Et c'est une déception pour moi.
Les seuls aspects du roman que j'ai apprécié, c'est la romance douce et surtout le fait que le récit se déroule en Ecosse.
Cependant, je dois avouer que les pensées du personnage principal féminin m'a un peu blasé. Comment ça être célibataire à 30 ans et sans enfant, c'est avoir loupé sa vie ? 🤨
J'avoue que ce genre de réflexion m'a un peu énervé ! Comme si le but de chaque femme sur cette Terre était de devenir mère et d'avoir un homme dans sa vie avant 30 ans … Euh … En fait, non ! Et c'est comme ça, tout le long du roman. Jusqu'à ce que le personnage principal féminin s'avoue être tombée amoureuse du protagoniste masculin. Mais justement … c'est dans la continuité des réflexions de l'autrice. le PPF finit mariée et enceinte d'un homme et se sent épanouie et accomplie dans son rôle de femme. On souffle 😒
Bref, petite chronique pour ce roman parce que je ne sais pas comment argumenter autrement.
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Ce livre a été une lecture de saison et super agréable.
J'ai été transporté par l'histoire d'Annie et Tom, j'ai pleuré, souris. Je ne m'attendais pas à ça quand j'ai commencé ma lecture. Il y a des rebondissements auxquels on ne s'attend pas et d'autres un peu plus flagrant.
Je vous le recommande fortement.
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Je regretterai d'être tombée pour lui, de m'être oubliée dans ses bras. Je regretterai de ne pas pouvoir lui donner une chance, cette chance dont je rêve tant. Les instants magiques que nous avons vécus, que nous vivons encore, resteront et mourront avec moi. J'ai toujours rêvé d'un amour digne de romans, eh bien, cette histoire, je suis en train de l'écrire. Elle n'aura peut-être pas une fin heureuse, mais elle m'aura rendue heureuse.
À vingt-huit ans, j’étais qualifiée de vieille fille, aujourd’hui, ils doivent me voir comme une personne du troisième âge qui finira sa vie seule et dévorée par des chats.
J'ai cru qu'oublier ma famille panserait mon coeur. J'ai cru que repartir à zéro pourrait m'aider à avancer, à passer outre les événements qui s'étaient produits ces dernières années. Je pensais que si je les oubliais, toute ma peine disparaîtrait, mais c'était faux.
J’ai l’impression d’avoir des ailes, d’être en apesanteur, un peu comme si j’étais sortie de mon corps. Je vis.
Il est un peu l’idéal masculin que j’ai toujours imaginé.