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Un roman qui se lit rapidement, une histoire de vie, bref un roman qualifié de feel-good. Moui. À choisir je préfère Mémé dans les orties, qui m'a semblé plus profond, plus rigolo.



En voiture Simone narre le quotidien d'une famille lambda qui se retrouve lors d'événements clés. Et comme dans toute famille ou presque, les repas se déroulent dans une joyeuse mais non moins caustique cacophonie. Le rôle et l'insertion des belles-filles dans la famille sont au cœur du roman ainsi que les accrocs qu'un mariage de longue durée peut engendrer.



Je ne me suis pas particulièrement attachée aux personnages que l'on ne découvre qu'en surface, leur vie n'est pas particulièrement détaillée, leurs émotions à peine décrites. Je n'ai pour ainsi dire pas ressentie grand chose, n'ai émis qu'un sourire en toute fin du roman. Le beau papa au verbe mordant est un peu cliché, je l'ai trouvé agaçant (c'était d'ailleurs peut-être le but) et les éléments perturbateurs trop vite balayés. J'ai la sensation que les mots se sont déposés là sans approfondissements.



En somme, petite déception pour ce roman dont j'espérais un peu plus d'humour et d'émotions.

Un texte déjà ancien mais pas daté du tout, qui fonctionne encore parfaitement ! Il va pouvoir rejoindre ma Liste « regard animal sur notre monde ».

Le récit est en effet à la troisième personne du singulier mais nous plonge directement dans les pensées, le ressenti et le vécu du personnage principal : Le Chien avec des majuscules. Il va nous mener de Nice à Paris, au rythme de diverses rencontres. Le roman compte 39 chapitres. La situation du premier chapitre ne reprend qu’au chapitre 30 ; entre temps nous prenons connaissance du vécu et des souvenirs plus ou moins douloureux du Chien avant cette situation. Puis le drame se profile…

Je me suis attachée au Chien qui ne mène pas une vie simple et dès sa naissance. C’est assez révoltant, trop souvent. Heureusement Daniel Pennac apporte quelques touches d’humour. L’auteur déclare ne pas être un spécialiste des chiens et pourtant il les connaît bien et sait les décrire, leur donner âme et corps, dépeindre leur façon de faire.

Une belle aventure littéraire qui dénonce les travers des Humains vis-à-vis des animaux de compagnie.

Le chapitre 36 est particulièrement jubilatoire, une riche idée de la part de l’auteur, un contre-pied apprécié !

Une lecture à partager sans nul doute !

Première tragédie romaine de Racine lui habitué à prendre des protagonistes grecque le voici sur le terrain de son adversaire de l'époque Pierre Corneille n'étant pas spécialement fan des tragédie ce qui explique la "faible" note. Pourtant à l'inverse de certaines j'ai quelque point qui m'ont plus comme l'inspiration du contexte historique et historique !