VDB, je l'aime beaucoup dans ses sketchs avec
Mathieu Madénian. Avec ses chroniques et ses Podcasts sur France Inter, je suis parfois mort de rire (pour de faux parce que je ressuscite rapidos !). J'ai vu aussi son spectacle «
Thomas VDB s'acclimate » et je me suis bien marré aussi. En plus, je suis jaloux de sa coupe de cheveux, parce que moi quand je suis mal coiffé, je le suis Vraiment, alors que lui a toujours l'air cool, même quand il est ébouriffé ! Bon voilà, tout ça pour vous dire que quand même il n'est pas pour autant un écrivain, parce que son écriture ne casse pas trois pattes à un canard. Son style ressemble au mec sympa et cool qu'il est ; c'est un peu foutraque et faussement naïf, mais ça ne va pas plus loin.
Dans ce récit autobiographique, il raconte avec beaucoup d'autodérision, son enfance picarde et son adolescence tourangelle ; Fan de rock, de Queen en particulier, collectionneur de disques, faiseur de compilations sur K7 - la nostalgie, d'une époque révolue - Les petits groupes entre potes ... Puis, un peu par hasard, journaliste à Rock Sound (perso je lisais Best et Rock & Folk). Et au final sa déception de ne pouvoir allier sa passion pour la musique et ce travail, à cause du business et des contraintes qui lui sont liés ... Mais, tel un infatigable zébulon, il rebondit dans la carrière que l'on sait, en suivant son instinct et sa passion pour le théâtre de rue et plus si affinités ...
Même si j'ai douze ans – non, pas d'âge mental ! - de plus que le lascar, j'ai été touché par la nostalgie d'avant la dématérialisation de la musique, d'avant internet et ça m'a intéressé de connaitre les coulisses du journalisme de rock de cette époque. Et aussi de découvrir des groupes que je ne connaissais pas, parce qu'apparus plus tard par rapport à « mon époque » : The Cult, Weezer ou Korn. Mais je reste fidèle à Ma nostalgie à moi ; Led Zep, Téléphone ou
The Clash c'est quand même définitivement mieux ! ;-)
Allez, salut.