A propos de réduire les antibiotiques, garantir la santé et le bien-être animal un dilemme ?
« Les standards, notamment les poulets standards et les dindes , les 22 au mètre carrés, c’est une hérésie. Les volailles et les ports sont deux insuffisants respiratoires majeurs. S’il y a bien deux espèces qu’il ne fallait pas mettre à l’intérieur, c’est bien celles là. .. Moi, j’aimerai bien leur monter que si on change les conditions d’élevage, on peut se passer des trois-quarts du médicament ».
Témoignage d’une vétérinaire.
La gestion adaptative est un processus flexible de prise de décisions qui est ajustable au regard des incertitudes, au fur et à mesure que les résultats des actions de gestion et en autres événements sont mieux compris. Un suivi attentif de ces résultats permet à la fois de faire avancer la compréhension scientifique et d’aider à ajuster les politiques ou les interventions dans le cadre d’un processus d’apprentissage itératif….
Elle est particulièrement utile dans le cas de systèmes naturels qui répondent aux actions intentées, mais pour lesquels des sources d’incertitude existent quant aux processus qui les gouvernent et à l’effet des actions mises en place. Ce processus adaptatif s’applique dans la gestion des maladies de la faune sauvage et permet d’améliorer voire de réorienter l’es scénarios de gestion …
Cette notion doit être bien comprise, non seulement par les autorités, mais également par l’ensemble des parties prenantes, car ces dernières sont souvent à l’origine de fortes pressionssr les gestionnaires, pour adopter des mesures rapides, sans chercher à comprendre ensuite les éventuelles réorientations nécessaires.
A propos de la lutte contre la pullulation du campagnol terrestre,
Constat du fait que l’action collective n’émerge pas « naturellement » même si un intérêt commun apparaît comme évident, ( ici pour la santé humaine, la santé animale, la santé de l’environnement), et que les incitations sélectives positives ne sont pas efficaces pour initier l’action collective.
Théorie de l’iceberg de l’action collective : les structures formelles ( telles que les contrats) ne sont que la partie émergée de l’iceberg de l’action collective et ne peuvent exister que si elles reposent sur des structures informelles préexistantes ( relations de confiance, cohésion, liens faibles), partie immergée de l’iceberg. Comme l’iceberg, sans la base de la structure, à savoir les liens informels, les structures formelles ne peuvent t émerger durablement.