir des critiques positives du « Vieux » sur Babelio, j'ai finalement franchi le cap et je l'ai sorti de ma bibliothèque. Et d'autant plus qu'il me fallait trouver un auteur dont le nom commence par la lettre J pour le challenge ABC 2014-2015 auquel je participe. Heureusement qu'on m'a donné ce livre, donc, parce que je serais passé à côté d'une histoire grandiose tellement ce roman est drôle et bien conçu. Ce livre m'a plu pour plusieurs raisons : il est bourré d'humour, souvent noir, et les aventures qui arrivent à notre Allan s'imbriquent parfaitement dans l'Histoire, puisqu'on parle là de 100 ans dans la vie d'un homme… qui ne tient pas en place. On lit deux histoires dans ce roman. D'abord on suit les tribulations de notre héros qui a fui soeur Alice et la maison de retraite qui lui a fait perdre sa joie de vivre. Différents personnages entrent alors dans sa vie et quelques mésaventures peu communes ne sont pas à écarter, car quand on s'appelle Allan Karlsson, c'est comme ça, on attire malgré soi ce qui n'est pas commun. Parallèlement, environ un chapitre sur deux, on suit la vie d'Allan de sa naissance en 1905 à sa fuite de la maison de retraite 100 ans plus tard. Notre héros a rencontré des personnages éminents, il a vécu les plus grands conflits du XXe siècle, il a participé à l'élaboration de certaines armes de destruction massive, le tout avec beaucoup de philosophie puisque comme il le dit chaque fois qu'une situation se corse : « Les choses sont ce qu'elles sont et seront ce qu'elles seront ». C'est en tout cas ce que sa maman lui disait. le tout est toujours arrosé d'un coup à boire, sauf au goulag, car Allan se méfie des gens qui ne boivent pas. Il pense en effet que n'importe quel conflit peut se résoudre autour d'un bon verre d'eau de vie fabriqué à partir de lait de chèvre (entre autres). Tout est bien ficelé, même si l'on constate qu'Allan Karlsson est un personnage qui a une chance inouïe et qui tombe toujours sur les bonnes personnes (en général des chefs d'État) au bon moment.

Je sais qu'il y a quelques lecteurs qui n'ont pas apprécié ce roman, trouvant l'humour de Jonas Jonasson un peu « lourd » à la longue. Ce n'est pas mon cas, j'ai beaucoup ri à la lecture de ce livre et les personnages (surtout Allan) me manquent déjà.

Vous pensez savoir comme les Etats-Unis ont inventé la bombe atomique ? Comment la Russie l'a eu ? Comment Staline est mort ? Eh bien vous vous trompez ! Jonas Jonasson nous propose une vision de l'Histoire pour le moins … originale !

Le Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire est le roman qui m'a fait le plus rire en 2012. A chaque page, incrédulité et bidonnage au cours de cette invraisemblable aventure faisant intervenir Allan, le terrible centenaire échappé de sa maison de retraite, mais aussi Mao, le président Truman, etc. Tout cela entrecoupé par une course poursuite halletante (pour nous) et déroutante (pour les policiers) sur les traces de cet original vieillard.

En effet, au jour de ses cent ans, Allan décide de quitter sa maison de retraite qui l'horripile. Ce que l'on comprend après avoir entendu le récit de sa vie … Ce récit déjanté qu'il fait à ses compagnons de fortune, recueillis au cours de sa fuite, et qui comptent des paumés et un éléphant.

Une fuite qui va prendre des faux airs de roman policier. Heureusement, Allan n'est pas homme à s'inquiéter, après cent ans de galère, on finit toujours par sans sortir, surtout en suivant au mot près la formule de sa mère : « Les choses sont ce qu'elles sont et seront ce qu'elles seront. ». de quoi aborder la vie avec flegme et optimisme… « Allan Karlsson n'attendait rien d'extraordinaire de l'existence. Il voulait un lit pour dormir, de la nourriture à volonté, de quoi s'occuper, et un bon coup à boire de temps à autre. Si tout cela lui était acquis, il se sentait capable de supporter presque n'importe quoi. »

Car si quelqu'un a eu besoin de flegme et d'optimisme, c'est bien Allan Karlsson, paisible citoyen suédois qui ne figure pas dans nos livres d'histoire, très injustement au vu du rôle qu'il a joué dans l'Histoire du monde au Xxe siècle. Écoutons ses conseils.

« S'il y avait une chose qu'il avait apprise en parcourant le monde, c'était que les plus insolubles conflits de la planète avaient démarré de cette façon : « T'es bête ! – Non c'est toi qui est bête ! – Non, c'est toi. » La solution était bien souvent de partager une bouteille d'une contenance minimale de 75 cl., puis de regarder vers l'avenir. »

Cette recette devrait être essayée par tous les gouvernements du monde …



Bref, vous l'aurez compris, ce roman n'est pas à prendre au sérieux. Il peut lasser à la longue, mais ça n'a pas été mon cas, car j'ai été émerveillée chapitre après chapitre de la finesse et de l'humour que Jonas Jonasson intègre dans sa manière de revisiter l'Histoire. Accessible à tous, c'est en effet une bonne manière de la découvrir – ou de la redécouvrir en suivant les périples d'Allan, des États-Unis au goulag sibérien, de la Corée du Nord à la France des années 68. Puisant dans une culture historique impressionnante, Jonasson nous la rend plus présente, plus cocasse, tout en respectant scrupuleusement le cours des choses.

Un cocktail hilarant autour du grand Allan, dynamiteur un peu fou, irrationnel, sans attaches, grand voyageur et philosophe. Un peu horripilant parfois. Mais terriblement attachant au final.

A peine le roman terminé, on en redemande.
Lien : http://missbouquinaix.wordpr..

Ce roman a remporté un grand succès il y a quelques années, et il était dans ma PAL depuis sa parution en poche, mais il n'en était curieusement jamais sorti.
A la recherche d'une lecture légère pour contrebalancer la morosité ambiante, je me suis souvenue de ce livre et je l'ai exhumé du fin fond de ma PAL.
Bien m'en a pris car j'ai passé un excellent moment en compagnie de ce vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire!
J'ai beaucoup souri à la lecture des aventures d'Allan Karlsson et de ses compagnons de route, que ce soit dans le présent ou dans le passé puisqu'il y a une alternance de chapitres.
Les personnages sont très attachants, le style humoristique et l'histoire loufoque. Cela donne un ensemble très réussi.
Ce roman m'a beaucoup fait penser à Forrest Gump évidemment pour la façon qu'a Allan de traverser les grands événements historiques, mais aussi à des romans de Barbara Constantine ou d'Anna Gavalda pour le côté tendre et attachant des personnages.

La lecture de ce roman a été pour moi une bouffée d'hilarité.
Je découvrais l'auteur et son style. Et j'ai adoré parcourir le monde avec lui. Et j'ai même aimé rencontrer tous ces dictateurs.
Et pourtant à la fin je me suis interrogée sur ce vieux ? Qu'est ce que ce récit ?
- le délire d'un centenaire qui n'a plus toute sa tête ?
- Une expérience de mort imminente ?

Bref il m'a amusé et en même temps Il m'a attristé.

Allan a 100 ans aujourd'hui, mais il est hors de question qu'il fête son anniversaire dans cette maison de retraite où soeur Alice impose des habitudes de vie réglées comme du papier à musique. Alors, il décide de sauter par la fenêtre et de s'enfuir.
A partir de là, débutent les aventures rocambolesques du centenaire qui croisera gangsters, éléphant, presque médecin...
Et puis la vie d'Allan, n'ayant pas été un long fleuve tranquille, il se remémorera ses rencontres avec les grands de ce monde. C'est qu'Allan, avant d'être un sage (?) pensionnaire, a été artificier et son expérience en la matière lui a permis de voyager sur plusieurs continents et de donner un coup de pouce à Franco, Truman, Mao, Staline...

C'est drôle, hilarant, délirant, extravagant...
Ca fait du bien, ça soulage, ça met de bonne humeur et ça ne coûte rien à la sécurité sociale !

Que la lecture de ce livre est jubilatoire ! Chaque page fait sourire et parfois même rire franchement, tellement Jonas Jonasson excelle pour manier humour et dérision.

Le lundi 2 mai 2005, jour où toute la maison de retraite et la municipalité de Malmköping se préparaient à fêter son centième anniversaire, Allan Karlsson s'enfuit en sautant par la fenêtre. Il trouve tout de suite que c'est bien plus rigolo d'être en cavale, loin de Soeur Alice, que couché six pieds sous terre. C'est cocasse et notre héros nous gratifie de réflexions délicieuses alors que ses douleurs lui rappellent qu'il est toujours…vivant ! L'auteur utilise bien le comique de répétition et l'animation ne manque pas.
Soudain, on abandonne ce qui se passe en 2005 pour un retour en arrière important afin de découvrir ce que fut la vie d'Allan. Là, on n'est pas déçu : sa vie est proprement extraordinaire avec des rencontres, des malheurs, une chance incroyable mais notre homme, avec une espèce d'inconscience loufoque, réussit toujours à s'en sortir. Sa philosophie de la vie, elle tient dans une phrase que répétait souvent sa mère et qu'Allan va faire sienne : « Les choses sont ce qu'elles sont et elles seront ce qu'elles seront. »
Inutile de détailler tout ce qui arrive à Allan pendant son siècle de vie sur la Terre car ce serait déflorer ce qui fait le charme d'un récit aux multiples rebondissements. Nous pouvons simplement dire que notre héros va voyager beaucoup et côtoyer des hommes qui ont marqué l'histoire du XXe siècle.
En parallèle à l'histoire de sa vie, l'action se poursuit jusqu'à la fin du mois de mai 2005 et là aussi, les rebondissements sont tous plus extraordinaires les uns que les autres.
Bref, pour se détendre, rire, sourire, réfléchir aussi, il faut lire "Le Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire", de Jonas Jonasson, un véritable petit bijou.
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