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EAN : 9782757802991
265 pages
Seuil (15/02/2007)
4.06/5   51 notes
Résumé :

Promenade avec les dieux de l'Inde. " Quel que soit le lieu de leur naissance, j'aime raconter les affaires des dieux. Leurs généalogies, leurs disputes, leurs amours me passionnent comme s'ils étaient de ma famille et puis, comment ne pas s'intéresser à des êtres capables de se transformer en nuage, taureau, serpent ? Désormais, je dispose d'une grande famille de dieux dont j'ai les portraits, dont je connais les tics, ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (11) Voir plus Ajouter une critique
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Il faut bien commencer quelque part. Pour ceux qui s'y intéressent mais n'ont que de très vagues notions de la religion hindoue, ce petit livre de Catherine Clément constitue un excellent b-a ba avant de passer à des oeuvres plus ardues. Et aussi infiniment plus touffues car le gigantesque panthéon hindou a de quoi décourager n'importe quel Occidental, croyant ou non, pour peu qu'il tente de l'inventorier de A jusqu'à Z.

Comme nombre de ces trois-cents millions de dieux - oui, il y en aurait trois-cents millions ;o) - ne sont que les avatars de l'un des dieux principaux, Catherine Clément évoque surtout ces derniers. Tout d'abord la fameuse trinité Brahma / Vishnou / Shiva, respectivement adorés comme le Créateur, le Préservateur - celui qui assure l'équilibre et l'harmonie de l'univers - et le Destructeur.

Malgré l'utilisation des mots "trinité" et "créateur", il n'y a rien ici qui rappelle un tant soit peu la façon de penser occidentale. Brahma, Vishnou et Shiva sont bien distincts l'un de l'autre et la fonction créatrice du premier est relativement modeste. Brahma est un peu comme le roi des échecs : on s'incline devant lui, on lui reconnaît le pouvoir de créer mais cette divinité en principe si puissante ne possède, dans toute l'Inde, qu'un seul temple qui lui soit dédié.

Plus qu'un créateur au sens où nous le concevons, Brahma se contente de guider une création initiée par Vishnou. Très souvent d'ailleurs, il apparaît sur une fleur de lotus naissant du nombril de celui-ci et on a bien l'impression que le Préservateur veille sur le Créateur - et non le contraire. Précisons en outre que Brahma possède cinq têtes - je laisse à Catherine Clément le soin de vous expliquer comment lui vint la cinquième et dernière.

Le plus souvent représenté allongé sur le Serpent d'Eternité, Ananta aux dix-mille têtes, et dormant d'un sommeil yogique - c'est-à-dire en méditation - Vishnou se reconnaît essentiellement à la haute tiare qui est la sienne et au tissu jaune qui lui ceint les reins. Sa peau est de couleur bleue et il possède en général quatre bras. Dans ses mains, il tient une conque, un disque dont il se sert comme arme - et elle est redoutable - une massue et enfin une fleur de lotus. Ce dieu, issu d'un dieu solaire védique plus ancien, est une divinité hautement bienveillante dont l'avatar le plus connu est Krishna.

A Shiva revient la charge de détruire ce qui est arrivé à son terme. Mais attention : cette destruction débouche inéluctablement sur une reconstruction. Dieu des ascètes et des yogi, il est représenté soit paré d'une peau de tigre, soit assis ou debout sur cette peau. On le reconnaît à sa longue chevelure auburn, généralement coiffée en chignon - c'est de là que s'écoule Ganga-le Gange, la Mère de l'Inde comme le Nil était le père de l'Egypte antique - à son trident, à son tambour à boules fouettantes et aussi au cobra qui se tord autour de son cou. Parfois, il foule du pied droit une sorte de démon qui symbolise l'ignorance. Comme Vishnou, il a plusieurs noms et, comme Vishnou, il peut être considéré comme le premier des dieux, ce qui provoque encore, on s'en serait douté, de sanglants affrontements entre les Vishnouïtes et les Shivaïtes. Ajoutons pour finir que Shiva est aussi adoré sous la forme d'une longue pierre dressée, le linga, censé symboliser le phallus du dieu.

Shiva est l'époux de Shakti, la déesse-mère, dont l'incarnation la plus célèbre est sans conteste Kâli. Toute noire et tirant une énorme langue rouge, Kâli arbore un collier de crânes.

Bon, quand vous en arrivez là, vous avez saisi les notions les plus basiques : vous pouvez passer à l'étape supérieure.

Le but de Catherine Clément n'est pas de vous y mener, simplement de vous fournir, de la façon la plus dynamique qui soit, avec énormément d'humour et de vivacité, les informations que vous devez retenir sous peine de passer pour un ignare absolu en matière d'hindouisme. Elle conclut en évoquant les grandes épopées de la littérature indienne, celles où interviennent les dieux : le "Mahabbarata" et le "Ramayana", histoires si connues et si aimées des Indiens que nombre de séries télévisées sont basées sur leurs péripéties. Après un petit clin d'oeil aux "Contes du Vampire", récits très appréciés également en Inde, elle évoque enfin les deux grands rivaux de l'hindouisme : le bouddhisme et le jaïnisme.

C'est donc un mini-tour de la religion en Inde mais un mini-tour très complet en son genre. En outre, avec ce style vif et plaisant, on ne s'ennuie pas une minute et ceux qui seraient tentés de penser que, justement parce qu'elle les évoque avec le sourire, Catherine Clément ne respecte pas les dieux hindous, s'apercevront très vite de leur erreur. Non seulement elle les respecte mais elle les aime et elle aime le pays où ils sont nés - ou qu'ils ont créé, allez savoir ... ;o)
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Cette petite introduction à l'hindouisme permet aux néophytes de débroussailler un peu le terrain des millions de dieux qui composent son panthéon. Si quelques noms sont célèbres en Occident (Shiva, Vishnou, Brahma, Ganesh, Kâli, …), leurs rôles précis restent obscurs.

Et d'ailleurs, on se rend vite compte qu'ils le sont aussi pour les hindouistes ! À la manière des mythes grecs, les généalogies varient suivant les auteurs, chaque divinité peut s'incarner en un grand nombre d'avatars, leurs relations sont parfois tendues...

La tête me tourne un peu en refermant ce livre : tous ces héros, fils de dieux, ou avatar d'autres dieux, aux destins qui s'entrelacent à n'en plus finir, sont un peu compliqués à suivre. Cette joyeuse pagaille donne toutefois envie d'en connaître plus : ces mythes sont hauts en couleur et restent très vivants encore aujourd'hui.
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L'autrice l'annonce d'emblée, elle n'est pas une spécialiste et ce livre n'est pas un texte savant. C'est par contre une très bonne introduction au monde foisonnant des dieux de l'Inde, une plongée dans tous ces mythes qui font partie de la vie des indiens. Et Catherine Clément s'y plonge comme une indienne moyenne, avec le même enthousiasme. On en ressort un peu perdu, mais avec l'envie d'en savoir plus. le texte est d'une lecture facile, mais il est dommage qu'il ne soit accompagné d'aucune illustration, car l'imagerie est importante. Heureusement je l'ai lu en ayant sous les yeux l'excellent livre de Stéphane Guillerme " Dieux et Déesses de l'Inde" regorgeant d'images populaires. Si vous pouvez, faites de même, les deux livres se complètent admirablement.
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« En Inde, écrit Catherine Clément, trois cents millions de dieux et de déesses forniquent et combattent avec une joyeuse frénésie. » Voilà, le ton est donné. En effet, un livre ayant pour sujet l'hindouisme et tout particulièrement son panthéon, peut paraître au premier abord bien rébarbatif. Mais la philosophe (et romancière) Catherine Clément, bien au contraire, le rend passionnant de bout en bout, car elle a su insuffler un élan épique aux aventures de tout ce petit monde. Elle ne nous cache rien de leurs « personnalités » : séducteurs, violeurs, cruels, rancuniers mais également généreux, tolérants, protecteurs. Si bien que ces dieux à plusieurs têtes et/ou bras, se révèlent terriblement proches de nous, tellement humains, en fin de compte. Les dieux de l'Inde ne sont pas la perfection élevée au rang de modèle. Et surtout, la plupart sont ambivalents. Krishna, la divinité suprême à l'origine de toutes les autres, connaît des représentations diverses : un bébé joufflu, un adolescent à peine viril et légèrement bleuté, un adulte mâle et guerrier qui meurt d'une flèche dans le talon. Et que dire de Shiva qui est un amant doux et compréhensif, mais peut faire preuve de la mesquinerie la plus vile ?
Mais, très vite, le lecteur comprend que, de la création du monde jusqu'au chaos final, tout est lié au bon vouloir et aux prouesses physiques (et sexuelles) de ces êtres surhumains, aux corps parfaits, aux attributs appétissants. Ce n'est pas pour rien que le Kamasutra émane de ce pays ; ce recueil des pratiques sexuelles tient son origine très probablement des amours divines et, du coup, très libres. Ce qui n'empêchent pourtant ni les accès de cafard ou de colère, sans parler de la jalousie qui sourd parfois. Et là se trouve le sel même du Ramayana, une épopée mythologie et un écrit fondamental de l'hindouisme.
Catherine Clément fait preuve d'une verve particulièrement haute en couleur pour tirer le portrait de Ganesh (mon préféré), de Kali, de Brahma ou de Vishnou. Et, avec un humour incomparable, elle nous rend tout ce petit monde surpeuplé si familier, si accessible. Ce qui est dû au fait que ces textes sont, en réalité, les transcriptions de chroniques sur les antennes de France Culture. Ce livre est donc avant tout initiatique. Et il parle de religion sérieusement mais sans jamais se prendre au sérieux.
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Promenade avec les dieux de l'Inde est un petit livre très agréable à lire. Son auteur, Catherine Clément (qui a écrit plus de 50 essais, romans et ouvrages de poésie en son nom propre et a collaboré à plus d'une douzaine d'autres) connaît bien l'Inde.

Réparti en une vingtaine de très courts chapitres - qui sont en fait la publication de chroniques radiophoniques que Catherine Clément a réalisées en 2004 sur France Culture - Promenade avec les dieux de l'Inde nous fait découvrir quelques uns des 300 millions de dieux du panthéon hindou (les plus célèbres bien sûr), ainsi que les autres - Mahavira, Bouddha, Allah, ...- afin de n'oublier personne.

Le format radiophonique initial de ces chroniques en fait une lecture très aisée et très plaisante.

En prime, Catherine Clément nous éclaire sur le Ramayana et le Mahabharata, et nous fait également découvrir les Contes du vampire.

Une bonne manière de faire connaissance avec l'Inde et sa culture, avant de s'embarquer dans les ouvrages plus longs et parfois plus ardus.
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Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
Sur les 950 films par an produits par l'Inde – c'est la plus grosse production mondiale de films –, nombre de dieux apparaissent dans ce genre extravagant que sont les hindi movies, qui durent quatre à cinq heures avec entracte, enchaînent la tragédie, l'épopée, la comédie musicale, le mélo, la farce, le drame romantique, et se terminent souvent par une fin nostalgique. Jamais les dieux n'y sont adaptés textuellement, comme il peut nous arriver de le faire en Occident. Certes, le genre péplum s'écarte des textes antiques, mais ils les respectent, ils ne les mélangent pas. Au contraire, le cinéma indien est animé d'un total irrespect des mythes, parfois joyeusement mélangés à des intrigues contemporaines. Pourquoi ? Simplement, les mythes vivent en Inde alors que chez nous, ils sont morts.
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[...] ... C'est de Brahma que vient le mot Brahman qui veut dire l'Un ou l'Inconnaissable ; et c'est également de Brahma que vient la caste des Brahmanes, celle des prêtres lettrés, la plus haute caste du système hindou. C'est du dieu Brahma que vient le mot Brahmasutra, cordon sacré que porte l'enfant mâle de sept ans lorsqu'il devient "deux fois né." C'est encore le Brahmi, un type de notation du sanskrit, et la liste n'est pas close.

Brahma est le dieu créateur et on dit qu'il a peu de temples en Inde. Pour moi, je n'en ai jamais vu qu'un seul, dominant le lac de Pushkar, en plein coeur du Rajahsthan. Un seul temple pour le dieu créateur, c'est singulier. Je me suis imaginé que c'était à cause de sa faiblesse : car ce dieu créateur est comme ligoté.

Brahma est un dieu faible. Le peu qu'on lui voit faire est à moitié raté. Au vrai, il ne "fait" pas, il ne sait pas agir. Tout seul, il ne peut rien. Certes, le patron des brahmanes est à leur image : garant du système, il n'est pas dans l'action. J'ai sous les yeux une miniature qui représente Brahma : un vieux pépère aux mains jointes, saluant respectueusement le cygne, sa monture. Il est vrai qu'il y a toujours chez les brahmanes cette extrême politesse, cette évidence d'humilité ; on n'exhibe pas la force. Au commencement, j'ai pensé que Brahma relevait du modèle qu'on appelle en latin le deus otiosius, le dieu paresseux : il impulse la création, puis il est si fatigué qu'il se repose, laissant aux autres, dieux ou hommes, le soin de finir le travail. On trouve ce genre de dieux épuisés dans certains panthéons d'Afrique, chez les Dogon du Mali par exemple.

Son apparition au monde fait l'objet d'innombrables versions. Voici l'une des plus simples. Brahma naît dans un oeuf d'or cosmique, venu lui-même d'une graine plongée dans l'eau. Au bout de mille ans, l'oeuf se sépare en deux ; apparaissent d'un côté Brahma, un vieux petit barbu fripé à peau très blanche, de l'autre, née par scissiparité, Saraswati, belle jeune femme déesse des arts, de la parole et de la connaissance.

Mais cette naissance se complique par la suite. On retrouve Brahma émergeant d'un lotus qui pousse dans le nombril d'un autre dieu, Vishnou, son co-créateur, si je puis dire. Pourtant, c'est de Brahma qu'est venue la première impulsion. ... [...]
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[...] ... [Kâli] est la destruction de la graine sans laquelle le grain ne germera pas. J'ai sous les yeux ses images. Elle est nue, "vêtue d'espace", Digambara. Les seins, qui sont à l'air, sont gonflés. Les cheveux sont horripilés - c'est un thème fréquent de la possession. Lorsqu'elles sont en extase, en transe ou sous l'effet de la colère, les cheveux des déesses sont dressés sur la tête. Elle a autour du cou un collier de cinquante têtes humaines, une par lettre de l'alphabet sanskrit. Elle a trois yeux. Situé au milieu du front et à la verticale, le troisième est l'oeil de Shiva. Elle a les dents blanches, symbole d'intelligence. Et elle tire la langue, une belle grosse langue rouge. Là voilà, cette fameuse langue tirée, qui a tant fasciné Günter Grass !

Pour comprendre la langue pendue de la déesse Kâli, faisons un détour par une des techniques du yoga. Il s'agit de la libération du frein, ce muscle qui retient la langue au palais. Ce frein, on le détache tous les jours avec une petite feuille d'herbe dont le léger tranchant est suffisant pour entamer le muscle. C'est très progressif, très long, mais vient un temps où le frein est entièrement tranché et où la langue est libre.

Libre de quoi ? Eh ! bien, d'aller toucher le bas du menton, ou le milieu du front ou encore, libre de se retourner dans la gorge, soit pour produire la mort, soit pour produire l'extase. Cette langue tirée, qui symbolise la langue libérée du muscle du frein qui la rattache au palais, est donc un signe ascétique important.

Mais j'ai une autre version en magasin.

J'ai pris bon nombre de leçons de yoga en Inde, pendant de longues années, avec un vieux professeur de la secte des Nath Yogi qui fut aussi mon maître en mythologie. Il considérait, après avoir beaucoup réfléchi, que la langue tirée de Kâli venait du saisissement de la fille qui piétine son père, le dieu Shiva. Née de la colère de Durga et de la conjugaison des dieux unissant leurs efforts pour produire cette créature terrible, plus terrible que Durga, chargée de débarrasser la terre des démons, Kâli bouscule son père Shiva, le renverse, le piétine, s'en aperçoit enfin et, saisie, tire la langue ... [...]
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Un jour qu'il est parti à l'aventure, Arjuna, le troisième des frères Pandava, le meilleur des archers, gagne le tournoi et la main d'une princesse en bandant un arc que personne n'arrive à tendre, thème commun à tous les contes de fées. Revenant avec cette princesse dans la forêt de leur exil, il appelle sa mère et lui crie : « Mère, devine ce que je te ramène ! » Et Kunti, la mère, avant même de savoir de quoi il retourne, répond de loin : « Quelle que soit la chose que tu ramènes, que tous tes frères partagent avec toi ! »

Pas de chance, c'est une princesse, la belle Draupadi. La parole d'une mère étant absolument sacrée, Draupadi aura les cinq frères comme maris.
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Il y a peu à dire sur l'enfance de Krishna, élevé par une mère permissive qui lui laisse faire toutes ses bêtises, chiper le beurre suspendu au mur, fourrer ses menottes dans tous les coins. [...]

Quelques années plus tard, Krishna dérobe les saris des Gopis, les vachères, quand elles se baignent dans l'étang, et s'amuse de les voir nues, effarées.

Quand il a passé l'âge des saris volés, il les fait danser tout en lutinant sa maîtresse, Radha, la bien-aimée, jeune vachère mariée.
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Vidéo de Catherine Clément
Jérémy Chaponneau, chargé de collection au département Philosophie, histoire et sciences humaines, vous propose un programme de lectures autour des voyages d'Henri Cartier-Bresson : « le Musée du peuple mexicain », Pedro Ramirez Vazquez, Vilo, 1968 https://c.bnf.fr/NKm « La Nuit de Tlateloco », Elena Poniatowska, Éditions CMDE, 2014 https://c.bnf.fr/NKp « Autobiographie ou Mes expériences de vérité », Gandhi, PUF, 1982 https://c.bnf.fr/NKs « Gandhi : la biographie illustrée », Kapoor Pramod, Chêne, 2017 https://c.bnf.fr/NKv « Gandhi, athlète de la liberté », Catherine Clément, Découvertes Gallimard, 2008 https://c.bnf.fr/NKy « Mahatma Gandhi », Romain Rolland, Stock, 1924 https://c.bnf.fr/NKB « Mahatma Gandhi : a biography », Bal Ram Nanda, Oxford India paperbacks, 1959 https://c.bnf.fr/NKE « Histoire de l'U.R.S.S. », Nicolas Werth, Que sais-je ?, 2020 https://c.bnf.fr/NKH « Staline », Oleg Khlevniuk, Gallimard, 2018 https://c.bnf.fr/NKK « U.R.S.S. », Jean Marabini, le Seuil, 1976 https://c.bnf.fr/NKN
En savoir plus sur l'exposition Henri Cartier-Bresson. le Grand Jeu : https://www.bnf.fr/fr/agenda/henri-cartier-bresson
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