Tom Kerr a été reconnu coupables de plusieurs meurtres, il est condamné à la peine maximum mais peut espérer sortir s'in indique à la police l'emplacement du corps d'une de ses victimes qui n'a jamais été retrouvé. Il sort donc de prison sou bonne surveillance pur une reconstitution. Mais rien ne va se passer comme prévu et Wisting va devoir reprendre la chasse à l'homme.

Mon premier polar dans cette série, une intrigue assez classique pour un roman qui tient tout de même bien la route.

William Wisting, inspecteur de police norvégien, est sollicité pour une affaire un peu délicate. En effet, après la mort d'un ex-ministre du pays, neuf cartons remplis de devises étrangères, sont découverts dans une chambre fermée à clé, dans le chalet de vacances de celui-ci. Tous les cartons sont intacts. Personne ne semble avoir touché à l'argent, identifié comme n'étant pas récent.

D'où viennent ces millions ? Pourquoi sont-il enfermés dans cette chambre ?

D'autant qu'un incendie se déclare dans le chalet peu après la mise en lieu sûr des cartons par l’inspecteur.

Il ne semble pas avoir déjà lu des enquêtes de cette série, mais je vais continuer.

J'ai apprécié le ton lent sans être pesant, les personnages proches de nous, les dialogues courts et précis, le tempo enlevé mais pas speed.

A suivre de près...
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Le code de Katharina est le premier livre de Jorn Lier Horst que je lis. Il nous emmène suivre l'inspecteur Wisting, qui ne lâche rien après plus de vingt ans d'enquête sur une disparition, celle de Katharina, qui a laissé un message bien mystérieux avant son "départ".

Un polar nordique correct avec une intrigue plutôt haletante, mais on s'y perd un peu dans les personnages et la relation entre l'inspecteur whidtings et sa fille n'est pas assez développée et du coup passe pour très froide, très distanciée. Je préfère nettement l'ambiance d'un Arnaldur indridasson, dans le genre polar 'nordique.

Coup dur pour le commissaire William Wisting qui voit son intégrité remise en question par l'avocat de Rudolf Haglund. Pour l'homme de loi, il ne fait aucun doute que son client a été condamné à tort, grâce à des preuves falsifiées. Après dix-sept ans de prison pour enlèvement et meurtre, Haglund mérite enfin justice ! A cette époque, Wisting était le chef de l'enquête, c'est donc vers lui que se tournent les soupçons.

Ciblé par la presse, lâché par sa hiérarchie, le commissaire est suspendu de ses fonctions. Alors le policier fait ce qu'il sait faire de mieux : il enquête. Ses vieux dossiers sous le bras, il va disséquer l'affaire afin de déceler les incohérences, les fausses pistes, les maladresses. Si au commissariat, ses collègues sont trop pris par un nouveau cas d'enlèvement pour pouvoir lui venir en aide, il peut compter sur sa fille Line pour le soutenir. La journaliste ne doute pas un instant du professionnalisme et de l'honnêteté de son père et lui prête main forte pour découvrir le fin mot de l'histoire.



Les chiens de chasse, ce sont ces policiers qui, une fois leur suspect identifié et leur intime conviction faite, se mettent sur la piste des indices concordants, ne lâchant leur proie qu'une fois toutes les pièces du puzzle emboitées, et au diable les autres pistes !

Mais Wisting va avoir affaire à d'autres chiens de chasse : les journalistes trop heureux de clouer au pilori une figure de la police, de mettre à mal sa réputation, de l'accuser de tous les maux.

Pour se blanchir et pour rétablir la vérité, Wisting mène sa minutieuse enquête dans les décors fouettés par les vents des côtes norvégiennes.

En orfèvre de l'intrigue et en grand connaisseur des procédures policières, ayant lui-même fait partie des forces de l'ordre, Jørn Lier Horst nous entraîne dans ce cold case prenant, dans un savant mélange entre enquêtes et vie privée de son héros. On apprécie particulièrement ses liens très forts avec sa fille journaliste. Aussi pugnace que son père et ne craignant aucun péril, la loyale Line mène ses propres investigations et tente de préserver son père des unes un peu trop racoleuses.

Encore un bon polar venu du froid avec des personnages récurrents de plus en plus attachants.

« Fermé pour l'hiver » Jørn Lier Horst, (Folio, 430 pages)

Comme tant de polars, celui-ci est fait pour rendre accro et tenir le lecteur plus ou moins haletant jusqu'au bout. Paris a moitié réussi, ou à moitié raté. Je suis allé au bout des 430 pages, mais j'ai quand même trouvé ça longuet, avec abondance de détails superfétatoires, 300 pages auraient largement suffi, même pour cette intrigue qui se déploie dans tous les sens, de la Norvège à la Lituanie. Bon l'inspecteur Wisting est sympathique, sa fille journaliste (bien sûr) aussi, mais sans guère d'épaisseurs, tous les deux très «uniformes», tout d'une pièce ; la psychologie un peu complexe n'est guère de la compétence de l'auteur. Les 30 dernières pages signent néanmoins deux jolis rebonds de clôture. Mais l'écriture est assez plate, avec quelques coquilles de traduction (le méchant ne porte-t-il pas une mitraillette en bandoulière plutôt qu'une mitrailleuse ?)

Premier épisode d'une série du héros William Wisting; je ne suis pas vraiment certain d'en lire d'autres, malgré le suspense.

Bonjour,



Tom Kerr a été condamné à 21 ans de réclusion pour le meurtre de plusieurs femmes. Lors d'une reconstitution, il est menotté et suivi de près par les services de police qui le surveillent comme le lait sur le feu. Mais malgré tout, il arrive à s'enfuir. Un important dispositif est mis en place pour retrouver le fugitif. L'enquête est confiée à plusieurs services de police qui œuvrent ensemble. Wisting est l'un d'eux. Pas facile de retrouver un criminel qui est le mal incarné avec une enquête des services internes sur le dos.



Ma découverte des polars nordiques commence avec celui-ci et franchement ça envoie du lourd. J'ai adoré, je l'ai dévoré d'un coup d'un seul. D'entrée, le premier chapitre nous mets dans cette ambiance qui ne va faire que s'accroitre au fil du récit. Les détails ajoutent une espèce de réalisme déconcertant qui fait que vous êtes inévitablement accro à ce que vous lisez, c'est tellement visuel qu'on a aucun mal à s'imaginer la scène qui se déroule sous nos yeux.



Les personnages sont très bien décrits. L'auteur n'est pas tombé dans la caricature propre au genre. Les protagonistes restent humains, avec leurs failles et leur force, tout en imposant leur personnalité singulière. Le côté Norvégien, nouveau pour moi, va comme un gant à cette enquête qui n'en est pas moins complexe. La traque de Tom Kerr est haletante, c'est une course poursuite en continue, pas de temps mort, pas de rebondissements à l'américaine, tout s'enchaîne simplement comme on enfile des perles.



J'ai aimé également le côté psychologique évoqué, l'explication du mal qui habite notre tueur est complexe, la notion de cette pathologie trouve son origine dans cette cruauté dont il fait preuve sur ses victimes. Une narration comme un récit très bien ficelés, et qui m'a conquise ! Je vous invite à lire ce livre, cet auteur est doué, une maîtrise parfaitement orchestrée de son récit qui met en émoi tous nous sens. Un excellent moment de lecture que je n'ai pas vu passé tellement c'était passionnant !



Bonne lecture amis lecteurs
Lien : https://lecture-chronique.bl..

Plus je lis cet auteur Jorn Lier Horst et plus j'adore. Ce livre est un bon roman policier, solide, clair, cohérent. On sent d'ailleurs le passé de policier de l'auteur : cette précision, cette rigueur. On mène l'enquête pas à pas avec l'inspecteur William Wisting qui est chargé d'une mission par le procureur de Norvège. Bernhard Clausen, homme politique vient de décéder et l'on découvre chez lui une gigantesque somme d'argent. D'où vient cet argent ? C'est ce que Wisting doit découvrir. Il sera aidé comme d'habitude de sa fille Line qui jongle avec travail et l'éducation de sa fille Amalie. Bientôt d'autres fils se rejoignent : la disparition de ce jeune garçon Simon Meier près du lac Gjersjoen, un braquage le même jour.

An lisant ce livre, on se sent devenir enquêteur aux côtés de Wisting, Mortensen, Line ... Chouette !