Citations de Isabelle Fourié (69)
Au premier regard, j'aurais dû fuir, car dorénavant il est trop tard. Elle est ma vie et, sans elle, je ne suis qu'un mort en sursis.
L'amour, ce ne sont ni des mots ni des actes. […] L'amour, c'est choisir le bonheur de l'autre avant le sien.
Parce que vivre, c'est aimer. Aimer, c'est prendre des risques.
- Je t’aime […] Envoyés en soutien lors d'un débat, chuchotés au creux d'une oreille, criés contre vents et marrées.... Peu importe l'endroit.
Ils sont le langage du cœur.Non pas l'organe qui bat au creux de notre poitrine, mais celui qui donne une consistance matérielle à notre âme.
Parce que vivre, c'est aimer. Aimer, c'est prendre des risques. Ce n'est pas en protégeant mon cœur d'un quelconque attachement que je l'empêcherai de souffrir.
-Tu dois réaliser qu'un traumatisme, c'est personnel.
Ni confus. Ni perdu. Enfin à bon port, je vais devoir résoudre mes problèmes d'engagement parce que de toute évidence, mon coeur, mon âme et mon corps se liguent contre moi. Tous ont décidé qu'Emily et moi sommes liés.
-Ben-
Si tu veux fuir, tu peux. La condition est de fuir avec moi.
- Ben-
-Ôte ce sourire de ton visage!
-Et quel numéro a-t-il celui-là ?
-C'est le 3, arrogant de chez Campbell!
-Emily & Ben-
Quand ses lèvres touchent les miennes, elles ressemblent aux pages d'un livre qu'on ouvre pour la première fois. Lisses et douces, elles dessinent un monde jusqu'alors inconnu.
-Ben-
Cette fille n'est pas charmante ni quelconque. Pas intéressante ni barbante. Elle est elle, unique.
-Ben-
Pour elle, j'apprendrai l'infinie patience.
-Ben-
Sans elle, je suis certain que mon coeur s'arrêterait de battre. Sans elle, mon corps oublierait le désir. Sans elle, mon âme ne serait que champ de bataille dévasté (...)
-Ben-
Parce que vivre, c'est aimer. Aimer, c'est prendre des risques.
-Ben-
Avec lui, chaque baiser est une exception, une œuvre d'art, une pièce unique. Un quelque chose qui vous tombe dessus une fois dans une vie.
-Emily-
Car Mayra m'aime. Sa voix douce me le dit. Sa colère me le crie. Son corps me le montre. Son cœur me le prouve. Et son âme... Son âme me guérit en me rejoignant dans ma solitude.
-Kingston-
Apaisante, la singularité de son cortex m'offre le refuge dont tout guerrier a besoin. Indispensables, ses sarcasmes remettent en question le bien-fondé de mes choix. Involontaire, son humour m'apprend à sourire. Inflammables, ses regards définissent avec candeur les limites de ma sauvagerie. Implacable, son amour m'engloutit, me noie, m'assujettit.
-Kingston-
Tout en elle m'apaise, m'enflamme, m'attache, me libère.
-Kingston-
Avant même de le voir, je visualise sa présence tout près de moi. Sans le toucher, je ressens sa chaleur. Sans prendre de profonde inspiration, je reconnais son odeur de musc et d'épicéa. Sans même qu'elles ne se posent sur les miennes, je déguste la flaveur de ses lèvres. Sans l'écouter, j'entends les battements de son cœur.
-Mayra-
Et je tombe, aspiré par la sérénité qu'elle provoque. (...) Tout en elle me calme, me rassure.
-Kingston-