Citations de Guy Finley (202)
Notre idée du bonheur est le plus souvent la cause même de notre malheur.
Vous ne pouvez éprouver le besoin d’être libre et heureux sans qu’il existe déjà en vous une source de liberté et de bonheur capable de combler ce besoin.
Il est temps de lever les yeux.
Une lampe sans ampoule vaut un seau sans fond.
De même, cette vie est vide sans sentiment du sacré.
Le divin est partout présent.
Pourquoi attendre d'avoir touché le fond ?
On peut toujours avoir un aperçu de ce qui est supérieur
mais il faut se souvenir de regarder dans la bonne direction.
regardez MAINTENANT.
Notre souci des apparences nous persuade que tous nos efforts ont été vains si personne ne se rend compte des efforts que nous déployons ou n’entérine nos découvertes intérieures. Rien ne s’éloigne davantage de la réalité.
Et si la seule raison pour laquelle votre vie ne va pas comme vous le voulez tenait au fait que vous cherchez le lever du soleil à l'ouest ?!
Peut-être que le seul véritable ennemi se cache dans ce que je ne veux pas connaître de moi-même.
Cessez de vous accrocher à ce vieux rêve inutile qui dit que votre vie s'améliorera si vous courez assez longtemps.
Songez un instant à ce que serait votre vie si vous viviez dans un monde où la réalité et votre bonheur étaient une seule et même chose, où tout ce qui se passait dans votre vie était exactement comme vous le souhaitiez. Imaginez cela !
c'est le moment de prendre votre vie en main.
Tenir compte de l'opinion des autres, c'est comme croire que l'on peut
ressentir la chaleur de son pull même si c'est un autre qui le porte.
La vraie certitude est l'absence du faux doute de soi.
La réalité, c'est que nous ne sommes jamais trahis par une situation ni par une personne que nous croyons forte, mais qui s'avère être faible, cruelle et sournoise.
Non seulement vous avez été créé pour changer, mais vous êtes libre de le faire chaque fois que vous le désirerez !
Si la vie vous jette par terre, levez les yeux : il y a des étoiles au-dessus de vous
Il existe toutefois une troisième issue, un choix supérieur qui mène à un niveau de vie plus élevé où il n'existe ni confusion, ni conflit, ni crise. j'ai appelé cette orientation supérieure "décision d'apprendre"
- (...) qu'entendez-vous par "décision d'apprendre"?
- Décider d'apprendre c'est d'abord reconnaître sincèrement que notre approche actuelle devant nos problèmes est inefficace. (...) pour apprendre à vivre sans problème récurrents, il faut d'abord cesser de faire confiance à nos réactions habituelles qui nous disent comment nous en élever
- Comment la perte de confiance en moi-même peut-elle être considérée comme un gain nécessaire?
-Ce n'est pas parce-que vous ne faites plus confiance à vos réactions échauffées que vous devez vous dénigrer, de même que vous ne vous traiteriez pas de poltron si vous vous écartiez du passage d'un camion fou.
-Oui mais qu'est-ce que s'écarter d'un camion a à voir avec le fait de ne plus me fier à mes réactions?
-(...) Regardons d'un peu plus près. Nous cédons le passage au camion fou parce que nous savons fort bien que cette machine est dénuée d'intelligence. Nous comprenons qu'elle ne peut reconnaître le danger que représente sa nature non dirigée. Maintenant, suivez-moi bien. nous devons apprendre à laisser nos réactions habituelles nous dépasser parce que à l'instar du camion fou, elles sont mécaniques. Or comme nous savons que les machines ne peuvent pas apprendre cela signifie que nous n'apprendrons jamais ce qui est vraiment nécessaire à notre libération tant que nous laisserons nos réactions nous guider.
- je n'avais jamais pensé que mes réactions pouvaient m'empêcher de grandir. Par quoi les remplacer ? Si je ne réagis pas à mes problèmes à mesure qu'ils surgissent, que dois-je faire dans les moments de crise ?
- Ne voyez-vous pas ? Vous apprendrez! Apprendre signifie découvrir. Maintenant apprenez ceci : les réactions ne révèlent jamais rien, elles masquent plutôt. Quand vous demeurez sous l'emprise d'une réaction, vous limitez vos choix à la seule direction que cette réaction vous indique. le point clé est le suivant : aucune orientation donnée par une réaction ne peut vous mener plus haut que le niveau de cette réaction. Si ces réactions mécaniques étaient aussi savantes qu'elles le prétendent, nous ne reproduirons pas les modèles de comportement qui nous entraînent toujours dans les mêmes problèmes. Cela devrait être clair. Nos réactions mécaniques sont à la base de nos problèmes continuels et non une solutions à ces problèmes.
- (...)Qu'arrivera-t-il si je laisse aller mes réactions habituelles et suis incapable d'apprendre ce que je dois faire ?
- Ne pensez plus à cette fausse inquiétude de "l'esprit du moi". Vous apprendrez. Tout le processus de libération de soi-même par le biais d'un apprentissage supérieur est régi par des lois spirituelles précises. Se détourner des réactions mécaniques de "l'esprit du moi" équivaut à se tourner dans la direction du "libre esprit". Vous verrez que votre vraie nature est un terrain d'apprentissage interminable, une possibilité infinie de découverte de soi-même.
Vous pouvez cesser de vouloir transformer les autres, car votre problème avec les autres, c'est vous.
La véritable nature de ce que nous appelons le - train-train quotidien - n'est rien d'autre que l'instance avec laquelle notre esprit nous répète qu'il aspire à un changement.
Il n'est ni naturel ni nécessaire de souffrir de ses erreurs Les punitions que nous nous infligeons
ne prouvent qu'une chose : une part de nous-mêmes préfère souffrir à cause d'une erreur passée, plutôt que de chercher comment elle a pu se produire.
« Dieu ne nous prend jamais rien sans nous donner mieux en échange. »
« Vous avez reçu un fabuleux héritage, le droit, conféré par votre naissance, d’être libre. »
« Aucun état négatif, aucun sentiment de faiblesse, aucune pensée défaitiste ne vous a été donné à la naissance. »
C'est une chose de chérir la liberté et de la désirer; c'est une tout autre paire de manches de mobiliser le courage nécessaire pour briser vos entraves !
Votre expérience du monde est déterminée par la façon dont vous le voyez, ce qui explique pourquoi, lorsque vous modifiez votre perception de vous-même, vous transformez aussi le monde dans lequel vous vivez.