Guy Finley

La véritable nature de ce que nous appelons le - train-train quotidien - n'est rien d'autre que l'instance avec laquelle notre esprit nous répète qu'il aspire à un changement.

La nature ne se répète jamais à l'identique : ni les saisons, ni les mouvements des astres qui les conditionnent, ni le processus éternel de l'évolution.

Si notre existence a des allures de routine, c'est parce que nous suivons aveuglement le même type de pensées. Accuser les circonstances extérieures de nous avoir attires dans une ornière revient à accuser la télévision de nous terrasser d'ennui à force de ne programmer que des rediffusions.

Souvenez-vous de cce qui est vrai, agissez en fonction de la vérité, et vous obtiendrez le cadeau le plus précieux qu'un être humain puisse espérer : une relation consciente avec cette Présence intérieure dont la nature céleste n'est autre que le courage.

N'oubliez jamais que les situations non désirées sont toujours accompagnées par deux forces néfastes : le sentiment d'impuissance et l'impression de perdre le contrôle.

Sans prévenir, les vieilles plaies se rouvrent, réveillées par de nouvelles déceptions. Nous avons beau nous efforcer de pardonner et d'oublier, nous demeurons impuissants face à ces souffrances qui nous rongent l'âme.

Et d'où que vienne le coup, il est également inévitable que votre sensation de - brulure - ne disparaisse jamais.

Votre Moi originel est incapable de s'écarter de la justice, de la beauté et de la vérité, pas plus que le soleil ne peut s'abstenir de se lever tous les matins.

Personne, en effet, ne souhaite révéler aux autres le fardeau qui pèse sur ses épaules.

refusez de vous livrer pieds et oings liés à cette part de vous-même qui aime se plaindre se plaindre sans jamais agir pour changer les choses.

Chaque fois que l'anxiété vous précipite dans une corse folle, rappelez-vous que votre objectif est la sérénité - cette paix de l'esprit que votre Moi originel atteignait en songeant simplement que rien ne vaut l'instant présent. Ayez donc le courage de mettre ce savoir en pratique : ralentissez le rythme de votre vie. Osez résister au flot impétueux des pensées et sentiments, au lieu de les laisser vous emporter au loin.

Rappelez-vous qu'en traversant la vie à cent kilomètres heures, en brulant les étapes, vous allez plus vite, certes, mais vous n'arrivez nulle part !

Les sages de toutes les époques - ils furent longtemps appelés les - Amis de la vérité - ont compris que plus nous passons de temps en compagnie d'idée nobles et élevées, plus nous nous imprégnons de leur vérité. En accueillant de tels - AMIS - dans notre existence quotidienne, nous acquérons le pouvoir de - déplacer les montagnes - car à leur précieuses leçons, nous ne commettons plus d'erreur de prendre une modeste taupinière pour une muraille infranchissable.
Ces amis dégagent les obstacles qui se dressent sur notre route, et nous font accéder à un niveau d'esprit qui dissipe es ombres imaginaires et les pièges de l'inconscient.

Nos priorités et nos choix quotidiens reflètent directement notre échelle de valeurs à l'instant présent.
Cela signifient que notre expérience de la vie - peine, plaisir, obscurité, clarté - est le parfait reflet de ce que nous attendons de la vie. Les gens qui veulent continuer à se considérer comme des victimes mépriseront ce genre de variétés : en effet, il est beaucoup plus facile d'accuser les circonstances extérieures que de modifier le regard que nous portons sur elles.
Lorsque vous vous serez convaincu de cette vérité, les limites qui restreignent aujourd'hui votre existence voleront en éclats.

nous devons apprendre à renoncer au passé pour grandir.

L'amour ne meurt jamais, il change seulement de forme et d'expression.

Qui va lentement va surement !

Nos priorités et nos choix quotidiens reflètent directement notre échelle de valeurs à l'instant présent.

Nous savons déjà presque tous, de manière intuitive, que l'amour, la patience, la gentillesse et la compassion émanent d'un ordre des choses supérieur à celui qui engendrent des états d'esprits négatifs tels que la haine, la frustration, le ressentiment et la peur.

Laisser une personne pressée vous communiquer son état d'esprit anxieux revient à vous laisser convaincre par votre cheval de porter la selle sur votre dos.