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EAN : 9782234072008
250 pages
Stock (01/06/2012)
3.29/5   51 notes
Résumé :
Sagan et fils

Françoise Sagan est morte le 24 septembre 2004. Elle laisse une dette fiscale de plus d’un million d’euros et une œuvre, composée d’une trentaine de romans et d’une dizaine de pièces de théâtre, sur le point d’être purement et simplement liquidée. Sagan est en passe de disparaître deux fois quand Denis Westhoff, son fils unique, décide, en 2006, d’accepter cette succession empoisonnée, hors norme. Un vrai parcours du combattant qui le co... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (23) Voir plus Ajouter une critique
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Étrangement, je n'ai jamais lu aucun livre de Françoise Sagan, même le" scandaleux: Bonjour Tristesse. Mais, il y a plusieurs années, j'ai entendu sur les ondes de France Inter, le timbre d'une voix d'homme très émouvant qui parlait de sa mère.
Cet homme, c'était son fils, c'est pourquoi j'ai voulu lire ce livre.
Denis Westhoff, à travers le récit de la vie de sa mère et ses souvenirs , nous livre aussi les siens, notamment ses séjours à Equemauville, un manoir en Normandie acquis par Sagan. C'est avec des accents proustiens qu'il nous en parle:
"C'est à Equemauville que j'ai appris à reconnaître ce bruit particulier du vent dans les hêtres, le soir, et qui voulait dire que le temps allait changer"
La Rercherche fut lue,relue et aimée par Françoise Sagan, au point que son nom de plume: Sagan est le nom d'un des personnages de Proust: le prince de Sagan.
Exercice difficile pour Denis Westhoff de nous parler de sa mère, personnage tellement public.
Je pense que l'écriture de ce livre lui a permis de se réapproprier cette femme qui était pour lui sa maman.
Bel hommage lui est rendu.
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Entrer dans l'univers de Françoise Sagan par les souvenirs de son fils, voilà une accroche qui m'avait attirée. Malheureusement, je n'ai pas été touché par le récit de Denis Westhoff qui n'apporte grand chose, sinon celui de glorifier la vie de sa mère (ce que l'on peut comprendre). Sagan croquait la vie à pleines dents : l'argent dépensée sans compter, les belles voitures, la une des chroniques mondaines de façon régulière, rien de bien nouveau. Alors, certaines anecdotes nous font sourire, d'autres nous attriste quelques peu. Mais ce récit, bien trop sage, bien trop lisse n'est qu'un hommage sincère du fils parfois délaissé mais aimé et protégé par l'auteur de « Bonjour tristesse ».
Un récit sans grand intérêt pour mon goût.
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« Sagan, Françoise. Fit son apparition en 1954, avec un mince roman, Bonjour tristesse, qui fut un scandale mondial. Sa disparition, après une vie et une oeuvre également agréables et bâclées, ne fut un scandale que pour elle-même. »

Lorsque Françoise Sagan disparaît en 2004, elle laisse 20 romans, des nouvelles, des témoignages. Mais elle laisse aussi et surtout plus d'un million d'euros de dettes qu'elle doit à l'État. Son fils Denis Westhoff a donc deux choix : refuser l'héritage pour ne pas se charger de ce fardeau; ou l'accepter et défendre sa mère et son oeuvre.

« J'aurais pu refuser la succession mais la seule idée que les droits sur son oeuvre allaient être vendus aux enchères par l'État m'était insupportable. »

Comme vous le savez peut-être, Denis Westhoff finit par accepter : près de 10 ans plus tard, la succession est presque réglée. Il a créé le prix Sagan. Il est parvenu à récupérer la plupart des droits d'auteur, laissés en jachère par les différents éditeurs, pour rééditer l'oeuvre, chez Stock en particulier.

Aujourd'hui Sagan est traduit dans le monde entier, ses ouvrages sont réédités et reconnus. Son fils peut donc se considérer victorieux. Mais il restait à fermer le caquet des critiques une bonne fois pour toute : cette biographie y parvient, à la manière d'un plaidoyer ferme et aimant envers une femme qu'il a toujours admiré et qui fut une bonne mère.

Dans ces quelques deux cent pages, nous retrouvons ce qui fait la "légende Sagan" : les voitures de course, la vitesse, le jeu, l'alcool. Mais nous découvrons également une Sagan intime, qui aménage sa maison de vacances, qui rencontre le père de Denis. Loin de la Sagan flambeuse, qui se mit elle-même sous tutelle pour qu'on l'aide à contrôler son argent. Plus proche d'une femme qui voulut toute sa vie être libre, qui a rejeté la conformité de tout poil, qui a refusé un siège à l'Académie française.

"elle considérait que la gloire, les récompenses, les honneurs, les médailles étaient incompatibles avec son métier, ses convictions, ses envies et ses passions. Elle leur trouvait un côté figé, définitif, immuable, en contradiction totale avec l'esprit et la vie d'un écrivain."

Bien que cette biographie ait un parti pris évident – et à quoi s'attendre d'autre de la part d'un fils ? – elle nous offre aussi ce que seul un fils pouvait voir et savoir : les fragilités d'une femme, ses doutes, mais également sa tendresse, sa gentillesse, sa force d'âme. Et son catéchisme, d'un optimisme et d'un altruisme irrésistibles :

"La seule manière de prendre la vie : comme un opéra comique déjà joué dont on connaît la fin. En espérant désespérément – non pas bien sûr qu'on va survivre, ou qu'on a une chance de s'en tirer [...] mais en se servant de son imagination. Parce que l'imagination, c'est le départ de la compréhension."
Lien : http://missbouquinaix.wordpr..
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C'est en feuilletant A la recherche du temps perdu que Françoise Quoirez emprunta son patronyme au Prince de Sagan. Voilà le genre d'anecdote que relate Sagan et fils, la biographie que lui consacre son fils unique Denis Westhoff qui se veut ici "redresseur de torts de biographies" et remet bien des pendules à l'heure.
Témoignage de son vécu auprès d'une mère devenue "légende" pas toujours présente, portrait d'une flambeuse brûlant la vie par les deux bouts de bolides en dettes, de scandales en "addiction au palfium", mais aussi hommage pour rétablir la vérité sur celle qui fut tant décriée, Sagan et fils se doit de rétablir l'image d'une romancière imaginative,cultivée et pétillante d'intelligence doublée d'une femme souvent déçue ou trahie en amitié car trop naïve, d'une insoumise à "la vie dissolue", d'une amoureuse passionnée.
Elevé le plus souvent par ses grands-parents aimants, épaulé par un père américain d'origine un coup officier, un coup traducteur ou mannequin, soucieux de son rôle,mais alcoolique,Denis Westhoff ne semble pas avoir souffert d'un manque d'amour maternel de la part de celle qu'il admirait.
Il parle ici des drames qui ont endeuillé la vie de Françoise Sagan,de sa "cour",de la maladie,des ragots colportés sur son compte,de son implication dans l'affaire Elf,du manque d'argent mais il parle surtout de Sagan "mise au placard" trop vite, de son "style concis" , "de l'équilibre profond de ses phrases" pour réhabiliter la plume unique de Bonjour Tristesse et lui permettre un nouvel envol!
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Il était difficile ces dernières années de trouver des livres neufs de Françoise Sagan. Ils avaient comme disparu des librairies et même parfois des rayons des bibliothèques où seuls demeuraient quelques-uns de ses trente romans et de sa dizaine de pièces de théâtre, des volumes déjà quelque peu jaunis. C'est que les éditeurs les négligeaient jusqu'à ce que son fils, Denis Westhoff, accepte sa succession, en 2006, deux ans après le décès de sa mère qui lui laissait une dette de plus d'un million d'euros.
J'ai beaucoup lu Sagan et aimé plusieurs de ses livres. J'ai suivi sa vie d'un peu loin, comme beaucoup, souvent plus à travers les potins des médias qu'en découvrant ses derniers livres d'où mon intérêt pour cette biographie filiale avec laquelle je viens de passer un moment très agréable.


Raconter la vie de sa mère ou plutôt sa vie avec sa mère, ou encore ce que l'on croit savoir de la vie de sa mère? Pas si simple! Je me mets un instant à sa place et je reconnais mon impuissance et surtout mon manque d'envie. Retourner si loin en arrière, jusqu'à la petite enfance de sa mère, replonger dans son passé d'aussi près, écarter l'infinie nostalgie qui s'insinue déjà rien qu'en feuilletant les albums de photos...non, décidément, j'en suis bien incapable. Denis Westhoff a réussi ce double tour de force de rester fidèle à ses souvenirs avec Françoise Quoirez, le vrai nom de Sagan, sans froideur ni excès d'émotion.

La couverture est bien choisie qui montre la mère et le fils, si jeunes tous deux, jetant le même regard sur ce qui semble un album de BD: tendresse et complicité!
Cependant, aucun sujet ne semble évité ensuite. Tout ce qu'on a pu entendre ici et là sur Sagan est évoqué, par souci d'authenticité et parfois aussi pour rétablir la vérité, celle d'un fils qui était là lui aussi dans les moments forts de la vie d'une mère un peu particulière et qui trace des portraits très précis des principaux acteurs de sa vie sans jamais se montrer lourd, vindicatif ou ennuyeux.
Ce livre, je l'ai lu comme un roman, avec le même plaisir et les mêmes émotions, doublées de l'impression de revivre aussi des épisodes de ma propre vie puisqu'après tout Françoise Sagan fait partie des célébrités qui m'ont intéressée. Ce qui lui arrivait, en bien ou en mal ne me laissait pas indifférente. J'ai appris bien des détails et des réalités essentielles de sa vie qui m'étaient totalement inconnues jusqu'ici, sur l'origine de son addiction à la morphine par exemple, sur ses liens avec le père de son fils et surtout sur sa dernière compagne. J'ai d'ailleurs bien envie de relire au moins Bonjour tristesse maintenant. Ce sera la deuxième fois, à des années de distance: une expérience à tenter mais je n'ai plus mon livre, disparu mystérieusement comme bien d'autres dans les méandres de mes déménagements. Il doit être en Poche maintenant.
Une belle lecture.
Lien : http://liratouva2.blogspot.f..
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critiques presse (6)
Bibliobs
09 juillet 2012
[Denis Westhoff] a attendu d’avoir 50 ans pour écrire ce livre d’amour et d’admiration. D’amour pour une mère à laquelle il prête d’insoupçonnées vertus maternelles; d’admiration pour l’immarcescible romancière des lits défaits, des pianos dans l’herbe et des orages immobiles.
Lire la critique sur le site : Bibliobs
LeSoir
25 juin 2012
Sagan et fils est une belle évocation, chronologique, de la romancière, de la femme et de la mère.
Lire la critique sur le site : LeSoir
LesEchos
19 juin 2012
« Sagan fils » fourmille d'anecdotes charmantes - le mainate de sa grand-tante du Lot qui chante « La Marseillaise » à l'arrivée de Georges Pompidou ; la petite chèvre Carmen achetée à un dompteur dans la rue et qu'elle fait grimper dans sa Ferrari […].
Lire la critique sur le site : LesEchos
LePoint
06 juin 2012
On glanera ainsi, au fil de pages pâlichonnes, plusieurs informations non négligeables pour saganosophes avertis […].
Lire la critique sur le site : LePoint
LaLibreBelgique
30 mai 2012
Avec son témoignage qu’on sent sincère, cet homme […] n’a, insiste-t-il, pas eu "pour ambition de dire la vérité sur Sagan, mais une vérité". Dont acte.
Lire la critique sur le site : LaLibreBelgique
Telerama
23 mai 2012
La tendresse, la dilection sont les formes qu'emprunte la piété filiale dans ce récit, qui tient moins de la biographie que du portrait intime joliment saturé d'affection.
Lire la critique sur le site : Telerama
Citations et extraits (23) Voir plus Ajouter une citation
Ma mère et moi avons partagé trente vraies années de gaîté, d'inattendu, d'intelligence, d'humour, d'esprit, d'idées. C'est notre entente (...) qui nous faisait nous rejoindre sur autant de sujets, partageant un même enthousiasme ou une même indignation. C'est au nom de cette complicité et de cette entente si pétillante, si vivante, que je me devais de corriger ces mythes , de redresser certains de ces miroirs déformants qui reflétaient une vérité qui n'était pas la sienne,ignorant son entrain, son imagination, son audace, sa liberté. Je veux bien les mythes, je veux bien la légende, encore faudrait-il qu'ils fussent vraisemblables et conformes à ce que fut ma mère.
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Son sens de la répartie, aussi saillant que son esprit était vif, ne l'empêchait pas, parfois, d'éluder une question lorsqu'elle la jugeait sans intérêt ou déplacée. J'ai eu l'occasion d'assister à certaines de ses interviews au cours desquelles il suffisait qu'elle fût un tant soit peu agacée par la sottise d'une question pour qu'elle prît soudain un air distrait et ne répondît pas, ce qui installait une sorte d'étrange temps suspendu où tout le monde attendait : elle, que le journaliste posât la question suivante, et le journaliste, qui souvent n'avait pas compris, qu'elle répondît à celle en suspens.
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Les temps sont durs depuis que Sagan n’est plus là pour faire des bêtises. La légende Sagan n’a plus la vie facile. D’une certaine manière, et un peu par la force des choses, aujourd’hui c’est moi qui l’ai récupérée, (recueillie). Je ne peux pas dire qu’elle ne soit pas agaçante, avec sa manie de répéter tout le temps les mêmes histoires, mais au fond elle est plutôt gaie et assez confortable. Gaie parce qu’il est vrai, disait ma mère, que « boîtes de nuit, whisky et Ferrari valent mieux que cuisine, tricot et économies », et confortable parce que les gens ont tendance à s’y conformer. Cette légende me fait penser à une colocataire bavarde, un peu encombrante, mais toujours de bonne humeur, à qui vous confiez vos visiteurs les plus barbants, ceux dont vous ne parvenez plus, en fin de soirée, à vous dépêtrer. Mais le principal attrait de cette légende – et ce qui la caractérise très particulièrement par rapport à ma mère – est qu’elle a un tas, je dirais une multitude d’histoires à raconter. Je crois qu’il existe peu de personnalités – de « pipaule » comme j’ai vu un jour écrit dans la presse – dont la légende soit aussi riche, aussi variée, et dont la vitalité et la longévité soient telles. Au faîte de la gloire de ma mère, au cours des mois puis des années qui ont suivi Bonjour tristesse, la légende avait pris une telle ampleur qu’elle avait pratiquement phagocyté son nom et le fait qu’elle fût écrivain. Sagan n’était plus qu’une légende. On pourrait presque dire qu’une légende était Sagan.
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"La seule manière de prendre la vie : comme un opéra comique déjà joué dont on connaît la fin. En espérant désespérément – non pas bien sûr qu’on va survivre, ou qu’on a une chance de s’en tirer [...] mais en se servant de son imagination. Parce que l’imagination, c’est le départ de la compréhension."
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Avec elle,ont été emportés ses personnages aux vies que l'on qualifiait d'aisées,d'insouciantes et souvent de futiles.Mais en relisant ses livres,je retrouve un désir de vivre et un besoin d'aimer chez chacun de ses personnages qui,eux,ne sont pas prêts de nous quitter.
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Videos de Denis Westhoff (10) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Denis Westhoff
« Avouez qu'il m'était difficile en 1954 (mon heure de gloire) de choisir entre les deux rôles qu'on m'offrait : l'écrivain scandaleux ou la jeune fille bourgeoise. Car enfin, je n'étais ni l'un, ni l'autre. » (Françoise Sagan, Des bleus à l'âme)
« […] C'est l'héritière des panthéistes, des provocantes, des libertaires George Sand et Colette (Colette est née trois ans avant la disparition de Sand, et elle est morte en 1954, l'année de Bonjour tristesse). Étonnez-vous qu'elle séduise tant ! […]  Professionnelle de la liberté, chantre de l'égalité, experte en fraternité, notre héroïne à la blonde frange revêche, au rire gamin, au drôle de parler confus, s'acquitte du rôle que le demi-siècle et la vox populi lui ont octroyé, avec une désarmante gentillesse. […]» (Jérôme Garcin, Littérature vagabonde, Éditions Flammarion, 1992)
« […] À l'époque de mes premiers livres, les journaux m'accablaient de propos malveillants et me prêtaient des propos ridicules. J'avais beau limiter mes réponses dans les interviews à “ oui ” ou “ non ”, je ne cessais de retrouver, sous mon nom, des phrases que je n'avais jamais prononcées. […] Désormais, je reste de marbre devant les commérages. […] Mis à part le fait que je ne peux plus boire aujourd'hui, pour des raisons médicales, j'ai la chance de vivre comme je l'ai toujours souhaité, c'est-à-dire libre.  […] » (Idem)
« […] Parmi ses nombreuses preuves de civilité, nous avons noté : […] qu'elle s'excuse volontiers d'écrire court et facilement ; qu'elle n'a pas la grossièreté, en littérature, de vouloir faire « nouveau » ; et que, si elle consent à se trouver du talent, elle donne du génie à ses meilleurs amis. On ajoutera qu'elle pousse le savoir-vivre jusqu'à ne pas disserter en public sur la mort. […] […] elle persiste, tout compte fait, à préférer dépenser son existence que la raconter, entretenir l'amitié que son compte en banque, inventer des histoires que commenter la querelle de Maastricht ; et elle n'en finit pas d'aimer les accélérations : en amour, en voiture, dans les livres, et dans son coeur. Morale provisoire : il faut battre la chamade pendant que la vie est chaude. […] » (Idem)
« J'ai porté ma légende comme une voilette. Ce masque délicieux, un peu primaire, correspondait chez moi à des goûts évidents : la vitesse, la mer, minuit, tout ce qui est éclatant, tout ce qui est noir, tout ce qui perd, et donc permet de se trouver. » (Françoise Sagan, Je ne renie rien)
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Référence bibliographique : Françoise Sagan, Aphorismes et pensées, sélection de Denis Westhoff, Éditions Julliard, 2021
Image d'illustration : https://www.brut.media/fr/entertainment/une-vie-francoise-sagan-c3354566-e153-4e3d-a2a5-a09984cd87f7
Bande sonore originale : MusicLFiles - Background Nostalgic Piano Background Nostalgic Piano by MusicLFiles is licensed under a CC-BY attribution license.
Site : https://filmmusic.io/song/6925-background-nostalgic-piano
#FrançoiseSagan #AphorismesEtPensées #LittératureFrançaise
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