En réalité les tomes 37 et 38 forment un tout. On reprend l'histoire après la mort de Bob Morane, avec l'arrivée tardive de Bill Ballantine, qui jure de poursuivre Ming jusqu'en Birmanie, où il est censé se replier, et de le tuer. C'est une première que le personnage de Bill ait la vedette ! Après beaucoup de rebondissement, d'attaques diverses et variées, Bill se rend compte qu'un mystérieux duo lui sauve toujours la mise, un mendiant lépreux accompagné d'une jeune femme. Arrivé dans le repaire de Ming, Bill est fait prisonnier par celui-ci et voit sa dernière heure arriver. Il sera de nouveau sauvé par ce mystérieux duo, qui, bien sûr, n'est autre que Bob et Tania Orlof,la nièce de Ming, ils réussiront à délivrer l'humanité de la puissance malfaisante de Ming. (On parie qu'il ressurgira ?)
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Dans ce nouvel épisode du cycle de l'Ombre Jaune, ce n'est plus Bob Morane mais l'ami Bill Ballantine que l'on suit à la poursuite du terrible Ming. Son but : venger Bob Morane tué dans l'épisode précédent en traquant l'Ombre Jaune jusqu'à son repaire au fin fond de la Birmanie. le nouveau héros a des ennemis nombreux, mais aussi des alliés qui lui permettront finalement de vaincre son ennemi juré et de découvrir que comme on s'y attendait, Bob Morane n'est finalement pas mort et prêt à continuer de se battre "contre tous chacals".
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Fou de douleur, après la disparition de Bob Morane, Bill Ballantine jure de venger son ami. Nanti de maigres indices, Bill s'enfonce dans la jungle birmane, à la recherche du repaire de l'Ombre Jaune.
D'innombrables ennemis se dressent sur sa route : les Dacoïts, le serpent Hamadryade, les sectes fanatiques des monts Naga...mais chaque fois un mystérieux allié lui vient en aide !
(quatrième de couverture du volume paru aux éditions "Marabout Junior" en 1960)
Le grand hall du "Strand Hôtel", à Rangoon, présentait ce soir-là son agitation coutumière, offrant le même spectacle bariolé que les autres jours avec la foule haute en couleur qui s'y pressait, fluant et refluant en tous sens, sans ordre apparent, poussée par le seul caprice absurde du hasard.
Henri Vernes 3 romans méconnus