Décidément, je ne me lasse pas de l'art de Boulet, que ce soit au format web ou au format papier ! C'est drôle, intelligent, créatif... Les réflexions délirantes sur ce qui nous entoure et la société moderne sont brillamment illustrées sous forme de tranches de vie et si elles dépeignent le quotidien, elles n'ont rien de banal.
Excellent moment de lecture !
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Ces petits récits autobiographiques sont attachants, ils nous montrent l'envers du décor, ce qui se cache derrière le métier d'un dessinateur, son "identité secrète" pleine de petites anecdotes (les "endives cuites" en sont un excellent exemple, c'est hilarant et tellement vrai !) Dans le torrent de ces albums Blog, de ce qu'on appelle les Web-comics, Boulet se distingue largement du lot.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Pour résumer ce « Peu d’or et moult gueule » (devise familiale chez Boulet) nous prouve que l’auteur a encore largement à raconter après tant d’années de notes de blog. Entre les histoires personnelles et l’imagination, c’est sans apparat (quoi qu’un peu de doré sur la couverture) mais bien avec de la gueule que le dessinateur rouquin nous entraine dans son univers. Et comme d’habitude, on en redemande !
Lire la critique sur le site : BullesEtOnomatopees
Avec humour et autodérision, Boulet nous emmène une fois de plus dans son quotidien et son imaginaire qui s’entremêlent avec toujours autant de brio. Si l’humour est omniprésent, la poésie fait aussi son incursion. Ajoutons à cela que les finales des notes sont souvent comme les fins des fables de la Fontaine, avec une petite morale sur ce qu’on vient de découvrir et vous venez de passer un long moment de lecture qui vous susurre un « encore ».
Lire la critique sur le site : BulledEncre
Au début on est bien. Au chaud dans une petite bulle...Puis on naît. Plus de bulle. Le monde a soudain grandi. On découvre à chaque fois des murs. Des limites qu'on va tenter de repousser. Petit à petit on découvre jn univers de plus en plus vaste. On progresse de bulle en bulle. Et plus on avance, plus il faut apprendre pour survivre... comprendre les règles, s'adapter... On se voyait en explorateur actif... Mais on réalise que, prêt ou pas prêt, nos bulles éclatent une à une... Et qu'on a été projeté, nu et ignorant, dans un monde d'une effroyable complexité.
Au début on est bien au chaud dans une petite bulle...
Par ce temps froid, je maintiens mon taux de monde réel en dessous de 10%.
Merci vieux sage velu ! Grâce à toi je sais maintenant qu'avec des efforts démesurés, je peux en venir à apprécier vaguement des trucs qui ne m'intéressent pas plus que ça.
Si à cinquante ans tu rêves encore à des Rolex, alors tu as raté ta vie.
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