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A vrai dire, je pensais déjà avoir lu ce titre. En réalité, il y a bien une autre BD qui existe sur ce tueur en série et qui s'intitule également « Ed Gein » ce qui peut prêter à la confusion. En réalité, ce dernier titre était sorti en 2009 chez l'éditeur Soleil avant de tomber dans l'oubli.

Ed Gein, c'est le nom d'un tueur en série totalement psychopathe qui a inspiré Hitchcock pour son film « Psychose » ainsi que d'autres réalisateurs comme celui du « Silence des agneaux ». En effet, Edward vouait une admiration sans limite à une mère totalement barge qui fustigeait le monde de pêchés. A la mort de sa mère, il n'a pas accepté et a tenté de la récréer avec d'autres corps sombrant dans le macabre et une certaine forme de folie.

On se rend compte que si on est mal élevé dans une famille de barge, on peut être confronté par la suite à des problèmes relationnels assez importants. C'est toute cette déviance qui nous est racontée dans cette BD minutieuse et parfois bavarde. Ce personnage est si complexe qu'il a fasciné les psychiatres du monde entier et d'ailleurs presque tout un pays.

Je retiens de cette lecture beaucoup d'effroi devant la triste réalité. C'est glaçant surtout quand on voit le témoignage des gens qui l'ont côtoyé et qui disent qu'il n'aurait pas fait de mal à une mouche. Je ne le lierai pas une seconde fois tant c'est trop éprouvant. Mais bon, je n'ai rien à reprocher à cette BD documentaire qui fait bien son travail.
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Souligner qu'Ed Gein avait l'esprit légèrement perturbé relève du doux euphémisme.

Récit factuel superbement retranscrit par Harold Schechter, spécialiste des tueurs en série, et magistralement crayonné à base de lavis de gris par Eric Powell (The Goon), cette autopsie se veut la plus représentative possible de ce que fut l'enfance dramatique, puis le parcours sanguinolent qui en découla, de cet effroyable personnage qui, à l'époque, marqua durablement les esprits au point d'en faire une référence cinématographique à nulle autre pareille. Psychose, Leather Face, autant de comédies romantiques susceptibles de foutre un bourdon tenace au plus enjoué des cinéphiles.

Comme d'hab', une psyché marquée au fer rouge par une enfance quelque peu dérangée.
Le gamin au physique disgracieux semblait pourtant n'avoir aucune prédisposition particulière.
Flanqué d'un père à la confiance en soi aussi développée que l'amour de son prochain chez Zemmour, sous la coupe totale de son épousée, mais surtout d'une mère au fanatisme religieux à la violence inégalée, Edward Theodore Gein s'est construit dans la haine et le repli.
Avec des tuteurs aussi tordus, pouvait-il en être autrement ?

Le gros point fort de ce roman graphique, c'est cette ambiance malsaine omniprésente et parfaitement dépeinte, l'auteur ayant judicieusement pris le parti de ne pas taper dans le gore, ce qui aurait très certainement parasité le propos initial.

Onze chapitres collant au plus près de ce que fut la trajectoire dantesque de Gein, le travail de recherche apparaît colossal, le rendu glauque au possible.
De son enfance massacrée à ses interrogatoires d'où la moindre once d'empathie semble avoir été évincée en passant par l'impact émotionnel sur une populace alors à mille lieues d'imaginer qu'elle nourrissait en son sein un serpent à nul autre pareil, l'oeuvre se veut exhaustive en plus d'être généreuse (cf carnet de croquis final).

Un taf éblouissant pour un rendu ébouriffant.

Merci à Babelio et aux éditions Delcourt pour la découverte horrifique.
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J'ai vu passer cet album sur le blog de Belette, The Cannibal Lecteur, et il m'avait intriguée. Je ne connaissais pas l'histoire de ce tueur en série, décédé en 1984, surnommé « le boucher de Plainfield ». J'ai pu en apprendre énormément sur son histoire en lisant ce roman graphique de 234 pages (oui, quand même !).

Tout commence à sa naissance… Sa mère, une bigote acariâtre, cul de bénitier, voulait absolument une fille. Elle portait la culotte à la maison et personne n'avait son mot à dire, même pas son mari. Evidemment, avec une telle personnalité, nul doute qu'elle a influé sur celle de son gamin, un peu timide, au physique peu agréable. Bon, vous allez me dire, malheureusement, beaucoup ont subi une enfance difficile et n'en sont pas devenus des tueurs en série pour autant… Cela est vrai. Mais il devait déjà y avoir quelque chose de pas net dans le cerveau de cet homme et, à la mort de sa mère, il a totalement vrillé.

Les dessins sont à la hauteur de l'histoire : ils retranscrivent à la perfection cette atmosphère glauque et oppressante. Un conseil, ne lisez surtout pas cet album avant de manger ou d'aller dormir !
Lien : https://promenadesculturelle..
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Qui aurait pu penser que derrière l'un des plus grands films d'Alfred Hitchcock, Psychose, se cachait un fait divers révélé par Robert Bloch dans un de ses romans? Non cinéphile, il m'aura fallu lire le très beau roman graphique d'Eric Powell et d'Harold Schechter pour connaître l'histoire d'Ed Gein.

Ouvrage destiné à un public averti, les deux illustrateurs nous offre dans cet album le parcours de vie de cet  homme pilleur de tombes et assassin dont personne ne se méfiait. Les deux auteurs ont su par leur travail de recherche, le choix stylistique et la réalisation de dessins aux tons sombres nous offrir une bande dessinée de qualité qu'il est difficile de lâcher !

Je tiens à remercier les Éditions Delcourt et Netgalley pour m'avoir offert la possibilité de découvrir cette pépite qui va incontestablement plaire à de nombreux lecteurs… Frissons et chair de poule garantis !
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Je connais l'affaire Ed Gein (prononcez "Guine") depuis longtemps. Je l'avais découverte en lisant quelque chose sur l'un des films qu'il a inspirés et j'avais ressenti le besoin d'en savoir plus...

Le livre de Schechter et Powell ne m'a pas appris grand chose de nouveau, mais je peux confirmer qu'il est très bien documenté.

Bref rappel des faits : 1957, Ed Gein un fermier solitaire et "étrange" du Wisconsin est arrêté pour le meurtre d'une commerçante de sa ville. L'enquête qui suit révèle que Gein confectionnait des objets à base de restes humains, dont des masques à partir de visages et des vêtements dont il se travestissait...

Le romancier Robert Bloch s'inspira de cette affaire pour le roman "Psychose" qu'Alfred Hitchcock portera à l'écran.
Le scénario de l'album est habilement découpé (sic!) s'ouvrant sur un entretien avec Hitchcock au sujet de son film, puis revenant sur la vie d'Ed Gein de son enfance à sa mort en passant par son procès.

Eric Powell, dessinateur de la série "The Goon" est l'auteur idéal pour ce sujet, son dessin sert parfaitement le scénario, sans ajouter à l'horreur des actes de Gein mais sans rien en dissimuler (d'où la mention "Pour lecteurs avertis").

Si vous ne devez lire qu'un livre sur Ed Gein lisez celui-ci !
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L'exploration de la psychologie des tueurs en série est à la mode, depuis quelques années. Mais, il faut reconnaitre qu'ils exercent une fascination particulière chez les américains. Et même si cela fait froid dans le dos, je dois dire que j'ai, de mon côté, toujours été attirée par ces profils, ces gens, qui un jour bascuent dans l'horreur. J'ai toujours voulu comprendre comment un être humain pouvait basculer du côté obscure.
Toutes les études psychologiques font état de maltraitance durant l'enfance. Et même si je comprends, conçois et accorde une large part à cette vérité, je dois dire que je ne comprends toujours pas, comment d'autres personnes, ayant eu un vécu tout aussi sordide, ne basculent pas ! J'aurais forcément une réponse un jour…
Avec ce roman graphique, Harold Schechter, nous plonge dans l'histoire de Ed Gein, l'un des tueurs en série américains, les plus terrifiants.
Au départ, Edward Theodore Gein, « le boucher de Plainfield » est accusé d'avoir assassiné deux femmes, et mutilé plusieurs cadavres qu'il a déterrés. Mais on retrouve chez lui des visages et ossements provenant de quinze corps attribués aux violations de sépultures dont il avoue être coupable.
La construction est assez intéressante, on y retrouve tous les codes du documentaire criminel, true crime, initialement littéraire, ce genre est aujourd'hui largement diffusé à la télévision, au cinéma et en podcast. Il vise à dépeindre la réalité des crimes et des criminels qui ont réellement existé. Certains auteurs décrivent ces faits criminels le plus fidèlement possible et c'est ce que fait ce roman graphique.
Même si je suis friande de lecture sur les tueurs en série, je dois dire que le format roman graphique est le format que je préfère. Tout du moins en documentaire. Je ne rechigne pas à lire un bon livre avec un tueur en série.
Harold Schechter explore la vie de Ed Gein, de son enfance jusqu'au moment où tout bascule. Tous les ingrédients sont présents pour faire de Ed, un futur névrosé ou un futur tueur. Les premiers signes sont déjà présents, mais face à la maltraitance qu'il subit, l'isolement, rien ne transpire.
La psychologie est finement décortiquée, les causes, les raisons tout est exploré de manière quasi clinique, cinématographique, comme un entretien avec un journaliste.
C'est une biographie, qui n'essaie pas de donner raison ou tort, qui reste assez factuelle, clinique et c'est ce qui la rend très intéressante. Elle montre avec une certaine distance, comment l'environnement dans lequel Ed Gein a grandit, a construit sa psychologie torturée et n'a fait qu'accentuer les traumatismes déjà présents.
Les planches en noir et blanc avec plusieurs nuances de gris, reflètent l'anxiété dans laquelle Ed Gein était enfant, mais aussi celle du choc d'un pays, et enfin de la prise de conscience que derrière chaque personne peut se cacher un tueur en série.
Lors de son procès, le 22 novembre 1957, il est déclaré aliéné au moment du crime, mais les experts psychiatres, pour calmer les esprits, estiment qu'un procès est envisageable dans quelques années, selon son évolution psychiatrique.
En novembre 1968, Ed Gein est déclaré sain d'esprit et peut être jugé. Les preuves sont nombreuses, en à peine une semaine le procès est bouclé et Gein est déclaré coupable de meurtre avec préméditation. Lors d'un troisième procès, il est déclaré non coupable car mentalement irresponsable, et finalement il ne sera jamais jugé pour ses crimes. Mais, son histoire aura inspiré le monde du cinéma et aura laissé des traces dans les consciences collectives.
Ce fait divers est à l'origine du film Psychose d'Alfred Hitchcock, en 1960, d'après le roman de Robert Bloch, mais aussi, chose incroyable, de Massacre à la tronçonneuse de Tobe Hooper, en 1974, pour ne parler que des films les plus marquants. Mais il aura influencé nombre de réalisateurs, dans la mise en scène des tueurs en série.

Lien : https://julitlesmots.com/202..
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Je suppose que tout le monde a vu le film "Psychose" et connait le twist final… de toute façon, je ne le divulguerai pas, des fois qu'Alfred Hitchcock viendrait me tirer les doigts de pieds, la nuit…

D'ailleurs, c'est le romancier Robert Bloch qui, le premier, s'inspira de ce tueur pour son roman, du même titre que le film qu'Alfred en tira ensuite.

Alors, qui a inspiré le personnage de Norman Bates (et pas que lui : Hannibal et le mec de Massacre à la tronçonneuse,…) ? Edward Gein… Et je parie que comme moi, vous n'aviez aucune idée de qui il était ?

Un gamin au physique disgracieux, bizarre, le genre qui se fait harceler à l'école, qui pleure souvent, qui voit sa mère comme un Dieu, qui vit en solitaire, qui a l'air un peu demeuré et qui a une vie sexuelle plus pauvre que celle d'un pape (même s'il se branle de temps en temps).

Ce comics, tout en noir et blanc, est très bien dessiné, surtout les expressions, notamment celle de la mère d'Edward Gein, une femme pieuse, bigote, qui pense que toutes les femmes sont des salopes, des sodomites, échappées de dieu sait où et qui mène tout le monde à la baguette (son mari alcoolo et ses deux gamins).

Il ne faut pas s'étonner, avec une génitrice pareille, que le petit Ed Gein ait été plus que perturbé et ait fini en tueur en série, nécrophile et pilleur de tombes. Je ne dis pas que tous les enfants élevés de la sorte finiront en mecs dépravés (heureusement) ou serial-killer, mais pour ceux qui tourneront assassins en puissance, on saura d'où ça vient.

Ce comics assez épais (plus de 200 pages), est une autopsie d'un tueur en série, où les auteurs se sont attachés aux faits, rien qu'aux faits, même s'ils nous donneront un aperçu de toutes les sornettes que les gens de la ville de Plainfield (Wisconsin) balanceront sur Ed, une fois celui-ci arrêté (en 1957). Les rumeurs courent plus vite que la vérité et les horreurs font vendre plus de journaux…

Ce récit n'est pas pour les esprits sensibles ou les jeunes enfants… Les ambiances sont malsaines, angoissantes, flippantes, sans pour autant basculer dans le gore ou la surenchère inutile.

Les auteurs ont réussi le difficile équilibre entre montrer les horreurs commises par Ed Gein, sans s'appesantir dessus, afin de ne pas provoquer l'effet contraire. Ce qui aurait été contreproductif, alors que là, on imagine sans mal et on en tremble d'effroi.

Un terrible fait divers mis en scène de manière remarquable par les deux auteurs dans cet album qui retrace l'enfance et la vie d'Ed Gein, son arrestation, l'enquête, son internement et les faits qui lui ont été reprochés.

En lisant ce comics, vous saurez tout sur celui que l'on a surnommé "le boucher de Plainfield"… Pour un public averti, tout de même !

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Vous connaissez le film "Psychose" du célèbre Alfred Hitchcock ?
Et bien Ed Gein est le tueur à l'origine de ce fait divers qui a eu lieu dans les années 50 dans le Wisconsin.
Que les âmes sensibles s'abstiennent, la bande dessinée est assez détaillée, on y voit des meurtres, des cadavres déterrés et dépecés, des parties de corps humains devenus des vêtements ou des objets de décoration, bref des actes que des cerveaux normaux trouvent immoraux et carrément ignobles.
La bande dessinée nous révèle des pans de la vie d'Ed Gein, de son enfance à sa vie d'adulte, vivant toujours chez sa mère, une femme bigote et très autoritaire.
Une bande dessinée instructive, dont j'ai beaucoup aimé les dessins, et qui montre bien la genèse d'un tueur.
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Puissant ! C'est le qualificatif qui me vient à l'esprit en terminant cet album volumineux.

Le récit documenté de la vie d'Ed Gein, cultivateur dans le Wisconsin arrêté dans les années 50 pour le meurtre de deux femmes. Personnage falot que personne ne soupçonnait mais en réalité, un esprit grandement malade. Au moment de son arrestation, la police découvre sa maison de l'horreur avec des collections de masques humains, d'appareils génitaux, d'ossements. Comment en est-il arrivé à cela ? C'est ce que les auteurs vont tenter d'expliquer au fil d'une dizaine de chapitres. le meurtrier grandit dans une famille totalement dysfonctionnelle entre un père alcoolique et une mère dévote, voire fanatique, et très autoritaire. Il ne se remettra jamais du décès de cette mère abusive et se mettra à dérailler complétement après sa disparition.

Un personnage sombre et schizophrène, dont le parcours est retracé très efficacement, sans en rajouter dans le gore. Ed Gein a marqué profondément l'imaginaire américain et a inspiré des films comme Psychose ou le silence des Agneaux. Ainsi l'album démarre sur quelques planches somptueuses d'Alfred Hitchcock évoquant son film. le dessin est à la hauteur du récit : sombre, tout en nuances de gris et certaines planches sont splendides. Une parfaite adéquation entre le fond et la forme.

Cet album est une vraie réussite. Je ne suis pas spécialement passionnée par les serial killers mais je dois avouer que j'ai été happée par ce récit. A lire, vraiment !
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Voici mon retour de lecture sur la bande dessinée Ed Gein d'Harold Schechter (textes) et d'Eric Powell (illustrations), découvert grâce aux éditions Delcourt que je remercie.
Cette biographie factuelle d'Ed Gein se focalise sur son enfance et sa vie de famille malheureuses, et sur la façon dont elles ont façonné sa psyché.
Il explore aussi le choc collectif qui entoura l'affaire et la prise de conscience que les tueurs peuvent être des citoyens ordinaires.
Ce récit révèle la véritable histoire d'un malade mental sous l'emprise d'une mère bigote et abusive.
Ed Gein, de son vrai nom Edward Theodore Gein est un tueur en série et voleur de cadavres américain. Je ne le connaissais pas du tout, d'où ma curiosité envers ce roman graphique. Il est pourtant connu sans que nous le sachions car il a inspiré certains tueurs en série au cinéma.
L'ambiance est très malsaine et cette lecture m'a mis mal à l'aise à de nombreuses reprises. J'ai pris un peu de temps pour lire cet ouvrage tranquillement, il n'est pas évident de le lire d'une traite. Il faut parfois digérer certains passages.
Les chapitres montent en puissance et on nous emmène peu à peu vers l'horreur.
Cet homme a eu affaire à une mère abusive. Son frère commençait à se détacher d'elle mais pas Ed. Était t-il malade dès tout petit ? Ou est-ce cette mère castratrice qui lui a permis de développer ses pulsions ?
Il était connu de tous dans son village, certains le trouvaient bizarre mais de là à imaginer qu'il ai pu tuer, dépecer, voler des cadavres.. C'est choquant et une fois encore on se dit que les tueurs peuvent vraiment être des gens comme vous et moi au premier abord. Flippant !
C'est crayonné à base de lavis de gris. Je ne pas amatrice au premier abord des illustrations en noir et blanc mais ici ça colle parfaitement. En couleur, je ne pense pas que j'aurais réussi à supporter certaines scènes. Ça adoucit les traits, l'horreur. Mettre du rouge ou des couleurs vives aurait été totalement déplacé.
Ed Gein est un roman graphique très intéressant et très bien conçu. Un peu difficile à lire vu le sujet, les âmes sensibles risquent de trouver ça difficile par moment.
Ma note : 4,5 étoiles.
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