Ok... je sais, que Danielle Steel c'est le bon vieux roman à l'eau de rose, désuet et plein de bons sentiments....
Mais si moi, ça m'a fait du bien les bons sentiments ? Ça gène qui ?! Hein qui ?? Que celle qui n'a jamais ouvert un livre Harlequin me jette la première pierre !!!
Bref, "Le pardon" de Danielle Steel n'est pas la dernière lecture à la mode qu'on est super fière de citer lors des dîners branchés, ce n'est pas non plus le roman qui a reçu les éloges de Télérama. (Mais peut-être que chez Télérama, ils devraient s'y mettre à lire du Danielle Steel !)
Cette lecture ne m'a certainement pas rendu plus intelligente, elle m'a seulement permis de me divertir et de me faire rêver à un monde meilleur, un monde où tout le monde il est beau, riche et intelligent, un monde où tout est bien qui finit bien et où l'amour est plus fort que tout.
Cette lecture, elle m'a fait du chaud dans mon petit coeur de midinette, c'est pas grand chose mais parfois ça suffit.
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c'est un livre qui se lit bien, un peu gnan gnan mais on passe de bons moments; ce n'est pas un de ses meilleurs mais bon il se lit quand meme ; je le trouve gnan gnan car manque de finesse et de suspens mais il est bourré de bons sentiments, meme si je trouve qu'il est baclé par moments
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un beau livre facile lire et surtout reposant.
J'ai trouvé que c'était une belle histoire.
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Tout le monde est beau, riche, gentil, doué etc.
La vraie vie quoi !
Qu'ai-je appris avec ce livre ?
Qu'il y a des limites à l'eau de rose !
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Tôt ou tard, on finit par commettre les mêmes erreurs que nos parents, peu importe à quel point on les a critiqués : parce qu’en fin de compte, on est tous sujets aux mêmes faiblesses. La leçon à en tirer, c’est qu’il faut être indulgent et moins prompt à juger les autres.
— Ma chérie, tu n’as pas l’air de savoir que je suis une femme puissante. Partout dans le monde, les gens me craignent. Pourquoi ne m’obéis-tu pas ?
— Parce que tu es ma maman et je sais qu’il n’y a pas de raisons d’avoir peur de toi ; tu fais juste semblant d’être redoutable.
Le livre n’était ni un roman ni une histoire pour enfants, et elle n’aurait su dire s’il était d’une grande qualité littéraire – il pouvait s’agir de son meilleur comme de son pire ouvrage. Mais il venait du plus profond d’elle-même. Comme un rêve qui aurait sauté directement sur la page. Après avoir passé six semaines jour et nuit sur ce texte, elle le jugeait presque terminé. Personne n’en avait lu un seul mot. Comme d’habitude, Liz avait peur. Peut-être ce livre prouverait-il une fois pour toutes qu’elle n’avait pas de talent.
quelqu'un a dit un jour qu'être adulte, c'est accepter ses parents tels qu'ils sont. Or on voudrait que nos parents soient parfaits, qu'ils se montrent à la hauteur de nos idéaux. On ne leur fait aucun cadeau, et, d'un autre côté, on attend d'eux qu'ils ferment les yeux sur toutes nos erreurs. A un moment donné, cette asymétrie ne peut plus fonctionner. (p.177)
Elle avait honte de l’admettre, mais le retour sur terre était assez abrupt. Comme pour Cendrillon quand le carrosse redevient citrouille, et les cochers souris.