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Critiques de Samantha Shannon (776)
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Le Prieuré de l'oranger

"Le Prieuré de l'Oranger" a été un énorme coup de coeur et je ne peux que le recommander chaudement à toute personne appréciant la fantasy !



Intrigues de court, dragons, magie, assassins, pirates, légendes anciennes se mêlent dans cette épopée qui nous tient en haleine pendant presque 1000 pages. J'ai eu un peu de mal au debut car il a fallu m'habituer à la géographie de ce monde et aux differents personnages mais quelques chapitres passés, je n'ai plus réussi à lâcher ce roman.



Je me suis énormément attachée aux quatres narrateurs différents, surtout Ead et Loth. Le roman représente plusieurs relations queers et les personnages féminins sont juste parfaits dans leur traitement : merci à Samantha Shannon pour la diversité et la représentation que l'on trouve dans ce roman, d'autant plus rare dans le genre fantasy.



En résumé : courez lire ce roman, vous ne regretterez pas le voyage
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Le Prieuré de l'oranger

Eh bah c'était bien sympa !

On m'avait prévenu que le début rythme était lent et la fin précipitée, donc j'ai lu cette brique en connaissance de cause et ça m'a permit de l'apprécier à sa juste valeur. C'est de la bonne fantasy adulte, avec un world building aux p'tits oignons, des personnages crédibles et un style superbe (je sais pas si c'est l'autrice ou la trad ou les 2, mais le résultat est super agréable à lire).



L'intrigue prend son temps vu que c'est un roman choral, mais j'ai adoré suivre Ead et Sabran (mes chouchoutes). En revanche, les PDV de Tané m'ont profondément ennuyée, elle était pas inutile vue la fin mais je l'ai trouvée vraiment en-dessous de Ead et Sabran.



J'ai beaucoup aimé toute ma mythologie autour du reinaume et de la transmission de mère en fille, mais pour le coup, on m'avait survendu le côté féministe. C'est effectivement des femmes qui siègent sur le trône de l'un des territoires, mais :



1) C'est un non-choix dû au fait que les femmes de cette dynastie n'engendrent que des filles, pas une décision politique particulière visant à mettre spécialement des femmes sur le trône.



2) C'est très positif, mais ce roman m'a fait m'interroger sur "pourquoi l'exigence de fidélité de la reine est un truc hérité du patriarcat". Sabran et sa mère sont susceptibles d'être très mal vues par les nobles si elles entretiennent des relations extra-conjugales (à un point parfois extrême), et finalement, je trouve cette idée peu cohérente dans un reinaume égalitaire gouvernée par une dynastie matrilinéaire. Autant le patriarcat s'appuie sur la nécessité que les femmes soient fidèles pour s'assurer que la descendance de ces messieurs soit génétiquement celle desdits messieurs, autant dans le cadre du Prieuré... bah on s'en fout un peu, que le mari de la reine soit pas le père ? Enfin je comprends bien que ça chagrine le concerné et que ça heurte un peu, mais cet élément est limite une affaire d'État alors que ça ne change RIEN à la transmission du pouvoir et qu'en l'occurrence, les infidélités des reines sont tenues secrètes.



Alors en soit c'est pas du tout un point négatif parce que fondamentalement, osef c'est un détail, et c'est même intéressant parce que sans ce roman, je ne me serais jamais posé cette question. En revanche, même si c'est une fantasy super intéressante de par ses personnages féminins nuancés et son reinaume matrilinéaire, on me l'avait vendue comme LA référence féministe en fantasy et mes attentes étaient disproportionnées sur ce point-là (ça reste une très bonne fantasy et effectivement, on sent que l'autrice est féministe et veut déconstruire le patriarcat via son world building plus égalitaire, mais j'irais pas jusqu'à mettre en avant l'argument des messages féministes pour parler de ce roman). Par contre, mention spéciales aux romances très diversifiées dans ce roman, ça l'enrichit vraiment !



Le "fond" de l'histoire est peut-être ce qui m'a le moins convaincue (finalement, il s'agit de s'allier contre un grand méchant vilain pas beau qui veut dominer le monde parce que c'est cool de dominer le monde et le réduire en cendres), mais le style à lui seul a maintenu mon intérêt, ainsi que la relation Sabran/Ead.



Y'a carrément moyen que je retente d'autres Samantha Shannon à l'avenir !
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Le Prieuré de l'oranger (2/2)

Coup de coeur pour ce roman de fantasy qui nous entraîne, à travers plusieurs personnages bien campés, dans une quête héroïque afin de sauver le monde inventé avec brio par Samantha Shannon. Tous les codes de la fantasy sont réunis, mais avec une différence notable par rapport aux grands classiques du genre: les personnages principaux sont féminins!

Tout m'a plu dans cette fresque dragonesque: les personnages crédibles et travaillés, le monde dans lequel ils évoluent où il est facile de se retrouver, l'écriture sans fioriture mais convaincante.

Jamais je n'avais tant aimé de roman de ce style depuis les aventuriers de la mer de Robin Hobb (qui elle aussi fait la part belle aux héroines)

Un excellent moment de lecture
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Le Prieuré de l'oranger

Quand c'est bon, c'est bon, même plus que ça. La frustration, c'est que lire après une saga pareille! J'ai mis quelques pages pour rentrer dans le livre, mais après, je l'ai dévoré. C'est très bien écrit et les histoires se mêlent et s'entremêlent de manière élégante. Les personnages principaux sont tant des hommes que des femmes qui ont chacune et chacun de l'épaisseur et de la personnalité. Une excellente lecture.
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Le Prieuré de l'oranger

Quand on se lance dans un roman de 1 000 pages, on sait qu'on s'y plonge pour plusieurs semaines. Que ce livre et son personnage vont être des compagnons d'une longue route. Alors il y a intérêt à ce que ce soit bien. Et ça l'est !



Cette histoire est magnifiquement construite, avec un univers qui se dévoile au film des pitchs, avec ses enjeux, son histoire et ses différences culturelles. J'ai aimé en apprendre davantage sur cet univers, comprendre la différences en Dragons et Wyrm, découvrir les légendes (qui n'en sont pas forcément) etc.



Mais ce n'est pas juste un roman de World Building, et les péripéties vont s'enchaîner et les personnages faire face à leurs propres enjeux. Et j'ai adoré les personnages, apprendre à les connaître... Sabran en est le meilleur exemple, j'ai aimé en découvrir davantage sur elle, creuser sa carapace comme Ead, qui a appris à la connaître à l'aimer.



Au final, si je devais retenir un point faible (et qui est léger), c'est que j'ai moins apprécié Tané. Je l'ai parfois trouvé un peu lourde, et je voulais surtout suivre tous les autres personnages et avoir enfin le fin mot de l'histoire.



C'est un roman à lire absolument si vous aimez la fantasy. Sa longueur peut rebuter, mais cela devient petit à petit son point fort tant vous ne voulez plus que ça s'arrête.



Je me permets tout de même de déconseiller la lecture du poche, qui a divisé en deux le roman, et a été obligé de le faire de façon arbitraire. Cela peut gâcher la lecture je trouve.
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Le Prieuré de l'oranger

Je ne connaissais pas du tout cette autrice avant d’avoir lu cet énorme pavé qu’est “le prieuré de l’oranger”. Donc, j’avais beaucoup d’appréhension à commencer “ce parpaing” mais franchement j’ai adoré et même je suis accro. Ce roman de fantasy est vraiment l’équivalent du “Seigneur des anneaux” ou encore de “Game of Thrones” sans exagérer.



Samantha Shannon offre un récit intelligent, travaillé et un monde imaginaire incroyable. Les personnages sont vraiment dans l’air du temps tout en restant dans l’heroic-fantasy. Les héroïnes, Ead et Tané, sont deux guerrières redoutables que tout oppose, l’une vénère les dragons et l’autre les tue. Pourtant, leur destin va les réunir pour pouvoir sauver leurs royaumes respectifs. Effectivement, un mal ancien est sur le point de se réveiller, “le Sans-nom" fléau du chagrin des siècles.



L’histoire regorge de références littéraires et de légendes pour peu qu’on soit connaisseur. Néanmoins, la seule critique que je peux faire c'est peut-être une fin un peu trop mielleuse à mon goût comparé à l'ambiance qui domine tout le long du récit. Je conseille aux lecteurs avant de se lancer dans le prieuré, d’avoir déjà lu de la fantasy ou de connaître ce genre de littérature car cela peut être déroutant. Je vais très vite m’attaquer au préquel de ce fabuleux roman mais en lecture commune cette fois-ci. Une lecture que je ne peux que recommander pour tous les fans de fantasy.





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Un jour de nuit tombée

Je suis dans une période où j'ai besoin de retrouver mon âme d'enfant en lisant. Objectif atteint avec un jour de nuit tombée, prequel du Prieuré de l'oranger.

Comme son prédécesseur, qui se passe plusieurs dizaines (voire centaines) d'années après un jour de nuit tombée, il aborde des sujets actuels de manière totalement naturelle (lgbtqia+, question de genre, maternité et dépression post partum...). Les femmes sont toujours au centre de l'intrigue. De manière plus globale, on est encore sur un "livre plaisir", pas un chef d'œuvre de la littérature de genre.

Une fois ce postulat accepté, vous pouvez profiter et vous plonger dans l'histoire racontée selon les points de vues de Dumai, représentante de l'Est, qui parle aux dragons d'eau, Tunuva, sœur du Prieuré au Sud, Glorian, reine de l'Inys à l'Ouest et Wulf, représentant du Nord, seul homme qui a un rôle de premier plan dans l'intrigue.

Le Sans-Nom reste dans les mémoires mais semble de plus en plus devenir une simple histoire que les peuples vont oublier petit à petit. Jusqu'au réveil du Mont Effroi qui va faire revenir sur des créatures terrifiantes et mettre à l'épreuve nos protagonistes. Plusieurs autres personnages plus ou moins attachants vont les accompagner : Nikeya, Siyu, Canthe ou encore Thrit.

C'est un roman de fantasy très agréable à lire, qui nous propose une intrigue assez traditionnelle mais bien amenée. J'aurais aimé que le pic de l'intrigue soit plus intense, qu'il y ait plus d'enjeu. Mais cette construction n'est pas illogique s'agissant d'un prequel.

À mettre dans vos mains pour une échappée imaginaire.







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Le Prieuré de l'oranger

Un beau pavé qui a fait beaucoup parler de lui à sa sortie : roman de fantasy one-shot qui fait la part belle aux personnages féminins et qui parvient à tisser un univers et une histoire épique en un seul volume. C'était alléchant.



J'ai apprécié plein de petites choses dans ce roman : l'univers où hommes et femmes sont égaux, ce qui change agréablement des mondes généralement moyenâgeux de la fantasy, les différents protagonistes venus de monde différents, joliment tissés, qui doivent ajuster entre eux leurs croyances et visions du monde, très féminins aussi, avec de beaux personnages de femmes de tous les horizons (reine, guerrière, pirate, etc.). Un univers très visuel, sensitif, où l'on voit littéralement les paysages se dessiner sous nos yeux, le goûts des mets, l'odeur du sel, la danse des dragons. La façon dont l'autrice prend le temps de poser son histoire, de créer les différents engrenages qui finiront par s'influencer l'un l'autre, s'agréer... mais soudainement bien trop rapidement !



Car c'est pour moi le défaut principal de ce roman : sa précipitation. Soudainement, on se retrouve à la moité du livre et tout va trop vite. Puis il reste seulement 150 pages et on se demande comment diable Samantha Shannon va bien réussir à terminer son histoire... En résulte des incohérences, des sauts temporels frustrants et en série, des scènes au climax piétiné, des ficelles de plus en plus grosses et une fin sans surprise. Je n'ai pas pu m'empêcher de penser que l'autrice avait si consciencieusement construit son univers... pour refuser aux lecteurs et lectrices la joie de profiter des moments les plus épiques. Ou le temps de dire au revoir aux personnages à la fin du roman. Au final, on se dit que c'est une belle histoire, mais un peu froide et décevante.
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Le Prieuré de l'oranger

Que dire de ce livre...Il est juste incroyable ! J'ai été happée pendant les 950 pages et n'ai pas été déçue une seule fois. Le monde est magnifique, très bien construit avec des royaumes et un reinaume. L'histoire liée au Sans-Nom est assez complexe et bien menée, on en apprend plus au fil du livre. Les personnages sont tous très bien développés avec tous leur caractère et leur histoire propre. Si je devais retenir un personnage, ce serait Eadaz que j'ai adoré L'histoire, quant à elle, est progressive, on suit les 3 personnages principaux et on en apprend en même temps qu'eux les événements. Bref, le livre est assez long mais vaut le détour. Je suis d'ailleurs soulagée que cet univers ne s'arrête pas à ce livre et je me ferai une joie de lire le préquel.
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Le Prieuré de l'oranger

Après plus d'un an et demi à avoir trôné fièrement dans ma bibliothèque, j'ai fini par lire ce 1,033kg de magie. Ce magnifique pavé a été pour moi une très belle découverte !

En passant d'un personnage à l'autre, on découvre des souvenirs brisés, des rêves d'avenir, des convictions inébranlables... Les personnages sont profondément humains et le monde et l'histoire sont très développés. Et même si notre ciel ne craint pas d'être attaqué par des wyrms, peut-être que certains autres problèmes sont bien réels...

Cela fait du bien d'avoir enfin des adultes responsables et matures comme héros, certaines autres lectures m'avaient désespérée. Et peut-être que les événements de cette histoire m'auront plus affectée que je n'oserai le penser. J'apprécie toujours quand une histoire met en scène différents souvenirs et connaissances d'une légende ou événement historique et que la quête mène à une reconstruction de la vérité... Bref. Le seul hic est qu'il n'est pas toujours facile de se trimbaler ces quelques 900 pages, mais je vous garantis que je suis aujourd'hui même allée en librairie pour acheter la deuxième histoire qui se passe dans ce monde ; Un jour de nuit tombée. Mes attentes sont hautes.

J'espère que vous aurez beaucoup de plaisir à découvrir cette lecture.

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The Bone season, tome 4 : Le masque tombe

Je suis partagée entre : ce livre est absolument incroyable et : ce n'est pas juste de nous laisser en plan comme ça alors que la suite n'est même pas encore écrite...

Ce quatrième tome confirmer que cette saga est un véritable petit bijou, avec une intrigue complexe et intelligente, des personnages bien construits et une intrigue qui nous tient en haleine de la première à la dernière page!
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Le Prieuré de l'oranger

qu'est-ce que j'avais hâte de lire ce roman ! sa couverture, son résumé, toute la hype sur Instagram... j'ai cherché pendant près d'un an la version reliée, que j'ai finalement réussie à obtenir ! je peux donc maintenant vous en parler...



je suis passée au travers des 960p du roman (ou du parpaing, à vous de voir) et je dois dire, en toute sincérité, que je suis un peu déçue. un peu déçue parce que je m'attendais à un immense coup de coeur, ce qui ne fut pas le cas.



déjà, il faut vraiment s'accrocher durant les 100 premières pages. là rien d'étonnant, il s'agit de high fantasy à la GoT, loin du young adult du "Prince Cruel". mais en plus de ça, je trouve qu'il faut attendre les 300p pour découvrir l'intrigue puis 500p pour commencer à être pleinement dedans. certes, donc, c'est un peu long.



pourtant, bien que l'histoire est extrêmement qualitative (le monde et l'intrigue sont très complexes et parfaitement construits), je n'arrivais pas à être immergée à 100% dedans. j'avais la sensation d'être spectatrice plus qu'autre chose. oh, d'ailleurs il est question de dragons, je sais que c'est un point très recherché par beaucoup !



j'ai eu la surprise de découvrir qu'il y avait énormément de représentation dans ce roman. la surprise venant du fait qu'elle n'est pas scandée et mise en avant : il en va tout simplement de soit. et ça, c'est ce que je préfère !



j'ai découvert ce que signifiait voir un de ses personnages préférés mourir d'un coup, sans préambule. voilà, je vous laisse avec ça et je vais ravaler mes larmes.



je n'avais pas de couple de roman préféré mais là, Niclays & Jamart ont la première marche du podium.



l'autrice propose également un contenu de très grande qualité sur son compte Instagram que je vous invite à aller découvrir. sa saga "The Bone Season" me donne d'ailleurs très envie...



(issu de mon compte instagram @l.iris.me)
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Le Prieuré de l'oranger

Pour commencer, il faut que je vous dise que j'avais un peu peur de lire cette brique, sa taille est assez impressionnante. L'engouement autour de lui m'a empêchée de le lire plus tôt, si un livre est trop connu ou trop plébiscité j'ai peut de ne pas aimer...



Mais OH punaise, je l'ai adoré, c'est un vrai de coup de coeur 💞. Une fantastique Fantasy avec tout ce qu'il faut a l'intérieur. On a une quête rassemblant plusieurs personnages venant d'horizons différents, de la magie, des secrets, des légendes, un royaume et ses corruptions et le plus beau, des Dragons 🥰.



🐉



En ce qui concerne l'histoire, nous suivons plusieurs protagonistes.



Sabran IX, Reine d'Inys et potentielle porteuse du sang du Saint ( religion prédominante de l'histoire) qui repoussera le Sang-Nom, un Wyrm, autrement dit un dragon maléfique qui brûlera tout sur son passage.



Eadaz uq-Nara, une initiée du Prieuré envoyée en Inys afin de protéger la Reine Sabran. C'est également une mage, un perso très intéressant et ma préférée. Et puis elle a un Ichneumon donc je ne peux que l'apprécier hihi



Lord Arteloth, un ami proche de la Reine, qui va payer cher cette proximité. Une belle évolution dans ce livre



Tané, une jeune femme qui s'est entraînée toute sa vie pour devenir Dragonnière, mais qui face à un choix va voir sa vie complétement changée.



Et enfin, Niclays Roos, un Alchimiste qui est au coeur de toute l'intrigue car relié à beaucoup des perso cité au-dessus. Un homme brisé qui fait beaucoup de mauvais choix.



🐉



En bref, cette histoire est absolument fantastique, une pure merveille et maintenant je vais déprimer un moment le temps de me remettre de cette histoire 😜.
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Le Prieuré de l'oranger

J'ai enfin découvert ce roman qui a été tant plébiscité lors de sa sortie.

J'aime beaucoup cette couverture de couleurs vives et magnifiquement illustrée d'un dragon.

J'étais donc ravie de commencer cette lecture, et je suis ravie de l'avoir enfin terminée...

Entre les deux, mon avis est mitigé.

Dire que ce roman "Mérite autant de succès que "Games of Throne"" c'est duper la lectrice que je suis !

L'histoire est classique du domaine de la fantasy. On y retrouve des Royaumes (ici des Reinaumes), des antagonistes, de la magie, un mal qui plane sur ce monde et qui menace l'équilibre présent etc...

Un roman féministe où les personnages principaux sont des femmes, d'où le choix du mot "Reinaume" avec quelques histoires d'amour LGBT et hétéro qui apportent un côté moderne au genre.

Un regard sur les religions, en 2ème lecture, plutôt bien amenée.



Le début de ma lecture a été difficile car il y a de nombreux personnages avec des noms tellement imprononçables que s'en est presque risible.... Ensuite, j'ai ressenti beaucoup de longueur, un rythme lent avant de connaître enfin un peu d'action....

Même si je trouve que le développement des personnages, leur psychologie est assez fourni, les intrigues "politiques" elles, sont superficielles, basées sur des légendes mais peu sur l'action ou les relations entre les royaumes.... Il y aura bien une trahison et quelques têtes coupées, mais peu de tension sur ces intrigues.

La magie n'a pas une grande place, et les dragons sont finalement peu présents.

Quand au mal qui est attendu, celui sur lequel repose cette histoire, il a à peine le temps de surgir qu'il disparaît....

Bref, avec ce manque d'intensité dans les actions, j'ai eu l'impression de survoler cet univers... et pourtant presque 1000 pages à lire avec de bonnes idées, des royaumes bien distincts qui nous présentent des pirates, une sorcières, des religieuses guerrières, des cavalières de dragons etc.... On voyage d'un univers médiéval à un univers japonisant... Bref beaucoup de diversité dans les thèmes.

Toutefois, Ça m'a manqué de complexité dans les intrigues et les relations entre chaque régions pour que je puisse vraiment croire que ce roman puisse être un "monument de la fantasy" (Dixit la 4ème de couverture).



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Le Prieuré de l'oranger

On dirait pas sur cette photo, mais cette belle brique fait environ 950 pages 😄 Il est possible aussi de l’acheter en 2 tomes.



J’ai vraiment bien aimé cette lecture ! J’ai trouvé ce livre très innovant du genre fantasy, même les personnages soulignent la modernité de leur société, j’ai bien aimé ce clin d’œil.



Au niveau de l’intrigue, je l’ai trouvée très bien construite. Je trouve juste qu’il n’y a pas beaucoup d’énormes surprises qui changent totalement l’histoire. Le monde que crée l’auteure est intéressant et complexe, vu qu’il comporte plusieurs royaumes, et l’histoire se base sur des faits vieux de 1000 ans, mais on se focalise surtout sur trois royaumes. Après, c’est normal de ne pas tous les creuser, sinon le lecteur serait perdu. Mais donc, je ne mettrais pas l’intrigue, au même niveau que GOT, ou SDA). Après, ça ne veut pas dire que je n’ai pas aimé, c’était vraiment une chouette lecture !



Cette fantasy était moderne. Notamment parce que l’auteure a créé un monde où il n’y a aucun racisme lié à la couleur de peau (il y en a par contre des sévères quant à la religion), et tout vient naturellement. Il y a un juste équilibre entre les personnages principaux, et on s’en rend compte progressivement dans l’intrigue. L’auteure n’insiste pas là dessus, car dans ce monde personne ne se pose de questions.



Évidemment, il faut mentionner les histoires d’amour homosexuelles, les personnages ne se posent pas de question « ce n’est pas normal d’aimer qlq un du même sexe ». Ils s’aiment, passionnément, et c’est tout. Précisons que les histoires d’amour présentes n’alourdissent pas l’intrigue.



Enfin, merci à l’auteure car la grande majorité des personnages badass sont des filles, et ça, ça fait du bien. Et de nouveau, aucun personnage ne se pose la question du genre dans l’intrigue. Pas de « une fille différente des autres se surpasse pour devenir meilleure que les hommes ». Les femmes ne sont pas sous-évaluées de base. Elles sont reines, descendantes des dieux, guerrières, mages ou dragonnières. Et ça c’est génial.

A noter : le début est difficile car on rencontre tous les personnages en une fois, mais aussi l’histoire de cet univers, les légendes, les mythes, les religions… Mais franchement, l’auteure répète beaucoup pour qu’on suive rapidement. Je me suis aidée des deux cartes au début aussi pour bien visualiser les royaumes et leurs croyances. Après quelques chapitres, on saisit tout.

Je conseille donc vraiment cette fantasy aux amateurs du genre mais également à ceux qui aimeraient en découvrir une !
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Le Prieuré de l'oranger (2/2)

Le premier tome, que j'ai adoré, nous offrait un premier aperçu de cet univers immensément riche, décrit par Samantha Shannon. On apprenait à découvrir les personnages, leur personnalités, les intrigues à la cour comme ailleurs, les forces en présence et les jeux de pouvoirs.

A la fin du premier tome le suspense était à son comble et la situation des plus désespérée: Le Sans Nom revient, Sabran a perdu son enfant, Ead est exilée, Lord Artheloth est fait prisonnier au prieuré, Tané se voit elle aussi exilée sur l'île plume, sa dragonne capturée par des pirates et Niclays rendu captif sur ce même bateau pirate.

On suit de nouveau tous ces personnages qui présentent chacun une belle évolution, notamment pour les personnages féminins. Ead, Tané et Sabran sont trois femmes fortes qui prennent leur destin en main et se battent pour ce qui leur semble juste. Tané fera tout pour retrouver sa dragonne, Sabran sera prête à bousculer les traditions et les croyances religieuses pour endosser le rôle de reine et vaincre le Sans-Nom, Ead s'opposera à Kalyba et n'hésitera pas à parcourir le monde connu pour retrouver la femme qu'elle aime et lui apporter la solution à la chute du Sans-Nom.

Il est compliqué de tout résumer en si peu de temps mais j'ai adoré cette histoire qui mêle légendes, religion, dragons d'eau ou de feu, magie, tractations politiques et lutte contre le Mal. J'ai adoré avoir affaire à de beaux personnages féminins et de manière générale à des personnages contrastés, qui ont leur part d'ombre également. Enfin j'ai adoré la plume de l'auteure qui nous tient en haleine tout du long et souvent très poétique. Le prieuré de l'oranger aura été une belle découverte et je suis presque triste de quitter son univers...
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Le Prieuré de l'oranger (1/2)

Grande lectrice de Fantasy, j'ai trouvé la lecture de cette première partie du Prieuré de l'Oranger captivante. La plupart des cases qui me paraissent indispensables au genre sont cochées : un monde riche et cohérent (chouette, il y a des cartes !), une épopée qui s'installe tout d'abord lentement en début de livre mais qui va devenir épique au fil des pages, la menace de la destruction imminente du monde par un ennemi se réveillant d'un sommeil millénaire, de belles et fortes héroïnes féminines, une kyrielle de dragons bons ou mauvais, l'opposition entre une religion basée sur d'anciens mensonges et un ordre secret aux pouvoirs magiques… Le brouet est savoureux.

Les aventures entrelacées d'Ead qui cache son identité réelle à la cour de la reine Sabran, de Tane, une jeune femme fière et déterminée à réaliser ses rêves coûte que coûte, de Loth un jeune noble entraîné dans une quête dangereuse et de Roos, un alchimiste déshonoré et exilé nous emportent dans un voyage palpitant au travers d'un monde finement conçu. J'ai aimé particulièrement que les femmes de cette histoire se démarquent de la Fantasy traditionnelle par leur modernité et leur complexité. Je suis impatiente de prolonger l'aventure avec la partie 2.
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Le Prieuré de l'oranger (1/2)

La reine Sabran IX, pour maintenir le reinaume, doit enfanter d’une fille. Seulement voilà, les complots et les trahisons sont de mises. Loth (l’expatrié), Ead Duryan (la magicienne), Niclays Roos (l’alchimiste) et Tané (la dragonnière), malgré leurs différents, vont devoir conspirer pour combattre le Sans Nom (wyrm rouge gigantesque dont le but ultime est de répandre le chaos).



Ce fut une lecture fastidieuse et j’en suis la première désolée. J’attendais beaucoup de ce roman pour découvrir ce genre littéraire que je ne connais pas. La première et quatrième de couverture me promettaient un monde de magie et de dragons. Quelle frustration ! Ces thèmes n’ont été que saupoudrés. Je me suis ensuite perdue dans la multitude des personnages. Pendant la moitié du livre, j'ai oscillé constamment entre les cartes, la liste non exhaustive des personnages et le glossaire. Les religions et légendes n'ont pas toujours été claires non plus. Tout ceci a gâchée ma lecture plus que de l'éclairer. Je n'ai ressenti que de la frustration. Mon impression est d'avoir survoler cette histoire et je n’ai pas pu l’apprécier à sa juste valeur. Mauvaise pioche pour moi. Je ne pense vraiment pas lire le tome 2. J’ai regardé les différents avis et suis heureuse que le roman de Samantha Shannon ait trouvé ses lecteurs.
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The Bone Season, tome 1 : Saison d'os

The Bone Season, c'est le genre de lecture où je suis mitigée en lisant mais où j'ai trop envie de continuer 😳 je m'explique : l'autrice nous balance dès le départ dans un maelstrom d'actions sans vraiment nous donner les informations qu'il faut pour ne pas se noyer. C'est là le gros point noir du roman, et c'est pour ça que je commence avec ça, parce que l'intrigue est vraiment cool !

On suit donc Paige, notre marcherêve, qui fait partie d'un gang à la Six of Crows dans un monde futuriste où Scion (dont on ne sait pas grand chose) a pris le contrôle et réprime les humains dotés de capacités psychiques. Ça c'est la base de l'histoire. Sauf que très vite, la jeune fille est arraché à son confort et amené dans un camp où l'on découvre doucement le rôle de Scion et son importance. Cette partie là est vraiment top, et allez savoir pourquoi, l'écriture m'a rappellé Hunger Games ! On est toujours un peu perdu par moment avec la profusion de termes spécifiques* mais j'ai trouvé que l'action était bien dosée et les révélations vraiment sympa 😉

Le personnage de Paige est du genre de ceux qu'on apprécie : elle est forte, entêtée et aspire à être libre et à protéger ceux qu'elle aime. Les personnages secondaires cependant ne sont pas très mit en avant, on ne sait quasi rien d'eux alors qu'elle s'y attache très vite. Arcturus est assez intriguant, j'aime beaucoup son rôle de mentor, même si sa relation avec Paige évolue assez rapidement vers la fin. Et le grand méchant dont je tairais le nom est comme je les aime : j'ai envie de le taper constamment.

Pour moi, ce roman est clairement une introduction. Il pose les bases pour ce qui arrive ensuite et même si parfois, les choses semblent précipitées, j'ai apprécié l'écriture et l'intrigue en général. Le monde de Scion-Londres est vraiment bien travaillé (même si on s'y perd un peu) et malgré les défauts de ce premier tome, j'ai hâte de lire le suivant ! 😉



*Petit tips : entre le roman et la nouvelle qui est à la fin, il y a un lexique ! Dieu que j'aurais aimé le savoir avant de finir le livre 😒
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The Bone Season, tome 1 : Saison d'os

En ce moment je suis dans une période où je prends un immense plaisir à lire de la fantasy et ça tombe bien, j'ai pas mal de bouquins qui m'attendent dans ma PAL et que je suis bien décidée à sortir. Je me suis naturellement penchée sur celui-ci car ça faisait déjà quelques temps qu'il me faisait de l'œil. Depuis le Prieuré de l'Oranger, j'attendais avec impatience cette saga et j'ai finalement traîner à m'y mettre, mais pourquoi diable?!!



Surtout que comme je l'ai dit en story, j'ai eu un gros coup de coeur pour ce 1er tome d'une saga qui s'annonce, à mes yeux, ouffissime 🤩.



Ce livre est juste fabuleux. Je ne sais pas comment retranscrire le sentiment de satisfaction et de béatitude que j'ai eu en le refermant, sans paraître exagérement enjouée. Mais ce livre m'a transportée à un point, c'est juste dingue! Je n'ai rien vu passer. Chaque fois que je l'ai posé je n'avais qu'une hâte, y retourner de nouveau.



C'est super bien écrit, l'histoire est canon. De la dystopie dans un monde totalitaire, rien que ça présageait déjà un récit très dynamique avec des tas de rebondissements et c'est exactement ce que j'y ai trouvé.



J'ai bien entendu adoré l'héroïne, et cette fin m'a laissée sur ma faim, c'est le cas de le dire. Je me suis empressée de me procurer le tome 2, impossible d'attendre surtout que visiblement dans ce 2ème volet, on change de décor ; mais je vous l'annonce, pour la première fois de ma vie, je ne lis pas la 4e de couverture avant de commencer ma lecture. C'est vous dire à quel point je suis toute excitée à l'idée de m'y remettre et que j'ai juste envie de me laisser porter par le flow de cette aventure.



Il ne fera pas long feu, je pense vous en parler très bientôt.
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