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EAN : 9791028121280
416 pages
Bragelonne (10/04/2024)
3.4/5   24 notes
Résumé :
Le choc de deux mondes : entre les deux ne restent que des miettes après la collision.

Tous les ans, l'Appologium réunit les meilleurs guerriers et guerrières de tout le continent pour rejouer sans fin l'affrontement des deux colosses : Mantris, la cité ultratechnologique et Arkhante, le royaume des 7 magies. Mais dans le bruit qui fait rage, Solis, la jeune Malkah Arkhante, et l'Ordonnateur, le représentant des citacs mantri, entendront-ils le vérita... >Voir plus
Que lire après Cross the Ages, tome 1 : La Rune & le CodeVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (17) Voir plus Ajouter une critique
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Intéressant et agréable à suivre.

Un nouvel univers mélangeant le post apo, la fantasy et la SF version cyberpunk. Arkhante et Mantris sont en compétition, à défaut d'être en guerre, trop coûteuse, avec le rift, le parent pauvre pour arbitre.

Ce premier tome nous fait découvrir les trois peuples se partageant la planète (?) à travers des combats (aux effets spéciaux, superpouvoirs magiques et techno, divers et variés), manigances et jeux de pouvoir de part et d'autre. On évolue dans les hautes sphères, au plus proche du pouvoir, là où ça compte.
L'univers est riche et annonce clairement une série de livre dont le nombre reste indéterminé. Un jeu sur internet a été développé en parallèle ( www.crosstheages.com) qui semble, d'après la présentation visuelle, être un jeu de combat et de cartes façon Yu-Gi-Oh! Et cet opus en est la vitrine. Après, n'étant pas particulièrement fan de jeux vidéo, je n'ai pas testé. Je vous pose donc ça là et vous laisse découvrir le jeux si le coeur vous en dit.

Même s'il nous permet de découvrir, effleurer dira-t-on ce nouveau monde, ce premier roman est surtout centré sur la Malkah Solis, la reine d'Arkhante, le monde fantasy. Une jeune femme très attachante qui illumine le récit.

L'auteur pose les bases très rapidement et la lecture est donc assez facile à suivre, un peu plus la partie fantasy que la partie cyberpunk d'ailleurs, mais rien de rédhibitoire. Les personnages, variés, sont bien identifiés. Un agréable divertissement qui aurait mérité d'être un poil plus complexe et soutenu, finalement, maintenant que j'y pense, (jamais content moi). Mince il y a du Damasio au casting quand même.

Bref un sympathique entrée en matière, qui ne révolutionnera pas le monde des jeux, de la SF ou de la Fantasy, mais qui mérite d'être suivie.
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Un monde, l'Artellium. Deux civilisations on ne peut plus opposées. D'un côté, il y a Arkhante, un univers qui se base sur la magie, une magie sur le déclin car reposant sur le pranah, indispensable à tout sortilège. de l'autre, Mantris, où les technologies les plus folles et une IA démentielle permettent d'augmenter les êtres « humains ». Tout petit problème : pour que cette civilisation puisse subsister, elle doit se délivrer de sa dépendance à une roche qui leur fournit l'indispensable énergie, le trisel. Or, du trisel, ils n'en ont presque plus. Cependant, une source abondante se trouve dans le Rift à portée de main. Problème, le gisement est adossé à la limite avec Arkhante, et les habitants de cette civilisation détestent qu'on martyrise la terre, qu'on y pratique des entailles, tout cela pour gaspiller l'énergie en inventions qu'ils jugent inutiles et débiles.
Après un conflit ô combien destructeur, les deux civilisations ont opté pour un affrontement moins sanguinolant, dans une atmosphère de guerre froide, où il suffirait de peu pour qu'une vraie conflagration sans merci reprenne pour de bon.
Le principe ? Chaque civilisation envoie sept champions, des gladiateurs en somme, s'affronter dans une arène située en territoire neutre : le Rift ! « Mais qu'est-ce que le Rift ? », vous demandez-vous. Pour résumer, un endroit désertique, malsain, où vous n'aimeriez surtout pas vivre. Enfin, quand je dis « vivre », vous me comprenez, n'est-ce pas ? « Mais pourquoi ce lieu est-il aussi malsain ? », m'interrogez-vous, bande de petits curieux insatiables ! Eh bien, je vais vous répondre. le Rift, suite à la guerre qui a opposé les deux civilisations, a été vibradié. Vous comprenez bien que toute vie y a été rendue impossible… Eh bien, non ! Pas tant que ça ! Là vivent des laissés pour compte, complètement négligés par les deux superpuissances. Ces individus sans aucun intérêt ne disposent ni de pouvoirs magiques ni de brillantes technologies, des moins que rien, vous dis-je !
Mais je m'éloigne du sujet. Si chaque civilisation, digne de ce nom, envoie sept combattants, sept glasiateurs, vous vous attendez à ce qu'ils s'affrontent, Arkhantes contre Mantre (nom invariable désignant un habitant de Mantris) ? Ah, comme c'est regrettable que vous n'ayez point l'esprit aussi tortueux que les inventeurs de ce jeu mortel, suivi par tous les habitants des deux camps, et objet de nombreux paris ! En fait, chaque Arkhante est relié par une sorte de chaîne/fouet magique/technologique à un Mantre. Ils forment équipe afin d'éliminer les autres binômes. A la fin, le lien, ou la chaîne si vous préférez, se brise et ils doivent s'éliminer l'un l'autre car il ne saurait y avoir plus d'un vainqueur. Il apporte ainsi la victoire à son camp qui est en droit de demander une faveur au perdant.
Tout est prêt. le coup d'envoi est lancé… Mais se pourrait-il qu'un grain de sable (du Rift) vienne gripper la belle machinerie imaginée par les deux puissances ?

Critique :

Attention, il vous faudra une bonne dose de courage en début de lecture tant il y a une profusion de mots inventés par les auteurs. Heureusement, il y a, en fin d'ouvrage, un lexique indispensable pour comprendre ce jargon. Personnellement, je n'aime pas ce principe qui consiste à créer totalement un univers en lui appliquant un vocabulaire très spécifique pour tout et pour rien, cela fait perdre un temps de lecture et peut décourager des personnes peu habituées à ces genres littéraires.
Passé ce cap, et une fois familiarisés avec ce jargon, vous voilà plongés dans deux mondes ô combien opposés, au point que vous ne savez plus à quel saint vous vouer : fantasy ou science-fiction ?
Les deux, mon capitaine ! Ceux qui aiment la magie pure vont tiquer avec l'intervention perpétuelle de la high-tech très teintée d'IA. Ceux qui détestent la fantasy verseront bien des larmes de métal en constatant l'omniprésence de la magie.
Quant aux autres, ils profiteront d'un récit palpitant où la diplomatie, les coups tordus, les combats, les complots se succèdent à un rythme effréné. « Et l'amour ? », me demandent les indécrottables amateurs de romance. Eh bien… Heu…
Ce roman rappellera à d'aucuns l'excellente série Hunger Games à cause des combats dans l'arène, mais là s'arrête la comparaison. D'ailleurs, on a ici affaire à des combats plus proches de ceux des jeux du cirque romain que de l'univers plein d'illusions de Panem.
Le récit est d'autant plus captivant que le lecteur passe de l'esprit d'un personnage à l'autre et se trouve confronté à des points de vue d'autant plus intéressants que les paroles des interlocuteurs dissimulent leurs vraies pensées et les préoccupations qui les tracassent le plus. Loin d'être manichéen, ce récit révèle la complexité des personnages principaux qui poursuivent souvent des objectifs nobles, dans l'intérêt exclusif de leurs peuples, sans oublier les ambitions personnelles. Cette complexité de sentiments est-elle due au fait que c'est un ouvrage collectif auquel six auteurs ont pris part ?
Bon, ben, à quand la suite ?

Merci aux éditions Bragelonne et à Babelio pour cette « Masse critique spéciale » qui m'a permis de jouir de ce 1er tome qui semble annoncer une série très prometteuse.
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J'ai reçu La rune et le code d'Arnaud Dollen via la masse critique de Babelio. Paru aux éditions Bragelonne, ce premier tome ouvre la porte d'un univers transmédias déjà existant en jeu vidéo. Ici, j'étais intéressée par la découverte d'un monde qui mêle Fantasy et science-fiction. Qu'ai-je pensé de cette première plongée dans cet univers ?

Le roman met en scène deux peuples qui reposent sur des sources de pouvoir différentes, et un troisième, le Rift, dénué de pouvoir et donc vu comme sans intérêt. Arkhante est un monde magique dont le mode de vie repose sur des puissances élémentaires. Mantrix est une société ultra-technologique peuplée de transhumains, de robots et d'intelligences artificielles. Ces deux peuples sont bien sûr en conflit et le seul moyen d'éviter une guerre ouverte est un concours, une arène entre gladiateurs. le gagnant peut choisir une faveur diplomatique à l'autre camp. Voilà qui résume bien la rune et le code, des plaisirs simples et des archétypes reconnaissables bien emballés. Après tout, c'est un roman adapté d'un jeu vidéo, ce qui lui permet de reposer sur des bases narratives au présupposé fort mais pas forcément très original. En tous cas les différents aspects, Fantasy et SF, cohabitent très bien, formant un univers cohérent et foisonnant.

Ceci dit, j'ai plutôt apprécié en savoir plus sur les modes de vie d'Archange et de Mantrix, qui ont plus en commun qu'on l'imagine. D'abord, les deux sociétés connaissent une disparition progressive de ce qui fait la source de leur puissance, mais qui maintient leur quotidien fonctionnel. le Pranah, source de la magie se tarit, là où l'énergie de Mantrix, sous forme de piles, disparaît. Ceci dit, c'est l'occasion de présenter des façons ingénieuses d'utiliser la magie ou la technologie à des fins politiques, guerrières, festives, récréatives etc. Cependant, le roman use et abuse de néologismes ou de mots créés de toutes pièces, quel que soit le camp, qui rend parfois la lecture plus ardue qu'elle ne devrait être, sauf quand elles sont transparentes. Je pense que la taille du glossaire en fin de livre est assez révélatrice du phénomène.

La rune et le code nous emporte au plus près des décideurs, à savoir l'Ordonnateur et la nouvelle reine d'Arkhante, l'inexpérimentée Solis. Entre trahisons, enquêtes et jeux de pouvoir, l'histoire avait du potentiel. le récit souffle toutefois de certaines inégalités dans son déroulé. L'arc scénaristique dédié à Mantrix et son ordinateur est moins passionnant que celui qui prend place à Arkhante. Cela donne l'impression d'un coup de mou dans la première partie du milieu du récit. Coup de mou d'autant plus perceptible que le début du roman attaque par le fameux combat en arène entre les deux territoires principaux. Je comprends que ce soit nécessaire pour poser les bases de l'univers, mais le récit est souvent alourdi par des fioritures qui n'apportent pas grand-chose, y compris en termes de style.

Dans un premier temps, les personnages sont vraiment très nombreux. Cross the ages se veut un jeu de cartes à collectionner, du coup on y place un maximum de monde, quitte à n'en faire qu'une référence. A cela s'ajoutent des dénominations de titres et de rôles absconses (je n'ai toujours pas compris la différence entre un archonte et un Primus etc.), ce qui rend parfois difficile de se souvenir de qui fait quoi exactement. Il y a également quelques schémas peu compréhensibles qui apparaissent au milieu de récit, ou d'autres éléments qui indiquent un manque de compréhension des codes utilisés. Par exemple, un personnage est désigné sous un pronom qui semble neutre, Ael, pour l'appeler « la jeune fille » le reste du récit. Ce genre d'incohérence trahit, pour moi, un manque de finition dans certaines recherches pour la création du roman.

Nous sommes face à un récit dont j'ai apprécié les différents éléments. Si rien ne semble très original, les aspects Fantasy et science-fictionnels s'emboîtent très bien, formant un ensemble plus riche dans leurs hybridations que pris séparément. Même si la fin du récit gagne en rythme, les multiples néologismes et personnages qui alourdissent le rythme rendent la lecture plus laborieuse qu'elle ne devrait être. La partie dédiée à Arkhante est mieux menée que celle de Mantrix. C'est donc un roman qui me laisse curieuse de découvrir la suite malgré le manque de finitions dans certains passages.

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Cross the Ages, l'ovni livresque des éditions Bragelonne qui fait mouche !

Arnaud Dollen et les cinq autres auteurs qui l'accompagnent nous immergent dans un monde où Science-Fiction et Fantasy cohabitent avec brio, deux genres aux codes strictes qui pourtant s'épousent à merveille. Deux genres qui accueillent le lecteur dès la couverture, un magnifique travail d'illustration de Johann Papayou Blais.

Je ne suis pas férue de SF, tout du moins j'ai toujours eu quelques difficultés à me fondre au coeur des univers créés par les auteurs du genre, et pourtant, tout ou presque m'a semblé fluide dans Cross the Ages.

Le monde, l'Artellium, est divisé en trois civilisations : les Mantris (côté SF), les Arkhantes (côté fantasy) et les Riftiens (un mix des deux ?). Chaque partie se trouve au coeur d'une guerre froide que la moindre étincelle peut transformer en incendie ravageur. Pour entretenir un semblant de "justice" et apaiser les esprits en quête de vengeance, des jeux sont annuellement organisés : un combat, l'aballition, où l'alliance des deux principales civilisations menera paradoxalement à la perte de l'une ou de l'autre partie (les Riftiens étant historiquement interdits de jeu). Ce combat fera éclore un personnage clé qui changera la destiné de l'Artellium, sclérosé par des complots et affaibli par une nature en perte de vitesse qui menace la magie des Arkhantes et les ressources des Mantris.

J'avoue avoir une préférence pour la civilisation Arkhante, pour sa culture et sa magie même si les Mantris, ce peuple ultra-connecté et extrêmement doué en terme de robotique, n'est pas en reste. J'apprécie l'organisation royale des Arkhantes et leur magie, ces sept puissances qui leur donnent un avantage certain depuis des siècles : l'arkhome (ou magie) de l'Air, de la Terre, du Feu, de l'Eau, de l'Ombre et de la Lumière. Chacune de ces puissances est décrite de façon subtile par les auteurs : dès que l'un des Primus (les maîtres des mages) apparaît au coeur de l'histoire, le vocabulaire revêt les apparats qui les concerne (par exemple pour l'Eau, les adjectifs et verbes sont choisis en conséquence), rendant le lecteur complice des émotions et ressentis des personnages.

J'ai vraiment été sensible à la choralité du récit qui propose ainsi différents points de vue et à l'ensemble de ses plumes qui se sont unis pour donner une écriture de qualité qui use sans vraiment abuser de métaphores et comparaisons (procédés stylistiques qui sème la graine de l'imaginaire en nous). Ce premier tome (sur sept) comporte pas mal de descriptions, certains pourront accuser quelques longueurs, mais c'est idéal pour poser les bases des futurs tomes (un par an, l'attente va être longue). C'est un roman qui, au-delà de nous raconter une histoire fictive et post-apocalyptique, met également l'humain au pied du mur de ses capacités : quelles sont les limites à la création ? quelles sont les limites du "toujours plus" pour rendre l'Homme plus fort ? jusqu'où la liberté d'entreprendre peut-elle aller sans empiéter sur les libertés d'autrui ?

Les personnages sont nombreux, les principaux reviennent régulièrement tandis que d'autres apparaissent et disparaissent aussitôt, non sans laisser une trace importante dans le déroulé du récit. Une richesse "protagonistique" qui donne de la matière au roman, même si cela a pu me perdre par moment (surtout au début). Si je ne devais retenir qu'un personnage, je dirais que j'ai été sensible à Solis, cette reine si humaine qui évolue au sein d'un environnement où justement l'humain à chuter de plusieurs mètres dans la chaîne des valeurs. Sa puissance et son esprit font mouche. J'ai également un petit crush pour l'Ordonnateur, un personnage énigmatique qui promet pas mal de rebondissements (je trouve d'ailleurs qu'il est un peu le reflet masculin de Solis). En revanche, malgré sa position, Aurèle m'a un peu agacé... (comprendront qui liront :D )

En somme, à la lecture des premières pages, je n'imaginais pas que "Cross the Ages" serait un coup de foudre, la première phrase un brin alambiquée m'ayant fait penser que le roman risquait d'être complexe. Mais plus j'avançais dans ma lecture, plus je me fondais dans l'environnement et m'attachais aux personnages. Un véritable film qui s'est imprimé dans ma rétine et qui offrera je l'espère une belle saga littéraire (d'ailleurs, je me suis penchée sur le jeu de cartes Cross the Ages histoire que l'attente du prochain tome soit moins rude :p).
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Alors, pour mon premier livre de littérature fantasy, on peut dire que j'ai été servi
Suite à la guerre entre Matris et Arkhante, le combat ultime, nommé bataille des héros qui a mis fin à l'affrontement, a aussi donné naissance au Rift, un troisième territoire, une sorte de no man lands, une terre dévastée mais au sous sol riche en Trisel, source d'énergie indispensable à la pérennité technologique.
Depuis, ils commémorent chaque année cette date, par des combats de gladiateurs. Ainsi Matris, citée de la technologie et des êtres augmentés s'oppose, dans l'arène, à Arkhante, royaume de la magie.
Voilà pour l'environnement et le synopsis.
Concernant les personnages, multiples, peut être un peu trop, ils ont tous, comme on peut s'y attendre, une particularité physique ou psychique qui les caractérise, Ils ont de plus chacun leur rôle dans la hiérarchie et l'organisation de ce monde
L'ensemble donne des descriptions florissantes qui favorisent l'imaginaire.
Ça c'est pour le positif, parce que pour le reste, j'ai trouvé l'histoire compliquée, sans vraiment d'entrain ni d'aboutissements, avec en plus un nombre conséquent de mots totalement inventés par l'auteur qui ne facilitent en rien la lecture et la compréhension, même si on peut se référé au glossaire en fin d'ouvrage.
Les chapitres s'enchaînent parfois sans réel lien, alors que le déroulement de l'histoire de base ainsi que son objectif sont somme toutes clairs et explicites, on se perd dans un dédale d'informations, de passages sans intérêt et de descriptions alourdîtes.
Ce bouquin est tiré d'un jeu de cartes que je ne connaissais pas, du style « Magic » et il est a priori le premier tome d'une saga que je lirai assurément pas, ayant déjà eu du mal à terminer cet ouvrage fastidieux
Merci tout de même à Masse critique pour cette découverte.
On ne peut pas gagner à chaque coup, il en faut pour tous les goûts
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critiques presse (1)
Syfantasy
12 avril 2024
Des idéalistes, des conservateurs, des survivants ou encore des ambitieux, ce roman choral nous dresse le portrait d’un univers où les genres s’affrontent et s’entremêlent avec force. Les combats sont sanglants et cruels, les personnages sont complexes et les enjeux vitaux à chaque échelle de ces sociétés.
Lire la critique sur le site : Syfantasy
Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
Voilà pourquoi on arrive pas à convaincre les gens (…) Il suffit de dix secondes pour dire une connerie, mais il faut trois minutes pour expliquer pourquoi c’en est une. Tout le monde a dix secondes, mais personne n’a trois minutes.
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Le ver ne choisit jamais de vivre dans une pomme pourrie, il choisit toujours de faire pourrir une pomme saine.
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« Voilà pourquoi on n’arrive pas à convaincre les gens, de lamente-t-il sans vraiment s’adresser à Salomé. Il suffit de dix secondes pour dire une connerie, mais il faut trois minutes pour expliquer pourquoi c’en est une. Tout le monde a dix secondes,  mais personne n’a trois minutes… »
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Elle triture les anneaux de sa tresse pour masquer son trouble et elle lui lance, soudain grave :
« Pouvoir n’est pas le plus difficile. C’est vouloir qui est vertigineux. Savoir vouloir. Savoir ce qu’on veut. » (p. 250.)
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Le ver ne choisit jamais de vivre dans une pomme pourrie, il choisit toujours de faire pourrir une pomme saine.
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