Le géant promenait son regard autour de lui avec une extrême attention. Il se pencha même un peu pour mieux voir, en plissant les paupières et en fronçant les sourcils. Il finit par tirer de sa poche une grande loupe et par tout examiner minutieusement, comme s'il cherchait un objet perdu.
Alors la voix profonde et harmonieuse de Fred s'éleva sur la contrée. Et tandis qu'avec la nuit tombait une paix bienfaisante sur les êtres et les choses, le chant merveilleux du nain ouvrait la porte au rêve. (p.121)