Le bouillonnement d'énergies et d'initiatives autour des pratiques méditatives doit conduire à la structuration d'un cadre d'enseignement, qui devra cependant être en mesure de laisser la méditation être ce qu'elle est : un chemin de vie qui, depuis des milliers d'années déjà, est accessible à tous.
Comment ne pas faire de la méditation l'arbre qui cache la foret de la souffrance humaine, quand tant d'autres dysfonctionnement de nos sociétés ne sont pas remis en question ?
La méditation reste et doit rester un choix personnel. Elle ne constitue en aucun cas une réponse générique à des réponses générique à des questions de société, ni une trouvaille valable pour tout le monde, ni un pansement à tous les maux.
Dans une approche multidimensionnelle de la qualité de notre vie, la pratique méditative est aussi l'occasion d'explorer moins de détresse émotionnelle et de solitude, moins de stress et d'anxiété, même en avançant en âge.
La flexibilité attentionnelle est un autre élément majeur que nous pouvons solliciter pour garder notre attention aiguisée dans un environnement regorgeant de stimulations. Elle peut être développée grâce à la pratique méditative.
en entrant dans une transformation de lui-même par la mindfulness, le leader développe sa capacité de résilience et entre mieux en résonance avec les autres, grâce à la pleine conscience de ses émotions.