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Critique de Unelectricebretonne
Londres, de nos jours. Claudia, fraîchement séparée de son fiancé, s'est reconvertie dans la rénovation d'appartements après une longue carrière dans la finance. Elle découvre un jour, alors qu'elle se rend chez un notaire dont la convocation lui paraît farfelue, que sa grand mère aurait un lien avec Cuba. Elle a en sa possession une carte de visite londonienne des années 50 et un dessin des armoiries de la famille Diaz, une des plus puissantes de l'époque, ayant fait fortune dans le commerce du sucre. Elle se rend alors à La Havane pour tenter de trouver des réponses...
C'est une histoire agréable et dépaysante que propose Soraya Lane, et je remercie encore @cheznous_noucora pour le concours qui m'a permis de le recevoir! Tout d'abord j'aime beaucoup la couverture et j'ai apprécié la typographie, la présentation des chapitres et le format du roman. L'auteure nous fait vibrer en décrivant la relation naissante de Claudia, et les amours contrariées d'Esmeralda, l'aînée du clan Diaz, vrai point fort du récit, ce qui ravit la midinette en moi! J'aurais cependant aimé des descriptions plus précises (de l'ancienne maison des Diaz par exemple), des personnages plus complexes, et qu'on évite certaines phrases très creuses dignes d'un mur Facebook en 2012. Je trouve également qu'il y a une vision assez fantasmée du Cuba pré-castriste, sous la dictature, même si c'est un peu plus nuancé sur la fin. L'alternance passé/présent est cependant intéressante et bien menée, et on se laisse porter par la quête de Claudia et la recherche de ses origines dont elle ignorait tout, donc cela reste un sympathique moment de lecture.
C'est une histoire agréable et dépaysante que propose Soraya Lane, et je remercie encore @cheznous_noucora pour le concours qui m'a permis de le recevoir! Tout d'abord j'aime beaucoup la couverture et j'ai apprécié la typographie, la présentation des chapitres et le format du roman. L'auteure nous fait vibrer en décrivant la relation naissante de Claudia, et les amours contrariées d'Esmeralda, l'aînée du clan Diaz, vrai point fort du récit, ce qui ravit la midinette en moi! J'aurais cependant aimé des descriptions plus précises (de l'ancienne maison des Diaz par exemple), des personnages plus complexes, et qu'on évite certaines phrases très creuses dignes d'un mur Facebook en 2012. Je trouve également qu'il y a une vision assez fantasmée du Cuba pré-castriste, sous la dictature, même si c'est un peu plus nuancé sur la fin. L'alternance passé/présent est cependant intéressante et bien menée, et on se laisse porter par la quête de Claudia et la recherche de ses origines dont elle ignorait tout, donc cela reste un sympathique moment de lecture.
