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EAN : 9782073016744
224 pages
Gallimard (17/08/2023)
3.63/5   1084 notes
Résumé :
« Tu veux pas écrire un roman sérieux ? ». Telle est la question qu’elle a posée à Alan, avant de le quitter pour un universitaire spécialiste de Ronsard. Depuis, Alan cherche un sujet de « roman sérieux ». Il veut profiter de l’été qui commence pour se plonger avec la discipline d’un guerrier samouraï dans l’écriture d’un livre profond et poignant. Ça et s’occuper de la piscine des voisins partis en vacances. Or bientôt l’eau se met à verdir, de drôles insectes app... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (132) Voir plus Ajouter une critique
3,63

sur 1084 notes
Comme dans les précédents romans de Fabrice Caro, le discours et Broadway, Alan Cuartero le héros de samouraï est un personnage qui n'a pas de chance, empêtré dans la vie et qu'on peut qualifier de paumé. Il souffre de plus de ce qu'il nomme le syndrome du volontaire. Chaque fois qu'il assiste à un spectacle, il est pris de la même phobie : la frayeur et les sueurs froides à la simple idée qu'à un moment donné on fasse monter un volontaire sur la scène.
Un manque de bol évident puisque à quelques jours d'intervalle, son meilleur ami d'enfance Marc s'est suicidé et Lisa, sa compagne l'a quitté.
En outre, la parution de son premier roman, un an plus tôt avait été totalement éclipsée car il était sorti le jour même où avait éclatée l'affaire de la sextape d'un député ! Passé donc quasiment inaperçu, une phrase de Lisa avait fini de l'achever : « Tu peux pas écrire un roman sérieux ? »
Écrire un roman sérieux, l'idée va le tarauder mais exige une discipline de samouraï, il décide cependant d'y consacrer son été.
Mais pas facile, d'autant qu'il lui faut s'occuper de la piscine des voisins partis en vacances et dans laquelle les notonectes ne vont pas tarder à s'inviter. Lui, Alan, est invité sans pouvoir s'y opposer à rencontrer Mylène puis Chloé, puis Louise, de charmantes jeunes femmes que Jeanne et Florent, des amis compatissants, tiennent à tout prix à lui présenter pour combler sa solitude.
N'arrivant pas à s'exprimer clairement et ne voulant froisser personne, à chaque fois, notre brave Alan, sur des événements parfaitement anodins, se retrouve dans des situations bien compliquées.
Tout en nous contant l'histoire de Alan, cet inadapté de l'existence dont le désir serait d'écrire un livre sur l'épopée de ses grands-parents pendant la guerre d'Espagne dont il a déjà le titre en tête Sol y sangre, Fabrice Caro brosse en réalité un portrait de notre monde contemporain, surfant avec beaucoup de dextérité, d'humour et beaucoup de justesse sur les malaises, les angoisses, les vanités et les névroses de notre monde moderne. Une part belle est faite également au snobisme.
Entre les phobies burlesques, les tocs dont est tributaire notre héros, j'ai passé de délicieux moments avec ce livre. Impossible pour les amateurs de lecture que nous sommes, de ne pas savourer ces moments de pure fiction où notre écrivain Alan, répond aux interviews de Claire Chazal, découvre avec grand plaisir une critique élogieuse, évidemment imaginaire, dans Télérama ou encore, se voit attribuer le Goncourt sous les acclamations. de magnifiques et savoureux passages !
En découvrant le monologue de cet être presque asocial, j'ai également souffert un peu à ses côtés, j'ai souvent eu l'envie de l'aider, de lui souffler de ne pas compliquer les choses, de prendre la vie plus sereinement, mais si je me penche sur mes propres réactions, n'est-ce pas, certes en beaucoup moins exagéré, notre propre angoisse existentielle qui est ici décrite…
samouraï de Fabcaro est un roman hilarant sur l'absurdité de nos vies, roman non dénué de poésie et de mélancolie avec quelques allégories du temps qui passe, notamment cette piscine qui verdit au fil des pages…

Lien : https://notre-jardin-des-liv..
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Dans la même semaine, Alan a dû affronter deux événements dramatiques : sa compagne, Lisa, l'a quitté pour un prof spécialiste de Ronsard et son meilleur ami s'est suicidé. Dans cet ordre, il va sans dire... Écrivain dont le premier roman n'a connu aucun succès, sa sortie coïncidant avec celle d'une sextape d'un député étant passée inaperçue, Lisa, avant de le plaquer, n'a pas manqué de lui reprocher de ne pas écrire un roman sérieux. Qu'à cela ne tienne ! L'été approchant, il décide d'y consacrer la plupart de ses journées, avec la discipline d'un samouraï. Il n'a d'ailleurs que ça à faire, à part surveiller la piscine de ses voisins. Mais c'est sans compter sur ces notonectes qui décident de s'y inviter et de ses amis, Jeanne et Florent, qui ne manquent pas d'organiser des dîners, des rencontres ou autres spectacles avec de jeunes femmes afin de combler sa solitude...

Comme les personnages de ses précédents romans, Adrien et Axel, Alan est un handicapé de la vie, une sorte de loser empreint de doutes, de névroses et de phobies abracadabrantes, incapable de s'affirmer et d'oser dire non. Écrivain d'un roman au succès plus qu'incertain, il ne désespère pas de connaître la gloire et la reconnaissance, aussi bien de ses pairs, du public que de Claire Chazal, en racontant l'histoire de ses grands-parents arrivés en France pour échapper à Franco. Tout remonté et décidé qu'il est, son été va, malheureusement, prendre une toute autre tournure. Et c'est, évidemment, le lecteur qui s'en réjouit et se régale, souriant devant l'incongruité de certaines situations, les réflexions philosophico-dramatico-cynico-existentielles, les « dates » amoureux plus ou moins gênants ou encore les phobies contraignantes (ou pas !). Mine de rien, Fabrice Caro dépeint, certes avec humour, parfois avec poésie, mais aussi avec un certain sens aiguisé, quelques travers de notre société et absurdités de la vie.
À quand les déboires d'Achille ou d'Arnold ?
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Fabcaro est, pour moi, le seul écrivain français à me faire vraiment rire. Sous des dehors absurdes, il met en évidence la connerie humaine. Ça semble léger comme ça mais en réalité il y a beaucoup de choses dans son roman et j'adore quand son imagination l'emmène vers des délires que parfois, avouons-le, nous avons eu. L'histoire ? Je la mets en vrac pour laisser aux autres lecteurs le plaisir de la découverte d'autant que c'est surtout la manière dont il la traite qui est excellent. Un écrivain raté qui se cherche, toujours amoureux de la femme qui l'a largué pour un autre, son couple d'amis qui veut absolument le caser, la piscine de ses voisins qu'il a en charge le temps de leurs vacances et qui verdit... et... et... Jubilatoire !
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Alan ne va pas fort. Il vient de se faire plaquer, son pote s'est suicidé.
Les ventes de son roman aurait pu le consoler .Mais non, personne ne l'a acheté.
Alors ,il prend le choses à bras le corps et tout en gardant la piscine d'amis, il décide d'écrire un livre sérieux, juste pour montrer à son ex de quoi il est capable.

C'est toujours un exercice compliqué d'écrire un livre à vocation comique,mais force est de constater que Fabcaro y arrive plutôt bien, en tous les cas avec moi.
L' infirmier qui engendre plusieurs morts parce qu'il confond staying alive et born to be alive lors des massages cardiaques, c'est brillant.
Après pour ne pas tomber dans un succession de gags et que ceux ci soient au service de l'histoire et non l'inverse , c'est plus compliqué,mais cela tient à peu près.Bon Alan passe plus de temps à fantasmer sa vie qu'à la vivre et pas sur que l'on ne puisse pas résumer l'intrigue en vingt pages.

Pour autant, c'est un bon moment de lecture sans trop de surprises , même pas de mauvaises.
On pourrait trouver quelques motifs psychologiques pour lire ce livre , le couple,la page blanche, les enfants...mais vous seriez déçus.En le prenant pour ce qu'il est , ce roman fait bien le taff.
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Variations sur le même thème
Les romans de Fabrice Caro ont toujours un héros loser,vaguement parano et empêtré dans des considérations et des situations ubuesques.
Celui-ci ne déroge pas à la règle.Il parle d'un écrivain paumé fraîchement largué qui apprend simultanément la mort de son meilleur ami.
On pourrait penser qu'il y a plus marrant comme sujet.Mais comme toujours, tout est prétexte à monologues intérieurs et autres divagations qui font le talent de l'auteur,tiens ça rime...
Vous l'avez compris j'aime beaucoup Fabrice Caro et pas seulement parcequ'il habite pas très loin de chez moi mais parce que son humour me parle et que derrière cette façade d'auto dérision je perçois une âme un brin angoissée et solitaire.
Le cerveau de cet auteur foisonne de réflexions désopilantes sur l'absurdité et le sens de la vie,il serait dommage de s'en priver en ces temps incertains.
Fabrice,tu es le bienvenu à la bibliothèque municipale de mon bled pour une rencontre littéraire, il y aura plein de gens sympas,du muscat de St Jean de minervois et du cake salé maison,on t'attend !
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critiques presse (6)
Telerama
30 octobre 2023
Un régal d’absurde.
Lire la critique sur le site : Telerama
LeJournaldeQuebec
01 août 2022
Sans nécessairement être hilarant, un roman qui dépeint bien les petits travers de chacun.
Lire la critique sur le site : LeJournaldeQuebec
Elle
09 juin 2022
La rédaction vous donne son avis sur le nouveau roman de Fabrice Caro « Samouraï », désopilant.
Lire la critique sur le site : Elle
Bibliobs
07 juin 2022
Pas une once de premier degré dans le monologue de cet inadapté de l’existence dont les déboires ne manquent pas de poésie. C’est un peu « la Piscine » à la sauce lose, si Alain Delon était un célibataire dépressif qui ne savait pas utiliser des galets de chlore. En moins sexy, mais qu’est-ce qu’on rit.
Lire la critique sur le site : Bibliobs
LeMonde
16 mai 2022
L’écrivain et auteur de BD (sous le nom de Fabcaro) est prolifique mais, justement, il a de l’humour à revendre. Humour qu’il déploie aujourd’hui dans un nouveau roman, « Samouraï ».
Lire la critique sur le site : LeMonde
Après «le Discours» ou «Broadway», l’auteur de BD Fabcaro confirme avec son nouveau roman qu’il est un écrivain à part. Mélancolique, touchant et... désespérément drôle.
Lire la critique sur le site : LeParisienPresse
Citations et extraits (113) Voir plus Ajouter une citation
[ un peu long, c'est vrai, mais tellement mignon ^^ ]

Lisa avait décrété, un beau matin, comme ça, qu'il n'y avait plus assez de passion entre nous. Sur quelle échelle ? Par rapport à quel référentiel ? Selon quel repère ? Mon tout premier échec amoureux était déjà un problème de repère. C'était à la maternelle, j'étais amoureux de Séverine Audouy, mais Olivier Guichard aussi était amoureux de Séverine Audouy, et Séverine Audouy, se sentant convoitée, minaudait - à l'époque, je ne pensais pas "minaudait", bien entendu, au contraire, son attitude détachée ne faisait qu'attiser le feu qui couvait en moi. Un jour, elle nous avait convoqués, Olivier Guichard et moi, pour décider lequel de nous deux serait son chevalier servant. Au début de la récréation, elle nous avait réunis dans la petite cabane en bois au milieu de la cour, et avait commencé par me demander "Alan, à combien tu m'aimes ?" J'avais répondu sept. Ça me semblait bien, ça me semblait beaucoup d'aimer quelqu'un à sept. Puis elle s'était tournée vers Olivier Guichard et lui avait posé la même question, "Et toi Olivier, à combien tu m'aimes ?" Et lui avait répondu dix mille. J'étais abasourdi. Dix mille. On avait le droit de dire dix mille ? Évidemment elle était partie avec lui, elle lui avait pris la main et ils étaient sortis de la cabane en bois, et je m'étais retrouvé seul et hagard avec mon sept et un vif sentiment d'injustice. J'avais l'impression de m'être fait avoir. Certes, à aucun moment il n'avait été spécifié que la note n'était pas sur dix, mais pour moi c'était implicite, pour moi toutes les notes étaient sur dix, pourquoi une note d'amour aurait-elle été sur autre chose que sur dix ? (Et d'ailleurs, dix mille sur combien ?) Bien sûr, il serait légitime de se demander pourquoi j'avais répondu sept et non dix. Il me semblait que sept c'était déjà pas mal. À cinq ans, j'envisageais déjà l'amour comme un absolu inatteignable et celui auquel un simple mortel pouvait prétendre plafonnait à sept. Au-delà, nous étions dans un idéal, une abstraction romantique qu'on ne trouvait que dans les livres et les chansons de Francis Cabrel. J'avais péché par honnêteté. Quand bien même j'aurais répondu dix, j'étais loin des dix mille d'Olivier Guichard, il fallait se rendre à l'évidence, je ne faisais pas le poids.
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Un énorme globe jaune suspendu au plafond par un fil, entouré de huit caddies de supermarché suspendus eux aussi. Je jette un œil discret à la petite affichette sur le mur qui présente l'œuvre, Système solaire – Laurent Bassetto. (… ) Il s'agit, nous explique-t-il, d'une œuvre à prétention écologique et anticonsumériste, nous sommes en train de tuer notre planète, et ce faisant, comble du cynisme, nous étudions la possibilité de colonies sur Mars, comme pour anticiper un exil une fois que nos ressources sur Terre seront épuisées, puis nous referons la même chose sur Mars, et ainsi de suite, et jusqu'où va-t-on aller à ce rythme ? On considère les planètes comme de simples réservoirs de consommation, des hypermarchés à ciel ouvert, voilà le message. Nous arborons tous un air grave et concerné comme si un ours polaire était en train de mourir sous nos yeux. Nous sommes peut-être censés poser des questions mais la seul qui me vient et m'obsède est : Vous les avez eus où les caddies ? Je l'imagine, la nuit, aller sur le parking d'Intermarché pour piquer huit caddies, guettant autour de lui qu'aucun vigile ne l'ait repéré, mais j'ai conscience que ce n'est pas très vernissage comme question, je m'abstiens donc de la lui poser et nous continuons à regarder mourir l'ours quelques instants encore.
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Je me situe dans cette tranche d'âge où les gens autour de moi sont obnubilés par l'idée de faire des soirées raclette, à un moment ou à un autre finit toujours par émerger cette phrase, Ce serait sympa une soirée raclette, non ? Et ces mots sonnent comme un cri de ralliement, résonnent comme un slogan, soudain ils mettent tout le monde en joie, une soirée raclette, c'est merveilleux. Des années durant, on s'invite à des apéros et puis un jour, on n'a rien vu venir : soirée raclette. À quel moment de la vie bascule-t-on au stade soirée raclette ? Rien ne marque mieux et de manière plus déprimante le passage à l'âge adulte.
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Je me suis toujours questionné sur ce terme, Remise en forme, qui implique qu’on avait, par le passé, été en forme et que, pour une raison ou une autre, on ne l’était plus. Le re de remise exclut de facto toute personne, qui, comme moi n’a jamais été en forme, il annonce la couleur : Ah non désolé, il faut déjà avoir été en forme pour prétendre assister aux cours. Celui qui lancerait le concept de centre de simple mise en forme toucherait le pactole.
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Il s’agit d’une expo collective à laquelle participe un de ses amis, elle tient à nous le présenter dès que nous arrivons, et la première chose qui me frappe quand je le vois c’est que le type est le sosie parfait de Laurent Broomhead, l’animateur d’un jeu télévisé dans les années 90, Pyramide, et pendant qu’il nous parle j’ai juste envie de lui dire En trois. C’était le principe du jeu, il fallait faire deviner un mot en passant par d’autres mots et annoncer le nombre de briques, donc de mots, qu’on s’autorisait pour faire deviner le mot mystère. J’ai dû mettre un mois à comprendre les règles de ce jeu, mais, même durant la période où je ne comprenais rien, j’étais subjugué, un peu comme devant un film de David Lynch ou une toile de Basquiat, on n’est pas obligé de comprendre pour être fasciné, ça ne m’étonne pas que Laurent Broomhead se soit lancé dans l’art contemporain, c’est cohérent.
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Dans cet épisode, nous vous présentons des livres qui nous ont fait rire. Huit propositions de lectures pour différents âges : de l'humour, fin ou gras, des jeux de mots, de l'absurde, du comique de situation, de la satire sociales... Des livres que nous avons beaucoup aimés, auxquels nous repensons avec le sourire et que nous adorons mettre entre les mains des lecteurs. Une liste à garder précieusement, concoctée par nos libraires Laure, Rozenn, Nolwenn, Jérémy, Nicolas et Adeline !
Voici les livres cités dans cet épisode :
Un ours, un vrai, de Stéphane Servant et Laëtitia le Saux (éd. Didier Jeunesse) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23128786-un-ours-un-vrai-stephane-servant-didier-jeunesse ;
Horace. Tome 1, Cheval de l'Ouest, de Poirier (éd. Revival) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23359947-horace-tome-1-poirier--revival ;
Les Culs-reptiles, de Mahamat-Saleh Haroun (éd. Gallimard/Folio) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/22745328-les-culs-reptiles-mahamat-saleh-haroun-folio ;
Admirable, de Sophie Fontanel (éd. Seghers) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/22540820-admirable-l-histoire-de-la-derniere-femme-ride--sophie-fontanel-seghers ;
Chroniques du Château faible, de Jean-Christophe Mazurie (éd. Fluide Glacial) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23032241-1-chroniques-du-chateau-faible-tome-01-jean-christophe-mazurie-fluide-glacial ;
Stella et l'Amérique, de Joseph Incardona (éd. Finitude) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23109474-stella-et-l-amerique-joseph-incardona-finitude ;
Le Rire des autres, d'Emma Tholozan (éd. Denoël) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23030426-le-rire-des-autres-emma-tholozan-denoel ;
Roman fleuve, de Philibert Humm (éd. des Équateurs/Folio) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23286751-roman-fleuve-philibert-humm-folio.
Et quelques autres titres qui auraient pu faire partie de cette sélection de livres drôles :
Le Discours, de Fabrice Caro (éd. Gallimard/Folio) ;
Miracle à la tombe aux Aspics, d'Ante Tomi (éd. Libretto) ;
N'essayez jamais d'aider un kangourou !, de Kenneth Cook (éd. Autrement) ;
Je dénonce l'humanité, de Frigyes Karinthy (éd. Viviane Hamy) ;
Le Chien de madame Halberstadt, de Stéphane Carlier (éd. le Tripode) ;
Roulio fauche le poil, de Julia (éd. le Tripode) ;
La Vie est une corvée, de Salomé Lahoche (éd. Superexemplaire) ;
Idées noires, de Franquin (éd. Fluide Glacial) ;
#Les Mémés, de Sylvain Frécon (éd. Fluide Glacial).
--
Les Éclaireurs de Dialogues, c'est le podcast de la librairie Dialogues, à Brest. Chaque mois, nous vous proposons deux nouveaux épisodes : une plongée dans le parcours d'un auteur ou d'une autrice au fil d'un entretien, de lectures et de plusieurs conseils de livres, et la présentation des derniers coups de coeur de nos libraires, dans tous les rayons : romans, polar, science-fiction, fantasy, BD, livres pour enfants et adolescents, essais de sciences humaines, récits de voyage…
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