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Critiques de Henri Robillot (473)
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Carrie

Le premier succès de Stephen King.

Il raconte dans «Écriture» comment les premières ébauches de «Carrie» qui avaient finies dans la poubelle sont récupérées par sa femme : il va être édité, va gagner 200 000 dollars pour les droits pour le livre de poche et lui qui n'était personne, à 26 ans il va devenir le King.

C'est le rêve de tout écrivain! Cela n'arrive jamais... Sauf conditions exceptionnelles réunies.

1/ La maitrise de l'écriture :

La construction narrative de «Carrie» est pro, elle imbrique plusieurs visions qui s'entremêlent savamment. Il n'hésite pas à dévoiler l'action et cela ne gâche pas le suspens car les grandes scènes sont très bien amenées, très percutantes : on savait ce qui allait se passer mais pas comment et l'on n'est aucunement déçu. le rythme est fort, c'est un allegro barbaro qui est mené crescendo. Stephen King est un visuel toujours on se représente où l'on est, qui l'on voit : on comprend pourquoi les adaptations au cinéma fonctionnent si bien.

2/ La touche personnelle :

La recette secrète du King, sa marque inventée : un nouveau genre qui mélange l'horreur et l'empathie. L'horreur renforce l'empathie et l'empathie renforce l'horreur, c'est imparable. On ne peut pas dire il fallait y penser, non il fallait le ressentir, l'être. Poe, Lovecraft, c'est l'horreur inhumaine… invraisemblable. King, c'est un équilibre humain… Instable !

3/ La conception de la vie :

Elle se dit par le choix des thèmes. Dans «Carrie», c'est celui de la persécution, de la cruauté. King le comprend à fond. Toutes les possibilités de comportement sont envisagées dans le roman.

Les situations de persécution sont celles justement où il n'y a pas de bon comportement possible, celles qui sont des pièges révélateurs de nous même, que l'on a tous vécu, des dilemmes qui marquent pour toujours.



- Pourquoi cette victime? Il y a toujours beaucoup de raisons qui se résument en une seule : Différent…

- Pourquoi persécuter? Peut-être par peur de l'être soi même, mais aussi pour éprouver le pouvoir.

- Comment résister comme victime? Presque impossible.

- Comment résister contre le persécuteur? Ne pas être acteur, mais c'est très difficile quand on est jeune, on est entrainé par les autres et on n'a pas de repères en mémoire.

- Comment être indifférent? C'est tentant mais ce sera n'avoir rien fait, cela restera dans la mémoire comme une lâcheté… Ponce Pilate...

- Comment empêcher la persécution? S'opposer, cela semble valorisant mais c'est difficile, il faut être très fort, et le comble, et c'est dur à admettre, prendre le parti du persécuté est dangereux, voir suicidaire.

- Corriger après coup? Comme le montre l'histoire de Carrie, cela peut être pire pour tout le monde.



Si on y réfléchit ce livre n'est pas qu'une fiction gratuite, il traite d'un sujet vraiment très grave : il est vraiment stupéfiant que dans ces situations, oh combien réelles, tout le monde soit démuni : enfants, maitres, parents. Pourquoi aucune réponse humaine??

C'est intolérable et la réponse symbolique est logiquement cette apocalypse sous forme de vengeance divine que King invente… Carrie détruit tout, les bons et les méchants, l'humanité qui n'est pas à la hauteur.



Stephen King est un médium.



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Carrie

Premier roman publié de Stephen King, ce récit d'épouvante est un essai réussi. Roman sur l'adolescence et le passage à l'âge adulte, roman de la différence et du poids de la famille. Le personnage de Carrie est très convaincant et sa mère est réellement terrorisante.

La figure féminine est au centre du roman, chaque personnage féminin déclinant en quelque sorte les différents traits de caractères qui "composent" la féminité.

Une intrigue qui va crescendo jusqu'à un final apocalyptique absolument effrayant, dans lequel Carrie, véritablement détestée par tous, adapte les dimensions de sa vengeance à l'échelle de la ville. Le roman est construit de façon original, le récit central étant entrecoupé d'articles de journaux, de témoignages...

Brian De Palma, en 1976, nous livre une adaptation personnelle très réussie sous le titre français un peu idiot de "Carrie au bal du diable".
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Carrie

Je m'attaque donc aux classiques de Stephen King que je n'ai pas encore lus.

Sans l'avoir lu, je connais l'histoire dans les grandes lignes, en effet, le livre étant excellent, et ayant été adapté au cinéma, il est difficile de ne pas connaitre l'histoire (Comme le clown dans Ça, ou le Saint Bernard dans Cujo)

J'ai dévoré le livre, un des meilleurs de l'auteur.

Je vais continuer dans ma quête et me diriger vers des découvertes ou des relectures des ouvrages cultes de King.

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Carrie

Ah ce bon vieux Stephen King ! Qui n’a jamais entendu parler du maître de l’horreur comme il est encore communément appelé ? Car King c’est un auteur prolifique, connu, reconnu, une soixantaine de romans et des millions traduits et vendus à travers le monde. Et de l’horreur il en a écrit, principalement à ses débuts, parce qu’il a depuis prouvé sa polyvalence jonglant avec le fantastique, le post-apo, la fantasy et le policier…

 

Carrie, son premier roman, est publié en 1974 alors qu’il n’a que 26 ans. Une publication inattendue et salvatrice pour la famille King à cette époque en grande difficulté financière. Pour la petite histoire, l’ouvrage aurait pu ne jamais voir le jour. Car l’auteur insatisfait et ne se sentant pas légitime d’écrire sur un personnage féminin, qu’il trouvait en plus flippant, avait jeté son premier jet à la poubelle. Heureusement (pour nous et pour lui) Tabitha (sa femme) récupéra les premiers feuillets et encouragea son mari à poursuivre ce livre qu’elle pensait prometteur. Et c’est ainsi que la carrière de ce jeune homme, déjà père de deux enfants, débuta.

 

Je ne me souvenais plus si j’avais déjà lu le roman ou non. En revanche, je me rappelais parfaitement du film éponyme réalisé par Brian De Palma (Scarface) sorti en 1976 avec les acteurices Sissy Spacek et John Travolta. Ça on peut le dire c’est un film qui marque les esprits !

 

Carrie, tout le monde la connaît plus ou moins. Cette adolescente de 16 ans qui possède des dons de télékinésie (#strangerthings), le souffre-douleur, bouc émissaire de toute une ville à commencer par ses camarades de classe. On se rappelle toustes du bal de promo et/ou de la scène dans les douches des vestiaires des femmes. Si ce n’est pas le cas, je vous assure qu’après la lecture du roman ou le visionnage du film vous comprendrez de quoi je parle. Et lorsque l’on dit Carrie, comment ne pas évoquer sa mère, une fanatique religieuse qui voue une pleine soumission aux voies du Seigneur Impénétrables…

 

Au-delà de l’horreur pure, Stephen King nous transporte avant tout dans un roman psychologique maîtrisé. Il nous démontre avec brio la force potentielle et destructrice d’un groupe face à une unité (sous-entendu ici une personne, Carrie), et à quel point la société prend un plaisir malsain et pervers à se liguer contre ce qu’elle estime être la différence - et plus précisément encore ici dans le récit - l’étrangeté et l’anormalité.

 

Les descriptions, saupoudrées de rapports, dépositions, articles de journaux, télex et autres extraits de livres, rendent presque palpable ce sentiment d’aversion que toustes ressentent envers cette jeune femme. Tant et si bien, que nous voilà nous aussi soumis à cette dualité tordue, perdu entre dégoût et peine. Oui elle fait pitié Carrie mais elle est écœurante aussi, non ? C’est bien là je dois l’avouer le coup de génie de King : parvenir à nous transmettre ce tourbillon d'émotions malaisantes à travers quelques lignes seulement.

 

Avec son premier ouvrage King atteint déjà des sommets. Près de 50 ans ont passés mais le texte n’a pas pris une ride et offre toujours un plaisir de lecture et un suspense incommensurables. De plus, pour un homme, d’autant plus à cette époque, réussir sans mal à se mettre à la place d’un personnage féminin, fort et indépendant, et lui faire passer une série d’épreuves difficiles mais résolument réalistes, comme la survenue de ses premières règles, c’est brillant !

 

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Carrie

Carrie de Stephen King est un roman que j'ai dévoré !

On suit l'histoire de cette adolescente, Carrie, dotée de télékinésie . Elle est tourmentée par ses camarades d'école et victime d'une mère fanatique et toxique. Et le jour où tout va déraper ça va être un carnage !!

J'ai eu beaucoup d'empathie pour Carrie et c'est un personnage que je n'oublierais pas. L'histoire est prenante du début à la fin, du grand Stephen King !
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Carrie

L'histoire se déroule aux États-Unis, dans une petite ville du Maine nommée Chamberlain : les fans reconnaîtront-là l'un des décors de prédilection de l'auteur.



Au lycée, l'année scolaire touche à sa fin. Les jeunes commencent à s'organiser pour le traditionnel bal de printemps qui clôture le mois de mai, entre nervosité et excitation : pour eux, c'est vraiment "l'événement" à ne pas rater. Mais si certains y voient une occasion de crever l'écran, comme la belle et populaire Chris, ou comme le couple parfait que forment Sue et Tommy, d'autres ont franchement peu de chances de participer aux festivités.



Carrie, 16 ans, fait partie de ceux qui resteront sur la touche. Aussi à son aise au milieu de ses mijaurées de camarades de classe qu'un crapaud tombé dans l'auge des dindons, elle a bien des raisons de raser les murs.

D'une part, elle vit sous la coupe d'une mère bigote à l'extrême qui lui a inculqué la crainte des autres humains, notamment des hommes qui sont autant de "pécheurs" à éviter, et d'autre part, Chris et Sue lui mènent la vie dure par leurs brimades et leurs mauvaises blagues.



Si Carrie donne l'impression d'accepter son sort, intérieurement elle sent que la coupe est presque pleine : le temps d'utiliser son pouvoir de télékinésie, qu'elle contrôle de mieux en mieux, est bientôt là. En effet, lorsqu'elle est contrariée ou sous le coup d'une émotion forte, elle peut déplacer des objets, mais aussi les casser ou les projeter sur l'"agresseur". Personne ne le sait, par chance ! Lorsque de curieux événements se produisent, les gens sont trop occupés à se mettre à l'abri pour chercher leur origine.



Un jour, Chris, Sue et leurs suiveuses vont un peu loin dans la moquerie et se font griller par une prof qui n'a pas du tout l'intention de détourner le regard, elle, et qui va demander à ce qu'elles soient sanctionnées. Les deux vont se retrouver interdites de bal de fin d'année.



On pourrait croire qu'elles s'en tirent bien mais pour elles, c'est une vraie catastrophe. Sue, qui est plus le caniche de Chris qu'autre chose, reprend conscience et décide de se racheter en "prêtant" à Carrie son cavalier désormais seul (Tommy, donc) : ainsi, la pauvre ahurie pourra profiter des festivités, et tout le monde sera content.





Chris, quant à elle, se considère toujours comme étant la victime d'une paumée qui, selon elle, n'a jamais eu que ce qu'elle méritait. Lorsqu'elle apprend que Carrie ira au bal au bras de Tommy, elle voit là l'occasion de lui faire une ultime blague bien puante. Pour ce faire, elle va mettre à contribution son copain du moment, le peu recommandable Billy. La fête s'annonce animée.





Daté de la fin des années 1970, Carrie n'a bizarrement pas grand chose d'une histoire vieillotte. On reconnaît dans ce livre court mais protéiforme (le récit est souvent interrompu par l'insertion d'articles de presse, de rapports d'interrogatoires) le souhait de donner un côté "vrai" à l'histoire.
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Carrie

En ce mois de mai, pour débuter mon challenge Stephen King qui va m’amener à lire ses œuvres dans l’ordre de publication, j’ai relu pour la énième fois Carrie. Publié en 1974, ce premier roman, qui remporte un franc succès et fera connaître de fait l’auteur après des années de tentatives infructueuses, a pourtant failli ne jamais voir le jour. A l’origine, cet écrit destiné à être une nouvelle, avait été jeté à la poubelle par l’auteur lui-même qui trouvait son travail trop mauvais. Par un heureux hasard, sa femme Tabitha tombe sur les pages chiffonnées, les lit et déclare à son mari, un truc du genre: « Mais c’est excellent! Pourquoi tu ne continues pas? » Poussé par les encouragements de sa femme, il reprend la plume, la nouvelle prend la forme d’un véritable roman et il l’envoie sans grande conviction à une maison d’édition. Et là c’est le jackpot!! La maison d’édition Doubleday décide de publier le roman. Moins d’un an plus tard, ce sont déjà 1 300 000 exemplaires qui ont été vendus.



Carrie fait partie des romans les plus populaires de l’auteur mais selon moi, et je rejoins l’auteur qui le dit lui-même, ce n’est pas sa meilleure œuvre. En effet, Stephen King a écrit par la suite des récits bien plus angoissants et haletants, cependant Carrie mérite que l’on s’y attarde ne serait ce parce que le roman aborde de nombreux thèmes que l’auteur n’aura de cesse de reprendre dans l’ensemble de son œuvre: les travers de la société américaine, les aspects négatifs de la nature humaine, l’enfance, la confrontation entre le Bien et le Mal, la morale et la religion.



Est ce le passage du temps, la maturité, l’expérience, je ne saurais le dire, mais j’ai encore une fois redécouvert Carrie, le roman dans son entièreté mais aussi le personnage. Je devais avoir 16-17 ans, quand j’ai lu le roman pour la première fois et à l’époque je n’avais retenu que la simple et sanglante histoire d’une adolescente qui fait tout péter autour d’elle muée par un sentiment de colère et de vengeance. Je n’avais pas été particulièrement sensible au personnage de Carrie, ni aux autres personnages secondaires d’ailleurs. Bref, une agréable lecture certes mais rien de transcendant. Cette fois-ci, j’ai eu la sensation de décoder le message de l’auteur et de me plonger véritablement au cœur de la psychologie des personnages…



Au final, ce que Stephen King délivre au lecteur c’est l’histoire d’une adolescente de 17 ans, rejetée et humiliée par ses pairs, incomprise, souffre douleur, harcelée et victime des pires sarcasmes. C’est malheureusement le quotidien de bien des jeunes gens de nos jours, il suffit de lire les faits divers pour s’en rendre compte et j’espère que la médiatisation aidant permettra de prendre des mesures concrètes pour stopper ce genre de dérives… Le pire dans tout cela, c’est que les adultes dans le quotidien de Carrie, incarnation de la protection, sont aussi cruels que les adolescents. Les professeurs, les habitants de la ville de Chamberlain mais aussi et surtout la mère de Carrie, une bigote totalement fanatique. Carrie ne disposent d’aucune épaule sur laquelle se reposait, aucune amie à qui se confier. Les tentatives de Sue Snell et de son petit ami Tommy arriveront malheureusement trop tard. J’ai été cette fois ci, profondément touchée par le personnage de Carrie qui est au final un jeune adolescente qui ne souhaite que vivre comme les autres gens de son âge: s’amuser, avoir un petit ami, s’habiller avec de beaux vêtements, se maquiller, avoir des amies…Malheureusement le climat familial dans lequel elle vit ne lui permet pas de vivre en toute liberté. La vrai fautive de ce drame désastreux est la mère de la jeune fille qui l’élève dans un carcan religieux qui ne laissent aucune place aux plaisirs.



Malheureusement quand on pousse le bouchon trop loin, bah ça finit par exploser. C’est ce qui arrive avec Carrie, la tension et la rage est à son comble et le pouvoir de la jeune fille se déchaîne, la télékinésie. Les réflexions sur ce pouvoir sont assez intéressantes notamment celle qui tendent à dire que ce serait génétique.







Bien que Carrie ne soit pas le roman le plus terrifiant et le mieux réussi de l’auteur, il mérite largement qu’être lu. L’auteur y dénonce avec finesse la société américaine qui ne fait rien pour protéger les personnes en position de faiblesse, les vices et la cruauté de la nature humaine qui poussent les gens à vouloir écraser et détruire les plus faibles mais aussi les dérives du fanatisme religieux. C’est surtout le personnage de Carrie que l’on garde en mémoire, jeune fille frêle moquée de tous mais qui finira par révéler toute sa force et sa puissance…Carrie dont le souhait le plus cher était de vivre tout simplement comme n’importe quelle adolescente de son âge…
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Carrie

Pourquoi ce livre ?

Après une tentative vaine pour lire “22/11/63” je me suis dit : “Après toutes les éloges et louanges faites pour cet auteur, tu vas bouger ton derrière et lire un livre connu de lui !”. J'ai choisi “Carrie”. A la base je l'avais emprunté au C.D.I de mon collège pour les grandes vacances, mais quand j'ai vu ce beau livre en version relié dans une des chambres de la maison de mon papy et ma mamie je n'ai pas pu résisté. Au revoir la version toute pourri de la bibliothèque et bonjour la belle version reliée ! Bref, j'ai ouvert ce livre et j'ai été tout de suite happée par l'histoire de Carrietta White.



De quoi parle ce bouquin ?

C'est l'histoire de Carrie, une jeune fille qui se fait harceler depuis des années. Carrie a des pouvoirs de télékisies, elle peut déplacer des objets par la seule force de sa pensée. Il va y avoir un événement, la goutte d'eau qui fait déborder le vase.



Que penser de l'histoire et de ses personnages ?

Personnages: Au début, Carrie m'est apparue comme une jeune fille innocente qui se fait maltraiter et qui en souffre. J'avais l'impression qu'elle ne voulait faire de mal à personne mais juste avoir un peu d'amour(?), de gentillesse de la part des autres. Juste se sentir normal et non pas comme la guenon du collège (ou lycée, je ne sais plus).

Puis au fur et à mesure on voit que la rancoeur et la vengeance sont présents dans le coeur de Carrie. J'ai adoré ce personnage parce qu'on voit que c'est une jeune fille bien, mais qu'elle en a marre. Elle veut que ça change, et rien de mieux que faire endurer ce qu'elle a supporté pendant des années aux personnes qui l'ont martyrisée. Quitte à ce qu'il y ait des dommages “collatéraux”… (et ça, hé hé, ça m'a plue)



Histoire: J'ai beaucoup accroché dès le début. le fait qu'il y ait des articles ou des témoignages des faits (ils nous disent qu'il va se passer un événement tragique, et ils sont présenté comme un peu un article de journal...je sais pas si je suis claire).

Il y a un personnage qui, je trouve, a été super bien construit, c'est Billy Nolan. Au début, je croyais que c'était un soumis (Stephen King le présente en temps que tel) face aux désirs de sa petite copine, Chris Hargensen, la principale harceleuse de Carrie White. Puis j'ai pu voir son vrai visage. Voir un personnage évolué c'est super !



Le seul bémol c'est que je n'ai pas eu peur. Je voulais lire un roman d'horreur et je ne l'ai pas trouvé en lisant Carrie, par contre ce livre est un thriller très réussi. Pourtant Stephen King est connu pour ces livres d'horreur. Peut être que je suis tombée sur le livre qui ne traite pas l'horreur…



J'ai aussi vu le film de Carrie. Il y en a plusieurs et j'ai vu “Carrie, la vengeance” (celui de 2013). Ce film respecte très bien le livre et j'ai été contente, mais il y a beaucoup moins d'émotions présentes. A remarque c'est normal que le livre en ait plus !



Conclusion:

C'est un roman très bien construit. La plume de Stephen King nous projette dans le livre et on vit l'histoire ! Ne vous attendais pas à avoir de l'horreur. Les personnages sont très intéressants. Vite, lisez le !



PS: Ma prochaine lecture de cet auteur sera “Sur la ligne verte” (cette fois je ne m'attend pas à de l'horreur, ça n'en a pas l'air) mon père me l'a conseillé en me disant que c'était un livre génial. Donc pourquoi pas ?
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Les évasions célèbres de Colditz

colditz un superbe château

de conte de fée.a servi

pendant la seconde guerre

mondiale de camp de

prisonnier à tout les officiers des forces alliées

du monde entier, qui avaient tenté de s, évader

d'un camp régulier.

le narrateur lui même

emprisonné, nous raconte

les aventures de ses risque tout.

qui ont démontré que

colditz qui était sensé

être un endroit d, ou on

s, évade pas n'a pas été

a la hauteur de sa réputation.

on ne s, ennuie pas, une

seule seconde dans se

livre, a suivre les préparatifs d, évasions,

entre les tunnels a creusés.

les faux papiers à faire.

les vêtements civils à trouver. les réussites,

mais aussi les échecs.

de ses hommes de toute

nationalités, qui ont mis

leurs ingéniosité en commun,et leurs courage.

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Carrie

Quand j'ai lu Carrie pour la première fois j'avais à peu près l'âge de l'héroïne. Aussi, malgré le don de Carrie, je me suis vite identifiée à elle car nous vivions des tourments similaires (sans avoir été humiliée par mes camarades de classe, je n'étais pas spécialement populaire).



En outre, l’histoire est très prenante et émouvante. Il est dommage que la fin arrive si vite car une fois que Carrie découvre réellement de quoi elle est capable, elle détruit tout et basta. Mais pour un premier roman, c'est très prometteur.
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Carrie

Carrie est un roman qui témoigne de la cruauté dont peuvent faire preuve les lycéens. La scène de la douche est insupportable et on a envie de rentrer dans le livre pour en secouer plus d’un. Hormis envers Carrie, on n’éprouve aucune sympathie pour les personnages. On en giflerait même Miss Desjardin pour son non-assistance. Limite à la fin, on jubile en même temps que Carrie quand elle les tue tous. L’idée du sang est révoltante et on ne peut s’empêcher de penser : « Bien fait pour eux ».



Stephen King dénonce les dérives sectaires telles que le fanatisme religieux au travers de Margareth White. Il en arrive même à inverser les tendances des romans d’épouvante (l’élément fantastique qui est d’ordinaire effrayant). Ici, ce sont les habitants de Chamberlain et la mère de Carrie qui sont les monstres.



Au travers de ses personnages féminins, l’auteur retranscrit à merveille les mentalités des années 60. Surtout concernant Sue Snell. Je pense que l’action est mieux contextualisé dans cette décennies emplie de préjugés. C’est d’ailleurs, ce qui m’a le plus dérangé dans le remake du film avec Chloë Grace Moretz.



J’adore également le cynisme de Stephen King. A la page 91, un dénommé Hubie déclare qu’avec son pacemaker, il risque à tout moment de se prendre 110 volt en se rasant, et que les jeunes ne peuvent pas comprendre ça. Pourtant, sans crier garde, tous les élèves d’Ewen se sont faits foudroyer pour des câbles de 220 volt. Une petite touche d’humour noire signé King.



Le seul bémol, est la répétition de certain prénom. Par exemple, Tommy Ross et Tommy Quillan. Et les digressions qui gâchent le suspens. Dès les premières lignes, on sait qu’un terrible drame s’est produit à Chamberlain dont la cause est Carrie.

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Carrie

Alors voilà, j’ai enfin lu mon tout premier Stephen King, et le sien en même temps. Ecrit à 27 ans, ce roman est divisé en 3 parties : 1) le jeu du sang, 2) Le bal et 3) Epaves même si la 3e partie est largement plus courte que les deux premières. La langue est bien mais je ne l’ai pas trouvée extraordinaire comme certains, pour moi Ken Follett restera mon auteur préféré au niveau de la langue. Mais c’est clairement mon premier roman d’horreur, et ce côté-là est très réussi, ce qui intrigue et en a dérouté un grand nombre c’est la structure du roman, déjà on peut passer d’un perso à un autre, et en plus tous ces morceaux de récit sont entrecoupés d’extraits d’ouvrages ou de journaux en rapport avec la télékinésie ou l’affaire Carrie White. Je l’ai lu en 2 jours, c’est une bonne surprise, c’est assez cruel ce que nous raconte King mais c’est sûrement possible aux Etats-Unis. On s’attache beaucoup à Carrie et à Sue Snelle et je dois avouer que le personnage de la mère fait froid dans le dos.

J’ai ensuite regardé le film Carrie la vengeance (la couverture de mon livre était la jaquette du dvd du film), et je l’ai trouvé très sympa, tout d’abord il y a Chloë Grace Moretz que j’adore qui est exceptionnelle dans ce rôle, et aussi Julianne Moore qui fait très bien le job. Il y a de petites différences dans le film mais elles n’entachent pas l’intrigue principale, par contre au niveau du harcèlement le film a été modernisé, et pourquoi pas ça marche plutôt bien. Donc pour moi une vraiment bonne adaptation, il me reste celle de de Palma à regarder.

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Carrie

Une lecture assez prenante. Même si je connaissais l’histoire, je me suis laissée transporter. Une bonne constitution dans l’ensemble et le sujet est assez bien exploité pour moi. Une histoire terrible qui monte en puissance au feu et à mesure.

Carrie , 17 ans, solitaire, timide vit un calvaire. Elle est victime du fanatisme religieux de sa mère et du harcèlement scolaire de ses camarades de classe. Carrie est également dotée d’un don de télékinésie. Cette capacité va tout faire dégénérer après la mauvaise blague dont elle est victime.
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Carrie

Carrie, le premier roman de Stephen King publié en 1974, demeure un chef-d'œuvre intemporel qui mérite une analyse approfondie de ses points forts, tout en reconnaissant quelques points faibles mineurs.



L'un des aspects les plus marquants de Carrie est son caractère haletant et captivant. Dès les premières pages, King réussit à captiver le lecteur en dressant un portrait saisissant de Carrie White, une adolescente marginale. Le récit de sa vie, entre le fanatisme religieux de sa mère et le harcèlement cruel de ses camarades de classe, est à la fois déchirant et poignant. Cette montée progressive de la tension, où l'on assiste à l'accumulation de la souffrance de Carrie, rend l'histoire irrésistiblement prenante. King excelle dans la construction de l'intrigue, et le dénouement explosif lors du bal de fin d'année est particulièrement mémorable.



Carrie est avant tout un roman d'horreur psychologique. King explore avec brio les thèmes de la violence, de la vengeance et de la solitude. Il nous plonge dans l'esprit tourmenté de Carrie, faisant de nous les témoins de sa montée en puissance destructrice. Cette immersion dans la psyché troublée du personnage principal est une expérience intense et émotionnelle qui met en lumière les conséquences tragiques de la maltraitance et du rejet social. King adresse ainsi une critique poignante de la violence et de l'intolérance qui peuvent précipiter des tragédies semblables.



L'un des atouts majeurs de Carrie réside dans la création du personnage éponyme, Carrie White. Elle incarne à la fois la victime et le bourreau, une dualité qui la rend à la fois admirable et terrifiante. Cette complexité rend le personnage extrêmement captivant. King parvient à susciter chez le lecteur une grande empathie envers Carrie, tout en lui inspirant une certaine appréhension face à son pouvoir destructeur. Cette dualité est le reflet de la profondeur psychologique des personnages de King, une caractéristique de son œuvre littéraire.



Carrie est également un roman culte qui a eu un impact durable sur la culture populaire. Il a été adapté au cinéma à plusieurs reprises, devenant ainsi une référence dans le genre de l'horreur. De plus, il a inspiré de nombreux autres auteurs, dont Stephenie Meyer, l'auteure de la saga Twilight, qui a reconnu l'influence de Carrie sur son propre travail. Cette influence durable témoigne de la pertinence continue de l'œuvre de Stephen King et de l'importance de Carrie dans le canon de la littérature d'horreur.



Bien que Carrie soit un roman exceptionnel, il présente quelques points faibles mineurs. Certains lecteurs peuvent être sensibles au contenu gore du livre, en particulier lors de la conclusion dramatique. De plus, la fin du roman peut sembler un peu abrupte pour certains, laissant une impression d'inachevé.



En conclusion, Carrie de Stephen King est un roman incontournable qui mérite amplement sa place dans la panthéon de la littérature d'horreur. Ses points forts, tels que son récit captivant, son personnage féminin complexe, et son exploration profonde des thèmes de la violence et de la vengeance, en font un classique intemporel. Ses quelques points faibles mineurs ne font que souligner l'importance de cette œuvre dans le monde de la fiction horrifique.
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Carrie

Depuis le temps que j'avais ce Stephen King en attente de lecture, il a fallu un challenge Babelio pour que je me lance. Pourquoi avoir attendu si longtemps? La peur d'avoir peur? (j'avoue avoir été traumatisée lorsqu'adolescente j'ai lu "ça"). Mais j'ai été agréablement surprise. Je pense que le film de Brian de Palma, dont j'ai beaucoup entendu parlé mais que je n'ai jamais vu car je n'aime pas trop les films catalogués horreur, est beaucoup plus effrayant que le livre.



Dès l'amorce de la lecture, on sait qu'un évènement terrible s'est passé dans la petite ville de Chamberlain, Maine. Plusieurs centaines d'habitants ont péri à cause du déchainement de colère de la jeune Carrie White, 17 ans, souffre douleur de ses camarades et de sa mère, une fanatique religieuse. On apprend vite que Carrie possède des pouvoirs de télékinésie et que c'est grâce à ce pouvoir qu'elle a pu tuer tout ce monde.

Le livre oscille entre passé (la naissance de Carrie et les premières manifestation de son pouvoir), présent (Carrie a 17 ans) et un autre présent qui est celui de l'après-catastrophe. Dans ce dernier, nous avons accès a différents témoignages de survivants sous forme d'interview ou d'audiences.



J'ai adoré ce livre, comme tous ceux de Stephen King que j'ai eu l'occasion de lire. La tension est palpable du début jusqu'à la fin et atteint son paroxysme au 3/4 du livre lors de ce fameux bal ou tout bascule.

J'ai eu beaucoup de peine pour Carrie, jeune fille harcelée par ses camarades et qui vit dans un environnement familial particulier.

Ce roman aurait pu être écrit de nos jours, car la problématique du harcèlement scolaire est toujours la même, malheureusement.



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Carrie

Quelle bonne lecture !



Dès les premières pages, on retrouve cette plume et le fantastique est au rendez-vous mais il y a beaucoup plus que cela entre les lignes.



L’histoire de Carrie est bouleversante du début à la fin du roman. Sorti en 1974, l’auteur nous décrit une adolescente mal dans sa peau, complexée, harcelée, avec en prime une mère complètement dysfonctionnelle, toxique qui ne fait rien pour l’aider, bien au contraire.



Certaines scènes sont frappantes, choquantes, notamment celle de la douche qui me restera gravée en mémoire très longtemps, et montrent la méchanceté, la cruauté des gens.



Quand on pense que le King n’avait que 25 ans lorsqu’il a écrit ce roman, je suis admirative de son don car le mal-être de la jeune fille est décrit avec tellement de justesse, c’est juste incroyable.
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Carrie

Première incursion en littérature de Stephen King, Carrie est une brûlante réussite. Dans cette histoire de télékinésie frénétique dont est possédée une jeune fille fragile, King alterne documents apocryphes (articles de revues, témoignages divers, télex informatifs, dépositions sous serment, etc.) et narration éclatée (points de vue divergents mais complémentaires).



Toute la doxa kingienne est déjà en place : le Maine, les émois pubertaires, le fanatisme religieux, le Mal comme entité souveraine, la rédemption salvatrice, le sang et le feu... Astucieusement conduite, cette ruée vers l'apocalypse va crescendo. le lecteur connaît dès les premières pages l'issue infernale du roman mais en distillant, goutte à goutte, les données factuelles qui l'ont provoquée, King joue avec nos nerfs.



Plus que Carrie White, désolante victime expiatoire de la petite ville de Chamberlain, ce sont les méchants tapis dans l'ombre de ce récit d'épouvante qui en font le sel : l'affreux Bill Nolan, haineux bas du front ou la perverse Christine Hargensen qui nous rejouent l'idylle moite du duo Popeye et Temple Drake dans Sanctuaire (on y évoque même un épi de maïs). Mais surtout l'effroi nous glace face à Margaret White, la maman déjantée de Carrie : hors contrôle, cette folle d'un Dieu irascible, rejoint la funeste cohorte des monstrueuses mères nocives de la littérature ou du cinéma.



Renversant !
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Carrie

Premier Stephen King que je découvre. Et probablement pas le dernier !! Je pense m'attaquer à Salem un de ces jours.



J'ai entendu que le King était le maître du livre gore. Ici, j'ai trouvé le livre plutôt terrifiant, pas au sens d'angoissant comme dans certains livres d'horreur ! Mais terrifiant par la complexité du personnage de Carrie, qui vit avec sa mère complètement barge ! Celle-ci est prise dans un fanatisme religieux. Et Carrie en fait les frais depuis son enfance. Rejeté par sa mère mais aussi par ses camarades.



Tout le monde prend Carrie en grippe. Elle est très étonnée de voir Tommy Ross (le mec populaire) lui proposait d'aller au bal avec lui. Victime encore une fois d'une machination et de la haine, Carrie va déclencher l'apocalypse..



J'ai vraiment réussi à rentrer dans l'histoire au moment où l'heure du bal était arrivée. Avant je trouvais quelques passages un peu long. D'autant plus qu'il n'y a aucun chapitre dans ce livre. On a comme l'impression de ne pas avancer. Puis l'écriture de King est particulière, il faut prendre le temps de s'habituer.



J'ai plutôt apprécié que le récit soit alterné avec des témoignages de "l'après apocalypse" et de médecins spécialisés. Cela donne quelques indices quand à la suite des évènements.



Une fois le bal arrivé, tout s'enchaine et on ne décroche plus jusqu'au bout. Bravo pour ce premier roman ! Hâte d'en découvrir d'autres.



Elise__♥
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Carrie

Carrie c’est tout d’abord le premier roman de Stephen King. Merci à la nouvelle adaptation qui sort très prochainement car elle m’a poussé à découvrir ce livre plus rapidement que je ne l’aurais probablement fait.



Carrie est une jeune fille de dix-sept ans qui supporte les moqueries incessantes de ses camarades de classe et qui supporte également le fanatisme religieux de sa mère. C’est avant tout l’histoire de la revanche d’une adolescente très différente. Le roman s’ouvre avec une des nombreuses persécutions, Carrie et d’autres filles prennent une douche dans les vestiaires du lycée quand Carrie a ses premières régles. N’ayant jamais entendu parler de cela par sa mère puisque cette dernière voit "le sang" comme un pêché, Carrie panique et pense avoir une hémorragie, ce qui amènera les moqueries de toutes les filles. C’est à ce moment que son pouvoir de télékinésie naitra le jour (Télékinésie ou capacité à faire bouger les choses par son esprit).



Nous retrouvons plusieurs thèmes dans ce livre comme les problèmes généralement connus de l’adolescence comme le mal être de soi, l’envie de s’intégrer et d’être apprécié. C’est ce qui fait que l’on s’attache à Carrie et que l’on se retrouve à avoir pitié pour elle. Nombreuses adolescentes pourraient se retrouver en elle.



Nous savons dès les premières pages comment va se finir l’histoire, ce qui va arriver puisque Stephen King place entre deux scènes des revues, des extraits d’articles de jounaux, des témoignages. Mais ce qu’il y a d’intéressant c’est de découvrir comment on va en arriver là.



Pour ce qui est des personnages, seuls Carrie et Tommy (son cavalier au bal) sont attachants, j’ai apprécié également le personnage de Sue qui, regrettant son comportement avec Carrie tente d’arranger les choses. Bien sur difficile de s’attacher aux autres camarades qui jusqu’au bout sont terribles, difficile également d’apprécier la mère de Carrie. Ce roman n’est pas du tout terrifiant et ceux ou celles qui ont peur d’être terrifiés avec un livre de Stephen King pourraient sans problème lire celui-ci puisque seule la mère fait "froid dans le dos" pourrions nous dire.



Ce fut une très bonne lecture qui se résume à la vengeance de Carrie (c’est d’ailleurs le nom de la nouvelle adaptation). Une lecture très prenante et dont Stephen King sait bien tirer profit d’une fiction en mettant en avant des thèmes d’actualité. Une construction vivement intéressante et un final grandiose.
Lien : http://audreyreadings.wordpr..
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Carrie

Mon tout premier Stephen King, et ce sera sûrement pas le dernier ! Je suis loin de mon style habituel, mais il faut un début à tout ! Je connaissais son œuvre essentiellement à travers les adaptations cinématographies, mais par écrit, les émotions sont totalement différentes. Le Maître de l'Horreur a une plume qui vous prend tout simplement aux tripes, et sait faire monter la tension au fil des pages.

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