Paul Vialar/5
4 notes
Résumé :
Déçu et abandonné par celle qu'il aimait, Jacques, un jeune Parisien de l'Ile Saint-Louis, est parti pour la Côte-d'Ivoire, en quête d'oubli et d'aventures La rencontre, en brousse, d'un grand chasseur chevaleresque, Pranget, décide le jeune homme à devenir guide de safaris en compagnie d'un camarade de rencontre, hippie à qui la chasse fera découvrir une raison de vivre.
Au cours d'un safari aux péripéties tragiques, une idylle se nouera entre Jacques et Isa... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1)
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La photo correspond bien au livre que j'ai lu. Par contre, le résumé éditeur proposé sur la page n'a rien à voir.
Voilà le mien : Monsieur Dupont est mort. Seize mois après, son associé Liebert, accusé d'assassinat, est au tribunal pour y être jugé. Vont défiler à la barre, la femme de Dupont, sa maîtresse, ses enfants, son comptable, le courtier, la concierge. Chacun jure de dire la vérité, rien que la vérité. Mais ce sera la vérité qui les arrange.
On remonte dans le temps dans la classe bourgeoise aux réactions qui me paraissent antédiluviennes. La construction de l'intrigue est on ne peut plus classique. A chaque personnage son chapitre et sa vision des choses.
Le juge et ses assesseurs ne sont pas sympathiques et on se dirige vers un jugement douteux. La fin est réussie.
Paul Vialar n'a épargné personne. Ni les valets ni les maîtres.Cinquante ans après, cela semble bien dépassé.
Voilà le mien : Monsieur Dupont est mort. Seize mois après, son associé Liebert, accusé d'assassinat, est au tribunal pour y être jugé. Vont défiler à la barre, la femme de Dupont, sa maîtresse, ses enfants, son comptable, le courtier, la concierge. Chacun jure de dire la vérité, rien que la vérité. Mais ce sera la vérité qui les arrange.
On remonte dans le temps dans la classe bourgeoise aux réactions qui me paraissent antédiluviennes. La construction de l'intrigue est on ne peut plus classique. A chaque personnage son chapitre et sa vision des choses.
Le juge et ses assesseurs ne sont pas sympathiques et on se dirige vers un jugement douteux. La fin est réussie.
Paul Vialar n'a épargné personne. Ni les valets ni les maîtres.Cinquante ans après, cela semble bien dépassé.
Video de Paul Vialar (1)
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18 mai 1976
Paul Vialar présente et joue avec ses chiens, Quick et Ismaël, Cocker Spaniel. Il parle également d'Isidore le Cocker qu'il a offert au Shah d'Iran. Il parle de l'importance des chiens dans la vie des hommes qui apportent énormément d'amour. Le Cocker Quick caliné par le petit fils Edmond. Images d'archive INA
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