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sur 324 notes
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Dritzz ce héros.


Second tome de la première trilogie des royaumes oubliés. L'elfe noir.
Dritzz s'est exilé loin de sa cité et de sa famille qu'il a renié. Vivant comme chasseur ermite depuis 10 ans avec la seule présence de sa panthère astrale. Sa santé mentale en jeu, Dritzz va faire le pari, sur sa vie, du contact avec un autre peuple.


Plus qu'un roman de fantasy d'aventure,un livre d'aventure dont vous êtes le héros… Dritzz tire à chaque fois la bonne combinaison de dés pour trouver alliés et solutions à chaque étape de son périple.
Un bestiaire impressionnant va passer ou trépasser sous ses cimeterres.
C'est indéniablement violent, mais comme je l'ai dit dans la critique du premier tome, cela manque de cette noirceur qui aurait pu faire de la série une oeuvre majeure ou culte (pour moi).
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Dans ce second volet de la trilogie initiale de Drizzt, notre elfe noir, renégat de sa (pas si) bonne ville de Menzoberranzan a décidé de vivre dans le monde souterrain, très à l'écart de sa môman et de ses soeurs, toutes adeptes hardcore de la reine-araignée, qui n'est pas non plus très sympathoche...

Il va faire de multiples rencontres, ce qui va lui permettre de résister dans la chasse à l'homme dont il est la cible.

R.A. Salvatore possède une imagination puissante et multiforme. Il parvient à renouveler une grande partie du "bestiaire" de la fantasy, avec notamment des gnomes qui vivent selon des valeurs de respect qui ont tant manqué à Drizzt. Mais d'autres formes de vie, tout à fait fascinantes et parfois répugnantes, sont aussi au programme.

J'ai apprécié ce roman. Je lirai au moins le troisième qui forme un tout, je crois, avec les deux précédents.
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Englouti en un rien de temps ! Addictif, le Drizzt !

Je l'ai cependant trouvé un poil (pas grand chose, hein) moins bien que le 1, car Drizzt y est moins "fin", si j'ose dire, et j'ai davantage senti le "jdr" derrière le livre, avec de l'action pour l'action sans trop de raisons derrière. Bon après les monstres et les ennemis sont nombreux dans l'Outreterre, donc c'est aussi la normalité dans un monde aussi dangereux.
D'autant que Drizzt doit y survivre seul, après son exil volontaire. Seul ? Non. Sa panthère de compagnie l'aide à survivre. Mais la solitude, le second compagnon d'exil de Drizzt, et finalement le personnage le plus important pendant un moment au début du livre, pèse lourd dans la balance de la vie, et, très logiquement, Drizzt finit par ne plus la supporter et rechercher des compagnons, n'importe lesquels.

Il finira par en trouver, chez le peuple des gnomes qui a lui aussi des cités en Outreterre. Les personnages sont toujours aussi bons, surtout Caqueteur et Belwar. Leur psychologie n'est pas si superficielle et leurs actes parlent pour eux. Il sont vraiment bien dépeints, très attachants.

Côté "affreux", la famille Do'Urden fait toujours dans le lourd, surtout Malice, avec la complicité de Lolth, sa "reine araignée" qui est vraiment une saleté ! Et la compagnie de mercenaires dont je peine à me rappeler le nom (son chef, notamment) est formidable dans la duplicité au pays des traîtres professionnels !

La fin est excellente, j'ai vraiment adoré, malgré la tristesse qu'on peut ressentir.

Bref, tome 3, me voilààààààààààààà ! :D

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Voila 10 ans que Drizzt a fui Menzoberranzan et renié la Reine Araignée. Il a trouvé refuge en Ombre-Terre mais la solitude le ronge ; ses rares contacts avec Guenwhyvar, son amie d'un autre plan, ne suffisent plus, il est en train de devenir un monstre sans coeur, un chasseur impitoyable.
Mais lorsque l'elfe noir surprendra une expédition svirfnebeline et la traquera jusqu'à la cité de Blingdenpierre, l'heure du choix aura sonné.
Ce que Drizzt ignore, c'est que la Maison Do'Urden va faire appel au plus grand don de Lolth afin d'envoyer Zaknafein, son défunt père devenu un zombie sans pitié par le biais du Zin-Carla, traquer le renégat qu'il est devenu en éliminant tout sur son passage.

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Quel tome bien rempli ! Là encore, impossible d'arrêter ma lecture, de décrocher de cet univers et des aventures de Drizzt, de ses compagnons ou des drows maléfiques de Menzoberranzan.
Car la structure en parallèle proposée par R. A. Salvatore nous montre les deux tableaux séparés avec les liens qui les unissent. D'un côté, Drizzt va chercher et trouver des amis, de l'autre, Malice et son cadavre ambulant vont tout faire pour regagner les faveurs de Lolth.

On rencontrera, dans le désordre, un groupe de mercenaires drows prompt à changer de camp (même pendant la bataille), une cité gnomesque aux moeurs revigorantes, un rituel maléfique fort en surprises, des monstres divers et variés (dont les fameuses corbies kamikaze), des amis attachants et des ennemis détestables (saletés de poulpes mentalistes !), un zombie implacable aux soubresauts d'âme salvateurs jouant le rôle de nettoyeur (prenez-ça saletés tentaculaires !), et j'en passe.
Côté ambiance générale, c'est assez froid et fataliste quoi que réchauffé par de belles rencontres et de grandes surprises. L'amitié et la force de la fidélité façonnent Drizzt dans ce deuxième tome que je n'ai pas relu sans une certaine appréhension tant il m'avait attristé la première fois. Certains pleurent à la mort de Gavroche ou Valjean, moi je désespère du sort (c'est le cas de le dire) réservé au pauvre Caqueteur, pech transformé en porte-crocs ne pouvant être que le témoin impuissant de l'évolution de sa situation et de la perte de contrôle qu'elle engendre. Ça a un petit côté dégénérescence mentale inéluctable qui fait froid dans le dos. Bâtard de sorcier aux accents germaniques !

En résumé, une suite grandiose
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Salut les Babelionautes
Et Voila!! deuxième tome de la Saga de R. A. Salvatore dévorer, je suis devenus accroc, et comme ma Médiathèque les possèdent tous je vais m'empresser de les emprunter pour connaitre le destin de Drizzt Do'Urden.
Les Elfes comme les Humains ne peuvent pas vivres seul, au risque de sombrer dans la folie, c'est ce qui risque d'arriver a notre Héros après dix ans de solitude dans l'Ombre-Terre.
Heureusement il se fera des amis de créatures improbables, qui lui apporteront un équilibre qui l'aideront a lutter contre le chasseur impitoyable qu'il était.
Je l'ai lu dans sa version Milady traduite par Yann Chican donc je ne peux pas dire comme RosenDero laquelle des deux traductions est la meilleure mais je remercie quand même le traducteur sans qui je n'aurais pas pus découvrir cette Saga.
A la fin de ce livre il s'apprête a s'aventurer a la Surface!!!!!
Je vais de ce pas emprunter le reste ;)
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Impatiemment, je retrouve Drizzt, plus complexe et passionnant que jamais, dans ses aventures dans les mondes hostiles de l'OutreTerre.
En effet, pour survivre pendant dix ans dans un environnement hostile, et avec pour seule compagnie une panthère astrale, il a du laisser se développer en lui un coté sombre, violent, vindicatif et bestial : le Chasseur.
Seulement, si cette entité lui a assuré la survie, elle l'a aussi privé peu à peu de son humanité (la drowisité, ça sonnait bizarrement).
C'est pourquoi, dans un geste désespéré pour la regagner, il cherchera asile auprès des Svirfneblin, ennemis de toujours de ceux de sa race, en espérant que Belwar, à qui il avait sauvé la vie en lui coupant les deux mains, plaide en sa faveur.
Cependant, son ancienne famille ne compte pas le laisser vivre "paisiblement" et pour se racheter les faveurs de la cruelle Lloth, fait revenir Zaknafein, le père et maître de Drizzt, d'entre les morts, afin qu'il lui donne la chasse en tant que créature mort-vivante possédant toutes les capacités acquises de son vivant mais impitoyable, infatigable et insensible, que ce soit à la douleur ou aux émotions.

Ce que j'ai le plus apprécié, c'est que pour la première fois, Drizzt se trouve de réels compagnons : Belwar, évidement, le brave Svirfneblin et Caqueteur, un drôle de personnage transformé en monstre par un sorcier humain.

La plume de R.A. Salvatore est fluide et met en place un parfait équilibre entre descriptions, dialogues et actions, nous présentant au travers d'une intrigue captivante tout un bestiaire de créatures magiques, certaines classiques comme les elfes, gnomes, d'autres plus exotiques comme les hommes-champignons ou les flagelleurs mentaux.

Au final, j'ai littéralement dévoré ce livre et j'attends avec impatience de lire le troisième tome où le héros poursuit son voyage dans le monde de la surface.
Lien : http://lombredeskarnsha.blog..
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Et bien j'aurai mis un an dans cette histoire !

Et c'est là qu'on voit que je n'ai aucune volonté. Je m'achète une saga (enfin, acheter... Mon chéri a importé une saga chez moi...) en me disant que Drizzt, c'est quand même un des B-A BA de la fantasy et qu'il faudrait quand même que je m'y mette. Et royal, entre le tome 1 et 2, j'ai mis un an pour le lire...

Sachant qu'il y a 13 tomes..... Remarquez, cela présage de belles années pour le blog si je suis têtue et que je maintiens la lecture *ahem* Bref, j'ai quand même lu ce second tome en à peine deux jours, ce qui prouve tout de même que ce n'est pas si mal Drizzt. Quand même !


Drizzt découvre qu'être soit même, c'est bien, mais avoir des amis, c'est mieux !

Dans le premier tome, Drizzt se rend compte que les valeurs de sa famille ne sont pas les siennes. Par conséquent, il veut s'affranchir de sa famille. Mais en Outreterre, quand un drow s'affranchit, sa famille met à point d'honneur à ce qu'il meurt. Et dans d'atroces souffrances (c'est gai les réunions familiales) Drizzt se cache donc pendant une dizaine d'années dans les souterrains de l'Outreterre, affrontant les monstres, chassant un peu, parlant tout seul ou à sa panthère. Un instinct de chasseur lui permettant de survivre grandit en lui, ce qui l'effraie. Car il se transforme. Il devient quelque chose qu'il n'aime pas du tout.

Aussi, il se sociabilise un peu. Et il y a un peuple de gnomes (j'avoue que je ne m'en souviens plus) qui l'accueille. Avec eux, il apprend ce que c'est que d'être accepté même avec un caractère un peu sauvage. Mais il doit déjà partir car sa mère cherche encore à le tuer. Cette étape, même très courte, montre l'importance de l'humanité chez Drizzt. Et pourtant, ce n'est pas un grand causant !


Drizzt montre que l'humanité en chacun de nous permet tous les miracles.

Cet elfe noir apporte une grande importance à l'esprit, à l'âme. Aussi, il est capable d'aller en dehors de tout raisonnement pour tout simplement sauver une personne d'origine innocente. Et en ceci, il est très différent des autres elfes noirs qui n'agissent que pour leur propre intérêt, comme on peut le voir en côtoyant un peu Matrone Malice, sa mère.

C'est par sa constance, sa pugnacité, son ouverture d'esprit et sa fidélité qu'il parviendra à écarter tous les dangers, à se sortir de tous ces dangers. Et je gage que cela continuera ainsi tout au long des tomes :)
Lien : http://labibliodekoko.blogsp..
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On retrouve Drizzt, qui a fuit sa famille, se libérant de l'emprise maléfique de celle ci. On apprécie d'ailleurs le déshonneur qu'il apporte à celle ci en sans cesse lui échappant, l'entrainant dans la disgrâce de Lolth. Mais sa mère, la maléfique Matrone Malice, ne l'entend pas de cette oreille et veut réparer cette erreur, de la plus cruelle des façons qu'il soit... Parallèlement, Drizzt apprend que la solitude provoque en lui un changement qu'il n'apprécie pas, qui le transforme en chasseur quasi animal, sur lequel il doit sans cesse prendre le dessus.
A nouveau, on est transporté dans l'univers de Drizzt, dans cette Outreterre désespérante et cruelle. Une magnifique suite.
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Idée de départ / Accroche du début de livre : 9/10
Développement des personnages : 10/10
Style de l'écriture : 10/10
Rendu de l'histoire : 8/10
Total 37/40 Babelio 5/5

Suite des aventures de Drizzt Do'Urden. Je me souviens qu'a l'époque où les livres sont sorti (donc pas la réédition de Bragelonne) , chaque sortie était attendue comme une sorte d'événements pour mon groupe de JRGN. On parlait pendants des mois de ce qui allait arriver dans le prochain tome voir le prochain cycle de l'elfe noir. A la base ces premiers volume s'appelaient la Trilogie de L'elfe noir et non pas la légende de Drizzt. L'elfe noir aux yeux lavandes est devenu en quelques temps plus célèbre et reconnu que Dark Vador parmi notre groupe de rôliste. La carte Magic de Drizzt était d'ailleurs vendu plus chère que celle du Jedi noir.

Ce second tome est la suite parfaite au premier, même si dix années se sont écoulées. Les temps forts de ce roman, toujours aussi intelligemment écrit, sont l'affrontement avec Dinin et Briza ainsi que le retour de Zanakein. Mais il y a aussi sa relation d'amitié avec Belwar le gnome. le roman n'est pas seulement une histoire de fantasy, il y a aussi beaucoup de réflexion sur notre société à travers Drizzt.

Le seul bémol dans cette version réédité, c'est le travail bâclé du traducteur. Déjà le mot Adamantine (l'acier des elfe noir) est remplacé par adamantium. Euh pardon mais l'adamantium c'est pas dans Wolverine ? Si, si mais de toute évidence le traducteur c'est fou comme l'an 40. Il va même jusqu'à remplacer Ombre-terre par Outreterre ce qu dénature complètement l'univers établi à l'origine. Car Outre voulant dire dans le sens (littéraire entendu) autre, on sort complètement du contexte de l'auteur, puisque ça n'est pas une autre terre mais bien un monde de ténèbres d'où la logique de Ombre-terre. Mais comme Bragelonne aime dénaturer tout ce qu'ils touchent allons-y ! Après tout qui a lu la première version? Autre faute remarqué dans leur traduction à deux balles Mithril devient Mitrhal, pourquoi pas mistral tant qu'on y est ! Il est clair que les traducteusr de chez Bragelonne sont loin très loin du niveau de Michèle Zachayus. On dirait plus qu'ils sont parti de la version française en changeant deux trois mots plutôt que de partir de la version anglaise (pourquoi se fatiguer après tout). J'en ai tellement eu mal aux yeux je je suis revenu à ma bonne vieille version papier de Fleuve noir plutôt que de poursuivre cette version numérique de piètre qualité. Mais comme le soucis vient du travail de fond de la maison d'édition et non de l'auteur je ne lui en tient pas rigueur dans ma note.

La fin avec le maître de Drizzt est d'ailleurs un pure bijou de beauté. L'elfe noir reste pour moi un des personnages les plus humain et le plus complet de toute la littérature fantastique. Je conseil toutefois aux néophytes de lire plutôt la version de Fleuve noir qui reste pus fidèle à la vison de l'auteur.
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Au menu de ce deuxième tome nous faisons plus ample connaissance avec Drizzt qui poursuit sa quête existentielle, le rythme reste soutenu, on ne s'ennuie décidément pas dans l'outreterre !
On découvre également un bestiaire assez étonnant tant en quantité qu'en variété, pour ma part il y en a quelques uns que je ne connaissais pas, j'ai donc comblé quelques lacunes au passage.
Le tout est très cohérent et très plaisant à lire, d'ailleurs tant mieux car il y en a encore onze à venir :)
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