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EAN : 9782350877471
384 pages
Editions Héloïse d'Ormesson (02/09/2021)
3.71/5   36 notes
Résumé :
Qui se souvient de Lamartine ? Qu’il a été candidat à la première élection présidentielle française ? Qu’on lui doit le suffrage universel, l’abolition de la peine de mort en politique, la seconde abolition de l’esclavage, la conservation du drapeau tricolore et tant d’autres choses encore ?
À la parution des Misérables, en 1862, Marianne de Lamartine, la discrète épouse du poète, qui a parfois tenu la plume pour lui, décide de prendre la parole pour défendr... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (23) Voir plus Ajouter une critique
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La romancière Sylvie Yvert s'incarne en Elisa de Lamartine, anglaise née Mary Ann Elisa Birch, plus connue comme Marianne de Lamartine … dont le buste serait devenu le symbole de notre république lors de la révolution de 1848.

J'avoue rester songeur si notre symbole national fut emprunté à la perfide Albion, mais après tout quand je vois le ministre délégué à la Citoyenneté présenter son projet « nous sommes Toutes Marianne » avec mission d'accoucher d'une figure plus « inclusive et transgenre » pour orner les timbres-poste, je me dis que le choix improbable de nos aïeux était sage et séduisant.

« Au moins le souvenir » fait revivre avec passion Alphonse de Lamartine en se penchant plus particulièrement sur son rôle politique et les vingt années 1830-1850 qui virent le diplomate, après la mort de leurs enfants, s'orienter vers la politique et l'histoire en publiant « L'histoire des Girondins ». Ce qui lui façonna une image « républicaine et socialiste » et le propulsa au premier rôle lors de la chute de Louis Philippe en 1848 et la proclamation de la seconde république.

Hostile au bonapartisme, le romantique suranné fut écarté et oublié sous le second empire et mourut dans la misère.

En quatre cent pages, la romancière publie une biographie historique et littéraire qui rappelle ce que fut l'époque dans laquelle vécut Lamartine (né en 1790 à Mâcon ; mort en 1869), analyse l'évolution de sa pensée politique et rappelle la richesse et la variété de l'oeuvre de celui qui fut poète, romancier, historien et … perpétuellement contraint de publier pour régler ses dettes.

Au fil des chapitres le lecteur rencontre Chateaubriand, Dumas, Hugo, Sand, Thiers et se régale de multiples anecdotes.

J'ai autant apprécié cet ouvrage que le précédent « Mousseline la sérieuse ». Sylvie Yvert s'appuie sur de solides bases historiques et rédige d'une plume élégante qui restitue le style charmant et un peu désuet du XIX siècle.

Ceci incite à relire Graziella et donne envie de visiter Milly pour retrouver « Laurence » et « Jocelyn », l'abbé Dumont, le précepteur De Lamartine.
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Immersion dans le XIXe siècle !

Une biographie romancée d'Alphonse Lamartine par son épouse qui lui est entièrement dévouée.

Qui se souvient De Lamartine ? pose en quatrième de couverture, l'éditeur :
Poète, historien, homme d'Etat : il proclame la République en 1848.
Mais pour moi, c'est surtout l'auteur de "L'histoire des Girondins" que j'ai beaucoup appréciée.
Le premier qui a vraiment étudié la Révolution française de 1789 et les écrits de Robespierre !
D'ailleurs, son étude lui a fait changer d'avis sur le personnage : il est devenu non pas "passionné" comme le dit Sylvie Yvert à travers les paroles de l'épouse De Lamartine, non ... Il a compris que Robespierre essayait d'appliquer une politique du milieu, du centre, comme lui...

J'ai appris qu'il avait été diplomate, ce qui lui a inculpé le goût de la modération et les techniques de négociation, député.

Sylvie Yvert nous fait voyager en Italie, en Angleterre et surtout en Orient avec beaucoup de délices !

Il se décrit comme "un politique égaré en poésie", je l'ai vu plutôt comme un poète égaré en politique". En fait, c'est le roman qui m'en donne l'impression.

J'ai été surprise de lire que sa femme écrivait et corrigeait ses écrits !
Certaines assertions seraient à vérifier : je lis actuellement l'histoire de la IIe République par Marie-Hélène Baylac, que Syvie Yvert cite dans ses remerciements.

Superbe roman où l'on croise tout le XIXe siècle : Victor Hugo, George Sand, Chateaubriand, Balzac, Dumas, Chopin, Litz, Berlioz, Eugène Sue, Stendhal

Après sa défaite cuisante à l'élection de la présidence de la République en 1851 (face à Louis Napoléon Bonaparte), il abandonne la politique.

Il meurt pauvre et seul, refusant les pensions (sauf une dernière pour sa survie) et un enterrement national...

j'ai vraiment regretté l'écriture larmoyante et indolente de l'auteur qui nuit à la lecture.

Ce roman m'a donné envie d'en connaître plus sur la seconde République et de relire ses poèmes !

A lire avant d'étudier les poèmes De Lamartine et son histoire des Girondins !
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« Malheureux les hommes qui devancent leur temps, leur temps les écrase. » A. de Lamartine.

Comment définir cet ouvrage : biographie, roman historique ou mémoires d'une épouse aimante ? le genre qu'on lui attribuera ne changera toutefois pas le plaisir que j'aie eu à le découvrir, et son auteure par la même occasion. J'ai beaucoup aimé le jour sous lequel Sylvie Yvert aborde la vie d'Alphonse de Lamartine.

Epouse fidèle, admiratrice, l'artiste peintre anglaise Mary-Ann Birch devenue par mariage Elisa de Lamartine intervient en tant que narratrice de cet ouvrage. Cela confère à ce dernier une chaleur exceptionnelle pour le genre. C'est un coeur qui parle. L'auteure ne reprenant la main que lorsque l'épouse quitte ce monde, 6 ans avant son cher époux. Laissant ce dernier dans une solitude noire. Les Lamartine avaient perdu leurs deux enfants en bas âge.

Lamartine n'était pour moi que poète romantique, certes un peu mélancolique. Grâce à Sylvie Yvert j'ai redécouvert l'homme politique, même si le poète n'est jamais absent de ce portrait, favorisant en particulier le talent d'orateur de l'homme à la tribune. On se remet à l'esprit ou on découvre selon sa culture avec cet ouvrage le rôle déterminant tenu par Lamartine lors de la révolution de 1848 laquelle a porté Louis-Napoléon Bonaparte à la présidence de la République.

L'orientation politique De Lamartine sera l'ambiguïté qui lui vaudra l'échec de sa carrière. Il la définit en ces termes : « Je trouve que je suis, au fond, bien plus près de ce que j'étais alors, monarchiste de raison, libéral de tendance, anti-anarchiste de passion, bourbonien légitime de justice et d'honnêteté, républicain d'occasion et d'idéal. »

Quinze années de vie politique pour le poète qui font l'ossature de cet ouvrage. Lamartine qui était issu de petite noblesse a déployé son talent et son énergie à défendre les intérêts des humbles - doux euphémisme pour qualifier ceux qui vivaient parfois dans des caves insalubres - rejoignant de ce point de vue les idées des socialistes qu'il combattaient pourtant. Il rêvait d'une société juste et équitable et a déployé toute son énergie à agir en modérateur des extrêmes. Il a fait montre dans son combat politique du plus grand humanisme. Il a eu avec sa foi religieuse la même valse-hésitation, reprochant à l'Ordonnateur des choses de ce monde d'avoir perturbé l'ordre de succession en lui prenant ses enfants.

Avec la crainte de revivre les années noires de la Terreur, à trop vouloir tempérer les extrêmes, sa carrière politique s'est arrêtée avec son échec à l'élection de 1848. Et je sais désormais grâce à Sylvie Yvert pourquoi je n'avais retenu que le poète au détriment du politique, c'est son ami le député Cormenin qui nous le dit : « Vous vivrez, illustre poète, quand les maîtres actuels de la parole ne vivront plus… et quand deux ou trois noms seuls surnageront dans le vaste naufrage de nos gouvernants éphémères. »

Par la voix de son épouse, Sylvie Yvert nous fait pénétrer l'intimité de ce couple solidaire, accablé par le malheur de la perte de ses enfants et en proie aux incessantes difficultés financières, lesquelles ne lui ont pourtant jamais fait perdre sa dignité. Allant jusqu'à refuser la pension que le Prince-président voulait lui allouer pour faire face à ses charges.

J'ai beaucoup apprécié le parti pris par Sylvie Yvert pour aborder la vie d'Alphonse de Lamartine, celui de donner la parole à celle qui a été son soutien indéfectible dans les épreuves qu'ils ont endurées sur les plans familial et professionnel. Couple modèle, uni, généreux, aimant, qui a été le ferment de l'inspiration du poète. Heureusement que les succès d'édition du poète de son vivant sont venus contrebalancer ces déboires, même s'ils ne permettaient pas de couvrir les dettes. Son épouse a toujours été son premier lecteur et correcteur.

A défaut d'écouter l'orateur politique, fût-il brillant mais sans doute pas assez convainquant, écoutons le poète retrouver en rêve la fille aimée :

Mes lèvres ne savaient d'amour où se poser ;
Elle les appelait comme un enfant qui joue,
et les faisait flotter de sa bouche à sa joue,
qu'elle dérobait au baiser!
….
« Julia! Julia! D'où vient que tu pâlis ?
Pourquoi ce front mouillé, cette couleur qui change ?
Parle-moi, souris-moi ! Pas de ces jeux, mon ange !
Rouvre-moi ces yeux où je lis ! »

Eh bien ! Prends, assouvis, implacable justice,
d'agonie et de mort ce besoin immortel;
moi-même je l'étends sur ton funèbre autel.
Si je l'ai tout vidé, brise enfin mon calice !
Ma fille, mon enfant, mon souffle ! La voilà !
La voilà ! J'ai coupé seulement ces deux tresses
dont elle m'enchaînait hier dans ses caresses,
et je n'ai gardé que cela! ».
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Sylvie Yvert s'est lancé un incroyable défi pour ce roman, celui de redonner vie à un personnage qui a quitté le monde des vivants en 1869 et que notre société a cantonné au rôle de poète romantique. Certes, il l'a été, mais il n'a pas été que cela. Et c'est donc à ce sacré pari que Sylvie Yvert s'attaque ici !

Elle nous offre donc un livre qui fourmille de détails captivants et de citations extraites des oeuvres De Lamartine ! Un vrai régal pour le lecteur qui découvre l'homme de lettres sous un autre jour – celui, par exemple, d'un candidat engagé pour l'élection présidentielle de 1848.

Au moins le souvenir dresse le portait d'un homme visionnaire, quelquefois incompris par ses pairs mais toujours à l'écoute de ses semblables. J'étais, je dois bien le reconnaître, à des années-lumières de soupçonner la vie trépidante, mais également douloureuse, de cet homme – qui pourrait rester insensible aux tragédies traversées par ce couple ?

Le choix de l'auteure de nous relater la vie De Lamartine à travers les yeux et la mémoire de son épouse donne une tendresse particulière à l'ouvrage, en plus de faire redécouvrir son action politique. le choix de ce dispositif narratif est particulièrement réussi : cela fonctionne parfaitement !

Sans aucun doute une belle lecture que je conseille aux amoureux de la poésie mais également aux adeptes des grands hommes français.
Lien : https://ogrimoire.com/2021/1..
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« O temps ! suspends ton vol, et vous, heures propices !
Suspendez votre cours »
Tout le monde connaît ces vers d'Alphonse de Lamartine, l'un de nos plus grand homme de plume.
Mais qui se souvient que Lamartine a été également un politicien de tout premier ordre en son temps ?
Elu député depuis plusieurs années, c'est à lui que l'on doit l'instauration de la Seconde République après l'abdication de Louis-Philippe en 1848, il aurait même pu s'il l'avait souhaité devenir le premier président de cette jeune république.
Il fut à l'initiative du premier suffrage universel qui a eu lieu en France pour justement nommer le premier président de la Seconde République.
C'est à lui également que l'on doit l'adoption définitive de notre drapeau tricolore, de l'ordre de ses couleurs et de son inscription « République Française – Liberté – Egalité – Fraternité ».
Dès 1834, il a fait partie des fondateurs de la société française pour l'abolition de l'esclavage.
Il a milité également pour l'abrogation de la peine de mort, pour la liberté de la presse, et tant d'autres combats contre la pauvreté, contre l'illettrisme.
L'auteure nous fait revivre ce grand homme dans cette biographie à la première personne, personne qui n'est autre que Mary Ann Elisa Birch son épouse elle-même artiste peintre et sculptrice d'origine britannique connue sous son nom d'épouse Marianne de Lamartine, et qui est également restée à la postérité pour avoir été la première femme à prêter ses traits pour le buste de Marianne.
Une très jolie biographie romancée qui nous rappelle l'incroyable destinée d'un homme pratiquement retombé dans l'oubli, et que l'on aurait certainement même aujourd'hui totalement oublié s'il n'avait pas composé ce superbe poème qu'est « le Lac ».
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critiques presse (1)
Lexpress
13 décembre 2021
Alphonse de Lamartine (1790-1869) est-il un poète démodé doublé d'un homme politique dispensable ? Non, répond Sylvie Yvert, qui le sort de l'oubli dans un beau roman biographique.
Lire la critique sur le site : Lexpress
Citations et extraits (26) Voir plus Ajouter une citation
La grande affaire de cette année 1840 fût le projet de Thlers en faveur d'un retour des Cendres de Napoléon, encore à Sainte-Hélène.

Mon mari, désormais âgé de cinquante ans, s'y opposa farouchement, seul contre tous, même Hugo : « Si je m'associe, comme Français, au pieux devoir de rendre une tombe dans la patrie à un des hommes qui ont fait le plus de bruit sur la terre. .., je ne me prosterne pas devant cette mémoire ; je ne suis pas de cette religion napoléonienne, de ce culte de la force que l'on veut depuis quelque temps substituer... à la religion sérieuse de la liberté. Je ne crois pas qu'il soit bon de déifier ainsi sans cesse la guerre... Je n’aime pas ces hommes qui ont pour doctrine officielle la liberté et l’égalité, le progrès, et pour symbole un sabre et le despotisme. »

Encore une fois prophète, il assénait qu'il fallait à tout prix « décourager les imitateurs de Napoléon » : « Prenez garde de donner une pareille épée pour jouet à un pareil peuple... Que vous choisissiez Saint-Denis ou le Panthéon, ou les Invalides, souvenez-vous d'inscrire sur ce monument, où il doit être à la fois soldat, consul, législateur, empereur, souvenez-vous d’y écrire la seule inscription qui réponde à la fois à votre enthousiasme et à votre prudence, la seule inscription qui soit faite pour cet homme unique et pour l’époque difficile où vous vivez : A Napoléon... seul ! »

Hélas ! malgré un succès avéré, il ne put convaincre, la monarchie bourgeoise ayant décidé de se réchauffer aux cendres de cette gloire. Le ver était dans le fruit, car ces Cendres étaient des braises.
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Après avoir marqué un court répit, il reprit, cette fois en arguant de sa qualité de ministre des Affaires étrangères : « Si vous m'enlevez le drapeau tricolore, sachez-le bien, vous m'enlèverez la moitié de la force extérieure de la France ! Car l'Europe ne connaît que le drapeau de ses défaites et de nos victoires dans le drapeau de la république et de l'Empire ! » Mais il lui fallait encore exercer son don de fascination et trouver cette formule magique pour achever sa démonstration et vaincre les dernières réticences. Se hissant avec prestesse sur une chaise de paille, il proclama cette phrase déjà historique: « Je repousserai jusqu'à la mort ce drapeau de sang, et vous devez le répudier plus que moi, car le drapeau rouge que vous rapportez n’a jamais fait que le tour du Champ-de-Mars, traîné dans le sang du peuple en 91 et en 93, et le drapeau tricolore a fait le tour du monde avec le nom, la gloire et la liberté de la patrie. »
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Enfin, il s'est éloigné de l'arène, s’est retiré avec dignité, sans une plainte, mais sa fécondité ne s'étiole pas : la politique a été une passion, l'écriture demeure sa vie. Et c'est une étoile qui ne s'éteindra pas. Mon chemin est tracé : humble vestale de son feu sacré, j'ai la passion de défendre l'action de cet Icare égaré en politique, dans l'espoir de m'inscrire en faux contre ces vers de jeunesse, les Méditations, afin que les siècles futurs en conservassent « au moins le souvenir », ainsi que le gravait sa plume dans son poème le plus célèbre, « le Lac », écrit à Aix dans le précieux carnet rouge donné par celle qu'il aima avant moi et qui renfermait aussi ces vers tirés du Golfe de Baya :

« Ainsi tout change, ainsi tout passe ; Ainsi nous-mêmes nous passons,
Hélas ! Sans laisser plus de trace
Que cette barque où nous glissons
Sur cette mer où tout s'efface. »
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Tout en terminant ses Girondins, destinés à préparer le peuple et se préparer lui-même, « car je serai l'homme d'une société nouvelle », il défendit tour à tour à la tribune le charbon à bon marché, la création de caisses de retraite pour les travailleurs vieillis, mais aussi les Maronites de Syrie ; il allégea l'impôt sur le sel, sauva le théâtre en subventionnant l’0déon, s'indigna contre les folies de la conquête de l'Algérie... Désormais, il assenait ses vérités sans circonvolutions : il fit scandale en lâchant que la Bourse était une escroquerie publique et que, lorsque les actions seraient réparties entre les fortunes, leurs détenteurs auraient gagné le pouvoir !
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C’est à cette période que se tint l'inauguration du Salon annuel de peinture, de sculpture et d'architecture, à laquelle participèrent sept cents artistes dont Ingres, Delacroix, Vernet, Scheffer ou Isabey. Un concours d'esquisses pour représenter une allégorie de la République avait été lancé, mais aucun prix ne put être remis car nul artiste n'avait su la représenter autrement que d'une manière bien trop classique, et surtout sans inspirer d'émotion intime.

C'est peu après que mon buste, dont Alphonse ne se séparait jamais, ainsi que mon opportun prénom unissant les deux plus populaires de la fin du siècle dernier, a symbolisé, sur sa proposition, la Marianne de la République ~ qui n'avait été qu'une idée sous la grande Révolution.
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Voici un petit livre formidable qui nous plonge dans les coulisses de l'histoire de France peut-être pour mieux interroger notre rapport actuel à la fidélité et à la loyauté.
« Une année folle », de Sylvie Yvert, c'est à lire en poche chez Pocket.
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