Citations de Isabelle Fourié (69)
Il n'y a pas d'âge pour mettre un peu de merveilleux dans son coeur.
Jolabokaflod est une tradition singulière et particulière à l'Islande. En effet, après le repas du réveillon chacun reçoit un roman en cadeau. Une fois la fête terminée, chaque membre de la famille peut alors filer sous sa couette pour lire, tout en buvant un chocolat chaud.
Les Islandais adorent les célébrations de fin d'année. A tel point qu'elles commencent le douze décembre et de terminent le six janvier. j'ai cru comprendre qu'ils attendaient des sorcières ou des trolls farceurs et qu'ils poussaient le truc à en avoir un nouveau chaque jour. Pire que tout, ces traditions millénaires attirent les touristes aussi sûrement que les aurores boréales.
De loin, je préfère les imperfections. Les marques que la vie entaille si profondément en vous qu'elles vous rendent uniques, indispensable à la diversité humaine.
Les dommages collatéraux ne sont pas une option dans notre guerre. Ils seront inévitables. Une Assassine ne craint rien, surtout pas de perdre son âme.
Au premier regard, j'aurais dû fuir, car dorénavant il est trop tard. Elle est ma vie et, sans elle, je ne suis qu'un mort en sursis.
Aimer, c'est aussi s’accepter tel que l'on est
Il grimaça de douleur, mais afficha ensuite le visage serein de celui qui est apaisé par la simple présence de l’être aimé. »
«Où que tu ailles, je te suivrai, y compris dans la mort
Elle est l’air que j’inspire, la noirceur que j’expire.
Tu es peut-être bien une Assassine, mais je suis un Osiris. Tu te crois prête pour affronter un Sphinx, seras-tu capable de braver un de leurs maîtres ?
Tous. Je vais leur faire payer, à tous. Ce que j’ai subi. Comment je l’ai subi. Surtout, par qui je l’ai subi. Je suis un requin. Je suis une Assassine.
Notre échange a tout du combat entre deux boxeurs, nous nous rendons chaque coup donné.
Une telle passion, une telle fougue, me terrasse.
Ses baisers ne ressemblent à aucun autre.
Ils ont la saveur du merveilleux.
Un sentiment inconnu et désagréable s’installe au creux de ma poitrine. Un manque. Un doute. Pire qu’une angoisse. Le vide. Je suis vide d’elle et cette sensation est atroce. Mon allure me mène jusqu’aux autres, mais je suis absent. Loin. Machinales, mes réponses font sourire. Tel un automate, mes membres bougent. Je serre des mains, fais des câlins aux enfants, embrasse mes belles-sœurs. Cependant, je ne suis pas là. Mon cœur est inexistant. Peut-être est-ce la raison de mon manque de compassion ? Sinon pourquoi continuerais-je à me comporter en salaud en sa présence ?
L'amour, ce ne sont ni des mots ni des actes. […] L'amour, c'est choisir le bonheur de l'autre avant le sien.
Parce que vivre, c'est aimer. Aimer, c'est prendre des risques.
- Je t’aime […] Envoyés en soutien lors d'un débat, chuchotés au creux d'une oreille, criés contre vents et marrées.... Peu importe l'endroit.
Ils sont le langage du cœur.Non pas l'organe qui bat au creux de notre poitrine, mais celui qui donne une consistance matérielle à notre âme.
Parce que vivre, c'est aimer. Aimer, c'est prendre des risques. Ce n'est pas en protégeant mon cœur d'un quelconque attachement que je l'empêcherai de souffrir.
-Tu dois réaliser qu'un traumatisme, c'est personnel.
Ni confus. Ni perdu. Enfin à bon port, je vais devoir résoudre mes problèmes d'engagement parce que de toute évidence, mon coeur, mon âme et mon corps se liguent contre moi. Tous ont décidé qu'Emily et moi sommes liés.
-Ben-
Si tu veux fuir, tu peux. La condition est de fuir avec moi.
- Ben-