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3,51

sur 1088 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Voila bien longtemps que je n'avais lu un Werber.
Le sixième sommeil parle de la maîtrise du rêve pour contrôler sa vie éveillée, après le sommeil paradoxal existerait un autre lieu où tout est possible.
Ecrit sous la forme de thriller, ce roman aurait pu s'avérer palpitant si le rythme était resté constant, si le style avait été à la hauteur du projet et si les ficelles n'étaient des câbles d'amarrage. J'ai été jusqu'au bout du roman pour en connaître la fin, mais je ne vous le recommande pas.
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J'ai adoré Les fourmis et les thanatonautes à l'époque de leurs sorties. Depuis j'ai lu d'autres Werber mais à chaque fois je suis déçue. Après l'empire des anges,je m'étais promie de ne plus en lire : ça tourne en rond et ce n'est pas si bien écrit que les 1ers. le bandeau publicitaire 10 millions de livres vendus m'a incité à déroger à la règle et retenter le coup: ça peut quand même pas être mauvais avec autant de vente. Et bien si. L'intrigue est plutôt plate et presente des incohérences. Et le melange science, intrigue qui faisait la force des fourmis est plaqué dans des dialogues qui n'apportent rien à l'histoire et qui ne semblent pas narurels. Bref la mayonnaise ne prend pas. Restez en aux 1ers ouvrage de Werber,après ça ne vaut plus le coup.
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Grand fan des premières productions de Bernard Werber ("Les fourmis" ou "Les thanatonautes" que j'ai adoré en leur temps), j'espérais retrouver cette magie qui m'avait capté dans ces romans... Quelle déception !
Si l'idée de départ est intéressante (explorer les mystères du sommeil et des rêves comme une nouvelle "terra incongnita"), le traitement qui en est fait est sans appel pour moi : l'écriture est d'un niveau presque honteux, les multiples raccourcis dans l'action sont au mieux déstabilisant, les personnages sont des coquilles vides sans âme, et le scénario mêlant science et pseudo roman d'aventure raté a bien du mal à tenir éveillé. Les dernières pages ont malgré tout suscité chez moi un petit intérêt, mais c'est bien peu pour une lecture pénible dont j'ai eu le plus grand mal à arriver au terme.
Une très grande déception, pour un auteur que j'apprécie par ailleurs et qui est en lui-même quelqu'un d'intéressant, mais certaines productions récentes plutôt faibles annonçaient malheureusement que Bernard Werber n'est pas sur la bonne pente... Un gâchis.
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À lire tous les romans et nouvelles de B. Werber, il fallait bien que ça arrive : je n'ai pas aimé.
Je me suis posé la question de l'origine de cette déception.
La seule réponse que j'ai trouvé est que je n'ai rien appris dans ce livre.
B. Werber n'est un grand romancier : il reste un bon vulgarisateur et un conteur agréable à lire.
Et quand je lis, j'ai besoin de retirer quelques choses de mes lectures. Ces romans me permettent habituellement d'apprendre des choses, de développer un nouveau point de vue sur un sujet.
Mais cet opus ne répond pas à cette attente : c'est certainement dû à mon sommeil chaotique et au fait que je me suis déjà documenté sur le sujet depuis bien longtemps.

Donc quand j'apprends que le thème central de son prochain livre est le chat.... je me demande si je ne vais pas faire l'impasse sur celui ci pour éviter une nouvelle déception.
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J'ai rencontré l'auteur qui m'a dédicacé le livre. Néanmoins je mets une très mauvaise note ! Comme c'est mal écrit ! Je me suis même demandé si c'était la même personne : celui qui vendait et celui qui avait écrit. Bernard Werber, j'ai l'impression que c'est une formidable machine à vendre : Un large sourire, un type très sympathique et abordable, un bon conférencier, en gros un excellent commercial ! Oui, je suis un vache pour ma part ! Tapez moi dessus !
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Bof ce n est pas mon préféré loin de la et pourtant j adore l auteur
Cette fois ci l histoire ne m à pas captivée et les personnages sont pour moi sans relief.
Je me suis ennuyée et le pseudo suspens n à pas fonctionné sur moi pourtant le titre était engageant.
J attends le prochain livre de Werber et j oublie celui ci
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Voilà un livre qui maîtrise totalement son sujet, "Le sixième sommeil" est soporifique. J'aime beaucoup Bernard Weber, l'homme, sa philosophie et son apparente gentillesse, mais où est donc passé l'écrivain créatif et intuitif des premiers livres ?
C'est mal écrit, le suspense est dérisoire, l'histoire a peu de sens et les personnages sont creux ...
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Après nous avoir fait découvrir le monde intriguant des fourmis et, par la même occasion, nous obliger à rester des heures à contempler les fourmilières de la forêt; après avoir voulu savoir ce qui ce cachait derrière cette porte qu'on ne franchit qu'une fois et qu'on appelle la mort; après s'être plongé dans les mystères du cerveau humain et enquêté sur les mécanismes du rire; après avoir joué aux Dieux comme dans un jeu vidéo, élaborant des ébauches de sociétés idéales; après être parti à la recherche du chainon manquant dans la fantastique évolution de l'homme et, inversement, après avoir imaginé le futur de l'humanité en mettant en scène une nouvelle espèce humaine, miniaturisée; après avoir traversé l'espace fuyant une Terre devenue inhabitable vers un monde inconnu, voici que Werber entend nous faire rêver…
J'entends par là nous emmener à comprendre pourquoi et comment nous rêvons.
C'est un sujet qui me passionne, à tel point que j'avais même imaginé qu'un jour pas si lointain, nous pourrions, nous autres humains, inventer le cinérêve : de longs métrages issus directement de l'onirisme de metteurs en scène un peu particulier. Et je découvre que mon idée a été lâchement volée par l'écrivain scientifique! En réalité, ce n'est que la preuve de l'existence de la Noosphère, concept décrit par Teillard de Chardin, expliquant une zone de pensée collective où les idées se répandent comme des têtards dans un étang : ce qui explique qu'une invention peut être découverte à plusieurs endroits à la fois, qu'un concept nait dans plusieurs cerveaux en même temps.
Comme toujours chez Werber, il y a un côté explorateur. Et, cette fois, c'est une fois de trop. On retrouve cette quête, cette conquête déjà mise en scène dans les Thanatonautes. Et c'est pesant. Loin des délires psychotiques à la Philip K. Dick, Werber traite le monde du rêve comme celui de la mort : des pionniers tentent d'aller voir ce qui se cache derrière…
Quiconque a déjà lu au moins un livre de l'auteur comprendra aisément que ça sent le réchauffé, d'autant que, en bon professeur, Werber n'hésite pas à ressasser ses leçons, à répéter à l'envi pour que le cours soit bien enregistré.
On pense aussi au Grand Bleu de Luc Besson; la plongée dans le sommeil et, accessoirement les rêves, est décrite comme une descente vers les abysses. du coup, le héros m'est apparu dès le départ sous les traits du jeune Jean Marc Barr (dont on peut noter quelques similitudes avec le profil de Werber - encore une conséquence de la fameuse Noosphère?). Trop mécanique, trop mathématique pour un domaine qui, justement, échappe à toute rationalité.
Bien évidemment, on ne peut parler de « style » Werber. Il est inexistant d'un point de vue purement littéraire. Mais les tics d'écriture rendent encore plus lourd, parfois ridicule, le propos. Ainsi « ils échangèrent leurs fluides vitaux » indique que le couple fait l'amour. Et puis il n'y a pas un seul bouquin de l'auteur dans lequel on n'entende pas le « Wish you were here » des Pink Floyd auquel il voue une passion sans limite. Lorsqu'il est question d'un journaliste, c'est forcément une jeune femme brune. Tous ces rictus qui devraient faire sourire et établir une complicité avec l'auteur, ne font qu'agacer le lecteur habitué.
Enfin, et c'est vraiment dommage pour des propos vaguement scientifiques, l'histoire est truffée d'invraisemblances. Ainsi le peuple Senoï, champions du sommeil, adeptes du rêve lucide (quand on peut diriger ses propres rêves) vivants sur une ile de Malaisie utilisent et jonglent avec nos concepts occidentaux avec une trop grande facilité. Comment une tribu aussi éloignée de nos moeurs et nos préoccupations pourrait saisir des notions aussi particulières que technologiques : télévision, circulation automobile, réseaux de communication…
Désabusé, j'ai alors mis la main sur l'excellent ouvrage d'Hervey de Saint-Denys (les rêves et les moyens de les diriger) paru en 1867, bien avant les découvertes liées au cerveau mais qui reste une bible pour quiconque a envie d'entrer dans son univers personnel, son inconscient. Pour ceux qui veulent en savoir davantage, je renvoie aux publications de Michel Jouvet, le spécialiste de l'onirisme en France (je vous parlerai de ces deux ouvrages plus en détail).
Cette exploration du plus profond de soi-même laisse sur notre faim. Nulle part cette folie inhérente au domaine du rêve - justement, tout est permis - ni bouleversements ni revirements qui mettent la tête à l'envers et jouent avec notre entendement. Werber reste trop sage pour une fois, tente-t-il de jouer un brin avec le voyage dans le temps.
A côté de ça, on lui doit un nouveau mot dans la langue française : Jubjoter. Pour indiquer cette possibilité que possèdent quelques rares adeptes du rêve lucide à revenir à l'endroit même de son rêve précédent, comme on poursuit la vision d'un film ultérieurement. Jusqu'à ce qu'on parcourt la traditionnelle page des remerciements. Jubjoter n'est pas sorti des neurones de Werber mais du « Baleinié, dictionnaire des tracas » de Christine Murillo, Claude Leguay et Grégoire Oestermann.
Cependant, Werber vous incite à noter vos rêves en laissant une liasse de pages blanches à la fin du roman. Excellente idée. Car à l'intérieur de votre propre cerveau se cache peut-être, surement même, le plus inventif des romans, le plus sensationnel film que vous n'avez jamais lu ou vu.
Peut-être était-ce mon Werber de trop? Là où je m'émerveillais de trouvailles loufoques, je n'y ai vu cette fois que du rabâché, du ressassé, du réchauffé. Là où les rebondissements me donnaient le vertige, je n'ai pu que constater que les scènes d'action étaient bien plates et souvent pas du tout haletantes, comme si Werber avait hâte de passer à autre chose. Bref, je n'ai vu dans cette prose que les défauts. Désolé.
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C'est le premier livre de Werber que j'ai lu... et sans doute le dernier !
J'ai éprouvé un ennui profond en lisant ce roman; le sujet m'a paru tout à fait artificiel; pas un seul instant je n'ai cru à ce que je lisais. En plus, certains faits sont complètement farfelus (la flèche qui sauve le héros).
Davantage encore, l'écriture m'a paru très négligée, c'est sans doute le plus grave !
Bilan: à éviter !
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Abandon...
C'est rare que j'abandonne un livre...je suis quand même allée jusqu'à la page 266 où encore dans un rêve avec des termes indigestes, je me suis réveillée et j'ai décidé d'abandonner cette lecture.
Le départ est bon, on retourne dans la jeunesse de Jacques Klein et on comprend son rapport avec sa mère, spécialiste du sommeil.
Puis l'histoire part à la dérive en même temps que sa mère disparaît. La tribu Sénoï en Malaisie, son enlèvement, son mariage avec la fille du chef et les théories sur le rêve.... racontés de façon trop ennuyante à mon goût ! Stop!
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