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☼ Mon avis ☼

Dans ce tome, les lecteurs sont plongés dans un scénario où les relations entre les personnages sont marquées par le deuil et la perte.
La mort tragique de Nana Yamamoto, dans un accident de voiture, a profondément affecté sa sœur mais aussi Yano.
Cette tragédie jette une ombre sur la relation entre les deux, rendant chaque interaction chargée d'une émotion poignante et complexe.
Le deuil et la culpabilité peuvent peser lourdement sur les épaules des personnages, ajoutant une profondeur émotionnelle à l'histoire et rendant leurs relations encore plus complexes et difficiles à gérer.
L'héroïne se pose des questions sur sa relation avec Yano, qui valorise la sincérité et la transparence dans leur relation, probablement en raison de son passé difficile.
Il insiste pour être informé lorsqu'elle fréquente d'autres garçons, ce qui peut sembler restrictif mais peut aider à éviter les malentendus.
Sa priorité à sa propre santé est compréhensible après des événements traumatisants.
J'ai remarqué que les personnages ont des traits juvéniles qui les font davantage ressembler à des collégiens qu'à des lycéens.
Les visages des personnages semblent souvent statiques, donnant l'impression qu'ils sont des coquilles vides malgré les émotions qu'ils expriment à travers les pleurs ou les sourires.

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Un livre choisi un peu au hasard au détour d'un rayon de la médiathèque.
Cette histoire de famille m'a plutôt bien plu. La mère a créé une entreprise florissante dans laquelle travaillent maintenant ses 3 filles et l'un de ses gendres. Toutefois, derrière les apparences, tout ne va pas si bien et l'arrivée d'un personnage va bouleverser cet équilibre fragile, voire même révéler des problématiques laissées trop longtemps de côté. Un livre vraiment intéressant sur les rapports humains. Néanmoins, quelques longueurs à mon goût ...

☼ Mon avis ☼

Dans ce deuxième tome, l'été arrive, apportant avec lui les festivités typiques de la saison.
Nous avons le plaisir de voir de magnifiques kimonos, des sourires radieux, et un feu d'artifice enchanteur pour clôturer la soirée.
Les festivals du Hanabi sont des événements récurrent dans les mangas.
J'ai particulièrement apprécié que la fête ne s'étende pas sur tout le tome, un choix judicieux qui maintient l'intrigue dynamique.
Ces événements sont souvent des moments privilégiés pour les couples, et il était inévitable de les retrouver ici.
Pour Yano, cependant, cela ravive des souvenirs douloureux, ayant perdu sa première petite amie la veille d'un tel festival, il n'y a pas si longtemps.
Yano est un personnage peut-être ordinaire, mais il reste attachant.
Il est naturel et simple, portant le poids de la perte de sa première compagne.
Voir qu'il peut compter sur Nanami pour le soutenir apporte une touche réconfortante à l'histoire.
Ce deuxième volume met en lumière la détresse de Yano.
Il a besoin de compagnie et de réconfort, même s'il ne le demande pas directement.
Cela fait plaisir de voir des personnages qui se montrent présents dans les moments difficiles et qui lui apporte du bonheur.
D'ailleurs, nous allons être témoins d'un moment clé qui consolide une relation naissante entre les deux personnages.
En tout cas, je dois dire que ce tome a été bien plus agréable à lire !

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J'ai beaucoup apprécié retrouver le fil rouge de l'histoire des précédents tomes. Lors du tome 7, cruelle diablesse, les sœurs m'avaient beaucoup manqué.

J'ai adoré découvrir l'histoire de Lady Tremaine, et de ses filles Anastasie et Javotte. J'ai eu beaucoup de pitié et de compassion pour ces trois personnages. On les découvre sous un tout autre jour, bien avant qu'elles ne rencontrent Cendrillon. Une chose est sur, c'est que la vie ne leur a pas fait de cadeau. Au final, Lady Tremaine ne voulait que croire à l'amour éternel, est-ce un crime ?

Merci à NetGalley et aux éditions de l’Archipel pour ce livre.

Un roman historique traduit de l’allemand et qui raconte l’histoire d’Helena, une orpheline polonaise qui a subi la déportation dans un camp en Sibérie après avoir été forcée de quitter la Pologne avec sa soeur Luzyna puis se retrouve à Teheran en Iran, dans un refuge. Quand une opportunité pour une vie meilleure se présente, elle la saisit, même si pour cela il lui faut user de subterfuges et trahir sa soeur par la même occasion.

Ce roman est assez sombre et aborde des thèmes délicats donc il pourrait heurter la sensibilité de quelques uns mais il vaut vraiment le coup de le lire.

Helena est un personnage attendrissant, qui a subi et vécu beaucoup d’horreurs dans sa vie et qui en plus se retrouve en charge de sa petite soeur qui est immature et difficile. Elle qui a toujours fait passer les autres avant elle et dont la vie a été tragédie sur tragédie a enfin une chance de se construire un avenir et même si cela semble difficile et qu’elle rencontre plusieurs obstacles sur son chemin.
James, lui est un personnage courageux, valeureux qui n’a pas hésité à se sacrifier pour sa patrie et pour les personnes qui lui sont chers.

J’adore le fait que l’on apprenne beaucoup de choses grâce à ce livre, notamment sur la culture des maoris, leurs coutumes et leur langue car une partie de l’histoire se déroule à Pahiatua, mais aussi sur une partie de la guerre peu connue concernant les réfugiés polonais en Iran. L’autrice a fait des recherches approfondies et cela se voit.


J’ai beaucoup apprécié ma lecture!

Fred Dewilde nous livre son témoignage du Bataclan avec une bande-dessinée de vingt pages suivi de vingt pages de textes racontant son après-Bataclan ainsi que sa jeunesse. La partie bande-dessinée est très belle mais son texte basculant dans le politique m’a laissé un sentiment mitigé parce que j'étais en profond désaccord avec un de ses axiomes dans son analyse de notre société.

Avec ce livre son but n’était pas de nous convaincre de sa vision d’esprit mais d’aller mieux, d’être vivant, de guérir. Il a mis fin à ses jours le 5 mai 2024. Il se définit comme un rêveur qui croit en l’humain, c’est philosophiquement admirable après ce qu’il a traversé.

Challenge Multi-défis 2024

☼ Mon avis ☼

Quand j'étais plus jeune, j'avais déjà découvert l'anime, mais je n'en avais gardé aucun bon souvenir.
Il m'avait semblé vite oubliable et très basique.
Malheureusement, le manga suit exactement le même chemin.
Je m'y attendais un peu, j'avais déjà une partie de la collection du manga, mais je n'avais jamais trouvé les premiers tomes pour commencer à lire plus tôt.
Maintenant que j'ai les huit premiers volumes, je peux donner mon avis sur la moitié de la série.
"C'était nous" met en avant des lycéens découvrant leurs premiers amours et leurs premiers sentiments amoureux pour certains.
Il faut noter que ce titre date de 2006, ce qui ne vas changer mon avis, mais c'est un élément à prendre en compte.
Ce manga était probablement plus destiné aux jeunes filles de l'époque.
C'était le type de lecture que j'achetais dans mes débuts dans les mangas.
Pour moi, ca n'a pas été un titre nostalgique car je l'ai découvert tardivement, mais je comprends les avis positifs que j'ai vus sur les réseaux sociaux.
Aujourd'hui, il est évident qu'il existe de meilleurs shojo, que ce soit au niveau du scénario ou du visuel. "C'était nous" offre une histoire très classique et simple, mais néanmoins efficace.
C'est le genre de manga sans prise de tête, parfait pour ceux qui cherchent une histoire sur les premiers émois amoureux.
Cependant, ce manga ne me plaît pas et ne correspond pas à mes attentes actuel.
Les graphismes sont simples, avec peu de détails et de décors, ce qui les rend assez fades.
Ce premier tome ne m'a pas marqué, même si je reconnais que les personnages traversent des épreuves difficiles et ont des vies un peu compliquées.
C'est intéressant de voir des personnages qui n'ont pas une vie parfaite et sans problèmes.
Malgré ceci, rien ne m'a vraiment passionné pendant ma lecture.
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J'avais hâte de lire cette suite d'un autre point de vue mais j'ai été déçue. Continuer l'histoire avec les yeux de Zu me paraissait prometteur mais au final j'ai découvert qu'il n'y avait pas eu d'évolutions sur l'intrigue principale, on est même presque revenus au point de départ. Les personnages ont évolué dans un univers controversé, ils ont changés ou se cachent, les nouveaux sont trop ressemblants aux premiers malgré des facultés différentes. Si l'histoire a d'autres bases j'ai retrouvé trop de points communs avec les premiers tomes, j'ai alors eu du mal a rentrer dans le scénario.
Priyanka m'a tout de suite rappelé Vida , Roman est un mélange de Liam et Chubs , à chaque chapitre je voyais des similitudes entre eux, du coup je n'ai accroché avec aucuns d'entre eux.
Zu a avancé, elle parle à tout le monde, donne son avis et n'est plus la gamine qui se cachait derrière Liam et Chubs. Elle s'est affirmée, son caractère est trop conciliant parfois mais lire de son point de vue était un bon point .
Pour les fans de la saga je peux comprendre l'enthousiasme à le lire , pour moi c'est un livre inutile à l'avancée de l'histoire ,il aurait mieux valu s'arrêter à la fin du tome 3.
La fin m'a donné un gout d'inachevé , c'est bâclé .

J’ai douté un instant de la qualité du livre et de son histoire classique sur les secrets de famille…Mais dès les premiers chapitres on est dedans, avec l’envie irrépressible dans la seconde moitié du livre de connaître le sort des personnages.

La description du paysage et de la maison est rapide,efficace, on s’imagine très bien l’atmosphère de la Cornouaille.

Et on découvre la recette de la stargazy pie qui est vraiment surprenante allez voir sur internet c’est quelque chose !

Vraiment j’ai été surprise car l’auteur dissémine des anecdotes qui m’ont ramené à mes propres souvenirs de jeunesse. Du coup j’ai apprécié cette lecture comme rarement un roman peu le faire.

Je me laisserai bien tenter par un autre roman d’Eve Chase maintenant…

A trente milliards de kilomètres du soleil, la planète Neuf, dont l'existence reste hypothétique. C'est l'objectif mythique de la mission Niribu dans laquelle est engagé John Hubbel. Il n'en reviendra pas. Son fils Johnny n'a dès lors qu'un désir, suivre les pas de son père et partir dans l'espace.
On retrouve le prolifique scénariste Philippe Pelaez avec un récit de science-fiction qui joue avec le temps et la réalité. Voyages dans le passé, modification des événements, des perceptions... Qu'est-il arrivé à Johnny Hubbel lorsque sa navette s'est enflammée dans une tempête magnétique ? Le récit joue avec le lecteur de la même façon en mettant en place une chronologie floue, des non-dits mais aussi des éléments scientifiques réels....
Je découvre le dessin de Guénaël Grabowski (La série Nautilus chez Glénat) qui sert cette histoire avec un travail réaliste soigné. On sent l'inspiration àla fois des comics us mais aussi des films à grand spectacle comme Interstellar, Seul sur Mars.... et je dois dire que ça fonctionne très bien. 
Philippe Pelaez sait nous surprendre. Il passe aisément du western (Six) au polar (Quelque chose de froid), du récit familial (Le gigot du dimanche) à la SF (Air)... Ici il joue avec les codes et propose un récit de SF troublant à la limite du fantastique.

Rupture de stock de la série Elfes dans ma bibliothèque, je passe donc à Orcs et gobelins en attendant le retour des oreilles pointues.
Me voilà un peu désorientée : Turuk, je l'ai croisé plus tard, quand il sort de ce piège, donc je sais qu'il survit, toujours aussi beau parleur. Ceci dit, étant narrateur de son aventure lui-même nous le confirme, alors pas de spoil de ma part.
J'ai beaucoup aimé le dessin, et son articulation avec le texte. Les deux ne se recoupent pas, et il faut savoir ne pas négliger les détails graphiques pour comprendre l'évolution du récit. J'ai beaucoup aimé également le soin porté à la spécification de chaque personnage, autant sur le physique que sur le caractère. Enfin, la qualité de l'ensemble.
Petit bémol peut-être sur le scénario. On passe de rebondissement en rebondissement, à un rythme effréné qui oblige les auteurs à précipiter et par conséquent un peu bâcler les transitions. Enfin, c'est mon opinion et il n'engage que moi. Je pense qu'après avoir dévoré la série Nains, une bonne part des Elfes, la totalité des Mages, je deviens exigeante !

Pour ma part ce tome est en dessous des deux autres , j'ai eu plus de mal à avancer avec les protagonistes. Je ne reconnaissais plus les personnages principaux tant leur caractère avait changé.
Ruby s'est transformée en parfait petit soldat qui écoute Cole aveuglément, à croire qu'elle n'est plus capable de réfléchir par elle-même ,d'ailleurs elle s'est transformée en girouette, changeant d'opinion subitement, passant de la colère à la réflexion en deux lignes.
Chubs n'a plus ses réparties qui m'on fait mourir de rire dans le tome 1, seuls ses échanges avec Vida ont été plaisantes et encore, certaines ne volaient pas haut .
Liam passe pour un gamin puéril qui fera tout pour contrarié son frère, leur relation m'a d'ailleurs soulé ,à chacun de leurs échanges j'ai fini par lire en diagonales, espérant le prochain chapitre. C'est le personnage qui a le plus changé pour moi et s'est bien dommage, étant mon chouchou l'hors des deux premiers tomes.
Cole me paraissait mature et droit dans ses bottes avant, maintenant je le vois comme un prétentieux qui visait la place de chef et qui a obtenu ce qu'il voulait. L'auteur a commis une erreur en passant outre tout le passage ou il est partit avec Liam en observation, ce passage est trop important pour n'avoir été cité que sur deux malheureuses pages.
Zu reste par contre une belle surprise, la seule d'ailleurs que j'ai pris plaisir a voir évoluer.
Ce tome avait du potentiel mais les changements abruptes dans les personnages ,les longueurs scénaristiques, le manque de dialogues clinquants et une fin trop rapide m'ont vite fait baissé la vapeur.

Sublime.

Cette réécriture s’éloigne du mythe traditionnel dans lequel Méduse est dépeinte comme un monstre. L’histoire se déroule sur quelques jours. Nous suivons deux adolescents qui se confient l’un à l’autre, marqués par des événements tragiques qui les tourmentent chacun.

J’ai beaucoup aimé les messages très actuels et féministe de la Méduse que nous suivons surtout sur l’acceptation et l’affirmation de soi. On redécouvre un personnage qui est rendu plus humain et qui ressent des émotions, qui nous touche.

On part dans un enemies to lovers to enemies. J’aime beaucoup cette ambiguïté qui ressort de la relation des deux adolescents et de leurs réactions réciproques avec leurs convictions personnelles.

Le seul moins c’est qu’il est très court et se dévore trop vite !

☼ Mon avis ☼

Je me suis plongée dans cette série grâce à ma sœur, qui a acheté ce tome lors d'une convention de manga.
Elle en avait beaucoup entendu parler, et si je me souviens bien, elle avait déjà vu le live action sur le personnage de Cruella.
"Cruella" s'inscrit comme une histoire complémentaire au film "Cruella" de Disney.
Personnellement, je n'ai pas encore eu l'occasion de voir ce film, et jusqu'à présent, j'ai toujours considéré Cruella comme une antagoniste, même dans sa tendre enfance.
Certes, on ne naît pas méchant, mais je n'ai jamais pu m'empêcher d'associer Cruella à des traits négatifs.
La découverte de Cruella avant ses actions contre les dalmatiens a été pour moi une agréable surprise. En réalité, il s'agit d'une femme du nom d'Estella, qui traverse différentes phases de sa vie : le noir, le blanc et le rouge.
Sans avoir d'attentes particulières, je n'ai pas été déçue par ma lecture.
Cependant, je dois admettre que le manque de colorisation affecte la qualité de l'œuvre.
Un manga entièrement en noir et blanc ne parvient pas à montrer clairement toutes ces phases et ces changements d'humeur.
À mon sens, un manga rempli de couleurs serait bien plus saisissant.
En examinant ces différentes périodes, on a l'impression qu'Estella cherche un sens à sa vie, qu'elle est confrontée à de nombreux questionnements et qu'elle mène un combat intérieur qui dure depuis très longtemps.
C'est une femme qui a également des rêves, notamment celui de devenir styliste de mode.
Elle possède un talent immense, mais malheureusement, pour subvenir à ses besoins, elle passe la plupart de son temps à voler en compagnie de ses deux amis, Horace et Jasper.
Son humeur oscille entre la colère et la douceur, ce qui peut être perturbant.
En tout cas, je vais de ce pas me plonger dans le film live de "Cruella" afin d'espérer mieux comprendre le personnage d'Estella.
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Ce recueil reprend essentiellement les poèmes du recueil "Les pieds sur la table du poète", publié en 2016 aux Éditions Antya et indisponible désormais suite au décès de l'éditeur en 2018.
Ce sont des poèmes où l'auteure s'est amusée à jouer avec la sonorité des rimes, comme si elle voulait danser avec les mots et les sons.
Ce recueil ne se veut pas engagé, comme le sont d'autres recueils de textes.
L'auteure joue plutôt sur la musicalité des rimes, et du rythme.

Un deuxième tome aussi bon que le premier et qui apporte plusieurs révélations.
On découvre de nouveaux personnages ,certains m'ont fait sourire et d'autres mon donné envie d'être Rouge et de leur geler leur problème .La quête de Ruby au sein de la ligue continue , elle étoffe ses pouvoirs et se rend utile mais pas toujours de la façon dont elle le voudrait. L'écriture est addictive, même si le scénario connait quelques faiblesses, je me suis sentie happée par l'histoire, je voulais connaitre la suite à chaque chapitre. Quelques surprises bonnes ou mauvaises on été très bien amenées, je ne les ai pas toutes vu venir et l'histoire avance bien. On retrouve Liam au bout d'un long moment et pas dans de bonnes conditions mais j'ai aimé le retrouver toujours égal à lui même. Très courageux mais pas un soldat, il se bat pour ses idéaux à sa manière, même s'il doit confronter Ruby pour cela.
La rencontre avec le frère de ce dernier m'a subjugué, un personnage différent de Liam mais qui reste captivant à découvrir et qui cache bien des secrets.
Leur évolution reste plausible dans un univers bien travaillé, étoffé sans en faire trop.

Cette réécriture de Peter Pan commence avec des personnages douteux. Ce qui n'est pas dépaysant puisqu'en continuant, ils le sont de plus en plus. Le livre est absurde, mais il y'a une histoire de fond plutôt intéressante et le personnage de Vane est intriguant. A part ça, vous pouvez passez votre chemin (ou le lire quand vous avez vraiment du temps à perdre, comme moi où je l'ai lu pendant un cours très ennuyant)

Tout le monde connaît Michel Cymes, « docteur préféré des Français » dans les sondages sur les personnalités. Le grand pédagogue de la santé. Je l’ai pourtant peu lu ou vu, allumant peu la télévision. Mais j’avais fait l’effort de regarder en podcast, récemment, un numéro des Pouvoirs extraordinaires du corps humain, co-présenté avec Adriana Karembeu : très intéressant. Et voilà aussi qu’il a lancé son magazine papier : Docteur Good. Décidément ! L’homme qui voulait être partout. Il s’en explique d’ailleurs : un hyperactif. Mais ne croyez que c’est quelqu’un qui n’a jamais eu d’échecs. Même la réussite au concours de médecine a tenu au miracle. En tous les cas, Michel Cymes est un incorrigible optimiste qui pense avec conviction qu’on peut en grande partie faire les choix personnels qui nous conduisent à une vie longue en bonne santé. On découvre un honnête homme, qui adore le sport et les défis de toutes sortes, qui donne également de sa personne pour de bonnes causes. Cette autobiographie nous livre le portrait d’un moderne humaniste qui croit en les progrès de la médecine comme en la prévention en matière de santé, celle-ci tenant pour beaucoup à l’alimentation et à l’activité physique régulière. On le découvre aussi très ouvert aux « médecines parallèles » qui suppléent les approches classiques quand celles-ci, trop focalisées sur les symptômes, sont impuissantes à traiter véritablement le mal. On ne s’étonnera pas, en revanche, de ne rien trouver sur les excès d’emprise des grands labos pharmaceutiques ni sur l’inflation des facteurs qui dégradent la santé humaine en multipliant les maladies, phénomène qui a fort à voir avec le capitalisme débridé des dernières décennies.

Une dystopie très prenante ,pas part un scénario complexe mais par la personnalité des personnages. Quand on est plongé dans l'histoire et qu'on découvre de quoi l'être humain est capable dés qu'il a peur de l'inconnu, on vit avec Ruby le désir de survivre, la peur et le doute.
Ce premier tome nous explique la découverte de la maladie frappant les enfants et pourquoi les survivants, en petit nombre, sont dotés de pouvoirs tous très différents les uns des autres. La mise en place d'une ambiance malsaine, les différents personnages secondaires qui dirige l'intrigue vers son point culminant, la prise de conscience de Ruby sur ce qu'elle est capable de faire, tout est fait pour happer le lecteur.
Chacun de ces compagnons de route à un caractère profond, tous différents , si bien décrit qu'on arrive a visualiser les scènes de dialogues et d'action. Ces dernières sont peu présentes mais bien écrites, sans longueur et avec précision.
On ressent chez Ruby la peur d'elle même, Liam et son chagrin, Charles et ses espoirs et la petite Zu et sa douceur.
Une saga prenante même si le scénario n'est pas transcendant , à lire plus qu'a voir car pour ma part l'adaptation cinématographique n'est pas à la hauteur.

Ce roman graphique raconte l’histoire d’une fille, Marlène, qui a les cheveux frisés. Elle va tous les dimanches chez le coiffeur, mais elle n’aime pas ça. Elle aime ses cheveux comme ils sont, mais sa mère non. Un soir il y a une fête, tout le monde lui dit qu’elle devrait ressembler à sa cousine Diana, la reine du bal. Elle commence à danser avec sa cousine Tiana et ses boucles se défont ; tout le monde se moque d’elle, elle part se cacher dans un placard. Elle croise Yessnia, dont les gens se moquent aussi. Le lendemain elle va chez sa tante qui lui montre ses shampoings pour cheveux frisés. Quand sa mère vient chercher Marlène, la tante lui fait un shampoing et elles mangent une pizza toutes les trois.
J’ai adoré ce livre car c’est l’histoire d’une fille qui ne veut pas être comme les autres. Elle veut garder ses cheveux frisés. Je conseille ce livre, plutôt aux enfants qui aiment leurs cheveux.