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Southern Bastards tome 4 sur 4
EAN : 9782365779111
168 pages
Urban Comics Editions (16/11/2018)
4.12/5   16 notes
Résumé :
Le Coach Euless Boss règne d'une main de fer sur la petite ville de Craw County, Alabama, et même le shérif Hardy ne peut rien contre cette tyrannie. Bien loin d'apaiser sa fureur, la défaite de son équipe face à leurs rivaux de toujours, les joueurs de Wetumka, ne fait qu'ouvrir les valves d'une violence incontrôlable. A ses yeux, les ennemis sont désormais partout, et Roberta Tubb, de retour en ville pour obtenir des réponses sur la mort de son père Earl, risque b... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
Le seul truc qui défrise, avec cette franchise, c'est l'attente entre chaque parution.
Sinon, bonheur en barre assuré.

Souvenez-vous de cette délicieuse petite bourgade de Craw County.
Sa douceur de vivre. Son amour confraternel envers son prochain.
N'était un vilain mais persistant point noir en la personne du coach Euless Boss, c'est peut-être bien ce qu'il adviendrait de ce trou perdu où violence et morts rarement accidentelles font souvent bon ménage.
Il est en délicatesse, le Boss. Tunnel of love, pas vraiment son credo.
Son équipe n'en finit pas de se ridiculiser, sur le terrain, chaque samedi de match.
Histoire de se refaire un peu l'égo, c'est d'une poigne sévère et parfaitement injuste qu'il allait, à grands coups de battes généreusement dispensés, se refaire la cerise.
Un climat légèrement oppressant, donc, auquel vient se greffer le retour d'un personnage visiblement peu enclin au tourisme local mais complètement ouvert à toute vengeance libératrice et bestiale, de préférence.

Un trait que l'on reconnaît désormais les yeux fermés. Perso, je les ouvre en grand, je trouve ça plus pratique. On aime ou on déteste. J'adore et adhère pleinement.
Des gueules aussi fracassées que les corps, le tout sur fond de suprématie locale et de vendetta privée, pas le temps de se reposer les mirettes un seul instant au risque de zapper connement un énième drame épatamment scénarisé par Jason Aaron et hypnotiquement crayonné par un Jason Latour des grands soirs, voire des petits matins, j'en sais fichtre rien.

Bref, c'est encore du très lourd et ça envoie du bois ce qui n'est jamais négligeable en période hivernale...
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Ce tome fait suite à Southern Bastards, tome 3 (épisodes 9 à 14) qu'il faut avoir lu avant. Il faut avoir commencé par le premier tome. Celui-ci comprend les épisodes 15 à 20, initialement parus en 2016-2018, écrits par Jason Latour, dessinés, encrés et mis en couleurs par Jason Latour, à l'exception de l'épisode 18, écrit par Jason Latour, dessiné, encré et mis en couleurs par Chris Brunner, comme l'avait également été l'épisode 12. le tome se termine avec la reproduction des couvertures mensuelles, ainsi qu'un texte de 4 pages écrits par Jason Latour dans lequel il revient sur l'individu qui a pour partie servi de modèle pour Earl Tubb : son propre père, décédé depuis. Il a intégré dans ce texte, l'éloge funèbre qu'il a prononcé pour son enterrement.

L'équipe de football (américain bien sûr) de Craw County s'est pris une cuisante défaite contre l'équipe de Wetumpka County, ce qui place l'entraîneur Euless Boss dans une position intenable, encre aggravée par le fait qu'il ne s'agissait que du premier match de la saison (à domicile qui plus est) et que Beau Barclay (l'entraîneur responsable des stratégies de jeu) est décédé. Euless Boss va manger au Boss BBQ et tous les clients l'encouragent pour le match à venir. D'une humeur littéralement massacrante, il va manger seul à l'arrière et exige de Shauna, la serveuse qu'elle éteigne le téléviseur qui parle de football en continu. Roberta Tubb observe la scène à travers la vitre de la devanture. le lendemain pendant l'entraînement de l'équipe, Esaw Goings vient évoquer auprès de l'entraîneur Boss, Tonganoxie, le meilleur joueur de l'équipe de Wetumpka, et l'accident qui pourrait lui arriver. Euless Boss se met dans une rage folle, indiquant qu'il est hors de question de tricher au football, et interdisant à Esaw Goings de remettre les pieds sur la pelouse.

Le même jour, le shérif Hardy a la surprise de recevoir la visite de Julie Compson, l'une des jumelles propriétaires de la principale banque de Craw County. Elle lui suggère de se rendre à une réunion avec Leddy, la femme du maire, le soir-même. Ledit soir, sur les gradins du stade, Hardy touche 2 mots de la visite de Julie Compson à Leddy, en lui disant de ne pas s'en servir comme messagère. Leddy assure que Julie a agi de sa propre initiative. le match se solde à nouveau par une défaite humiliante pour les Runnin' Rebs de Craw County. le lendemain, Eugene Maples (Materhead) vient présenter ses nouvelles propositions de stratégie de jeu à l'entraîneur Boss dans son bureau. Boss détruit le téléviseur de rage, et demande à Maples de contacter Esaw Goings pour qu'il s'occupe de Tonganoxie. L'équipe doit gagner à tout prix.

Le lecteur entame ce quatrième tome sans a priori : les 2 précédents lui ont fait comprendre que les auteurs font avancer l'intrigue principale (la vengeance du meurtre d'Earl Tubb) s'ils le veulent et que sinon ils s'occupent des personnages secondaires, tous façonnés par le milieu social dans lequel ils évoluent, et par les valeurs culturelles de ce microcosme. Il éprouve quand même une réelle satisfaction quand il voit, dans le premier épisode, que Roberta Tubb entame les manoeuvres d'approche de sa cible, même si elle ne prend pas encore contact avec lui. Ayant accepté la structure du récit, il se demande même quel autre personnage va bénéficier d'un chapitre pour raconter son histoire personnelle. Il commence par retrouver les personnages ayant déjà eu droit à cette mise en lumière : Euless Boss, Esaw Goings, Eugene Maples, Piney Woods, le shérif Hardy. Il se dit qu'il va s'agir des nouveaux personnages, soit le joueur Tonganoxie, soit le colonel Quick McKlusky, l'inénarrable entraîneur de l'équipe de Wetumpka. Contrairement à toute attente, le seul épisode consacré à un personnage en particulier concerne Roberta Tubb, et en plus ce n'est pas Jason Aaron qui l'a écrit.

Le lecteur découvre donc avec surprise que c'est Jason Latour qui évoque la jeunesse de Roberta Tubb. Malgré toute la confiance qu'il peut accorder à l'autre cocréateur et coauteur de la série, il s'attend à une inévitable baisse de tension et diminution du degré de subtilité. le scénariste entremêle des scènes du passé de Roberta (enfant puis adolescente) avec l'interrogatoire qu'elle s'apprête à mener. Au fil des pages, le lecteur s'aperçoit qu'il se crispe progressivement parce que ce qu'il craignait se produit : Roberta Tubb est elle aussi un pur produit de Craw County, tout autant modelée par ses us et coutumes, même si elle y a résisté en adoptant un comportement à l'opposé pour certaines choses, en réaction. Dans le même temps, il éprouve une sensation qui le rassérène : Latour sait écrire le personnage et ne perd rien en subtilité. Tout aussi impeccable, Chris Brunner reste dans la tonalité graphique de Latour. Ses dessins ont tendance à comporter un niveau de détails un peu plus important, et ils ne transmettent pas la rage primordiale de ceux de Latour. Mais le lecteur n'éprouve pas la sensation d'avoir changé de bande dessinée. Les cases restent bien dans le registre de l'efficacité avant toute considération esthétisante, avec ce qu'il faut de crudité. La violence se déchaîne en toute brutalité, sans afféterie, sans romantisme.

Le temps est donc venu d'intégrer les différents personnages présentés précédemment dans l'intrigue principale. En conséquence, le lecteur voit Roberta commencer à mettre en oeuvre sa vengeance. Il se passe bien d'autres choses : Leddy continue d'intriguer et de manipuler les individus sur lesquels elle a la main. Julie Compson renoue avec le shérif Hardy. Eugene Maples fait de son mieux. Esaw Goings continue de se démener sans réussir à comprendre comment le vent tourne. Euless Boss commence à payer le prix. La difficulté d'entremêler plusieurs fils narratifs est d'arriver à gérer les points de jonction entre eux. Aaron ne peut pas s'empêcher de mettre en scène un face-à-face entre Roberta Tubb et Euless Boss, avec des rebondissements très gros, éloignant le récit du naturalisme poisseux. Dans le même temps, Jason Latour exagère également les dimensions de la batte de baseball dont s'est servi Euless Boss dans le premier tome. le lecteur se souvient aussi que cette même batte avait acquis une dimension mythologique ou au moins métaphorique. de ce point de vue-là, la représentation de Latour reste cohérente, et le face-à-face s'inscrit dans le même registre.

Dès la deuxième séquence, le récit revient au football. Dans le premier tome, le lecteur avait pu percevoir au travers des dessins de Jason Latour l'investissement total des spectateurs dans cet affrontement ritualisé, l'implication émotionnelle sans retenue dans les attaques entre joueurs, dans la domination d'une équipe par une autre. La narration visuelle mettait à nu la ferveur de la foule, aussi forte qu'une transe religieuse. Les dessins n'ont rien perdu de leur apparence rugueuse et brut ; ils se sont même encore un peu plus radicalisés. Il ne s'agit plus des limites techniques de l'artiste, mais d'un enjeu vital de raconter une histoire avec les tripes. le lecteur ne peut plus imaginer cette histoire racontée avec des dessins plus descriptifs et plus léchés qui diminueraient la crudité des émotions des personnages, leur rage, leur frustration. Aucun d'entre d'eux n'est satisfait de son sort : chacun d'entre eux souffre de sa condition, certains résignés comme le shérif Hardy, d'autres carburant à la rage, comme Euless Boss ou Esaw Goings.

Dès la deuxième séquence, la déconfiture d'Euless Boss est assurée. Soit l'équipe perd et il se retrouve dans une position intenable, soit l'équipe perd et il doit s'assurer de gagner par la suite en recourant à des moyens trahissant l'esprit du sport. Bien sûr pour Euless Boss, il est impensable de ne pas mouiller le maillot, de ne pas s'impliquer, de ne pas payer le prix. Il doit être en tête de ligne pour les basses besognes, comme une sorte de compensation pour sa compromission. Contre tout ce que lui montre le récit, le lecteur ne peut pas s'empêcher de continuer à éprouver de l'empathie pour cet individu obstiné au-delà de toute raison qui fonce droit dans le mur, pour cette brute qui respecte un code de conduite très personnel (et très élastique). Dans le même temps, il éprouve un pincement au coeur en constatant que Roberta Tubb est également un pur produit de Craw County, une bâtarde du Sud, utilisant les mêmes méthodes que les autres. Il regarde le cercle vicieux du sang et de la violence se perpétuer sans fin, les mêmes causes produisant les mêmes effets. Il se rend compte que Jason Aaron a bel et bien transposé le principe de la série Scalped d'une réserve indienne à une petite ville du Sud. Dans le même temps, si la dynamique est la même, les individus sont différents, et l'histoire a une autre saveur. Ce n'est pas une redite ; ce ne sont pas les mêmes individus. Par exemple le lecteur ne peut pas retenir un sourire en voyant apparaître le colonel Quick McKlusky. Il s'agit à la fois du propriétaire de l'équipe des Locus Fork Superbolts, et de l'entreprise de vente de voitures neuves et d'occasion. Pour un lecteur de comics, la ressemblance avec Stan Lee (version années 1980) est criante, et sa façon de s'exprimer en inventant des termes ronflants évoque aussi le bagout De Lee. Il est également pris par surprise avec la réaction de Tonganoxie quand on vient lui casser les genoux.

Ce quatrième tome donne au lecteur exactement ce qu'il attendait. Dans le même temps, il lui rappelle qu'il s'agit pour partie d'une métaphore, mais aussi d'un quasi reportage sur les conditions de vie dans cette partie du Sud, et encore d'une étude de caractères pénétrantes, dans un récit qui prend aux tripes avec des dessins sans fard ni artifice, sous la forme d'une histoire percutante et haletante.
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Me voici de retour à Craw County, petite bourgade sympathique remplie de bas de plafonds de l'Alabama qui ne vivent que pour les matches de football américain que jouent leur équipe, les Runnin Reb's.

Ici, le foot est religion et perdre est indécent. Là, pour le moment, le coach Euless Boss mange son pain noir car l'équipe des Reb's se la fait mettre profond par les autres équipes avec des écarts de scores énormes.

Alors Euless Boss va prendre le taureau par les cornes et passer encore un peu plus du côté obscur de la Force, chose que je ne pensais pas possible tant il avait touché le fond depuis longtemps.

Durant quelques pages, j'ai pensé qu'il y avait encore un peu de morale sous sa casquette, un peu de décence derrière sa gueule et son sourire cassé, mais non. La fin justifie les moyens et il y va, déclenchant par là une petite guerre avec la ville concurrente.

Pour les dessins, on aime ou on n'aime pas. Je ne les aime pas mais ils collent bien aux personnages qui gravitent dans ces albums. Les couleurs, dans les tons rougeâtres, illustrent bien aussi tout le sang qui coule.

Les auteurs avaient mis un peu de côté l'arc concernant la vengeance de Roberta Tubb et s'étaient attaché à nous faire découvrir les personnages secondaires, une belle bande de sans-couilles, d'excités, de limités du ciboulot bref, des électeurs qui choisiront Trump sans aucun doute.

Euless Boss est le chef, le messie, le tout-puissant, celui qui peut tuer impunément, au milieu de la rue s'il le veut, sans que personne ne moufte car ils auraient trop peur de perdre le coach qui fait gagner leur équipe…

Oui, mais tout ce que sait faire Euless Boss, c'est hurler sur ses joueurs et les traiter de tafioles. le cerveau, c'était Coach Big, un Noir aveugle… et il est mort.

Toujours aussi violent, ce quatrième tome montre que toute personne issue du comté de Craw County a la mentalité des gens qui lui colle aux basques, même si cette personne a quitté la ville, même si elle a tenté de prendre ses distances. Craw County, c'est un truc qui coule dans les veines, qui est dans les gènes.

Après, plus possible de revenir en arrière, tout le monde est allé trop loin, tout le monde a franchi la ligne de non-retour, soit en tuant ou esquintant son prochain, soit en regardant les autres faire et en détournant le regard ensuite, avec le silence qui va avec.

Vivement le tome 5 pour voir quelle volée de bois vert les auteurs vont nous envoyer dans les gencives. Ça risque encore de saigner.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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[extrait] « Southern Bastards sent la transpiration d'un vestiaire d'après-match. Ça fait le bruit d'un nez qui casse après qu'on ait pris un bourre-pif. Ça a le gout d'une bière éventée dans un rade paumé. Southern Bastards c'est la texture rugueuse du cuir usé d'un vieux ballon de football… Bref, Southern Bastards ne verse jamais dans l'image idyllique d'un Kansa coeur de l'Amérique. Disons que l'office du tourisme ne remerciera certainement pas Jason Aaron ni Jason Latour (et Sebastian Girner, au poste d'editor sur Southern Bastards). Ici, on n'est plus dans la série Car les trois compères non content de raconter une histoire originale dans le milieu du sport, ils nous dressent le portrait d'hommes corrompus, pourris et lâches. Mais ce sont de magnifiques salopards, ces « bâtards »-là ! Euless Boss, en tête, superbe et minable tyran, souverain d'un royaume décrépi, entraineur d'une équipe de foot en pleine déliquescence au championnat. Autre figure important de Southern Bastards : Earl Tubb, vu dans le tome 1 de Southern Bastards, assassiné par Boss. Ce tome 4 Southern Bastards vient affiner le personnage, beaucoup moins propre qu'on ne pouvait l'imaginer. »
Lien : https://topcomics.fr/souther..
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Le suite de cette magnifique série sur le football américain dans l'amérique profonde.
Ce tome encore plus que les autres est violent et sombre, mais la complexité des personnages atténue la sensation.
Dommage que le chapitre 18 n'ai pas été réalisé par le même dessinateur, cela gâche un peu l'unité de l'ensemble mais ce sont les aléas de la BD américaine.
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critiques presse (1)
BulledEncre
03 décembre 2018
Les auteurs forcent le trait pour montrer les aberrations et la bêtise humaine, et offrent par ce biais une lecture captivante d’une partie de l’Amérique d’aujourd’hui.Cette caricature, certainement pas très loin de la vérité, est bien servie par le trait rugueux de Jason Latour qui frôle parfois le grotesque et fait écho aux différentes situations du récit.
Lire la critique sur le site : BulledEncre
Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Quand je mettrai la main sur Materhead, je vais lui faire tellement de nouveaux trous du cul qu'il saura même plus par ou chier.
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Videos de Jason Aaron (16) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Jason Aaron
1,2,3 BD ! Chez les libraires ! vous présente les BD coups de coeurs de Dominique et la librairie Excalibulle à Brest. Once Upon A Time At the End of the World scénariste : Jason Aaron dessinateurs : Tefenkgi, Nick Dragotta traducteur : Julien di Giacomo chez Urban Comics Petit pays de Marzena Sowa et Sylvain Savoia chez Dupuis dans la collection Aire Libre Mardival par Yann Cozic chez Glénat En bonus Pilote - la naissance d'un journal Christian Kastelnik, Patrick Gaumer, Clément Lemoine et Michel Lebailly édition La Déviation
1,2,3 BD c'est le jeudi à 18h30 sur la chaine Youtube et les RS. Trait pour Trait parcourt toujours les librairies de France pour des conseils de lecture avec le soutien des librairies Mine de Rien, Alfa BD, Sanzot, Krazy Kat/ Manga Kat, la planète dessin, Alès BD, le Bidibul, L'octobulle, Comic(s)Trip et Popup&co! #GALERIE #BD #POPCULTURE #BANDEDESSINEE #COMICBOOKS #9EMEART Retrouvez 1,2,3 BD ! Chez les libraires! sur : https://www.youtube.com/TraitpourtraitBD https://www.facebook.com/TraitpourTraitBD https://www.instagram.com/traitpourtraitbd/ https://twitter.com/TPTBD
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