Donovan Gray/5
2 notes
Résumé :
Ce soir, c'est la fin du monde.
Des millions de gens vont mourir, à cause de moi. Afin de comprendre pourquoi, il faut remonter à une autre époque, une époque plus simple, quand je n'étais qu'un jeune garçon.
`Je me souviens de ma famille, pendue aux avant-toits du porche de notre ranch. Et je me souviens du Pasteur glissant la corde autour de mon cou. Il était à la recherche d'une femme, la dernière de sa race. Il était à sa poursuite ... >Voir plus
Des millions de gens vont mourir, à cause de moi. Afin de comprendre pourquoi, il faut remonter à une autre époque, une époque plus simple, quand je n'étais qu'un jeune garçon.
`Je me souviens de ma famille, pendue aux avant-toits du porche de notre ranch. Et je me souviens du Pasteur glissant la corde autour de mon cou. Il était à la recherche d'une femme, la dernière de sa race. Il était à sa poursuite ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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Dans l'Ouest Américain au XIXème siècle toute une famille est exterminée par un homme, de nos jours le fils toujours vivant alors qu'il est mort plusieurs fois cherche toujours à tuer l'assassin.
Il m'a été difficile d'accrocher, chose inhabituelle pour moi j'ai même abandonné la lecture plusieurs fois. L'écriture est basique et heurtée, les chapitres passent d'une époque à une autre sans qu'un lien rende le récit homogène, le vocabulaire est pauvre et la traduction a quelques ratés et même des erreurs de noms dans la même page. Les personnages, les décors sont superficiels et convenus.
Les aller-retours incessants, trois jours, un gros siècle, dix ans plus tôt, etc sans raison, cela peut être une manière d'entretenir le suspens, mais ici c'est juste lassant et sans justification. Les dialogues sont stéréotypés, l'intrigue est prévisible, le quatrième de couverture est racoleur et anticipe l'histoire du livre de manière excessive.
L'action est incohérente et sans logique, d'une niaiserie profonde, pan pan j'te tue, et encore pan, pan pour faire bonne mesure, damned, je ne me souvenais plus que tu ressuscites (pour la vingtième fois) et dès que j'ai le dos tourné tu me tues (pour la vingtième fois aussi), quelle surprise ! c'est presque pas répétitif …
L'écriture est basique, hachée et peu agréable, les personnages sans intérêt s'accumulent sans raison, vraiment rien pour plaire. Nous disposons de suffisamment de romans français de mauvaise qualité, quel est l'intérêt de traduire de mauvais romans étrangers ? Une lecture que je ne conseillerai vraiment pas.
Il m'a été difficile d'accrocher, chose inhabituelle pour moi j'ai même abandonné la lecture plusieurs fois. L'écriture est basique et heurtée, les chapitres passent d'une époque à une autre sans qu'un lien rende le récit homogène, le vocabulaire est pauvre et la traduction a quelques ratés et même des erreurs de noms dans la même page. Les personnages, les décors sont superficiels et convenus.
Les aller-retours incessants, trois jours, un gros siècle, dix ans plus tôt, etc sans raison, cela peut être une manière d'entretenir le suspens, mais ici c'est juste lassant et sans justification. Les dialogues sont stéréotypés, l'intrigue est prévisible, le quatrième de couverture est racoleur et anticipe l'histoire du livre de manière excessive.
L'action est incohérente et sans logique, d'une niaiserie profonde, pan pan j'te tue, et encore pan, pan pour faire bonne mesure, damned, je ne me souvenais plus que tu ressuscites (pour la vingtième fois) et dès que j'ai le dos tourné tu me tues (pour la vingtième fois aussi), quelle surprise ! c'est presque pas répétitif …
L'écriture est basique, hachée et peu agréable, les personnages sans intérêt s'accumulent sans raison, vraiment rien pour plaire. Nous disposons de suffisamment de romans français de mauvaise qualité, quel est l'intérêt de traduire de mauvais romans étrangers ? Une lecture que je ne conseillerai vraiment pas.
Citations et extraits (6)
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"Enfuis-toi!" cria Sarah.
Jacob glissa la lame, aussi affûtée qu'un rasoir, en travers de sa gorge. Elle s'écroula au sol, les mains désespérément serrées autour de son cou.
""Non!"" s'écria Gabriel. Il chargea vers l'intérieur du tunnel.
Jacob sourit de toutes ses dents et glissa une main dans son dos. Il en retira un revolver, le pointa et fit feu, atteignant Gabe dans les tripes. Gabriel s'arrêta, fixant son ventre, incrédule. Il s'effondra au sol.
""Ne t'inquiète pas, petit, elle sera bientôt sur pied, tout comme toi."" Il jeta un œil à Ira. Il pleurait, penché sur le corps du garçon. Il était faible. Sentimental. Peut-être avait-il eu tort de l'amener.
""Il ne reviendra pas, pas vrai, Jake?"" gémit Ira. Il fixa Gabriel d'un regard noir.
""Laisse lui le temps, mon vieil ami, laisse lui le temps."" Jacob avait tenté de paraître aussi rassurant que possible, mais il secouait la tête. Il savait que le garçon était mort.
""Je lui ai laissé le temps! Il est mort!""
Jacob glissa la lame, aussi affûtée qu'un rasoir, en travers de sa gorge. Elle s'écroula au sol, les mains désespérément serrées autour de son cou.
""Non!"" s'écria Gabriel. Il chargea vers l'intérieur du tunnel.
Jacob sourit de toutes ses dents et glissa une main dans son dos. Il en retira un revolver, le pointa et fit feu, atteignant Gabe dans les tripes. Gabriel s'arrêta, fixant son ventre, incrédule. Il s'effondra au sol.
""Ne t'inquiète pas, petit, elle sera bientôt sur pied, tout comme toi."" Il jeta un œil à Ira. Il pleurait, penché sur le corps du garçon. Il était faible. Sentimental. Peut-être avait-il eu tort de l'amener.
""Il ne reviendra pas, pas vrai, Jake?"" gémit Ira. Il fixa Gabriel d'un regard noir.
""Laisse lui le temps, mon vieil ami, laisse lui le temps."" Jacob avait tenté de paraître aussi rassurant que possible, mais il secouait la tête. Il savait que le garçon était mort.
""Je lui ai laissé le temps! Il est mort!""
—Tu penses que tu mérites une mort rapide? demanda Gabe en agitant le couteau devant lui. Après la façon dont tu as traité Sam et Isabelle, bon sang, même Bert ici présent? Non, tu n'auras pas droit à une mort rapide!"" Il plaça la pointe de la lame juste au-dessus de l'aine et appuya de tout son poids. Isaac postillonna et toussa, luttant pour reprendre sa respiration tout en se tordant de douleur.
Bert s'assit en bas des marches et observa Gabe retirer le couteau d'un geste brusque. Isaac se tourna vers lui, le visage crispé de douleur.
""Je t'en prie Bert, je t'en supplie, ne le laisse pas faire ça!
"" Bert se pencha vers lui. ""Tu te souviens quand je t'ai supplié, Isaac? ricana-t-il, savourant chaque seconde de la souffrance de cet homme. Juste avant que tu ne fasses exploser mon genou!
—T'es toujours en vie, pas vrai?"" Sa colère ne parvenait plus à cacher le désespoir dans sa voix.
""Et ce n'est pas grâce à toi!"
Bert s'assit en bas des marches et observa Gabe retirer le couteau d'un geste brusque. Isaac se tourna vers lui, le visage crispé de douleur.
""Je t'en prie Bert, je t'en supplie, ne le laisse pas faire ça!
"" Bert se pencha vers lui. ""Tu te souviens quand je t'ai supplié, Isaac? ricana-t-il, savourant chaque seconde de la souffrance de cet homme. Juste avant que tu ne fasses exploser mon genou!
—T'es toujours en vie, pas vrai?"" Sa colère ne parvenait plus à cacher le désespoir dans sa voix.
""Et ce n'est pas grâce à toi!"
Prise de panique, Sally se força à avancer et ignorer la douleur qui terrassait son corps. ""Je t'en prie! hoqueta-t-elle, tue-moi, mais laisse-les en dehors de ça. C'est notre combat! Tu as gagné!
—Notre combat? dit-il. Ce n'est pas un combat: c'est une guerre et ils sont en plein milieu."" Il balança son poing. Le coup disloqua sa mâchoire et l'envoya valser au sol.
Il se tint au-dessus d'elle et l'empoigna par les cheveux. Son visage vint se placer près du sien tandis qu'il regardait par la fenêtre. ""Tu voulais me renvoyer là-bas?
—Non...
—Je t'ai entendu!"" hurla-t-il. Il fracassa son visage contre le sol, lui brisant le nez. Il martela ses reins avec son poing. Chaque coup envoyait dans le bas de son dos une décharge de douleur assez forte pour la paralyser. Puis elle sentit qu'il la traînait.
—Notre combat? dit-il. Ce n'est pas un combat: c'est une guerre et ils sont en plein milieu."" Il balança son poing. Le coup disloqua sa mâchoire et l'envoya valser au sol.
Il se tint au-dessus d'elle et l'empoigna par les cheveux. Son visage vint se placer près du sien tandis qu'il regardait par la fenêtre. ""Tu voulais me renvoyer là-bas?
—Non...
—Je t'ai entendu!"" hurla-t-il. Il fracassa son visage contre le sol, lui brisant le nez. Il martela ses reins avec son poing. Chaque coup envoyait dans le bas de son dos une décharge de douleur assez forte pour la paralyser. Puis elle sentit qu'il la traînait.
"Je ne suis pas votre ami, Jacob, affirma Gabe calmement. Je suis ici pour m'assurer que vous soyez pendu.
—Pour quel crime, mon fils?
Gabe sortit l'avis de recherche de sa poche et le plaqua contre le bar. ""Vous êtes recherché pour les meurtres d'Anna, Sarah et Silas Earl.
—Vous avez oublié le garçon sur cette liste!
""Je sais. C'est parce que je ne suis pas mort!"" déclara-t-il. Et même si sa voix présentait de la froideur, Jacob savait qu'un magma de colère couvait dessous, car la colère nuit à la raison et induit en erreur et le shérif adjoint venait d'en commettre une énorme.
""Tu as déjà joué au poker, Gabe?"" demanda-t-il. Il attrapa la bouteille de whisky avant de se tourner pour lui faire face.
—De quoi?
Jacob fracassa la bouteille sur le côté du visage de Gabriel.
—Pour quel crime, mon fils?
Gabe sortit l'avis de recherche de sa poche et le plaqua contre le bar. ""Vous êtes recherché pour les meurtres d'Anna, Sarah et Silas Earl.
—Vous avez oublié le garçon sur cette liste!
""Je sais. C'est parce que je ne suis pas mort!"" déclara-t-il. Et même si sa voix présentait de la froideur, Jacob savait qu'un magma de colère couvait dessous, car la colère nuit à la raison et induit en erreur et le shérif adjoint venait d'en commettre une énorme.
""Tu as déjà joué au poker, Gabe?"" demanda-t-il. Il attrapa la bouteille de whisky avant de se tourner pour lui faire face.
—De quoi?
Jacob fracassa la bouteille sur le côté du visage de Gabriel.
Alex saisit Violette et la retourna en la plaquant au sol; son crâne percuta l'asphalte. Il souleva la tête, saisit la machette et la fit retomber violemment. La lame acérée entailla le crâne. Il leva la lame et frappa encore et encore jusqu'à ce que son corps s'immobilise.
Il se redressa, les yeux rivés sur la marre de sang qui avait été une tête, avant de contourner la jeep, là où Sid était en train de se relever. Il était plus lent que la vieille dame. Perdre la moitié de son cerveau avait ce genre d'effet. Alex bénit sa bonne étoile et balança la lame, tranchant la tête d'un coup. Le torse retomba en arrière tandis que la tête rebondit derrière une voiture.
Il se redressa, les yeux rivés sur la marre de sang qui avait été une tête, avant de contourner la jeep, là où Sid était en train de se relever. Il était plus lent que la vieille dame. Perdre la moitié de son cerveau avait ce genre d'effet. Alex bénit sa bonne étoile et balança la lame, tranchant la tête d'un coup. Le torse retomba en arrière tandis que la tête rebondit derrière une voiture.
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