Yuu Watase

Encore une suite assez captivante, on avance comme on fait du surplace. En faite, on a des passages sur la vie de tous les jours qui me gonfle un peu, vu que je souhaite savoir ce que Toya devient, où est la robe de plume, pourquoi Aki ne reprend pas le dessus sur l'esprit du fondateur... Enfin bref, on a trop de questions sans réponse et on voit les tomes passer sans avoir de vraie réponse. Il faut malheureusement attendre la fin du tome pour avoir de l'action intéressante. Et avoir un retournement de situation intéressant, j'espère que ça continuera. J'ai juste énormément de peine pour Yuhi. Et en même temps, le fondateur qui est dans le corps d'Aki me dégoute. Et d'un côté, certaines paroles de Cérès sont très intrigantes. Enfin bref pas mal de rebondissement quand même dans ce tome.



En conclusion, ra pourquoi l'auteur nous dévoile rien encore !!! L'humour est revenu en tout cas même dans les passages les plus sérieux et tant mieux ça allège un peu d'autre passage qui sont assez pénible à lire (pas dans le sens, je n'aime pas). Vivement la suite pour savoir ce que nous réserve ce retournement de situation.
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On continue dans la quête de la robe de plume et on continue à découvrir des nymphes. À croire que toutes les filles le sont lol. Le pauvre Yuhi qui se retrouve à être déguisé en fille (se bidonne encore), j'en ai bien rigolé. Surtout qu'il fait très bien la fille. Comme je le disais dans mon avis précédent, Toya va dans les ennuis et pas qu'à moitié. Mais en même temps, il a des flashes de sa vie d'avant. J'aime beaucoup revoir Shuro, qu'on voit dans le tome 6. Il apporte un peu de légèreté, mais en même temps, il est de très bon conseil pour Aya. L'ajout de personnage apporte un peu de fraicheur. On ne voit plus trop Chidori, c'est bien dommage, elle ne fait que de brève apparition, pourtant, c'est une nymphe aussi. La fin est assez prenante et nous laisse sur notre faim !!!



En conclusion, toujours à fond dedans, sur ce tome, on voit beaucoup moins les Mikagé, mais tant mieux. Par contre, l'auteure nous laisse entrevoir un peu de son personnage le plus mystérieux de la série. Hâte de lire la suite !!!

Après-relecture, j'avoue que j'avais complètement oublié ce tome lol. Et en même temps, je le trouve futile, vu qu'on suit un groupe de chanteur masculin. Et en même temps, l'un des deux chanteurs dit avoir la robe de plume, donc Aya est prêt à tout pour l'avoir. Mais le groupe cache un secret qu'on découvre. Et qu'il est lourd à porter pour celui qui le porte. Et à côté, on a les Mikagé qui trouvent de quoi empoisser l'eau du Japon afin de révéler les nymphes. Quand on voit le nombre de mort juste pour la cupidité d'une personne, c'est limite aberrant. Par contre ça va commencer à chauffer pour Toya et en plus il est vraiment bizarre comme humain, mais on sera bientôt pourquoi ^^.



En conclusion, malgré un côté un peu plus sombre, l'auteure continue de nous fasciner et nous offre toujours une petite pointe d'humour qui fait du bien.
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Il est difficile de faire une chronique d'une longueur correcte plus l'on avance dans un manga et le troisième tome d'Alice 19th ne déroge pas à cette règle !







Dans ce tome, on redécouvre le père d'Alice en visitant son Inner Heart, par la même occasion, l'on découvre aussi des brides de l'enfance d'Alice. C'est vraiment très agréable...

On redécouvre aussi Mayura, ou plutôt, on fait connaissance de la nouvelle Mayura. Et ce n'est pas très beau à voir, je trouve ! D'un autre côté, pour le coup, ça rajoute vraiment du piquant à l'histoire.







La fin est juste magistral : pour le coup, il y a un réel problème de timing.

J'aime beaucoup le fait qu'on pourrait croire que tout ce termine dans ce tome, mais en fait, non, c'est l'inverse : tout commence !

*file se jeter sur la suite*
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Comme j'aime ce manga ! La fin est juste superbe, c'est une bonne conclusion pour cette petite série ! Tampopo retourne précipitamment à Hokkaido avec l'intention d'y rester. Sauf que Kougyo a décidé d'assumer ses sentiments et de les privilégier par rapport à son statut d'héritier de la famille Kougyo (il suit les traces de son frères, yay !). Il ne va pas la laisser partir sans rien dire...

À la fin, on a une histoire courte qui met en avant les deux meilleurs amis de Tampopo et celle-ci lorsqu'ils étaient au collège. C'est à ce moment là qu'elle a rencontré Popula, son renard.

La deuxième histoire bonus (que l'on retrouve dans Yuu Watase The Best Selection) sort de l'univers de Imadoki. Une bonne petite romance qui nous permet de rester dans l'ambiance créée par Yû Watase.

La jalousie d'Erika a poussé Tampopo à abandonner l'association de jardinage et ses amis. Attristée, elle trouve du réconfort chez Yoji, qui a emménagé à l'appartement en dessous du sien. Ces deux-là se rapprochent, tandis qu'Erika semble proche de Koki. Sauf que Tampopo/Koki ne voit pas d'un très bon oeil que Koki/Tampopo sorte avec Erika/Yoji...

Un tome qui nous permet de découvrir un Yoji attentionné et d'éprouver de la sympathie pour lui. On s'aperçoit également que depuis le premier tome, les relations entre les personnages ont beaucoup évolué, que le mot "amitié" ne s'emploie pas à la légère pour eux, surtout lorsque l'absence de Tampopo se fait sentir.

Imadoki prend un nouveau tournant avec le retour du grand frère Kougyo ! Yoji n'aime pas son statut d'héritier des Kougyo, voilà pourquoi il a tout abandonné pour devenir photographe. Malgré son retour, Erika est déterminée à épouser Koki et décide de s'inscrire dans son lycée...

On assiste également à la Kermesse de l'école dont l'organisation est confiée à l'association de jardinage.

J'ai beaucoup aimé découvrir la campagne d'Hokkaido dans ce tome. On découvre une Tampopo dans son élément naturel, entourée de ses amis et de sa famille.

Une suite palpitante. Toya a fait son choix et récolte pas mal de problèmes apparemment. Et je pense que ses employeurs ne savent même pas ce qu'il est en réalité. Vu que lui ne s'en rappel pas on n'est pas prêt de le savoir lol. Aki perd totalement le contrôle et sa vie antérieure finit par prendre le dessus. Aya est complètement déchirée entre son frère et l'homme qui détient la robe de plume de Cérès. La robe de plume commence à prendre plus de place, c'est sûrement dû au fait qu'Aya passe un pacte avec Cérès et lui promet de lui rapporter.



En conclusion, pas mal d'action, mais on a toujours une touche d'humour dans le lot qui détend un peu l'atmosphère. Hâte de lire la suite comme toujours.
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J'adore ce tome, comme les suivants je pense. Mais il y a des passages sérieux, romantiques ou sentimentaux et des passages pas du tout sérieux. C'est assez sympa de passer par pleins d'émotions en si peu de pages. On apprend beaucoup sur la légende de la nymphe céleste, et surtout sur un complot qui ne m'a l'air pas très gratifiant. Mais bon je n'ai pas encore tout bien cerné, mais ça va venir. Toya est toujours aussi mignon mais tellement malléable en fait. Il ne se rappelle de rien, du coup le cousin d'Aya, peut lui introduire n'importe quel souvenir. Yuhi a trouvé une façon bien à lui d'apaiser la Nymphe lol.



En conclusion, c'est toujours harponnant, on ne s'ennuie pas une seule seconde !! Mais la fin de ce tome ne me plaît pas trop, enfin ne plaît pas trop à mon petit cœur de midinette.
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Je ne connaissais pas du tout Yû Watase, mais j'aime beaucoup son style : ses dessins sont très expressifs et soignés jusqu'au moindre détail. Une fresque épique à la sauce très japonaise qui m'a beaucoup plu.

La série touche à sa fin, voici l'avant-dernier volume et que dire à part wouaouh! L'auteur nous amène avec maestria vers le final qui s'annonce haut en couleurs et palpitant. Ce tome nous révèle enfin de nombreux éléments, nous fait voir nos héros passer par bien des épreuves et décider de suivre leur destin en profitant de vivre les instants présents à leur maximum.



Takiko a pris sa décision concernant le futur et elle se montre forte, inébranlable et réfléchie. Elle grandit au fil de l'aventure et même si elle est de plus en plus faible, elle compte bien amener son projet à bien pour le bonheur de tous. Elle est touchante et le lecteur la soutient sans problèmes dans cette épreuve et dans ses décisions. Rimudo est à ses côtés et compte bien tout faire pour la préserver, mais y arrivera-t-il? Ce couple est touchant et nous emporte dans un tourbillon d'émotions fortes.



Les armées du Kuto sont aux portes de la cité et le combat s'annonce sanglant. Takiko va-t-elle invoquer Gembu ou pas? Comment la mangaka va-t-elle finir cette série palpitante et prenante? Je dois dire que je redoute fortement les événements qui vont avoir lieu, car je me suis énormément attachée à tous ces personnages. Je n'aimerais pas en perdre, mais je me demande si elle pourra finir son histoire sans passer par là...



En bref, je suis sous le charme tant de l'histoire, des personnages que des dessins. Voilà une oeuvre qui arrive à son terme et qui tient toutes ses promesses! J'ai hâte de voir ce que le dernier tome nous réserve et comment cette longue aventure va se terminer...

Une suite toujours aussi bien !

Un premier tome très sympa, très sombre aussi (plus que ce que je m'attendais) et il me tarde de lire la suite !

Ce deuxième tome est le plus triste et le plus violent de la série. Masataka Tagami se pose de plus en plus de questions sur son maître. A-t-il tué sa belle-mère? Pourquoi se comporte-t-il ainsi? Finalement, malgré les doutes, ils vont prendre conscience des sentiments qui les animent. Ils vont se blesser, se réconforter,... Saïki Sôma devient possessif envers Masataka. Les magnifiques dessins assez épurés permettent à l'auteur d'aborder des thèmes tabous comme le viol ou l'inceste. Comme dans le premier tome, la fin est très violente, mais résoud certains mystères. En tous cas, pour le prochain volume, il est certain que le jeune aristocrate va se venger de ce qu'on a fait à son Tagami.

Ce manga se déroule en 1920 au Japon. Il raconte une histoire entre deux hommes, un maître et son serviteur. Les dessins ne sont pas beaux, mais sublimes et épurés. Les personnages ont des personnalités bien délimitées. Masataka Tagami est le personnage principal, il est très attachant et tellement naïf par certains côtés. Saïki Soma est le second personnage le plus important du récit. Il est l'individu violent, ténébreux et tourmenté. Il ne sait pas s'attacher aux gens, pourtant cet étudiant fait exception. Saïki Sôma attire à lui tout le monde, même Masataka. L'histoire comporte aussi son lot de mystères et de meurtres. Un beau manga, même si la fin est violente, et choquante pour certains.

Une série initiatique à la Fushigi Yugi où le héros se retrouve dans un univers parallèle fantastique et doit combattre des ennemis déterminés à l'avance afin de devenir un héros et le protecteur des peuples (enfin plus ou moins).

On apprécie cette série pour son "originalité" relative (dans la mesure où Yuu Watase a déjà fait des mangas dans ce genre avant), ses personnages sympas et attachants (même les méchants ne sont pas si méchants que ça), et son humour.

Personnellement, je crains un peu la lecture de ce manga de peur de voir à chaque tome la même tournure romantique que prend chaque manga de Yuu Watase. Pas envie de retomber dans les mêmes clichés amoureux. Pour le moment, ça va, mais la crainte persiste avant l'ouverture de chaque tome.

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Un bon final pour cette série de 5 tomes, sans mièvrerie et sans déception, digne de Yuu Watase. J'apprécie particulièrement les deux histoires courtes situées à la fin du manga.

Un tome mouvementé où Tampopo est obligée de quitter l'association de jardinage, s'éloigne de ses amis parce que la fiancée de Kougyo (petit frère) est exclusive avec lui, et est un peu bouleversée par l'arrivée de Yoji, le charmant grand frère Kougyo, dans son immeuble et dans son coeur. Hummm... le bon shojo : romance, stress, suspense !

Le tome 3 est un tome de shojo comme on les aime : retrouvailles, sentiments, jalousie, quiproquo, heureux évènement. Bref, on souhaite passer au tome 4 à la fin de la lecture.