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J’ai adoré ce livre.

Je me suis tellement attaché aux personnages..
J’ai eu du mal à terminer cette histoire tellement je ne voulais pas qu’elle se finisse. J’avais déjà beaucoup aimé les livres « captive » de la même hauteur mais celui-ci est vraiment encore mieux. J’ai trouvé cette histoire addictive je n’arrivais pas à arrêter de lire. Les personnages sont si intéressants chacun avec leurs personnalités différentes. Le personnage de Kai m’a particulièrement marqué et Jacob m’a fait rire. Iris est très attachante. Cette histoire m’a vraiment tenue en haleine tout le long. Je n’ai vraiment pas été déçue de ce livre il est vraiment bien.

Alors que le combat épique vient de se passer laissant la team humiliée et fragilisée, Ken se décide à suivre le plan tout en y ajoutant sa touche personnelle : cogner puis rallier. La tension est à son comble, et là.. baaaam je me prends une claque du wtf. Boichi, qui s'est sûrement dit que trop de testostérone allait (oulala) nous perdre, s'est lancé dans un épisode érotique spatial avec la Pioche. En effet, un soupçon de femme à poil me manquait terriblement...... puis l'histoire principale reprend pour que Yumin nous raconte sa vie de policière naïve en soutif d'infiltration. Pourquoi. Un peu plus d'équilibre est demandé !

Les potes, le théâtre, les premiers émois, les Marlboro fumées en cachette... Et tout bascule, lorsqu'en 1987, alors en quatrième, son père décède brutalement. Un mauvais virage, un pylône. Le voici orphelin de père. Bon an mal an, il s'accommode de cette vie auprès de sa mère qui, alors qu'elle montrait déjà des troubles mentaux suite à la mort de l'enfant Jean, s'enferme de plus en plus, accumule obsessionnellement tout et n'importe quoi et dérive peu à peu. Après un séjour à l'hôpital psychiatrique, elle a oublié jusqu'à son existence. Il se voit alors contraint de s'en éloigner... peut-être pour revenir un jour...

En deux temporalités (1987 et 2007) et en deux voix, celle de la mère et du fils (dont on ne connaîtra jamais les prénoms), Christophe Perruchas tisse un roman brut et intime. À tour de rôle, il s'immisce dans la tête de la mère, emmurée, figée dans sa maison, parlant d'elle en utilisant le « on », errant au gré de sa folie et inconsolable de la mort de l'enfant Jean. Et dans celle du fils, orphelin de père puis de mère par la force des choses. De l'adolescent au père de famille que l'on retrouve 20 ans plus tard, il n'aura de cesse, empreint au désarroi, de se questionner aussi bien sur son statut de mari, de père que de fils, surtout. Si la plume est riche et travaillée, si l'ambiance se révèle tout à la fois pesante et étouffante et la relation entre le fils et la mère singulière, si l'on ressent tout le poids sur les épaules de ce fils, l'on peine, toutefois, à s'attacher à eux. Un roman fort et original, certes, mais qui manque d'émotion...

Faire préfacer sa BD par Yannick alleno, 3 étoiles au Guide Duchemin... euh, non, Michelin, c'est une sacrée entrée en matières.

Le reste est un subtil (et parfois moins subtil) mélange de genres. On a du drame, de la romance, du chick litt (avec Audray Alwett aux commandes, c'est assez normal), du thriller, de la gourmandise et j'en passe... au programme.

L'action se déroule dans un restaurant 3 étoiles. On a un bel aperçu des coulisses de ce genre d'établissement. Les coûts, le service, les critères, les impératifs... le lecteur perçoit bien les enjeux et les devoirs d'un restaurant 3 étoiles "au Guide Rouge", comme il est dit dans la BD.

Ensuite on a de l'humain. Important l'humain. Le chef est mort, vive le chef... enfin non pas vraiment. Le chef mort, ses enfants lui succèdent, car il y a un prêt maousse à rembourser. Arthur vient d'un établissement de fast-food, il était brouillé avec son père. Ambre n'avait pas vraiment anticipé qu'elle allait gérer une brigade de resto 3 étoiles pour servir le tout Paris (et plus si affinités).

C'est vif, envolé, fluide, bien documenté, sensuel, gourmand, et respectueux du travail effectué par le personnel d'un resto 3*, mais le dessin façon manga m'a -un peu- rebutté. Trop de clinquant au final. Trop de tape-à-l'oeil alors que la qualité de l'assiette prime, normalement.

La peur et l’étrangeté habitent ces trente-deux courtes nouvelles écrites par l’écrivain syrien réfugié en Turquie, Mustafa Taj Aldeen Almosa. Dans ces petits contes fantastiques : des personnages emprisonnés dans un tableau s’animent pour parler avec les vivants et parfois s’évader, une sorcière s’envole sur son aspirateur pour fuir vers l’autre monde, des morts reviennent sur terre pour se venger du juge qui les a condamnés… Tous sont des gens simples, hors du temps, confrontés à la mort, à la disparition de leurs proches ou à l’exil. Hanté par les visons horribles de corps déchiquetés par les bombes ou brisés par la torture, l’auteur se réfugie dans l’absurde, l’humour et la dérision pour transcender sa douleur. Les cauchemars deviennent réalité, à moins que ce ne soit l’inverse. La folie est proche.

Après deux livres absolument passionnants je poursuis dans ma liste de livres à lire.

Je ne sais pas pourquoi j'avais mis ce livre « à lire » car j'ai été déçu par ma lecture.

C'est l'histoire de la vie de deux soeurs d'environ 40 ans depuis leur tendre enfance jusqu'au décès de leur grand-mère.

Il est certes bien écrit, mais plus de 100 chapitres pour un livre de 300 pages, j'avoue que je n'apprécie pas ce type de découpage qui semble pourtant être très à la mode.

J'essaie de comprendre pourquoi je n'ai pas aimé ce livre alors que beaucoup au contraire l'ont apprécié.
J'irai lire les critiques positives après avoir publié la mienne, pour ne pas être influencé.

Mon analyse tient peut être à ce que je suis un homme dans la soixantaine
Je me suis dit que ce livre ne devrait pas être recommandé aux plus de 60 ans, voire 50 ans.
Pourquoi?
Peut-être parce que, j'ai derrière moi une vie faite de nombreuses expériences et que lire la vie de 2 femmes de 40 ans, celle-ci me parait plus « pauvre » que la mienne?

En effet, je n'ai rien trouvé dans l'histoire racontée, qui puisse m'intéresser, par rapport à mon propre chemin de vie?

Ce livre n'est clairement pas pour moi mais je conçois qu'il puisse être pour d'autres différents de moi.

Malgré tout, ce livre a consolidé ma conscience de mes gouts en terme de littérature.
Je commence, après les prix Goncourt que je n'ai pas aimé, à mieux cerner ce qui est pour moi un livre appréciable.
Mes goûts sont foncièrement différents du plus grand nombre.

La littérature est, comme toutes choses dans la vie, un domaine où chacun ne trouve pas la même chose car nous sommes tous différents et personnellement je suis très éloigné de « la norme ».

Le titre "Origami" est un peu usurpé. Beaucoup de modèles requièrent de la colle ou des découpages. Il s'agit essentiellement de déco. Les explications ne sont pas toujours précises, à l'instar de ce scorpion, où il faut découper "toutes les épaisseurs selon les pointillés"... inexistants sur le schéma.

Le vocabulaire est imprécis. Un "pli vallée" s'appelle un "pli vers l'avant". On pourrait penser à un volonté de simplifier, mais on trouve des plis inversés extérieurs ou intérieurs correctement nommés. 

Il y a pas mal de modèles classiques, comme le crabe ou la tulipe, qui n'apportent pas grand chose aux amateurs.

Bref, j'ai été déçue...

Un roman intéressant qui au-delà de décrire le quotidien d’un jeune homme dans la rue, nous pousse à interroger notre propre attitude face aux personnes qui vivent et mendient sur les trottoirs. Les personnages sont attachants et le regard porté sur notre société acéré. Nous sommes tous.toutes ces autres qui détournent les yeux ou se rachètent de leur sentiment de culpabilité en donnant une misérable pièce. J’ai trouvé ce livre intéressant même si la lecture n’est pas confortable, ce qui est le but: ouvrir les consciences et changer nos comportements.

J'ai tellement été séduite et captivée par le 1er tome, que j'ai enchaîné directement avec la suite. en même temps avec cette fin, impossible de faire autrement...
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Je ne vais pas m'appesantir sur l'intrigue, vu que c'est un tome 2. Sachez seulement qu'on voit un peu plus le MC et ses activités, on assiste aux changements pour son futur.
Dans ce 2ème tome, Lani doit faire face aux conséquences engendrées par son départ 6 ans plus tôt. Et la prise de conscience est dure et amère...
On découvre aussi une nouvelle partie du passée de Lani, notre héroïne : ses 6 années passées à Pittsburgh avec Reed, sa reconstruction (pow pow pow, et quelle reconstruction...!! Lani, cette guerrière❤), l'arrivée de Ash, la manière dont il s'est rapproché de Lani, comment le duo Lani / Reed est devenu un trio.🥰
Reed m'a totalement conquise 😍
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Ash définitivement, je l'adore. Ses pitreries et ses chamailleries avec Dani Boy me font tellement sourire et rire. Le passé de Ash se rappelle aussi à son bon souvenir... et je suis impatiente d'en savoir plus à ce sujet.
Dani, de son côté, commence à ouvrir les yeux, et se rapproche progressivement de la sphère personnelle et intime de Lani.
Griffin, lui, continue de s'enfoncer dans sa colère suite à la perte de Cléo, se coupant de ses "frères", refusant une quelconque aide, et repousse Lani et la lumière qu'elle apporte aux enfants de Cléo.
Et Maverick, aaah Mavie... ☺ Lui est perdu, entre son deuil vis à vis de Cléo, et l'attirance de plus en plus irrépressible qu'il ressent pour Lani.
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Aucun temps mort dans ce 2ème opus; tension, révélations, mystère sont au rendez-vous. Mais aussi de l'amour, de l'amour et encore de l'amour avec une touche caliente et spicy...🌡
Bref, Defeated Love est tout aussi réussi que Wicked Mind pour moi. J'ai encore passé un formidable moment riche en sensations et émotions avec Lani et ses hommes. Je suis définitivement fan et les Sons of Sorrow sont désormais ma nouvelle obsession. Vivement le tome 3, car encore une fois, cette fin... c'est pas possible!! Les autrices sont carrément sadiques et aiment nous rendre barges!
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Encore une fois, je recommande sans aucune hésitation cette lecture pour les amatrices de harem inversé, ou même pour celles qui souhaitent expérimenter le genre (comme moi).

Mathieu Soucy est un fonctionnaire de l’État fédéral canadien. Père assez peu attentif de deux jeunes enfants, sa femme l’a quitté parce qu’elle le trouvait médiocre, notamment au lit.

S’il y a une chose qui enrage Mathieu, ce sont les incivilités qu’il constate partout: dans l’autobus, sur la route, à l’épicerie, etc. Il finira par se faire justicier et faire payer ceux qui ne respectent pas l’ordre social. Son bras vengeur s’abattra de plus en plus férocement sur ses victimes. En même temps, il se rapprochera de ses enfants, contrairement à son ex-femme, qui ne pense qu’à s’envoyer en l’air et à prendre du bon temps.

J’ai bien aimé ce roman, publié par un micro-éditeur de Gatineau (Québec), pour son humour noir. Son auteur, Jean-Rodrigue Paré (ou du moins le narrateur) ne s’embarrasse pas de rectitude politique. Son utilisation du français québécois, dans les dialogues, est parfaitement dosée, ce qui donne de la crédibilité aux personnages, tous plus tordus les uns que les autres.

Ce roman mérite de trouver un public plus large que celui de la seule région des Outaouais.

Je viens de découvrir le cosy mystery et contre toutes attentes, j’ai aimé !
Un personnage principal différent, des gentils très gentils, des méchants attachants, voici tous les ingrédients de ce polar très confortable.
Un page turner à recommander si vous souhaitez passer un bon moment, avec de bons sentiments mais tout de même un meurtrier à démasquer !

Alors que je me réjouissais de relire Mélanie Guyard, dont j'avais aimé Les âmes silencieuses, force est de reconnaître que je suis passée à côté de son nouveau roman.
Une histoire nébuleuse  dans laquelle je ne suis pas arrivée à rentrer. J'aurais dû pourtant, un des personnages, Alice, 10 ans est férue de contes russes et j'ai toujours aimé les contes. Mais là cette histoire que se raconte l'enfant, qui l'attire de façon irrépressible vers les marais et lui permettra de résoudre une énigme vieille de 65 ans m'a laissée de marbre. Il y a pourtant des personnages intéressants. La vieille dame par exemple m'a intriguée.  Le roman débute par un drame et fait de constants allers retours entre passé et présent  et pourtant il faudra attendre la toute fin pour que soient révélés les secrets des lieux.
Bref, je l'ai lu jusqu'au bout espérant une éclaircie sans qu'elle arrive, et je suis restée sur ma faim. Cela m'arrive rarement, mais c'est ainsi. Faites-vous votre propre idée ...

Merci néanmoins à Babelio et aux éditions du Seuil pour cette masse critique privilégiée.

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[SERVICE PRESSE #42]
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👩 Louise Beauvoir (Disparition en Corse)
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Je remercie Netgalley et la maison d’édition pour ce service presse.
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👩Louise Beauvoir est gendarme. Alors qu’elle doit partir en vacances avec sa fille, elle est appelée sur une disparition inquiétante en Corse. Arrivée sur l’île avec sa fille, Louise découvre que la victime est liée à une disparition inquiétante sur le continent.
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👩La première chose qui m’a frappée, avec cette BD, ce sont les dessins des personnages. Les visages des hommes semblent taillés à la cerpe et j’aime cet effet bourru et buriné que cela donne. Les visages des femmes sont plus lisses, mais tout aussi expressifs.
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👩 J’ai adoré l’enquête de police ! C’était super agréable, hyper bien mené et très addictif. La situation familiale de Louise s’invite dans la partie et ça me fait penser aux mêmes histoires de flics qu’on voit dans les films, du coup, j’ai trouvé ça encore plus réel.
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👩Les illustrations sont extrêmement expressives. Les émotions sont visibles, agrémentées de couleurs parfois ternes, ce qui donne une ambiance lourde. J’ai apprécié les différentes prises de vues des dessins. Cela apporte originalité et profondeur à l’œuvre. L’humour est pince sans rire, ce qui ajoute encore à l’histoire.
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👩 Une bande dessinée de 96 pages, très complète et d’une qualité certaine. Je serais ravie de continuer à suivre cette série.
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Aujourd'hui je vous présente ce recueil de cinq nouvelles de Christophe Mogentale.
Des nouvelles entre 10 et 30 pages, pour un livre de 85 pages. Et pourtant, en seulement 85 pages l'auteur a su captiver mon attention et avoir toute mon admiration. Je suis totalement conquise.
Entre science-fiction, fantastique, mystère et horreur on passe un très bon moment. Chaque nouvelle à sa spécificité et je pense que ma préférée est la dernière. Ne vous attendez pas à des histoires horrifiques au point de ne pas dormir ! C'est un juste milieu entre l'angoisse et la peur. Entre le mystère et un suspens insoutenable.
La plume de l'auteur, douce et magnifique, nous plonge sans attendre dans chacune de ses nouvelles. Les mots choisis et son imagination sont tellement bien que vous êtes tenus en haleine tout au long de l'histoire.
Des petites histoires qui vous tiendront en haleine que je vous recommande pour passer un bon moment. J'espère que vous serez aussi transporté que moi par les mots de l'auteur.

J'ai beaucoup aimé ce livre, car c'est une petite dark romance assez soft. Le sujet sur la mafia est super bien trouvé et réaliser, la plume est incroyable néanmoins je tiens à faire un point sur le fait que pendant les 100 premieres pages, les actions sont lentes à commencé, donc au début j'ai eu peur de ne jamais pouvoir le finir mais avec le temps j'y suis arrivé. Sinon c'est plutôt attractif et mignon malgré le long début qui m'ont empêché de m'immiscer directement dans l'histoire.

Premier livre d’Ovidie que je lis sur les recommandations d’une amie et ça commence (et finit) fort ! Bien qu’un certain nombre de réflexions puissent laisser perplexes et sembler un peu caricaturales, Ovidie dit tout haut ce que beaucoup ont pu penser ou vivre tout bas. L’on se reconnaît forcément dans certaines des situations qu’elle décrit et bon nombre de passages forcent à la réflexion même lorsqu’elle n’est pas des plus plaisantes. Je n’aurais probablement pas autant apprécié ce livre ni ne l’aurait lu avec le recul nécessaire si dès la première page l’auteure n’avait pas tout de suite annoncé que son livre ne constituait pas un traité féministe ni un guide quel qu’il soit mais était un livre écrit sous la colère aux vertus de catharsis.

Ce premier tome m'a embarqué dans un monde tantôt beau, tantôt cruel.

Dedaleum, où tout le monde peut se perdre et surtout les enfants.

Un monde magique s'ouvre à Benjamiah qui lui, a plutôt un esprit rationnel et scientifique. Il va arriver à Dedaleum grâce à une poupée de chiffon et vivre de drôles d'aventures avec Elizabella, une jeune fille impétueuse, à la recherche de son frère jumeau Edwid.

Je ne connaissais pas cet auteur et ce fut une très bonne surprise. Ecriture fluide, descriptions réalistes et qui vendent bien l'environnement du roman, des personnages à aimer tout autant que des personnages à haïr : un excellent cocktail pour arriver à un tome 1 pépite.

Vivement 2025 pour la suite !

Alors là bravo! Je ne m'attendais absolument pas à une telle lecture en ouvrant ce roman. Tout d'abord intriguée par le résumé puis subjuguée par la couverture j'ai assez vite plongé dans l'histoire.

Dès le début on s'aperçoit que l'intrigue va être assez mystérieuse mais alors la poésie qui en emane est vraiment magnifique. La plume est fluide et permet au lecteur de plonger lentement, sans se noyer dans le récit tout en alternant les points de vue des personnages. Ce qui provoque un certains troubles par moment mais pour ma part cela a renforcé l'aspect enchanteur de l'histoire avec une part d'obscurité.

Innocence, conte de fées, manipulation, romance et quelques touches gothiques offrent un roman poignant et addictif.

Une foule d'émotions nous traversent au fur et à mesure que les pages défilent. La limite entre conte de fées et réalité est parfois très mince mais néanmoins charmante.

De plus, l'objet livre est un vrai bijou! Cette illustration et ce jaspage c'est incroyable.

Oh mais quel bon moment !
L’histoire d’une famille britannique de classe moyenne sur 3 générations, il ne m’en fallait pas moins pour me ravir.
Je n’ai pourtant pas de passion particulière pour le Royaume-Uni, quoiqu’une tendresse particulière pour Kate, la princesse, et je ne connaissais pas l’auteur.
Cette frise britannique est tout aussi drôle que sérieuse, inventive que fidèle à l’histoire, la grande, et même toute aussi chocolatée que qu’irrévérencieuse !
Je ne pensais pas un jour connaître aussi bien les anglais qu’après cette lecture.
Je valide et god save the queen !