Rapaces, tome 1

Les auteurs piochent dans tout ce qui s'est autour des vampires dans les années 1980/1990 ("Les Chroniques des vampires", "World of Darkness", "Génération perdue", "Blade"…), bref dans l'urban fantasy, pour nous livrer un thriller gothique glissant logiquement du polar de bonne facture à l'horreur en bonnes et dues formes, sur fond de guerre de l'ombre entre faction vampires, de vengeance millénaire et de vendetta familiale… C'est réalisé sur fond d'esthétique pornochic lorgnant sur les classiques du BDSM. Déjà que Jean Dufaux aime bien les scènes de cul, là avec un Enrico Marini expert en beaux-gosses musclés et en belles-gosses dénudées, les deux compères s'on donne à coeur joie régalent ! Donc on est aussi dans la bit-lit…
La qualité des graphismes du dessinateur italien saute aux yeux (malgré quelques erreurs anatomiques ça et là, mais on fermera les yeux dessus hein ^^) : une métropole décatie digne des plus sombres heures de Gotham City, des vampires sauvages violents et sexy, des vampires civilisés décadents et corrompus… Les scènes d'action très classe font penser aux films de Luc Besson genre "Nikita" et "Léon" avant de lorgner sur les franchises "Matrix" et "Underground" ensuite…


Dans ce tome 1 nous suivons les investigations des inspecteurs Lenore et Spiaggi sur les crimes d'un mystérieux serial killer, mais la belle rousse aux cheveux courts est moins interessé par le ou les tueurs que par leurs victimes retrouvée une aiguille planté derrière l'oreille droite et un énigmatique « votre règne s'achève » tagué à leurs côtés avec leur propre sang… Et de filatures en écoutes, ils en découvrent plus qu'ils auraient aimé en savoir sur les moeurs étranges de la haute société !
On est presque dans une ambiance paranoïaque digne de la série "Les Envahisseurs" : ils sont partout, et ils contrôlent tout ! du coup le salut pourrait venir de ces rapaces issus de leur passé et qui les font trembler… Hélas je connais bien le père Dufaux et le soufflé va fatalement retomber puisqu'il ne veut pas ou ne peut pas construire une histoire cohérente au-delà de 2 tomes… VDM

Des meurtres sont perpétrés , et chaque victime a en commun d'avoir un kyste derrière l'oreille transpercé d'une aiguille.
On ne sait pas encore très bien ce qu'il se trame derrière ces assassinats mais on en devine assez. le scénario est bien monté et donne envie d'en savoir plus.

Au niveau graphismes, ils sont agréables mais pas assez fins à mon gout (ce qui ne gâche pas pour autant mon plaisir). Les meurtriers ont un look bien à eux qui en devient attrayant grâce à la colorisation de leur tenue.

Encore un meurtre étrange. C’est le troisième avec le même mode opératoire. La victime est vidée de son sang, elle a une épingle fichée derrière l’oreille droite. Autre détail étonnant et commun à toutes les victimes, elle a un kyste derrière la même oreille et c’est dans celui-ci qu’est plantée l’aiguille. Les inspecteurs Léonor (belle jeune femme) et Spiaggi (vieux jeune homme habitant encore chez sa mère) sont chargés de l’enquête. Elle a remarqué que son chef à aussi un kyste derrière l’oreille droite. Parallèlement, nous suivons un frère et une sœur, à la plastique irréprochable et aux tenues sexys, qui sont les assassins qui semblent vouloir nettoyer la ville de tous ceux qui ont un kyste derrière l’oreille droite. ...

La qualité graphique de la couverture m’a séduite. Le graphisme des dessins, à l’intérieur est du même niveau que « l’emballage ». La beauté des personnages, les décors, le choix des teintes, la luminosité, l’ambiance lumineuse enchantent l’œil du lecteur. Le scénario, quant à lui ‘st au départ assez confus. On saute sans transition d’une scène de crime un nouveau mettre entrain de se dérouler, puis nous nous retrouvons dans l’intimité de Léonor et on change ensuite de direction. Heureusement, l’équilibre et une certaine cohésion équilibre la fin de ce premier tome et donne envie au lecteur de poursuivre cette série.

Dans cette BD vous vous toucherez l'arrière de vos oreilles pour vérifier que nous n'ayez pas de kyste. on est dans la même veine que Blade ou via les scènes d'action on retrouve du Besson. l'univers de.la ville m'a.fait penser à Gotham city. bienvenue dans de l'urban fantasy qui anime un thriller gothique et se propage en polar. on retrouve des vampires qui s'occupe de personne pour assouvir une.vendatta familliale. Qualité graphique du dessinateur italien est.magnifique.

Avec un scénario de Dufaux et des dessins de Marini, cela ne pouvait que me plaire. En effet, nous avons là l'association de l'un de mes meilleurs scénaristes et de l'un des mes dessinateurs préférés. Cette histoire de vampires à travers notre monde contemporain est résolument très originale. En effet, c'est le prédateur lui-même qui se retrouve chassé.

Nous avons droit à une mise en page réellement dynamique avec une couleur rouge omniprésente. On ressent très vite les émotions de l'héroïne. Les personnages sont beaux, pleins de grâce et envoûtants. C'est sombre, mystérieux et gothique et le tout saupoudré d'un soupçon d'érotisme (de sexe diront certains). Une Bd résolument adulte.

Ce mélange polar-fantastique est très réussi à mon goût même si on peut penser qu'il s'agit d'une BD racoleuse. Ce sont de toute façon toujours les vierges effarouchées qui le pensent et nous n'en sommes pas.

Note Dessin : 4.5/5 – Note Scénario : 4/5 – Note Globale : 4.25/5

C'est clairement le dessin de Marini qui m'a attiré, avec un vampire qui ressemble sauvagement au "Scorpion" !

Une série qui commence bien. On y trouve un monde noir où les hommes sont confrontés à des vampires qui ont monopolisé le pouvoir : il en résulte qu'il est difficile de faire confiance à qui que ce soit et que l'on ne peut compter que sur soi même !

Pourtant, deux policiers résistent mais jusque quand ....
La chute du tome nous donne vraiment envie de continuer pour savoir la suite !

Ils sont d'une autre race, les Rapaces,

oiseaux de proie, qui déploient leurs ailes et forcent le respect,

ils sont arrogants, forts, imprévisibles,

Drago et Camilla sont frère et soeur, issus d'une famille d'une longue lignée pur de vampire…mais la hiérarchie et les clans fragilisent l'équilibre de la dynastie, avec une nouvelle faiblesse, un talon d'Achille, alors il faut bien agir…
Lien : https://lecturesindelebiles...

Une série de meurtres avec un point commun chez chaque victime : un kyste derrière l'oreille. Que cela signifie-t-il ? Lenore mène l'enquête...

Un premier tome qui plante le décor. Une enquête pleine de rebondissements. Un univers vampirique souligné par la colo. Un dessin très réussi. Juste ce qu'il faut de suspense pour donner envie de lire la suite. Un moment de lecture très agréable.

L'histoire débute comme un policier/thriller avec un nouveau meurtre étrange et ce qui semble être le même mode opératoire.
Mais ce titre n'en est finalement rien car Dufaux s'inspire des récits et oeuvres de vampires des années 1980/1990 et très vite l'aspect enquête va laisser la place à une approche plutôt tournée sur une organisation de l'ombre.
Un premier tome qui fait office de mise en bouche pour installer les personnages et les décors.

Amatrice de bandes dessinées, j'ai souhaité rester dans une ambiance plutôt sombre (humeur du moment) et j'ai profité du fait que dans la médiathèque en bas de chez moi, l'on puisse emprunter toute une série complète d'une même BD pour l'équivalent d'un seul livre.
Ainsi aucune chance de saturer ma carte d'abonné qui de toute façon l'est en permanence ! lol

Allons ne faîtes pas vos timides ou vos effarouchés, venez avec moi découvrir les « Rapaces » de Dufaux et Marini.

(Suite..)
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