La saga des Bedwyn, tome 6 : Le mystérieux duc de Bewcastle

Christine est veuve depuis quelques années. Roturière maladroite et gaffeuse, elle avait eu la chance de se faire remarquer par le frère d'un vicomte. Depuis sa mort, elle est retournée dans le cottage familial aux côtés de sa mère et de sa soeur.

C'est lors d'un séjour chez sa voisine et amie où les aristocrates jouent, dansent et boivent, qu'elle fait la rencontre du duc de Bewcastle, un homme froid et arrogant qu'elle déteste au premier regard. Malheureusement pour elle, son corps ressent tout le contraire à l'encontre de cet homme intimidant et tellement prétentieux..

Il en va de même pour lui. de propositions en propositions, leur relation va évoluée, les personnages aussi. Assez pour créer quelque chose?


Je n'avais lu qu'un seul tome de cette saga, le quatrième, celui qui concerne la petite dernière de la famille, Morgan. Je n'avais pas du tout été convaincue par les personnages et le déroulement de l'histoire, je m'étais ennuyée au bout de quelques pages seulement et ce sentiment ne m'avait plus quittée. Heureusement, il n'en a pas du tout été de même ici! J'ai adoré ce roman dès le début grâce à des ingrédients savoureux et presque parfaits!

Les personnages sont le point fort de l'histoire, surtout Christine. Cette jeune femme est belle mais elle est surtout lumineuse et sympathique! Extrêmement sociable, elle rit de tout, même d'elle-même, avec tout le monde. Aristocrates ou domestiques, elle se comporte toujours de manière souriante et gentille. En plus de ça, elle est extrêmement maladroite. Elle enchaîne les gaffes, fait des choses interdites aux dames, toussa toussa. Ça amène pas mal de scènes super drôles qui m'ont fait sourire plus d'une fois.

Wulfric, lui, est le duc par excellence. Il est extrêmement riche, extrêmement bien élevé, extrêmement prétentieux et arrogant.. et extrêmement séduisant, ce que va vite remarquer Christine.

On dit que les contraires s'attirent et ça me semble parfait pour décrire leur histoire! J'ai trouvé que leurs caractères s'accordaient parfaitement, chacun apportant beaucoup à l'autre. L'évolution de leur relation est très bien gérée, juste comme j'aime! Les choses ne se précipitent pas, cela leur prend du temps pour créer des liens entre eux et la manière dont tout est présenté est très juste et super crédible. On s'attache aux deux, on s'émeut, on a envie de les secouer.. puis on sourit de leurs désaccords constants et de leurs petites joutes verbales ridicules.
Bref, une vraie réussite! Une romance juste comme j'aime, douce et explosive à la fois, des personnages originaux qui sortent du lot, beaucoup de scènes drôles et cocasses.. du très très très bon! À lire, même sans avoir lu le reste de la saga.
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Place au dernier tome de la saga, et j'avoue que j'avais hâte d'en savoir plus sur le duc de Bewcastle. Et c'est justement à son tour de se livrer pour clore en beauté cette aventure. Quelques mois sont passés depuis le cinquième tome, et Wulfric se sent seul. Tous ses frères et soeurs sont partis, et construisent leur vie ailleurs, de son côté il vient de perdre sa maîtresse qu'il connaissait depuis plusieurs années. Lors d'un moment d'inattention, il se retrouve invité à passer quinze jours à la campagne. C'est ainsi qu'il va faire la rencontre de Christine Derrick, une jeune veuve quelque peu exubérante et maladroite. D'ailleurs leur premier rencontre l'est, et il n'est pas prêt à l'oublier.

Christine est une jeune femme extrêmement gaffeuse, qui ne manque pas de se faire remarquer par ses maladresses. Veuve depuis deux ans, elle était mariée au frère d'un vicomte, ce qui lui a permis de faire partie de la haute société quelques années. Depuis, elle vit en retrait chez sa mère et sa soeur. Invitée par une amie à contre coeur, elle espère passer inaperçu pendant ces deux semaines, mais ce n'est sans compter sa maladresse qui commence directement avec le duc de Bewcastle. Wulfric la prend d'abord pour une domestique, vu ses manières et son manque de convenance. Quelle surprise pour lui quand il apprend qui elle est réellement. Sans vraiment le savoir, elle suscite son intérêt, et avec son coeur froid, il lui fait une proposition indécente, qu'elle refuse. Mais ce n'est pas pour autant qu'ils vont se perdre de vu, et c'est alors qu'on va découvrir qui se cache vraiment sous cette carapace de glace.

Voici un couple tellement pas assorti et tellement complémentaire. J'ai grandement apprécié le personnage de Christine. Bon peut-être qu'il y avait un peu trop de moment gainant à mon goût, mais qu'est-ce-que j'ai rigolé. C'est une jeune femme vive, au contraire de Wulfric, qui a été oppressé très jeune à cause du statut qu'il a dû occuper. On apprend enfin à le connaitre mieux, il se dévoile peu à peu, et j'ai aussi aimé être surprise par l'intrigue. Il y a clairement des éléments que je n'ai pas du tout vu venir, et j'ai apprécié. On revoit aussi toute la famille Bedwyn, et on découvre leur évolution. On n'a pu que s'attacher à certains membres de cette super famille, pas comme les autres.

Une super saga qui se conclu merveilleusement. Et je suis contente d'avoir découvert cette auteure.
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Dernier tome de la saga. Ici, nous avons affaire à Wulfric, le plus insaisissable des Bedwyn. J'étais incapable d'imagine un livre agréable à lire avec ce personnage et encore moins de décrire la femme qui arriverait à le perturber.

Christine a donc bien réussi à me surprendre. Une jeune veuve exubérante, noble par mariage et surtout, vivante! Elle est incapable de faire ce qu'attend la haute société d'une dame de sa condition et surtout, additionne maladresse sur maladresse. Et pourtant, elle irradie d'une telle joie de vivre que bien peu sont ceux qui le lui reprochent. C'est une gaffeuse, mais une gaffeuse des plus attachantes.

Sa rencontre avec Wulfric se passe donc forcément lors d'une maladresse, et les suivantes aussi finalement. Leurs dialogues sont acerbes, la jeune femme ne se laissant pas faire par le côté glacial et hautain du Duc. Au contraire justement!
Ce dernier, s'il est absolument agacé par cette femme qui n'a aucun tenue, se trouve néanmoins de plus en plus fasciné. Elle possède une lumière qu'il n'a pas, et bien malgré lui, n'évite pas les confrontations, semblant même les provoquer. Et il reste incapable de tenir ses résolutions lorsque le bon sens voudrait qu'il ne la revoie plus jamais. Cela aurait pourtant été facile, étant donné qu'ils ne s'étaient jamais vu jusqu'à présent et qu'ils n'évoluent pas dans les mêmes cercles.

Si je n'ai pas forcément été aussi emballée que par certains tomes, j'avoue avoir eu beaucoup de plaisir avec celui-ci. Son atout est celui ne m'avoir davantage surprise, tant par les personnages que par l'intrigue. Bien sûr, certaines choses sont évidentes depuis le départ, mais il faut dire que je voyais plus difficilement comment le récit allait tourner. C'était moins ''gros'', si je peux dire les choses de cette manière.

Je n'en dirais pas plus... sachez seulement que cette saga était très agréable à lire, reposante, divertissante et que ce dernier tome clôt d'une très belle manière six histoires à la Bedwyn.
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Nous retrouvons dans ce tome le Duc Bewcastle, aîné de la famille Bedwyn.
Plus seul que jamais, maintenant que ses frères et soeurs sont tous mariés, il se retrouve invité malgré lui à passer quinze jours à la campagne. Parmi la foule des invités, avec lesquels il n'a aucune affinité, il va faire la rencontre de Christine Derrick, une jeune veuve pétillante. Leurs deux caractères diamétralement opposés vont à coup sûr faire des étincelles !

J'ai trouvé que ce tome 6 clôturait La saga des Bedwyn en beauté.
Nous en apprenons enfin davantage sur ce Duc si froid et qui ne semble pas vouloir sortir de son rôle, mais dont la carapace se fissure du fait de sa romance avec Christine.
C'est en outre avec plaisir que nous retrouvons chaque membre de cette famille si particulière.
Si vous n'avez pas encore découvert cette saga, n'hésitez pas ! Je vous la conseille !

Malheureusement, mon avis est mitigé face à ce tome... J'ai limite été déçue. Je m'attendais à mieux, à une aventure trépidante or ça n'a pas été le cas. Je me suis ennuyée les trois quarts du roman ne réussissant pas à m'attacher plus que ça aux personnages ni à réussir à m'investir totalement dans cette romance. J'ai trouvé l'histoire plate et fade comparée à celles des autres tomes. Il m'a manqué un peu plus de passion entre eux et de jeux de séductions.

Ce n'est seulement à la lecture des cinquante dernières pages que j'ai commencé à apprécier ma lecture parce qu'enfin on rentrait dans les sentiments, dans la profondeur des choses. Voir évoluer le personnage de Wulfric est pour moi l'élément essentiel du récit, mais j'ai trouvé que c'était trop survolé et superficiel. Enfin dans les derniers chapitres, l'auteure brise la glace est rentre au coeur du sujet. A partir de là, j'ai aimé voir Wulfric et non le duc de Bewcastle, le voir sans masque qu'il est vraiment. Christine est pétillante aux côtés de toutes les autres femmes. Loin des conventions, se souciant peu de son apparence, elle reste elle-même, profite de la vie et elle est heureuse. Elle n'a pas d'artifice, seulement sa personne rayonne. J'ai aimé son naturel et sa bonne humeur touche toutes les personnes autour d'elle.

En conclusion, je ressors mitigée de cette lecture. Il y avait des bons points comme le personnage de Christine ou le personnage de Wulfric qui méritait à être plus développé. J'ai trouvé qu'on restait trop en surface et non pas assez dans les sentiments et que son histoire bien qu'elle ait du potentiel, n'est selon moi, pas assez exploité. Je n'ai pas retrouvé ce qui m'avait tant séduite dans les précédents tomes, peut-être que mes attentes étaient trop élevées... Dommage !
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