Une autre facette de l'histoire car il y a toujours deux partis et si l'on a l'esprit suffisamment ouvert ce n'est pas toujours noir ou blanc. On y découvre aussi que les nazis n'ont pas tout inventé. A lire si on aime l'histoire.
Je rajoute un chapitre à ma critique car quand j'ai lu ce livre voir que des français en tuaient d'autres m'avait choquée et je n'avais pas mis de citations tant j'étais perplexe. Finalement, j'ai décidé d'en parler, on vient de me donner un livre qui traite du même sujet dont je parlerais plus tard. Et puis cette histoire se passait au dix-huitième siècle et au vingtième siècle durant la seconde guerre mondiale pour des raisons différentes des français ont encore tué des français peut-être qu'en parler permet de réfléchir. Quelle est l'utilité de tels massacres ?
Pour ma part, la seule Révolution qui m'est inspirée le respect est celle de Gandhi faite sans effusion de sang car il a suivi ces convictions jusqu'au bout. C'était un pacifiste et un non-violent qui devrait nous donner matière à réflexion dans nos actions car nous sommes au vingt et unième siècle maintenant.
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Quand se déchaîne la Bête immonde, le monde ne sait plus rien que compter ses silences complices. Quand revient le temps de la parole, parfois deux siècles après, l'immonde devient inavouable : Nous ne savions pas. Apologie de crime de guerre par manque d'information.
Les révolutions commencent toujours par les puristes et les juristes ; elles se terminent toujours sans eux.
La Révolution, c'est bien sûr et d'abord la Déclaration des droits de l'homme, sortie de ce vieux pays judéo-chrétien qu'est la France, reçue par les nations modernes comme un texte augural, charte de la dignité qui a fait le tour du monde, message universel qui faisait dire à Clémenceau : La France hier soldat de Dieu, aujourd'hui soldat de l'Humanité, sera toujours le soldat de l'Idéal.
Il s'agit ensuite de supprimer toutes les populations, toutes générations, tous sexes et toutes opinions confondus : on supprime les enfants, parce que ce sont de futurs brigands.
On supprime les femmes, parce que ce sont des sillons reproducteurs et qu'il faut briser la chaîne de la vie.
Je suis né sur les rives de la Boulogne, petite rivière lyrique rougie du sang de ses riverains ; tout près du village des Lucs-sur-Boulogne. C'est là que le 28 février 1794, furent massacrés 564 innocents, exclusivement des femmes, des vieillards et des enfants ; ils étaient enfermés dans l'église du Petit-Luc, où ils récitaient leur chapelet.
« L'Histoire vous attend au Puy du Fou », voici la promesse faite par le parc à ses 2 millions de visiteurs annuels. L'Histoire, vraiment ?
Quatre historiens et historiennes, Mathilde Larrère, Pauline Ducret, Florian Besson et Guillaume Lancereau ont enquêté.
Découvrez « le Puy du Faux » (https://arenes.fr/livre/le-puy-du-faux/), une enquête minutieuse qui révèle, derrière les effets spéciaux et les décors somptueux, la bataille culturelle menée par le parc et son fondateur, Philippe de Villiers, pour réécrire l'Histoire de France.
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