AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,69

sur 549 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Ecotopia est un pays qui réunit trois anciens Etats de l'ouest américain qui ont fait sécession pour vivre "à l'état d'équilibre" avec la nature. William Weston, journaliste new-yorkais, obtient un visa pour faire découvrir ce pays à ses lecteurs. le livre a été écrit en 1975, et on y sent bien l'influence de la contre-culture américaine, et aussi de la guerre froide.
L'Ecotopia est bien sûr une utopie où il faut bon vivre grâce aux principes éprouvés depuis vingt ans par ses habitants. le récit est toutefois un peu répétitif et trop linéaire : on ne voit que le point de vue de Will, tantôt dans ses articles sur différents thèmes en Ecotopia (le travail, les loisirs, le sport, les habitations, les déplacements, les Noirs, l'hygiène, l'éducation, la santé...), tantôt dans son journal intime (sa vie sexuelle est intense). Evidemment, Will, l'Américain sûr de lui et un peu crétin, finit par ses transformer au contact des Ecotopiens. A lire donc presque comme un manifeste plutôt que comme un roman, même si certains passages semblent un peu obscurs et peu vraisemblables (la construction des maisons en plastique végétal, les voitures en bois, notamment).
Commenter  J’apprécie          110
Imaginez.. Un monde complètement différent isolé du reste des Etats-Unis. La Californie, l'Oregon et l'Etat de Washington décide de faire sécession et de construire, une société baptisée Ecotopia. L'objectif étant de vivre en harmonie avec la nature, de renouer des liens entre les Hommes, de favoriser l'expression des sentiments..
Vingt ans ont passé, dans la douleur au début, dans une harmonie ensuite. Un journaliste new-yorkais, William Weston, a l'autorisation pour la première fois, de rentrer en Ecotopia. Il arrive bourré de préjugés et découvre avec stupeur un pays dirigé par, comme il le dit, " ces foutues bonnes femmes".
Ce livre est constitué de ses articles qu'il envoie à son journal et de son "carnet de bord" plus intime..
Ses articles sont envoyés au Time Post et parlent de tous les aspects de la société écotopienne: politique, éducation, économie, recherche, l'environnement, le rôle des hommes et des femmes, le travail, les arts, la famille, etc..
Son "carnet de bord" révèle quant à lui, la transformation intérieure du journaliste..
On n'imagine pas une seconde, au cours de la lecture, que ce roman, vendu à plus d'un million d'exemplaires a été écrit en 1975, tellement il est d'actualité! Toutes les luttes écologiques y figurent!

Une autre société est -elle possible? Responsable, pacifique, soucieuse de l'environnement et privilégiant l'épanouissement personnel?.. Vous avez quatre heures..
Commenter  J’apprécie          100
Vingt ans plus tôt, trois états de la côte ouest des USA font sécession. Ecotopia est née, basée sur l'écologie, au centre de toute la société, de l'économie etc.
20 ans après, William, journaliste au Times-Post est envoyé en Ecotopia. Les relations entre les deux pays se détendent. Il va alors faire connaître cet État et son fonctionnement aux américains. Il y rencontre Marissa, et il devra faire des choix : repartir… ou rester ?

Le texte alterne articles de fond pour le journal et carnet de bord personnel. Ce dynamisme permet de découvrir Ecotopia en même temps que William. Un petit artifice romanesque en fin de récit, du style "ceci est véridique et je publie ça tel quel" est bienvenu, je suis bon public pour ce genre de choses. Ca a surtout masqué la vraie fin du roman que personnellement j'ai vu arriver de trèèèèès loin. Pas de surprise donc sur le récit.
D'autre part, on frôle parfois l'essai dans ce texte; ce n'est pas un mal mais ça a eu tendance à m'endormir un peu : il n'y a pas beaucoup de rebondissements, ce n'est pas un roman plein d'action.

Sinon, ce texte est visionnaire. On retrouve toutes les préoccupations écologiques qui sont les nôtres aujourd'hui. C'est d'ailleurs un peu flippant (et désespérant aussi...) de se dire qu'on a connaissance du problème (et de solutions) depuis plus de 40 ans; à se demander ce qu'on a fabriqué depuis… Bref, William présente des technologies avant-gardistes, c'est intéressant et fouillé. Ce texte est une très bonne base pour réfléchir sur notre fonctionnement actuel car l'écologie est au centre de l'Etat mais a aussi abouti à un renouvellement de tous les aspects de la vie : société, emploi, rapports Hommes/Femmes, culture et éducation, économie…


Par contre, je n'ai pas aimé du tout l'aspect très années 70 des rapports humains. On se croirait à Woodstock. On a dans ce roman une société hypersexualisée et complètement décomplexée, après tout tant mieux mais j'avoue que la vie sexuelle de William et les fantasmes clichés de l'époque m'ont agacée, d'autant qu'ils finissent par prendre tout le devant de la scène. Et honnêtement, ce n'est pas ce que j'attendais dans ce livre. Sur ce plan, pas de doute, le livre est bien de son temps.


Finalement, une lecture mitigée donc, mais qui ne remet pas du tout en question l'intérêt du texte et des réflexions qui y sont abordées. Sur ce plan, je ne suis pas le public idéal. Sur l'autre aspect, j'imagine que c'est très personnel, et d'autres auront certainement d'autres ressentis.

Lien : https://zoeprendlaplume.fr/e..
Commenter  J’apprécie          90
Pour apprécier Ecotopia, il faut retenir qu'il fut publié en 1975 !
On part en voyage avec William Weston en Ecotopia, société autonome et écologiste formée de la Californie, de l'Oregon et de l'Etat de Washington qui ont fait sécession des Etats-Unis.

Le roman alterne entre les articles publiés par le journaliste qui font le point sur les différents aspects de la société écotopienne (santé, transport, médias ...) et le carnet de bord de Weston.
Ce journal intime se révèle bien plus palpitant au fur et à mesure de la lecture, Weston se laissant conquérir petit à petit par le mode de vie de l'Ecotopia, il transcrit ainsi son enthousiasme dans son récit personnel.

Ce roman est une utopie joyeuse et réconfortante.
On y découvre de nombreuses organisations ou développements sociétaux et technologiques actuels, d'où mon étonnement à découvrir la perspicacité et la clairvoyance de l'auteur à son époque !
Les vidéophones et le télétravail, la remise en cause du temps de travail ...
Mais aussi des idées très intéressantes comme le "service forestier" lors duquel on travaille dans un camp forestier pour compenser son usage des ressources naturelles pour construire sa maison.

Ce n'est toutefois pas un coup de coeur, le style d'écriture n'étant pas le plus entraînant qui soit.
Commenter  J’apprécie          60
Ecotopia a un côté fascinant. En effet, à sa lecture, il est difficile de concevoir que l'auteur l'a écrit il y a près de 50 ans, alors que l'écologie et le développement durable était encore des notions émergentes, franchement marginales. Et pourtant, Ernest Callenbach a une vision déjà très globale du problème... Et des solutions ! Ses approches de l'urbanisme, de la mobilité, de la gestion des ressources naturelles sont assez époustouflantes et inspirantes.

En revanche, on ne peut pas dire qu'Ecotopia soit un roman très fluide et, à vrai dire, j'ai trouvé que le style littéraire tout comme l'arc narratif était pauvre, pour ne pas dire raté. Et c'est dommage, car l'idée de départ est séduisante : envoyer un pur produit américain, franchement hostile, en reportage en Ecotopia, cette "dictature écologiste" en racontant ce qu'il voit à la fois par ses articles et par ses écrits personnels promettait de belles choses. J' aurais ainsi aimé voir beaucoup plus comment l'homme changeait et le journaliste lui, s'évertuait à conserver son regard externe. Mais on sent bien trop, dans l'écriture du personnage principal, qu'Ernest Callenbach est un grand convaincu. Et lorsqu'il essaie d'être critique au travers de son personnage envers l'Ecotopia, on sent bien que ce n'est qu'une manière déguisée de la mettre en valeur, souvent en exagérant les travers de la société américaine.

Finalement, j'ai trouvé qu'il y avait beaucoup à apprendre de ce livre, et que les idées de l'auteur était assez fascinantes, mais le manque de subtilité général (je passe d'ailleurs sur la fixation sexuelle omniprésente du livre) le desservait.
Commenter  J’apprécie          50
Ce livre se compose de moyens de communication : le premier étale les articles de William Weston, journaliste américain qui a été admis au sein d'Ecotopia, ce pays (trois états côté ouest Californie/Oregon/Washington) qui a fait sécession avec les USA et qui prône une économie, une vie et une constitution plus adaptée à la nature, à la valeur de chaque individu, à une égalité totale entre les hommes et les femmes, et un respect mutuel.
Quand il débarque, lui le journaliste aguerri, il est plein de préjugés sur le pays qui, vu de l'autre côté de la frontière, est retourné au moyen-âge.
Le second moyen est le journal de bord, intime, dudit journaliste qui étale sa vie quotidienne, ses rencontres, ses discussions, ses réflexions sur sa vie aux Etats-Unis, ses problèmes de couple, etc.
Petit à petit, il évolue dans sa vision d'Ecotopia, grandement grâce/à cause de Marissa, femme libre, attirante, sans prise de tête, libertine et ancrée dans ses besoins, loin du schéma qu'il connaît depuis son enfance.
A travers ses yeux, on découvre le pays, les conditions de vie, de développement économique, sociétal, les lois égalitaires, la présidente, les différentes autorités locales, la démocratie participative, la liberté des moeurs afin que chacun soit libre de vivre comme il l'entend, et ce côté un peu nature(aliste) de chaque écotopien/nne.
Alors oui, au fil du récit, on s'amuse beaucoup d'une telle société, des interrogations de William, de sa jalousie, de ses comparaisons, des éclairages plus ou moins partiaux sur Ecotopia, et sur le fait que tout n'est pas plus vert ailleurs et encore moins parfait…
Pourtant, ce texte publié en 1975, trouve de nombreux échos avec nos sociétés actuelles, nos problèmes climatiques, nos examens de conscience politique et notre avenir en tant que civilisation.
Etonnamment, on se plaît à piquer çà et là quelques bonnes idées, même utopiques pour la plupart, sauf à remettre tout à plat (une bonne guerre ?).
Roman agréable à lire pour réfléchir (ou pas), pour comprendre (ou pas), que toute nation prépare le futur des générations futures (et pas la suivante, malheureusement).
Commenter  J’apprécie          50
Ce roman est précurseur, visionnaire, et d'une grande originalité. Une uchronie est la réécriture de l'histoire, une utopie est une société idéale. Ici, l'écotopie serait le récit du lieu de vie idéal, mais la racine "éco" fait penser à l'environnement. C'est donc le roman d'un lieu idéal qui respecte la nature et l'écologie. En avance sur son temps - l'auteur écrit dans les années 70, cette société idéale traite de recyclage, de fin du plastique à usage unique, de télétravail, de voitures électriques... C'est un hymne à la décroissance avant l'heure. Quelques idées ne seraient cependant pas reprises aujourd'hui par des théoriciens actuels, comme l'importance de la chasse pour se nourrir - pas très vegan...
Cependant, si les articles sur le fonctionnement de cette société, sur la place des femmes notamment, sont très intéressants, c'est une oeuvre trop pédagogique pour être un bon roman à intrigue : on comprend très vite que le journaliste tombe amoureux du pays et de ses habitants - ou d'une de ses habitantes en tout cas, et qu'il va rester sur place. A voir plus comme un essai que comme un roman donc, il n'y a d'ailleurs aucun point négatif, aucun revers, cette société n'a pas de failles et est totalement parfaite.
Commenter  J’apprécie          51
Ecotopia est un livre écrit en 1975 par Ernest Callenbach, le rédacteur en chef d'une célèbre revue de cinéma, et récemment republié en France par les éditions Rue de l'échiquier. Son thème ? Comment vit-on en Ecotopia, un pays qui a décidé de mettre l'écologie au coeur de ses principes? A l'heure où l'on parle de plus en plus de la nécessité d'un développement soutenable, ce livre, pourtant paru il y a plus de quarante ans, reste d'une grande actualité.
Vingt ans après la sécession de plusieurs Etats américains (l'Oregon, une part de la Californie et l'état de Washington) pour créer un nouvel Etat basé sur l'écologie, le journaliste new-yorkais William Weston est autorisé à rentrer en Ecotopia, pour enquêter sur ce nouveau pays.
Les notes prises par Weston et les articles qu'il rédige pour le Times-post constituent le récit. le carnet de bord personnel du journaliste a le mérite de montrer le changement progressif de William Weston vis-à-vis de la société écotopienne (d'abord ironique, il est peu à peu acquis aux principes du nouvel système) ; ce carnet devient de plus en plus différent de la version plus policée qu'il destine aux lecteurs américains.
Qu'est-ce que ce nouvel Etat et quels sont ses principes ? Au fil des pages, le lecteur découvre l'ensemble des mesures qui ont été mises en place depuis 1974, l'année de la sécession. le recours aux transports en commun et vélos gratuits, le recyclage, la végétalisation des villes, la semaine de vingt heures, la production d'énergies renouvelables avec un fort accent sur le côté local… Un fonctionnement en rupture avec la pratique du voisin Etats-Unien.
On est quelque peu stupéfait car on se dit que les solutions qui sont prônées aujourd'hui pour freiner le réchauffement climatique sont toujours les mêmes qu'évoquées il y a plusieurs dizaines d'années. Cela peut paraître exaspérant. On y parle par exemple d' « une économie domestique fondée sur l'état d'équilibre : tous les déchets alimentaires, les eaux usées et les ordures devaient être transformés en engrais organiques destinés aux terres cultivables, où ils entreraient à nouveau dans le cycle de production. » du bon sens en fait…
Est-ce pour autant une société utopique et harmonieuse ? Non, les diverses personnages du livre l'avouent, des défis sont toujours à relever. de plus, c'est une société qui tend à se fragmenter, et des jeux de guerre rituels sont même inventés pour canaliser l'agressivité et le besoin de compétition. Ce que je trouve intéressant, c'est que le progrès technique reste présent (l'usage de la visioconférence est très largement répandu), mais il est jugé et développé seulement s'il apporte une valeur ajoutée environnementale.
L'intrigue retranscrite essentiellement dans les carnets personnels du journaliste est d'un intérêt relatif. Il tombe amoureux d'une écotopienne et se trouve peu à peu intégré à cette société. le principal atout du livre reste cette vision d'un monde qu'on souhaite durable et les impact sur la société ; elle prévaut également sur les qualités littéraires du livre au sens strict.

Lien : https://etsionbouquinait.com..
Commenter  J’apprécie          40
Publié en 1975, Ecotopia bénéficie d'une réédition récente en VF. C'est, à mes yeux, un classique SF à ajouter à côté de 1984 de George Orwell et du Meilleur des Mondes de Huxley. Seule différence, à l'inverse de ces deux derniers, Ecotopia dépeint une société qui veut tendre vers un idéal écologique.
L'idée du roman, c'est que 3 Etats américains ont fait sécession pour instaurer Ecotopia, une contrée entièrement basée sur les concepts écologiques. Un journaliste américain est envoyé en reportage, vingt ans plus tard, pour découvrir ce que sont devenus ces Etats. Entre son carnet intime et ses articles, nous découvrons le principe d'un pays entièrement basé sur l'écologie.
Ce qui est intéressant dans cet ouvrage, c'est qu'il rappelle qu'une réelle politique écologique ne peut pas s'instaurer sans sortir de la logique capitaliste (sans pour autant sombrer dans le communisme). Ainsi, outre les énergies durables, le recyclage, les produits locaux que l'on connaît déjà, Ecotopia a instauré la semaine de travail de vingt heures, supprimé les rapports patrons/salariés (les travailleurs discutent de leurs conditions de travail, décident des modifications etc), et même au niveau du corps décisionnaire du gouvernement, leurs bureaux et biens ne diffèrent pas de ceux du citoyen lambda (qui peut réagir en direct aux informations télévisées et donner son avis en direct quant aux décisions gouvernementales). Voilà qui fait réfléchir !
Le roman souffre en revanche de son âge - écrit dans les années 70, cela se voit entre la légalisation de la drogue et la sexualité débridée. L'autre bémol, c'est que, certes, le narrateur est un Américain moyen bourré de préjugés (pour lui il est impensable de faire le tri de ses déchets ou de ne pas pouvoir choisir entre 15 couleurs différentes d'un produit donné), mais on sent trop le fait que l'auteur est un homme blanc hétéro. Sérieusement, les biais sexistes et même racistes et validistes de l'auteur sont très visibles - le passage de l'infirmière qui couche avec le patient pour 'l'aider à guérir" m'a clairement fait penser à un mauvais scénario d'ouvrage porno ! Par ailleurs, malgré un début qui paraissait montrer une société égalitaire (une femme présidente, l'éducation des enfants partagée réellement entre hommes et femmes), j'ai vite déchanté quand le principal sport national est indiqué comme réservé aux hommes parce que ceux-ci ont (selon l'auteur) davantage besoin de compétition alors que les femmes préfèrent la sphère pensante et soignante (stéréotypes de genre, bonjour). Je parlais aussi de biais racistes, parce que la question des populations non blanches m'a paru mal abordée (mais n'étant pas concernée, je n'analyserai pas davantage). Quant au validisme, il m'apparaît parce que nulle part, je n'ai vu apparaître la question du handicap et que les infrastructures détaillées ne me paraissaient pas adaptées à des citoyens invalides.
En résumé, Ecotopia vaut surtout pour son côté préoccupé avant l'heure par l'environnement et par son lien entre écologie et refonte profonde de la société. Malheureusement, il reste marqué par son époque comme par les biais de son auteur.
Commenter  J’apprécie          40
L'auteur imagine que trois états américains s'isolent pendant vingt ans et créent une sorte de dictature écologiste. le narrateur est le premier journaliste à pouvoir y entrer pour en rendre compte. J'ai trouvé par hasard ce livre, qui m'a beaucoup surprise. On a du mal à croire qu'il ait été écrit en 1975, tant les idées qui y sont développées sont actuelles, comme le recyclage, le souci de l'environnement, l'idée d'un revenu universel, le développement du vélo et des transports en commun... par moment, on sent le contexte hippie avec le cannabis qui circule, l'amour libre et les communautés qui jouent le rôle de famille. L'auteur a vraiment réfléchi aux tenants et aboutissants de ce régime écologiste, qui a commencé comme une révolution, avec des bouleversements et une baisse du niveau de vie, et se présente comme une utopie où il fait bon vivre. Les femmes sont les égales des hommes et peuvent librement mener une carrière et exprimer leurs désirs, les émotions ont le droit d'être exprimées et personne ne se sent seul. Les compétitions guerrières permettent d'évacuer le trop plein d'agressivité.
A notre époque, où on observe un net repli sur le couple et la famille , où beaucoup de gens se sentent isolés, où il faut constamment cacher ses sentiments pour rentrer dans le moule, j'aimerais parfois aller habiter en Ecotopia...
Commenter  J’apprécie          30



Lecteurs (1417) Voir plus



Quiz Voir plus

Les plus grands classiques de la science-fiction

Qui a écrit 1984

George Orwell
Aldous Huxley
H.G. Wells
Pierre Boulle

10 questions
4974 lecteurs ont répondu
Thèmes : science-fictionCréer un quiz sur ce livre

{* *}