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3,92

sur 534 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Le nouveau roman de Sophie Astrabie est enfin sorti. J'avais tellement aimé La Somme de Nos vies que j'étais follement impatient.

Et derrière la couverture élégante de ce roman se cache des mots tous aussi délicats.

A la mort de sa mère, Claire retrouve un appareil photo avec une pellicule à l'intérieur. Instantanés d'une mère qui n'est plus, figés comme le sont les souvenirs dans nos mémoires.

Dans des chapitres courts qui invitent irrémédiablement à tourner les pages, Sophie Astrabie oscille entre gravite et nostalgie, entre vérités universelles et intimes convictions. A la fois poétique et digne d'un page turner, ce roman emporte son lecteur comme un vent qui soufflerait sur nos vies. Parfois tempête, parfois légère brise, il y a de la force, il y a de la douceur dans cette histoire.

Un beau roman. de fille, de mère. de femmes. Un roman sur la quête infinie de soi, d'être soi. Un roman sur les racines, sur la fragilité des liens. Un roman à l'orée des genres, difficile à définir, qui laisse en son lecteur un sillage, une trace, un murmure …

Quel joli vacarme entre ces pages, tous en chuchotements, comme des secrets murmurés. Une écriture où chaque phrase vient atteindre sa cible, là, au creux de l'oreille. Délicat, émouvant, j'ai refermé ce roman avec un je ne sais quoi au creux du ventre.

Il est des tintamarres qu'on espère entendre encore longtemps alors merci, Sophie Astrabie de donner de cette voix unique et élégante dans le brouhaha ambiant.
Lien : https://labibliothequedejuju..
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Au décès de sa mère, Claire ne pensait pas que sa vie allait être autant chamboulée.

Un carnet et un appareil photo vont la conduire dans un petit village d'Aveyron où elle passait ses étés lors de son enfance.

Un retour aux sources qui va lui permettre d'en savoir plus sur l'histoire de sa mère. Des révélations inattendues et des nouvelles rencontres vont donner un autre sens à sa vie.

Une nouvelle fois j'ai été séduite par la plume de Sophie Astrabie.

Une histoire sensible et toute en douceur qui aborde des thématiques douloureuses telles que la perte d'un parent, les violences conjugales, les relations mères-filles, la quête d'identité.

Les chapitres sont très courts ce qui en fait une lecture rythmée que l'on dévore en un rien de temps.

D'ailleurs, je ne serai pas contre une suite pour retrouver ces personnages et partager un nouveau bout de chemin à leurs côtés.
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J'ai adoré la post face du roman.
Il y a beaucoup d'amour dans cette histoire qui se dégage à chaque chapitre.

J'ai aimé que Sophie Astrabie aborde des thèmes:
Les violences lors d'une rupture
Les répétions familiales
Les secrets

J'aime l'idée que chaque lecteur vint chercher se qu'il souhait dans une lecture et que nous retenons pas les mêmes choses.
Elle nous interroge sur notre propre souvenir et ce que nous pouvons en faire pour être dans le présent.
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Paris, de nos jours. Claire a quitté son petit ami toxique, Antoine, et suite à la mort de sa mère par la suite, elle découvre un carnet qui lui a appartenu pour comprendre qui était Sylvie, et surtout qui elle est. Elle plaque tout et se rend ainsi dans le petit village de Marelle dans l Aveyron, berceau familial et théâtre de jolies rencontres...

Je découvre la très jolie plume de Sophie Astrabie qui m'a conquise! On part avec Claire, on poursuit sa quête des origines et aussi la quête de sens dans sa vie, et jamais on ne la lâche. J'ai également beaucoup aimé les personnages secondaires comme Juliette, Paul, Héléna, qui lui permettent de pousser certaines portes intérieures. J'avais moins compris certains points comme le changement de prénom qui est assez radical, mais un personnage fait aussi des choix différents des nôtres...
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.
LES BRUITS DU SOUVENIR .
de @sophieastrabie .
@flammarionlivres .
387 pages .
.


[ L'histoire d'une fuite pour mieux se retrouver ]

« Après la mort de sa mère, Claire découvre que celle ci lui a légué un carnet ainsi qu'un appareil photo dans lequel se trouve une pellicule. le lien entre les deux objets ? Un petit village de l'Aveyron où la jeune femme a passé les étés de son enfance. Il n'en faut pas plus pour la décider a tout quitter…]

Le présent à fuir .
Le passé à saisir .
Le futur à construire .

Les souvenirs du bonheur ,
qui bousculent .
Les vertiges, saisissants .
Les Coeurs égratignés .
Comme un tourbillon d'émotions .
.

Un joli roman frais et lumineux .
Tendre et nostalgique .
Des mots qui résonnent .
Comme une histoire douce-amère bouleversante .

.

[ la vie , parfois , c'est aussi celle que l'on s'invente ]
.

Vous l'avez lu ? Envie de le lire ?
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Claire doit affronter le décès brutal de sa maman, qui viendra tout questionner en elle. Elle trouvera un appareil photo et un carnet laissé par sa mère à son attention. A l'intérieur, elle y découvrira des clichés et des réponses sur son histoire et son vécu. Alors, elle décidera de tout plaquer pour partir à la recherche de son histoire dans un petit village de l'Aveyron.

Les bruits du souvenir : déjà quel titre qui veut tout dire. Et cette couverture sublime, ajoutée à la plume de Sophie Astrabie, tous les ingrédients sont réunis pour nous faire passer un très bon moment de lecture. Les bruits du souvenir, c'est un roman qui parle de lignée de femmes, de maternité, de génération et du regard sur les femmes. C'est un roman d'une beauté et d'une douceur réconfortante, qui nous invite à revenir quelques années en arrière avec Claire. On se prend tout de suite d'affection pour ce bout de femme fragile qu'on a envie de protéger. Les retours dans le passé sont toujours très bien amenés et donnent un rythme à la lecture, amplifié par des chapitres courts et des mots toujours bien posés.

Vous l'aurez compris, j'ai adoré cette lecture qui se lit très rapidement (bien que j'ai tout fait pour la savourer au maximum). Un livre qui fait du bien au coeur dans ces temps troubles.
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Claire quitte Antoine après trois ans de relation et, peu après, perd sa mère et va certainement se retrouver sans emploi… la totale pour cette jeune femme vraiment perdue dans une vie qui semble voler en éclats.
Alors elle fait le grand saut: elle change d'identité et part en direction de la maison de sa grand-mère. Elle n'emporte presque rien avec elle, hormis le carnet de sa mère sans savoir qu'elle a sur elle la clé de son histoire et que c'est vers sa propre rencontre qu'elle se dirige…

J'ai beaucoup aimé ce roman aux chapitre courts qui en font une lecture bien rythmée. Il y a une douceur innée dans la plume de l'auteure qui est dotée aussi d'un incroyable talent pour les descriptions des émotions. J'ai découvert un livre qui transpire la bienveillance et cela m'a fait beaucoup de bien!

Quête de soi, de liberté, retour à l'enfance, maternité et secrets sont les thèmes forts de l'ouvrage.

C'est un roman qui se lit comme lorsque l'on fait une jolie balade et que l'on se laisse aller dans nos souvenirs. Une histoire touchante qui nous rappelle que chacun/e de nous à toujours le choix d'écrire sa propre histoire.
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Il y a toujours de l'impatience à retrouver la plume de Sophie Astrabie.
Après mon coup de coeur pour la somme de nos vies, elle réitère son pari avec le bruit des souvenirs.

Au décès de sa mère, Claire hérite de deux objets : un appareil photo avec sa pellicule à l'intérieur et un carnet. Deux objets flous pour une mère mystérieuse dont elle ne s'est jamais réellement senti proche.

C'est avec ses deux trouvailles qu'elle plaque sa vie parisienne sans regrets pour le charmant village de Marelle dans l'Aveyron. L'occasion pour elle de renouer avec son passé, et d'aller à la rencontre de ses souvenirs oubliés.
En quête de sens mais aussi d'identité, Claire va explorer ses racines et tenter de faire la lumière sur son histoire.

Des chapitres courts qui donnent une envie irrésistible de tourner les pages. Une histoire qui se met doucement en place mais qui finalement peut-être lue de plusieurs manières, ce qui finalement fait du lecteur le principal acteur de ce roman. Un roman avec des thématiques fortes : la quête du soi, nos racines, notre identité profonde, mais aussi les relations mères-filles et la sororité. Un joli tintamarre pour les bruits du souvenir.

A chaque nouvelle lecture, Sophie Astrabie nous éblouit d'avantage. Plus intimiste, plus profond, avec néanmoins l'humour Astrabesque (like arabesque évidemment) que j'aime tant, une très jolie lecture !


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C'est une belle découverte que je viens de faire après avoir refermé le livre de Sophie Astrabie "Le bruit des souvenir". Nous suivons Claire l'héroïne dans la quête d'identité qu'elle va entreprendre après la mort de sa mère. Elle prend une décision radicale, celle de quitter l'homme avec qui elle partage sa vie, car il ne la rend pas heureuse loin de là et il la perturbe gravement, de changer d'identité et de partir s'installer dans le village où sa mère avait ses racines. Commence pour Claire un long chemin, elle va de découvertes en découvertes, fait de belles rencontres, change de métier, et finira par trouver l'apaisement et l'équilibre qu'elle cherchait. L'auteur nous fait nous questionner sur les relations que chaque fille entretient avec sa mère, sur les regrets que l'on peut éprouver sur des attitudes et des réactions que l'on a pu avoir, sur la maternité. le lecteur navigue entre deux temporalités, la fin des années quatre-vingt et de nos jours. Les chapitres sont très courts, l'écriture poétique, les personnages sont des gens qui doutent (comme dans la si belle chanson d'Anne Sylvestre), qui se questionnent, qui essaient de savoir d'où ils viennent où ils vont et qu'elle est leur place dans ce monde. J'ai un autre livre de Sophie Astrabie dans ma bibliothèque et me semble-t-il pas je ne vais pas tarder à le découvrir.
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Dans ce roman, on suit Claire une institutrice d'une petite trentaine d'année qui semble, jusqu'ici, empêtrée dans sa petite vie. On comprend vite qu'elle reste dans son couple par conformisme, qu'elle n'est pas passionnée par son boulot et qu'elle a peur de finir comme sa mère, qui depuis son divorce de nombreuses années auparavant a oublié de vivre pour elle.

Claire passe toutes ses envies sous silence de peur, sans doute, d'être rejetée et seule, elle qui a été abandonnée par son père alors qu'elle n'était qu'une enfant.

Mais voilà, sa mère va brutalement décéder en lui léguant en tout et pour tout : un appareil photo argentique d'occasion et un journal intime débuté alors qu'elle était adolescente.

Claire décide alors de changer radicalement de vie et se lance à la poursuite du passé de sa mère. C'est, sans le savoir, une quête identitaire qu'elle va entreprendre.

Le levé de rideau sur ses secrets de famille va, en effet, plus que jamais la pousser à se réinventer dans un premier temps, pour finalement se trouver.

Sophie Astrabie aborde des thèmes essentiels tels que celui de la maternité (qu'est-ce qu'être mère ? Que devient la femme qu'on était alors ?) ; de la construction identitaire et des souvenirs (ceux que l'on garde et qui définissent notre vie et ceux que l'on laisse derrière soi).

L'écriture tient également une place très importante dans ce livre : tout commence avec le carnet d'adolescente écrit par sa mère, lequel va donner envie à Claire d'écrire, à son tour, sa propre histoire (au propre comme au figuré). C'est également l'occasion pour Sophie Astrabie d'un joli tour de passe-passe, expliqué dans la postface du livre en format poche.

L'histoire m'a emportée très rapidement même si j'ai, initialement, été un peu déconcertée par le fait qu'elle soit décomposée en une multitude de courts chapitres. J'ai, en tout cas, pris plaisir à retrouver le style doux et imagé de Sophie Astrabie. J'aime définitivement beaucoup sa façon d'écrire, que je trouve évocatrice et lumineuse tout en restant très facile à lire pour tout type de lecteur.

Lien : https://thecosmicsam.com
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