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4,4

sur 877 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Titre : Shantaram
Auteur : Gregory David Roberts
Editeur : Flammarion
Année : 2003
Résumé : Lin s'est évadé d'une prison australienne où il fut condamné à plusieurs années de prison pour attaque à main armée. Muni d'une nouvelle identité, libéré du démon de la drogue,il parvient à fuir son pays pour rejoindre Bombay, la mégalopole indienne dont il tombera éperdument amoureux. Bientôt sous la coupe d'un parrain local, Lin sera mêlé à de nombreux trafics qui le mèneront en Afrique puis aux confins de l'Afghanistan. Pourtant, celui que l'on surnomme Shantaram, veut donner du sens à sa vie. La création d'un dispensaire de fortune au beau milieu des bidonvilles fera de lui un homme respecté. Dans un milieu où les trahisons et la violence sont légion, la rédemption de Lin sera semée d'embûches et d'événements tragiques qui vont mettre à mal son nouveau statut et ses aspirations.
Mon humble avis : ‘Un chef-d'oeuvre littéraire plein de réflexion et de drôlerie' the daily telegraph, ‘Résolument unique, absolument audacieux et merveilleusement sauvage' Elle . N'en jetez plus… Certains bouquins sont auréolés d'une telle réputation élogieuse, de tellement d'avis dithyrambiques qu'on aurait presque du mal à donner un avis sincère et objectif sur cette prose sous peine de passer pour un inculte ou un éternel insatisfait. le roman de Roberts ou plutôt ce témoignage, best-seller international, adapté prochainement par Hollywood, fait partie de ces bouquins ‘événement' dont le succès dépasse largement le cadre de la littérature traditionnelle. Un roman de près de 900 pages, un pavé dans lequel je me lançais avec énormément d'envie et de curiosité tant la lecture de tant d'avis élogieux me promettait de longues heures de lecture passionnante. Et puis les premières pages : un style ampoulé, des réflexions pseudo psychologique à n'en plus finir, un héros à la recherche du sens de la vie, des personnages à peine esquissés, d'autres plus mystérieux, notamment le grand amour de Lin, la belle Karla dont les motivations m'ont semblé troubles et presque toujours incompréhensibles. La lecture des premières pages ( je dirais même des premières 200 pages) est laborieuse, je me perds dans les personnages, ne ressens aucune empathie pour le narrateur, reste à la surface de cette histoire qui pourtant devrait me passionner puisqu'il s'agit là d'un best-seller unanimement salué ! Las, quelques jours plus tard, je finirais ce roman avec un sentiment plus que mitigé, heureux de refermer ce livre pour tenter de retrouver du plaisir auprès d'un autre auteur, sous d'autres cieux… Evidemment l'histoire de cet évadé australien en quête de rédemption est superbe, les passages sur l'épopée afghane de Lin sont prenants, l'épisode prison est également à couper le souffle mais que de scories, que de pages absconses pour enfin parvenir à ces passages intéressants. A mon humble avis, Roberts n'est jamais aussi à l'aise que dans l'action, lorsqu'il est au plus prêt de son personnage, lorsqu'il décrit la réalité d'une ville tentaculaire et sordide. Les multiples introspections, les passages interminables sur le sens de la vie, l'amour, la religion, plombent son récit et n'apporte rien à ce texte qui aurait mérité d'être amputé de quelques centaines de pages. Je suis passé à côté de ce roman, c'est le moins que l'on puisse dire, je vous épargnerais donc mon sentiment sur d'autres passages liés à l'histoire d'amour entre Lin et Karla qui m'ont parus presque grotesque pour ne retenir que la jolie description de cette ville enivrante que semble être Bombay. Une fois n'est pas coutume, j'attends la sortie de l'adaptation cinématographique de Shantaram avec impatience. Plus d'action, moins de réflexion pourrait bien faire de cette histoire un excellent film à défaut d'avoir été un immense roman.
J'achète ? : Des millions de lecteurs se sont procurés cette oeuvre et ont adoré. Franchement, ce n'est pas un petit blogueur de Nouméa qui devrait te faire changer d'avis !
Lien : http://francksbooks.wordpres..
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Plus de mille pages, mais qui se lisent facilement. Il m'a fallu toutefois près d'un mois pour en achever la lecture car j'éprouvais à de multiples reprises le besoin de faire une pause.
Ensuite, à nouveau une pause avant de commencer à rédiger cette critique, tant je suis partagé entre de l'admiration pour certains passages et de l'agacement devant d'autres.
Rappelons-en d'abord brièvement la trame : le narrateur condamné à 19 années de prison en Australie pour vols à main armée, s'est évadé de prison et arrive à Bombay avec un faux passeport néo-zélandais. Il y rencontre un chauffeur de taxi, Prabaker, qui lui fait découvrir la ville et avec qui il se lie de véritable amitié, il rencontre également Karla dont il tombe immédiatement amoureux. Il sera invitè par Prabaker dans son village, où il sera baptisé Shantaram, "homme de paix". il sera dépouille de tout son argent à son retour. Prabaker lui trouve alors un logement dans une hutte dans un bidonville où il exercera comme docteur et gagnera l'admiration de tous. Jeté en prison pour des motifs qu'il ne comprend pas, il sera après une longue détention libéré grâce à l'aide d'un caïd de , Shantaram, travaillera ensuite pour lui et deviendra un membre influent de cette mafia. Il accompagnera Khader en Afghanistan pour livrer des armes aux hommes luttant contre les Russes, et aura la chance de revenir vivant à Bombay.
Je m'aperçois qu'il est difficile de synthétiser cette trame...

Contrairement à la plupart des critiques précédentes, mon sentiment est assez mitigé...
J'ai adoré l'amour qu'a le narrateur pour l'Inde et les Indiens, cet amour transparaît à tout moment. Il m'a donné envie de visiter Bombay.
Le livre est captivant également.
Je me suis souvent demandé quelle était la part autobiographique et la part de fiction, je me suis demandé ce que les Indiens pensaient de ce livre, n'était-il pas empli de clichés, tant certains épisodes m'ont interpellé...
Les passages romantiques par contre m'ont paru assez mièvres et frôlant le ridicule dans leur description "j'étais a elle. Elle était à moi. Mon corps était un char et elle le conduisait au soleil"
L'épisode afghan m' a paru de trop dans le roman.
Les réflexions pseudo-philosophiques m'ont ennuié.

Mais je ne peux dénier à ce livre un certain lyrisme et une certaine force.


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L'incroyable aventure de Lin, alias Shantaram, révolutionnaire ayant perdu ses idéaux dans l'héroïne, philosophe ayant abandonné son intégrité pour le crime et poète ayant perdu son âme dans une prison de haute sécurité : escroc australien, ex-junkie, ayant atterri à Bombay après s'être évadé de prison, Lin va mettre a profit ses connaissances en secourisme pour s'installer dans un bidonville et ouvrir une petite infirmerie où il soignera gratuitement les indigents, vivant grâce à de petits trafics de drogue… Fou amoureux d'une femme mystérieuse, Lin est recruté par un chef mafieux pour trafiquer or, devises et passeports avant de partir en expédition à cheval en Afghanistan pour soutenir les moudjahidins…
Comme les chats, Lin a 7 vies et les exploite au maximum, renaissant à chaque fois un peu plus cabossé et couturé dans une ville aussi sauvage qu'attachante.
Ce n'est pas un roman mais une épopée romanesque protéiforme à (multiples) rebondissements, une somme d'aventures épiques et plus périlleuses les unes que les autres, avec pour cadre Bombay et ses bidonvilles et l'Afghanistan.
Lin est un homme violent, un écorché vif qui a perdu sa famille, un homme en manque d'amour et d'amitié, qui s'est aguerri au combat en prison. Lorsqu'il couche sur le papier ses aventures hors-norme, il fait en même temps le bilan de sa vie, le compte de ses erreurs, de ses faux jugements, des hommes et des femmes qu'il a aimés et qui l'ont trompé…
Et sa vie est véritablement passionnante !
Ce qui l'est beaucoup moins, ce sont les réflexions (pseudo) philosophiques qui émaillent le texte de bout en bout, inspirées par son gourou mafieux ou la femme qu'il aime, des sentences naïves et répétitives, des passages parfaitement niais et à l'eau de rose…
Par ailleurs, son expérience mafieuse est détaillée par le menu et aurait avantageusement pu être condensée de façon spectaculaire sans nuire à l'intérêt ou à la compréhension de l'historie. J'ai quant à moi survolé plusieurs dizaines de pages pour m'appesantir sur son expérience afghane absolument passionnante.
Au final, une aventure absolument incroyable et passionnante qui aurait gagné à être amputée de 200 ou 300 pages !
Je recommande vivement d'aller sur internet écouter une interview de Gregory David Roberts qui travaille actuellement pour une ONG à Mumbai et qui est par ailleurs éminemment sympathique !
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C'est le parcours chaotique d'un évadé d'une prison australienne qui va se réfugier à Bombay pour se faire oublier et tenter de " se refaire "une vie meilleure!
Bombay est une ville mystérieuse, envoutante avec de nombreuses religions, ethnies, langues et beaucoup de trafics en tous genres.
Elle se caractérise ( d'après l'auteur ) par une odeur douce et suintante d'espoir, par sa chaleur et par une surpopulation grouillante et colorée !
Mais Lin ( son pseudo ) va avoir la chance de rencontrer un guide lumineux, gentil, joyeux : Prabaker qui va lui faire découvrir les beautés, les profondeurs, les drogues, les vices des bas fonds de la ville !
Ils se lient d'amitié et, Prabaker va l'inviter quelques mois au sein de sa famille pour parfaire ses connaissances sur les traditions en Inde..... de retour, il ira vivre avec lui dans un des innombrables bidonvilles ou le " gora" va faire office de médecin auprès des "survivants" , il se fera des amis ( Johnny Guitare ) , surtout parmi tout cette population qui chante malgré la misère et des conditions quasi inhumaines...il va les aider pendant l'épidémie de choléra, puis après l'incendie des huttes ! ( c'est la plus attachante partie du livre ).
N'ayant plus d'argent il va entrer dans la mafia dirigée par Khaderbhai et lui," le shantaram" ( l'homme de paix ) va faire avec le Khan qu'il considère comme son père spirituel, des trafics d'armes, de drogues, de faux papiers et s'intégrer dans ce milieu criminel peuplé de multiples personnages douteux !
Il ira faire un séjour en prison car il a été dénoncé ( à lire ) et, il sera torturé, brisé au point qu'à sa sortie, il se plongera dans l'héroïne pour oublier !
Mais, ni Khaderbhai, ni Karla ( la femme qu'il aime ) n'ont daigné le sortir du "trou " au moment ou il en avait besoin mais, ils vont le manipuler pour l'envoyer en expédition en Afghanistan les aider à battre les armées russes !
Le Khan sera tué et Lin reviendra à Bombay continuer ses trafics avec les nouvelles équipes mafieuses !
Lin ( ou l'auteur ) est un fugitif, un homme qui n'a pas confiance en lui et qui cherche la reconnaissance des autres quels qu'ils soient, l'amour impossible qui lui échappe en la personne de Karla !
J'ai eu du mal à finir le livre car, après les 500 pages sur Bombay, j'ai trouvé que l'écrivain faisait du remplissage inutile et inintéressant !
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Finalement trop c'est trop. Ce roman soit disant autobiographique est trop riche : trop d'aventures, trop de rebondissement, femmes trop merveilleuses, compagnons d'armes trop nobles, truands trop philosophes... c'est une sorte de feelgood book au milieu des bidonvilles. Pourtant des beaux moments sur la vie indienne, une immersion assez prenante mais noyée dans un ensemble qui fait pré-fabriqué. Dommage.
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Roman autobiographique. Quel dommage que l'auteur soit à ce point fier de lui ! A l'image d'un Henri Charrière avec son "papillon", Gregory David Roberts nous raconte son aventure d''évadé, fugitif en Inde, avec un manque criant d'humilité.
Quel dommage, je le répète, parce qu'à part ça, c'est super roman d'aventure ...
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J'ai vraiment pensé sur la fin que ce livre était interminable.
Je me suis trompé car je l'ai terminé.
J'ai sauté quelques pages, voire beaucoup sur la fin je l 'avoue.

Gregory david Roberts ( que le dernier ferme la porte) n' as pas une vie normale.
Braqueur de banque défoncé à l'hero il va s'évader d 'une prison de haute sécurité et se planquer à Bombay ou il vivra dans un bidonville avant d être recruté par la mafia indienne.
C'est sur que c'est pas la vie d' un pharmacien de Trifoully les oies.

Et c'est pour ça forcement que ce livre m 'a attiré.
Ça sentait bon l' aventure et le récit épique.
Et en plus ça se passe à Bombay.

J'ai eu la chance de passer trois jours dans cette ville lors d un périple en Inde et cet ouvrage était pour moi l 'occasion de me replonger dans cette ville complément dingue et de repartir en Inde.

Sur le côté découverte et immersion de la culture indienne, GDR à réussi à nous mettre dans l' ambiance si particulière de la métropole indienne sans tomber dans la caricature.

Il nous fait découvrir avec de nombreux personnages le fonctionnement et les coutumes des indiens.

Le problème c'est que GDR aurait dû se contenter de nous conter sa cavale indienne et sa vie de marginal.
Écrire juste le livre de sa vie quoi.

Mais ça ne lui suffisait pas et il a rajouté de la philosophie de comptoir et des envolées poétiques insupportables.
Les mots, cher auteur, c'est comme le poulet Tandoori avec les épices, si on en mets trop c'est vraiment indigeste.

Et il en a vraiment trop mis.
Des pages insupportables dans le style d'un jeune poète en mal d'amour sur la rédemption, la vie, le passé et la cuisson des lentilles.

Des digressions sur le cosmos et Dieu et j'en passe. Rien de tel pour casser le rythme d 'un récit qui de part la vie mouvementée de l' auteur ne demandait qu 'à se dérouler tout seul.

Dommage car les moments où GDR écrit sans ses délires mystiques sont très bons.
L' évasion de la prison ou l 'incendie dans le bidonville sont très fun et très bien écrits.

Pour conclure "Shantaram" est un roman fleuve de 1000 pages dont la moitié sont mal écrites et sans intérêt.

Les 500 pages restantes sont une réussite et une très belle plongée dans la trépidante Bombay.

Une belle déception au final quand même.




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Enfin je viens d'arriver au bout de ce pavé. Interessant mais en même temps longuet. Je m'explique. On retrouve bien l'Inde belle et cruelle à la fois où les gens se contentent de peu.
Les personnages sont attachants à tous les niveaux, que ce soit des malfrats où des gens honnêtes. le bien et le mal se côtoient sans arrêt.
La quête de Lin pour sa rédemption est longue et compliquée. C'est ce qui m'a un peu rebuté à certains moments. Trop de questions existentielles, trop de philosophie. Il m'a manqué un peu plus d'action. En fait, parfois trop de blabla au détriment de l'histoire. Même dans les moments difficiles les descriptions étaient trop détaillées pour ma part et ne contribuait en rien à l'avancement du récit et du coup ça cassait le moment.
Je ne suis vraiment pas sûre de lire la suite, à moins que quelqu'un ait de bons arguments.
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Difficile pour moi de lui donner une note, je ne l'ai pas terminé. J'en ai lu la moitié et je me suis lassée, j'avais l'impression de toujours revenir sur les mêmes sujets, les mêmes bons sentiments. Je l'ai trouvé beaucoup trop long, trop bavard, et pourtant il ne manque pas de qualités. Peut-être me faudrait-il le reprendre à un autre moment ?
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Dans les années 1980, le jeune australien Lin a commis un délit pour lequel il va en prison.

Il s'en évade et sa cavale le conduit en Inde, où il tente de continuer sa vie sous une fausse identité.

A son arrivée, il fait la connaissance de Prabaker un Indien au sourire aussi large et resplendissant que son coeur.
Lin tente de trouver sa rédemption en endossant le rôle de médecin dans le bidonville.

Mais ses vieux démons le rattrapent et il fraie alors avec la mafia de Bombay ce qui va le conduire à une aventure hallucinante à Bombay puis en Afghanistan.

Un roman impossible à résumer tant il foisonne d'histoires diverses et tant il est riche de divers thèmes aussi bien philosophiques que spirituels que psychologiques ou encore sociologiques, parfois même politiques et initiatiques. le tout sous couvert d'une grande fresque romanesque.

Je ne vous livrerai donc que les points qui m'ont le plus marquée.

Le premier est sans conteste que ce roman est avant tout autobiographique ! L'auteur livre ici sa propre histoire même si (j'espère pour lui), il a romancé certains faits. Une histoire de vie à peine croyable qui prouve encore une fois que la réalité dépasse la fiction.

D'autre part, soulignons la densité du roman : 1100 pages dans un format entre le broché et le poche, ce qui à mon avis fait du 1500 ou 1600 pages en format poche classique...

Si cette densité permet une immersion totale, je dois avouer que certains passages m'ont semblé interminables. L'auteur nous perd parfois dans une immensité de détails pas toujours utiles à mon sens.

Si dans la 1ère partie, j'ai très souvent pensé à un roman se rapprochant de la Cité de la joie, l'auteur part ensuite dans une toute autre direction en commençant à frayer avec la mafia de Bombay.
Cela va l'emmener (et nous avec) sur un terrain extrêmement violent, masculin, cynique et manipulateur qui m'a perdue, désorientée et pour tout dire déçue.

Son chemin de rédemption est tortueux et extrêmement long !!!

Je dois avouer avoir lu le dernier tiers en diagonal tant ce roman m'epuisait tout en même temps qu'il me subjuguait.
Je sais c'est paradoxal mais je vous livre mon ressenti.

Cependant l'auteur a quelques fulgurances magnifiques, quelques phrases pépites sur la complexité de l'ame humaine qui nous accrochent au récit et sa vie est tellement dingue que la curiosité est maintenue.

Ce roman est loin de se résumer à un descriptif de L'Inde et de sa complexité sociale, politique et humaine.
Il est aussi le chemin de rédemption tortueux d'une âme torturée, blessée, mais humaine qui cherche désespérément (et parfois maladroitement) le pardon et une raison de croire en lui-même.

En le terminant, j'ai eu la sensation d'avoir accompli un exploit sportif tant la densité de ce roman laisse exsangue à la fin.

Je l'ai vécue comme une véritable expérience littéraire que je ne peux que vous inviter à tenter.
Lien : https://lespetiteslecturesde..
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