Citations de K.F. Breene (62)
J'ai dit que ça coupait la circulation sanguine jusqu'à mes précieuses et que ça me comprimait un peu la poitrine.
-tu lis trop.
-C’est possible, ça ?
-Tu rêvasses trop, alors.
Je hausse les épaules
- Ça, c’est probable.
- Parfois, si l'on veut protéger quelque chose, c'est à découvert qu'il sera le mieux caché.
- Donc non, ton problème n'est pas d'être défiguré : tu as peur que la laideur de ta personnalité soit la seule chose sur laquelle on te juge.
- J'ai entendu dire que, parfois, ça demande plus d'efforts d'être un con que d'être gentil, commentai-je doucement.
- Bienvenue en enfer, princesse.
- Cueillir quelques herbes, ce n'est pas vraiment volé, mais des intrusions répétées méritent l'emprisonnement. Tu es condamnée à une éternité de prison.
- Ce n'est pas parce qu'on naît pauvre qu'on naît idiot.
- D'ici à ce que tu arrives jusqu'à moi, ce sera beaucoup plus qu'une plante point on sait toi et moi qu'elle partage un réseau de Racine. Si j'en écrase une, elles sentiront toute la douleur. Elle se fâneront toutes si j'en détruit suffisamment. Je sais combien il en faut.
- Où comptes-tu aller ? Si tu retournes au village, je massacre tout le monde, c'est ce que tu veux ? Ta vie est en sursis, Finley.
Tu as volé sur cette terre, et maintenant, tu m'appartiens.
Je n'étais pas une marionnette avec laquelle il pouvait s'amuser. Je n'étais pas une servante qu'il pouvait malmener.
Je n'avais aucun maître et je n'en voulais pas.
Qu'il me tue, mais il ne me forcerait pas à lui livrer mes secrets.
- La vie est une bataille qu'on ne peut pas gagner.
La question est alors : est-ce qu'on préfère partir sans douleur, où se battre jusqu'à notre dernier souffle ?
Je choisis de me battre.
- Je ne suis pas un démon, princesse, je peux te l'assurer.
C'était la panique qui conduisait le char, et les chevaux étaient ivres.
(En parlant de Hannon)
Il était le phare de cette famille dans une éternelle tempête.
Le magnifique et terrible œil doré se reposa sur moi pour me jauger, ignorant mes défenses pour m'évaluer.
Je le sentais, c'était comme s'il m'avait arraché mon âme et qu'il l'avait placée sur une balance.
(en parlant de la bibliothèque)
Après une journée difficile ou ennuyeuse, ou même après n'importe quelle journée, je pouvais venir ici et m'enfuir dans un autre monde, vivre une autre vie.
Ce sentiment presque bestial plongé au fond de moi et faisait ressortir un désir brut dont je n'avais aucune envie de me détourner.
Ce maudit bouleau partirait rejoindre son cousin chez la déesse si j'avais mon mot à dire.
On prend ses ovaires et on se prépare, les amis, ça va se corser.